N°742, 10 février 2020
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La Revue de Presse du lundi
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Air France, KLM, Delta et Virgin Atlantic lancent leur co-entreprise transatlantique
(source Le Journal de l’Aviation) 3 février - La nouvelle
co-entreprise transatlantique est désormais lancée. Air France, KLM,
Delta et Virgin Atlantic ont rendu concret leur partenariat et offrent
désormais un réseau et des programmes de fidélisation élargis à leurs
passagers sur les vols entre l'Europe, le Royaume-Uni et l'Amérique du
Nord.
L'idée de réunir les co-entreprises Air France-KLM/Delta/Alitalia et
Delta/Virgin Atlantic au sein d'une seule entité avait été officialisée
en juillet 2017 et s'accompagnait notamment du projet d'Air France-KLM
d'acquérir une participation de 31 % dans sa partenaire britannique. Le
bénéfice majeur de ce projet pour Air France-KLM était son renforcement
outre-manche. Depuis, la physionomie du projet a quelque peu changé :
Alitalia n'en fait plus partie et la prise de participation dans Virgin
Atlantic a été abandonnée en décembre dernier.
Mais les grandes
lignes restent. Les clients pourront réserver un vol de
n'importe laquelle des quatre compagnies et les combiner pour
organiser le voyage qui leur convient le mieux. (...)
Le transport de fret profitera également des dispositifs. Une
meilleure coopération entre les filiales cargos se concrétise par la
multiplication d'installations colocalisées ou la mise en commun des
options de transport routier, par exemple. Le chiffre d'affaires annuel
de la co-entreprise, activité passage et fret confondues, est estimé à
13 milliards de dollars. (...)
L'un des principaux objectifs d'Air
France-KLM avec cette initiative a été préservé, ainsi que le rappelle
Benjamin Smith, le directeur général du groupe : « cette coentreprise
assurera à Air France-KLM un accès accru au marché britannique, et
notamment à Londres-Heathrow, premier marché mondial pour le transport
aérien. »
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En raison de l'indécision du Cabinet, la croissance va être
transférée à Paris
(source De Telegraf, traduit avec Deepl) 5 février - Si la politique ne
permet pas la
croissance de Schiphol et l'ouverture de l'aéroport de Lelystad, des
lignes de KLM vont être transférées vers la France . C'est ce qu'écrit le
comité d'entreprise de KLM dans une pétition qui est présentée
aujourd'hui à la Chambre basse du Parlement au nom de 36 549 employés.
Le comité d'entreprise de KLM est très préoccupé par la direction que
prend la discussion sur Schiphol et Lelystad. Une partie des politiciens
font pression pour que la poursuite de la croissance soit reportée,
voire repoussée, et les positions sont également divisées au sein du
Cabinet (NDLR : le gouvernement néerlandais).
Le comité
d'entreprise craint que la société mère Air France-KLM n'intervienne
auprès de KLM si cette société n'est pas autorisée à se développer
davantage. Après tout, il y a encore de la place pour Air France en
France. "En tant qu'entreprise du secteur de l'aviation, vous devez vous
développer, tout comme la concurrence", déclare le secrétaire (...) du comité d'entreprise de KLM. "Si
cela devient physiquement impossible à Schiphol, alors cette croissance
atterrira dans d'autres endroits.
"Autour de nous, le monde de l'aviation tourne joyeusement. Cette année,
Francfort pourra croître de 7 %, Heathrow aura une troisième piste, il y
a encore de la place à Paris. Nous demandons la croissance de 1,5 % de
l'aéroport de Schiphol que le gouvernement a promis". (...)
Malgré toutes les promesses politiques, la croissance de
Schiphol et l'ouverture de Lelystad semblent plus éloignées que jamais. (...)
Selon les auteurs de la pétition, l'ouverture de l'aéroport de Lelystad,
qui a déjà été reportée trois fois, est cruciale pour l'avenir de
Schiphol, car elle permet de poursuivre la croissance du réseau
KLM. (...)
En outre, selon le comité d'entreprise, le produit
de la taxe sur les vols qui sera introduite l'année prochaine ne devrait
pas disparaître dans le trésor public, mais être consacré à la réduction
des nuisances et aux mesures environnementales. "KLM dépense chaque jour
3 millions d'euros pour la durabilité de notre entreprise. En tant
qu'employés, nous travaillons également chaque jour sur la durabilité.
Nous pensons que nous tenons toutes nos promesses, maintenant c'est aux
politiciens de le faire".
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American Airlines signe avec GOL au Brésil
(source Air Journal) 5 février - La compagnie aérienne American
Airlines a signé un accord de partage de codes réciproque
avec la low
cost GOL Linhas Aéreas Inteligentes, donnant à ses clients un accès à 20
destinations au Brésil. Un deuxième vol quotidien entre Miami et Rio de
Janeiro sera mis en place.
Comme anticipé depuis octobre dernier
et le départ de LATAM de l’alliance Oneworld, dont la compagnie
américaine est membre, l’accord annoncé le 4 février 2020 permettra à
American Airlines de maintenir sa présence au Brésil. (...)
Dix ans après la signature d’un premier accord, ce rapprochement
entre American Airlines et GOL aurait débuté dès le jour de l’annonce
par Delta Air Lines de l’acquisition de 20% du capital du LATAM Airlines
Group, leader en Amérique latine – et première au Brésil justement
devant GOL. LATAM a depuis annoncé son départ le 1er mai de l’alliance
Oneworld dont American Airlines est membre. On remarquera par ailleurs
que Delta Air Lines (SkyTeam) était présente dans le capital de GOL,
avec qui elle partage ses codes, mais a revendu ses parts lors de
l’accord avec LATAM. United Airlines tente de son côté depuis novembre
dernier de mettre en place une coentreprise avec Avianca et Copa
Airlines, toutes membres de Star Alliance, à laquelle Azul
(troisième acteur du marché brésilien) pourrait se joindre. (...)
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Qatar Airways rachète 49% de Rwanda Air
(source Business Travel) 6 février - Le PDG de Qatar Airways Akbar Al
Baker a confié que la compagnie allait racheter 49% de Rwanda Air.
L’information a été confirmée à l’occasion d’un sommet sur le
transport aérien à Doha.
Ce rachat fait suite à l’entrée au
capital de Qatar Airways au sein de l’aéroport de Bugesera avec une
prise de participation de 60%. La construction de cet aéroport
devrait être terminée en 2020. (...)
Le seul problème est que Rwanda Air est déficitaire depuis sa
création avec des pertes importantes depuis sa création soit au total
222 millions de dollars de pertes cumulées à fin 2016 selon Jeune
Afrique. (...)
Pour Qatar Airways l’entrée au capital
de Rwanda Air pourrait lui permettre de contourner l’embargo qui
l’oblige à contourner l’Arabie Saoudite, les Émirats Arabes Unis et l’Égypte.
Ainsi les vols de Rwanda Air pourraient être utilisés pour les
flux entre Doha et l’Afrique ce qui permettrait de contourner l’embargo.
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Etihad vend une partie de sa flotte pour un milliard de dollars
(source Le Journal de l’Aviation) 5 février - Etihad se dote de
coudées un petit peu plus franches. La compagnie émiratie a conclu un
accord avec le fonds d'investissement américain KKR et la société de
leasing Altavair AirFinance, selon lequel les deux partenaires vont
acquérir seize Boeing 777-300ER et vingt-deux Airbus A330 pour un
montant d'un milliard de dollars. Elle va ainsi pouvoir avancer
dans son plan de transformation. (...)
Après des années d'investissements malheureux qui ont participé
à siphonner ses comptes, Etihad a dû lancer un plan de restructuration,
dont elle a entamé la seconde moitié. L'un de ses grands chantiers ces
dernières années a été le repositionnement de sa flotte, volet pour
lequel les décisions les plus spectaculaires ont été l'annulation des
commandes d'A350 et de 777X, à l'exception de cinq A350-1000 et six
777-9. Les quatre A350-1000 déjà produits sont actuellement stockés et
attendraient 2021 pour être livrés. Elle attend par ailleurs la
livraison de 34 Dreamliner et 26 A321neo. (...)
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Coronavirus : Cathay Pacific demande à ses 27.000 employés de prendre un congé sans solde
(source AFP) 5 février - Le PDG de la compagnie aérienne hongkongaise
Cathay Pacific a demandé mercredi à ses 27.000 employés de prendre trois
semaines de congés sans solde face aux conséquences de l'épidémie du
nouveau coronavirus.
"J'espère que vous y participerez tous, de
nos employés se trouvant en première ligne (au contact des clients) à
nos cadres supérieurs", a déclaré Augustus Tang dans une allocution
vidéo mise en ligne.
Cette demande met en évidence les
difficultés économiques rencontrées par Cathay, déjà victime
des manifestations pro-démocratie à Hong Kong qui ont lourdement affecté
l'an dernier la fréquentation de ses lignes. (...)
"Avec des perspectives aussi incertaines, ménager
notre trésorerie est désormais le point clé pour protéger notre
entreprise", selon lui.
"J'ai conscience que c'est difficile à
entendre", a-t-il dit au sujet des congés sans solde qu'il réclame à ses
employés de prendre. "Et il se peut que nous devions prendre d'autres
mesures. Mais en soutenant ce congé spécial, vous nous aiderez en ces
temps de besoin", a-t-il fait valoir.
Il a également demandé aux
fournisseurs de réduire leurs prix et a déclaré que la compagnie
aérienne procèderait à des ajustements à court terme de sa capacité,
confirmant notamment la réduction de 90% de ses vols vers la Chine
continentale.
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Ryanair s'intéresse au Boeing 737 MAX 10
(source Le Journal de l’Aviation) 4 février - A l'occasion d'une
conférence téléphonique organisée à la suite de la présentation de ses
résultats pour le troisième trimestre, Ryanair a confirmé son intérêt
pour le Boeing 737 MAX. Louant ses performances et les gains qu'elle
attend de l'exploitation des 737 MAX 200, Michael O'Leary a par ailleurs
révélé qu'il souhaitait s'engager sur une version plus capacitaire,
indique Reuters. « Nous sommes déjà en discussion avec Boeing. Nous
avons une offre sur la table pour une commande de MAX 10, un appareil de
230 places », a déclaré le directeur général du groupe irlandais. (...)
Actuellement, Ryanair est cliente du 737 MAX 200, une
version du 737 MAX 8 modifiée pour être densifiée. En raison de
l'immobilisation de l'appareil depuis mars dernier, la livraison des
monocouloirs de Ryanair a pris un an de retard. La compagnie a annoncé
le 3 février qu'elle n'attendait plus ses premiers appareils qu'en
septembre ou octobre au mieux. Michael O'Leary a même évoqué un retard
qui pourrait augmenter encore et atteindre deux ans. Initialement,
Ryanair devait exploiter 55 Boeing 737 MAX 200 durant l'été 2020 ; elle
espère que ce projet ne sera décalé qu'à l'été 2021.
Les
conséquences se font déjà sentir. La croissance est ralentie
(elle sera de 2% cet été, principalement grâce à la flotte Airbus),
plusieurs bases ont été fermées et l'objectif d'atteindre les
200 millions de passagers annuels est repoussé à l'année fiscale 2025
voire 2026. D'autres discussions sont donc en cours avec Boeing
concernant le prix des 737 MAX 200 retardés et les compensations qui
seront consenties. (...)
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Boeing entrevoit la lueur au bout du tunnel pour le 737 Max
(source Les Échos) 7 février - Est-ce la lumière au bout du tunnel
pour le Boeing 737 Max ? Après avoir douché les espoirs de l'avionneur
fin 2019, le patron de l'aviation civile américaine, Steve Dickson, a
rallumé l'espoir d'un début de sortie de crise prochain pour Boeing.
Lors d'une rencontre avec la presse spécialisée à Londres, ce jeudi, le
patron de la FAA a estimé que les vols de recertification du 737
Max pourraient débuter « dans les prochaines semaines ». (...)
Prudemment, Steve Dickson a entouré ses déclarations de toutes sortes
d'avertissements et de conditionnels, soulignant notamment qu'il ne
fallait pas s'engager sur un calendrier et qu'un certain nombre de
problèmes restaient à régler. Toutefois, le patron de la FAA a
confirmé que le processus d'audit du nouveau logiciel de contrôle du vol
était achevé et qu'il pourrait faire l'objet d'une approbation conjointe
avec ses principaux homologues internationaux, telle que
l'Agence européenne de sécurité aérienne. Et ce, même si des points de
désaccord subsistent, semble-t-il, sur d'autres points. « Concernant la
conception [du MCAS remanié NDLR], au vu de ce que je sais, nous sommes
fortement alignés », a-t-il déclaré. (...)
La priorité de Boeing est de
livrer les quelque 400 appareils en stock. Or selon David Calhoun,
cela
devrait prendre 18 mois, à raison de 22 par mois en moyenne.
Durant
cette période, et afin d'éviter un nouvel engorgement des parkings,
la chaîne d'assemblage tournera donc à vitesse réduite. L'avionneur n'a
avancé officiellement aucun chiffre, mais l'un de ses principaux
fournisseurs, l'équipementier américain Spirit , qui fabrique les
fuselages de 737, a indiqué, pour sa part, qu'il ne prévoyait que 220
livraisons de fuselage à Boeing en 2020. Soit de quoi produire 24 Max
par mois en moyenne sur neuf mois, contre 42 par mois en 2019 et 52 par
mois avant la crise.
En
additionnant les prévisions de Spirit et celles de Boeing, les
livraisons de 737 Max ne devraient donc pas dépasser 46 appareils par
mois en moyenne, en 2020 (en supposant que la production redémarre dès
avril). Ce qui fait dire à l'analyste américain Scott Hamilton, dans sa
lettre spécialisée LNA, que le retour à la normale - soit 52 Max par
mois - n'interviendra pas avant 2022. Quant à l'objectif affiché avant
la crise de monter la production à 57 Max par mois, il ne serait pas
atteignable avant 2023. De quoi permettre à Airbus, qui table sur 63
A320 par mois en 2020, de conserver son avance sur Boeing pendant encore
plusieurs années.
>
Promesse réaliste ou poudre aux yeux? Le secteur aérien britannique vise la neutralité carbone en 2050
(source RTBF) 5 février - L’engagement n’est pas ordinaire : arriver,
en 30 ans, à la neutralité carbone du secteur aérien du Royaume-Uni.
Chiffrée, cette promesse comprend notamment la réduction de plus de 60
millions de tonnes de CO2 dont plus d’un tiers (23,5 millions de tonnes
de CO2) grâce à l’introduction de nouveaux avions plus propres et plus
efficaces, ou encore 14,4 millions de tonnes de CO2 grâce à des
carburants qui utilisent moins de pétrole.
L’organisation qui
porte cet engagement ne manque pas de référence : créée en 2005,
Sustainable Aviation (Aviation durable) regroupe aujourd’hui la
plupart des principaux acteurs du secteur aérien au Royaume-Uni. (...)
Tous ces acteurs reconnaissent que tenir cet ambitieux
engagement ne sera pas facile : cela va demander à la fois des
investissements substantiels, des innovations technologiques et une
véritable coopération entre l’industrie et le gouvernement, à qui il est
demandé de travailler en concertation avec l’OACI (l’Organisation de
l’Aviation Civile Internationale) mais aussi avec l’ONU. Le secteur
britannique affirme être parfaitement conscient de la nécessité d’agir
au niveau mondial. (...)
Dans sa
"feuille de route" (un document de 76 pages qui détaille les différentes
mesures), le secteur aérien britannique considère par exemple que les
vols inférieurs à 400 km pourraient être assurés par des avions
électriques, en précisant que la production de l’électricité nécessaire
pour alimenter les batteries serait totalement neutre. "C’est ce que
l’on appelle de la "com", réagit Waldo Cerdan, expert aéronautique qui
s’intéresse depuis très longtemps à cette thématique. L’électricité
n’est pas une source d’énergie, mais un vecteur d’énergie. La différence
peut sembler banale, mais elle ne l’est pas. L’électricité ne pousse pas
aux arbres, il faut la produire. Donc, sans même parler du poids des
batteries ni des défis technologiques, cette voie, pour prometteuse
qu’elle puisse paraître, est incompatible avec la notion d’urgence
climatique". (...)
Pour Waldo Cerdan, la réduction des
émissions de CO2 sous-entend une "inéluctable régulation de la demande"
qui ne peut se limiter à l’instauration d’une "taxe carbone" pour les
utilisateurs fréquents de l’avion : "en dehors de permettre de créer un
fonds de "transition énergique" et dont le but serait de compenser les
populations les plus fragiles, cette taxe n’aura que peu d’effet sur la
demande". (...)
Fin de la revue de presse
>
Suivi du référendum sur la privatisation d’Aéroports de Paris
Le dispositif de consultation sur la privatisation du groupe ADP est
ouvert depuis le 13 juin et jusqu'en mars 2020. Pour mener à un
référendum d'initiative partagée (RIP), il requiert la signature de 4,7
millions d'électeurs.
Sur Internet, la consultation se signe sur
le site referendum.interieur.gouv fr
Au 10 février, la
consultation avait
recueilli 1.092.000 signatures, soit 23,15% des signatures requises.
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 8,804 euros en clôture lundi
10 février. Elle est en hausse de
+3,82%. Les secteurs du luxe, du transport aérien et de
l'hôtellerie sont affectés par les informations sur la propagation du
virus venu de Chine. Air-France-KLM est impacté par le gel de nombreuses
liaisons aériennes avec la Chine.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 11,13 euros.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est
en baisse de 1$ à 53$. Au début de l'épidémie de coronaviruus,
il était à 69$. Les prix du pétrole baissent, pénalisés par les
inquiétudes pesant sur la demande mondiale, notamment en Chine. Les
mesures prises pour contrer l'épidémie virale pourraient ralentir
l'activité économique.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
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