N°764, 13 juillet 2020
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La Revue de Presse du lundi
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Air France : Orly-Pau, négociations et environnement
(source Air Journal) 10 juillet - (...) Un mois après la réouverture de ses portes,
l’aéroport de Pau-Pyrénées a annoncé le 9 juillet 2020 la reprise le 31
aout des vols air France depuis Paris-Orly. Trois vols quotidiens seront
alors proposés (deux le samedi), en plus des trois opérés depuis
l’aéroport Charles de Gaulle. Entre Pau et Lyon-Saint Exupéry, les vols
seront proposés à la rentrée au rythme de « 2 à 3 vols quotidiens (sauf
samedi), donnant accès à de nombreuses destinations en
correspondance » ; depuis le 10 juin, HOP! opère sur cette route jusqu’à
6 fois par semaine. L’aéroport palois souligne que ce programme de vols
« se rapproche » de la desserte dont il bénéficiait avant la crise
sanitaire. Le Orly – Pau ne disparaitra donc pas, contrairement
au Orly – Clermont-Ferrand dont l’arrêt a été annoncé cette semaine
suite à la décision d’Air France de réduire son réseau intérieur de 40%,
dans le cadre du plan Vesta de restructuration qui sera présenté fin
juillet. Air France a d’autre part lancé hier les
négociations avec les syndicats sur les modalités de départ du personnel
au sol, qui concerne plus de la moitié des 6560 suppressions de postes
annoncées (plus 1020 chez HOP). La direction (...) « une
organisation des métiers au sol avec 20.250 CDI (en équivalent-temps
plein) fin 2022 » : le syndicat évoque un nombre de départs nécessaires
« à 705 au Hub, à 220 au Global Cargo ou, encore, à 129 à la DGSI
(Direction générale des systèmes d’information). Le court-courrier est
très impacté, avec 835 départs programmés au total. Ainsi à Orly, les
effectifs sont appelés à baisser de 893 à 644 (-28%) ». La fermeture des
agences physiques concerne 150 emplois, sans oublier l’impact du plan
sur les escales de province (...).
Côté écologie, une des conditions posées par le gouvernement à l’aide
d’État de 7 milliards d’euros, la compagnie de l’alliance SkyTeam a
annoncé hier s’être associée à OpenAirlines, premier fournisseur mondial
de solutions d’éco-pilotage des avions. Dans le cadre de cet accord, OpenAirlines « analysera chaque jour les données de milliers de vols
opérés par la compagnie. Sa solution SkyBreathe®,
développée en
partenariat avec Transavia France, compagnie du groupe Air France,
évaluera de façon détaillée les économies potentielles de carburant et
proposera des recommandations pour maximiser l’efficacité opérationnelle
d’Air France et réduire ses émissions de CO2 » (...).
« Nous félicitons toutes les compagnies aériennes qui vont au-delà
des objectifs collectifs de l’industrie et ce nouvel accord montre le
leadership d’Air France dans l’engagement en faveur du climat », a
déclaré dans un communiqué Alexandre Feray, PDG et fondateur d’OpenAirlines.
« Déjà numéro 1 au classement Dow Jones Sustainability Index (DJSI), le
groupe Air France-KLM est reconnu comme un leader de la performance
environnementale. Nous sommes honorés qu’Air France nous ait choisis
pour contribuer à sa relance verte et réduire davantage ses émissions de
CO2. Alors que nous travaillons tous à reconstruire notre industrie,
fortement impactée par la crise du Coronavirus, nous poursuivrons notre
engagement indéfectible à aider les compagnies aériennes à réduire leurs
coûts et leur empreinte carbone ». Air France (...) rejoint ainsi la grande
communauté de compagnies aériennes ayant déjà adopté SkyBreathe pour
améliorer leur efficacité énergétique, avec notamment Norwegian Air
Shuttle, Malaysia Airlines, Cebu Pacific, GoAir, Atlas Air « et d’autres
grandes compagnies aériennes ».
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Unions Object to KLM State Aid Conditions (Les syndicats s'opposent aux conditions d'aide d'État de KLM)
(source Airwaysmag) 9 juillet - Dans une lettre commune à la
Commission européenne, des syndicats de KLM s'opposent aux
conditions que l'État néerlandais fixe en contrepartie de l'aide à KLM.
(...) Selon les
syndicats, les restrictions d'emploi et de salaires sont particulièrement
contradictoires avec des traités tels que ceux de l'Organisation
internationale du travail (OIT). Ces traités stipulent, entre autres,
que les partenaires sociaux doivent pouvoir négocier des conventions
collectives de travail librement, sans aucune ingérence gouvernementale.
(...)
Bien que la lettre s'oppose aux
conditions imposées par l'État néerlandais, elle souligne
également que les syndicats sont conscients de la situation
particulièrement difficile dans laquelle se trouve KLM et de la volonté
du personnel de contribuer au redressement de l'entreprise.
Jusqu'à présent, cela a toujours été fait en étroite
collaboration avec les syndicats et ceux-ci appellent donc à des efforts
conjoints pour trouver des solutions appropriées.
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Air France recapitalise HOP à hauteur de 230 millions d'euros
(source La Tribune) 6 juillet - Selon nos
informations (...), le conseil d'administration d'Air France a validé
la semaine dernière une recapitalisation de HOP à hauteur de 230
millions d'euros. Air France va convertir en capital une dette en compte
courant que lui devait sa filiale. Sans sortie de cash pour Air France,
cette opération écarte tout risque de liquidation de HOP en 2021. En
effet, elle permet à cette dernière de remonter ses fonds propres à un
niveau supérieur à la moitié du capital social, en conformité avec les
exigences du Code du commerce. Ce que la compagnie ne respectait plus
depuis plusieurs années. Depuis 2017, ses fonds propres étaient
inférieurs à la moitié du capital social et cette situation ne pouvait
perdurer au-delà de l'exercice fiscal 2020 sous peine de voir la
compagnie potentiellement dissoute. Si
HOP ne va pas mourir, elle va néanmoins subir une restructuration
extrêmement sévère, puisque sa taille va quasiment être divisée par deux
d'ici à l'été 2023. Si les effectifs seront réduits de 42%, la flotte va
diminuer de 47%, en passant de 55 à 29 appareils, tous des Embraer
puisque les Bombardier CRJ, pourtant plus économes selon la direction,
vont sortir de la flotte. En termes de sièges kilomètres offerts, la
réduction ne sera que d'un tiers.(...)
Du côté de la maintenance, les sites de
Lille et de Morlaix vont fermer et seul celui de Clermont-Ferrand va
subsister avec une "adaptation" pour faire baisser des coûts jugés trop
élevés.(...)
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Coronavirus : les nouveaux outils pour la filière MRO
(source Air & Cosmos) 6 juillet - Barfield Inc.,
la filiale
américaine d'Air France Industries KLM Engineering & Maintenance (AFI
KLM E&M), va désormais distribuer le chariot électrostatique de On
Target Spray Systems, pour aider à prévenir la propagation du Covid-19.
La technologie de pulvérisation de ce chariot électrostatique 3D est
trois fois plus rapide que celle utilisant la formation de buée et offre
une couverture de protection uniforme sur toutes les surfaces. La
désinfection est devenue la norme et les contraintes sanitaires obligent
les entreprises à rivaliser d'imagination pour préserver la santé de
tous. La filière MRO y compris. Le chariot électrostatique de On Target Spray Systems est livré avec un
chariot à roulettes et un enrouleur autour d'une technologie brevetée
conçue pour faire gagner du temps aux clients et réduire les coûts,
souligne AFI KLM E&M qui poursuit : "le chariot est construit aux
États-Unis pour les travaux lourds et difficiles et dispose de
compresseurs d'air robustes conçus pour désinfecter l'intérieur et
l'extérieur des cabines d’avion". « Nous sommes ravis de nous associer à On Target Spray Systems dans le
cadre de notre stratégie de création de solutions pour nos clients. La
pandémie de COVID-19 a changé notre mode de vie et le pulvérisateur
électrostatique est là pour assurer la tranquillité d'esprit partout où
nous allons », explique Hervé Page, président de Barfield. Pour On
Target, la pandémie de coronavirus ouvre des débouchés à peine
imaginables il y a encore cinq mois. La société américaine s'est en
effet spécialisée dans la technologie de pulvérisation électrostatique
pour l'agriculture.
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Delta Airlines très prudent sur la reprise mais veut éviter les licenciements
(source AFP) 10 juillet - Face à la persistance de la pandémie de
Covid-19, le patron de la compagnie américaine Delta AirLines est resté
très prudent jeudi sur la reprise des vols tout en souhaitant éviter le
plus possible des licenciements secs. (...) "La progression
continue du virus dans le sud des États-Unis, couplée aux mesures de
confinement mises en œuvre sur les plus grandes métropoles dans le nord
du pays, nous incite à faire preuve d'une grande prudence dans l'ajout
de nouveaux vols", y écrit-il. (...) United
Airlines a pour sa part prévenu mercredi qu'elle pourrait
licencier jusqu'à 36.000 salariés en octobre et American Airlines a
indiqué début juillet s'attendre à avoir 20.000 salariés de plus que
nécessaire pour fonctionner à l'automne. (...)
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Richard Branson dévoile le plan de sauvetage de Virgin
(source Forbes) 7 juillet - Après des mois d’incertitude, le
milliardaire Sir Richard Branson a enfin trouvé une solution à la menace
qui planait au-dessus de son empire. (...) Depuis le mois de mars, Richard Branson
a dû faire marche arrière après des commentaires du Parlement
britannique, qui estimait que l’homme d’affaires devrait faire appel à
sa fortune personnelle pour renflouer ses entreprises. Des questions sur
son statut fiscal et sa résidence dans les îles Vierges britanniques
agitaient également les médias depuis quelques mois. Mais depuis
peu, l’ambiance au sein du groupe Virgin a changé. En effet, Richard Branson est sur le point de réunir plus d’un milliard de dollars pour
aider à sécuriser son empire commercial après le passage du Covid-19 :
500 millions de dollars de la part Delta (via des reports et des
exonérations), 300 millions de dollars de financement de la dette par le
groupe Elliott Management et 500 millions de dollars provenant de la
vente d’actions de Virgin Galactic sur les mois de mai et juin.
(...)
Par ailleurs, un soutien supplémentaire aux actionnaires
d’environ 500 millions de dollars sera fourni, apporté en grande partie
par Delta Airlines, qui possède 49 % de Virgin Atlantic. Le groupe
Virgin, propriétaire à 51 %, soutiendra Delta dans son implication
envers sa filiale. (...)
Enfin, en ce qui concerne la situation critique du personnel de
Virgin Atlantic, les représentants ont travaillé avec les deux
principaux syndicats pour parvenir à un accord au plus vite.
Bien que 3 000 membres du personnel aient perdu leur emploi, la
communication avec les salariés a été « directe et consensuelle » selon
une source proche des négociations.
En comparaison, les députés
britanniques ont récemment qualifié British Airways, grand rival de
Virgin Atlantic, de « honte nationale ». La compagnie a en effet tenté
de licencier 12 000 salariés et a modifié les contrats de 30 000 autres
lors d’une « tentative calculée pour tirer profit de la pandémie »,
comme l’a rapporté The Guardian. (...)
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Emirates s’apprête à supprimer 9 000 emplois suite à la crise
(source Air Journal) 11 juillet - Le président d’Emirates a déclaré
que la compagnie aérienne du Moyen-Orient devrait supprimer jusqu’à 9
000 emplois en raison de la pandémie de coronavirus. C’est la
première fois que le plus grand transporteur longue distance au monde
révèle le nombre d’emplois qui seront perdus. Avant la crise, Emirates
comptait 60 000 employés. Tim Clark qui a déclaré que la
compagnie aérienne avait déjà réduit d’un dixième l’effectif de son
personnel, a ajouté : « Nous devrons probablement en abandonner
quelques-uns de plus, probablement jusqu’à 15%. » (...)
Au moins
700 des 4 500 pilotes de la compagnie
aérienne ont reçu des avis de licenciement cette semaine, ce qui
signifie qu’au moins 1 200 ont été informés de la fin de leur emploi
depuis le début de la crise du coronavirus. Des milliers de stewards et
hôtesses de l’air ont également été informés qu’ils n’étaient plus
nécessaires.
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La compagnie Latam décroche un nouveau financement de 1,3 milliard de dollars
(source AFP) 9 juillet - La compagnie chileno-brésilienne Latam, la
plus importante d'Amérique latine, a annoncé jeudi avoir obtenu un
financement de 1,3 milliard de dollars (1,15 milliard d'euros) d'un
fonds d'investissement américain pour sortir de la crise liée au
coronavirus sans avoir recours à de l'argent public.
Ce 1,3
milliard provient du fonds Oaktree Capital Management et vient s'ajouter
aux 900 millions de dollars déjà mis sur la table par Qatar Airways
ainsi que les familles Cueto et Amaro, actionnaires de la compagnie
aérienne. Fin mai, Latam s'est déclarée en faillite aux
États-Unis (...). «Latam va
continuer à voler. Il n'y aura pas d'impact sur les opérations de fret,
les réservations, les 'vouchers' ou les miles et points de Latam Pass»,
a souligné l'entreprise. Avant la pandémie, la compagnie aérienne, née
de la fusion de Lan au Chili et de Tam au Brésil, desservait 145
destinations dans 26 pays. Elle comptait plus de 42.000 employés et
exploitait 1.400 vols quotidiens, transportant plus de 74 millions de
passagers par an.
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La compagnie Level France devrait bientôt disparaître
(source Capital) 10 juillet - La crise sanitaire a fait une nouvelle
victime. La compagnie aérienne OpenSkies, qui opère sous la marque Level
France, a annoncé mercredi 8 juillet qu'elle s'apprêtait à cesser son
activité et à mettre en œuvre un plan social (...).
Level, la marque low-cost
long-courrier d'IAG, maison mère d'Iberia et de British Airways, opère
en France depuis l'aéroport de Paris-Orly depuis 2018. Ses trois Airbus
A330 desservent des destinations aux États-Unis, au Canada ainsi que la
Guadeloupe et la Martinique. La société OpenSkies, créée en 2006 sous le
nom de L'Avion, avait été rachetée en 2009 par British Airways et vole
sous la marque Level depuis 2018. IAG entendait alors se positionner sur
le marché low-cost long-courrier au départ de Paris, où Norwegian Air
Shuttle (Norwegian) avait ouvert des liaisons vers les États-Unis deux
ans plus tôt(...). La branche autrichienne de Level a déposé
le bilan en juin.
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Ethiopian Airlines, une exception africaine
(source Le Temps) 13 juillet - C’est une exception africaine, et
peut-être même mondiale. Comme toutes les compagnies aériennes,
Ethiopian Airlines, groupe 100% étatique, a subi de plein fouet l’impact
du Covid-19. Pendant le confinement, les frontières étaient fermées.
Mais alors que la grande majorité des acteurs avaient leur flotte clouée
au sol, la compagnie éthiopienne a maintenu 10% de ses
opérations, transportant masques, équipements médicaux, vivres et autres
matériaux aux quatre coins du monde (...). En
avril (...) la compagnie a décidé de miser sur le marché du cargo, car
il fallait bien transporter équipements médicaux, vivres et travailleurs
humanitaires. Ne possédant toutefois que 12 avions dédiés, elle
n’a pas hésité à déboulonner les sièges de 24 appareils passagers pour
tripler sa capacité. A présent, c’est ce segment qui ramène l’essentiel
des revenus. Par ailleurs, plusieurs pays, dont les États-Unis
et le Japon, ont affrété ses avions pour rapatrier leurs ressortissants
se trouvant en Afrique ces derniers mois (...). Fondée en
1946, Ethiopian Airlines, membre de la Star Alliance (...), est devenue
au fil des années le premier transporteur aérien africain (...).
A terme, Ethiopian
Airlines entend se développer davantage comme un hub entre le reste du
monde et l’Afrique (...).
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Crise sanitaire: l'avenir incertain du projet d'extension de l'aéroport de Roissy
(source AFP) 10 juillet - Le terminal 4 de Roissy-Charles de Gaulle, méga-projet d'extension doté d'une capacité de 40 millions de passagers,
verra-t-il le jour? La crise sanitaire mondiale
contraint Aéroports de Paris et l'État à revoir leur copie sévèrement
critiquée par l'Autorité environnementale (...).
Dans un avis rendu mercredi et consulté par l'AFP,
l'Autorité environnementale (AE) constate que "l'équation à résoudre"
entre l'augmentation des vols, de la circulation routière et le respect
des objectifs internationaux de la France en matière de réduction des
émissions de gaz à effet de serre "n'est pas décrite ni posée de manière
complète" (...). En réaction, le Groupe ADP a indiqué jeudi
qu'il "tirera les conséquences de l'ensemble des recommandations" et "a
pris la décision d'adapter le projet pour tenir compte des priorités
issues de la crise et d'ajuster en conséquence le calendrier". Pour le groupe gestionnaire des
aéroports parisiens, l'objectif du futur terminal est de permettre
d'absorber la fréquentation de Roissy, deuxième aéroport d'Europe
derrière Heathrow, estimée à 120 millions de passagers en 2037, selon
l'organisation des aéroports ACI Europe. Mais ce chiffre, brandi
par ADP pour appuyer son projet, repose sur une croissance continue du
trafic aérien mondial avant la pandémie de Covid-19. Depuis
mars, le trafic a plongé de 90% et devrait retrouver son niveau d'avant
crise au mieux en 2023, selon l'association internationale du transport
aérien (IATA). Devant l'évidence, l'État, actionnaire
majoritaire d'ADP et favorable au projet, a fait évoluer sa position.
"Aujourd'hui à Roissy, on a 15% des vols (...).
Les extensions de
capacité à Roissy aujourd'hui paraissent être un pari audacieux. Le
projet du T4 va probablement être revu, requestionné : : coût/bénéfice",
a déclaré sur RMC et BFMTV Jean-Baptiste Djebbari, ministre délégué aux
Transports. Le projet "est obsolète et n'aura pas les
financements", glisse une source aéroportuaire qui ajoute que
l'extension de Roissy "n'est pas en adéquation avec ce que veulent les
citoyens". (...) Parallèlement, l'interdiction "de la construction de nouveaux aéroports
et l'extension des aéroports existants" figure parmi les propositions de
la Convention citoyenne pour le Climat que le président Emmanuel Macron
va soumettre au parlement ou à référendum dès 2021(...)
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Confiance dans le transport aérien : les trois alliances ensemble
(source Air Journal) 9 juillet - Dans un
communiqué commun (...), Oneworld, SkyTeam et Star Alliance, les trois grandes alliances
internationales, qui représentent collectivement plus 50% du trafic
aérien mondial via leurs 58 compagnies aériennes, se sont réunies pour
souligner les mesures que les compagnies adoptent pour assurer le bien-être des clients lors de leurs voyages. « Chers voyageurs, une
vidéo des trois alliances, donne un aperçu de ce que les clients peuvent
attendre de leur voyage au cours des prochains mois alors que les
restrictions de voyage sont assouplies et que le monde commence à
rouvrir » (...).
Les mesures que les voyageurs connaîtront pendant leur voyage, de
l’enregistrement à la destination choisie, comprennent :
· Obligation ou recommandation pour les passagers et le personnel des
compagnies aériennes de porter des masques faciaux à l’aéroport et à
bord, conformément aux directives de santé publique applicables ; . Un environnement aéroportuaire sûr avec une distance physique dans
toutes les zones requises ; . Assainissement accru et intensifié en mettant l’accent sur les zones à
contact élevé, au sol et dans la cabine de l’avion ; . Filtres à air à haute efficacité de qualité hospitalière à bord des
avions modernes. Connus sous le nom de HEPA (High-Efficiency Particulate
Air), ces filtres extraient 99,99% des particules et des contaminants en
suspension dans l’air.
(...) Oneworld (...)
regroupe American Airlines, British Airways, Cathay Pacific, Finnair,
Iberia, Japan Airlines, Malaysia Airlines, Qantas, Qatar Airways, Royal
Air Maroc, Royal Jordanian, S7 Airlines et SriLankan Airlines
(...) SkyTeam (...) regroupe
Aeroflot, Aerolíneas Argentinas, Aeromexico, Air Europa, Air France,
Alitalia, China Airlines, China Eastern, Czech Airlines, Delta Airlines,
Garuda Indonesia, Kenya Airways, KLM Royal Dutch Airlines, Korean Air,
Middle East Airlines, Saudia, TAROM, Vietnam Airlines et Xiamen Air.
(...) Star Alliance (...) regroupe Aegean Airlines, Air Canada, Air China,
Air India, Air New Zealand, ANA (All Nippon Airways), Asiana Airlines,
Austrian, Avianca, Brussels Airlines, Copa Airlines, Croatia Airlines,
Egyptair, Ethiopian Airlines, EVA Air, LOT Polish Airlines, Lufthansa,
Scandinavian Airlines, Shenzhen Airlines, Singapore Airlines, South
African Airways, SWISS, TAP Air Portugal, Thai Airways, Turkish Airlines
et United Airlines (...).
Fin de la revue de presse
> Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 4,10 euros en clôture lundi
13 juillet. Elle
est en baisse de
-2,57% sur une semaine. Avant l'épidémie de coronavirus, L'action Air France-KLM était à 9,93 euros.
Elle oscille depuis début avril entre 4 et 5 euros.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 4,43 euros.
Nombre d'analystes ont baissé leurs prévisions de cours au début de la
crise sanitaire. Vous pouvez
retrouver sur mon blog le détail du consensus des analystes.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est
stable à 43$. Au début de l'épidémie de
coronavirus, il était à 69$.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
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