N°793, 1er février 2021
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Editorial
La Revue de Presse du lundi
>
Air France : un nouveau soutien de l'État viendra "dans des délais rapides" - Le Maire
(source Agefi-Dow Jones) 1er février - Un nouveau soutien de l'État à
Air France, filiale du groupe de transport aérien Air France-KLM, aura
lieu dans des "délais rapides", a déclaré lundi le ministre de
l'Economie, des Finances et de la Relance, Bruno Le Maire.
Interrogé sur RTL sur de nouvelles mesures pour aider la compagnie
aérienne, le ministre a déclaré que l'État "continuer[ait] à soutenir
Air France". "L'État apportera un soutien supplémentaire à Air France",
a assuré Bruno Le Maire. Le responsable n'a pas donné davantage
de précisions sur les modalités de cette aide. Interrogé sur le
calendrier, le ministre a déclaré que ce soutien serait apporté "dans
des délais rapides".
Paris avait déjà apporté au printemps 2020
une première aide à Air France-KLM, maison mère d'Air France et de la
compagnie néerlandaise KLM, sous forme de prêts directs et de prêts
garantis pour un montant total de 7 milliards d'euros. Le groupe de
transport aérien planche actuellement sur une recapitalisation devant
lui permettre de renforcer son bilan fragilisé par la crise sanitaire
>
Vol Rio-Paris : menace d’un procès pour Air France et Airbus
(source Le Monde avec AFP) 27 janvier - Contrairement aux juges
d’instruction qui avaient prononcé un non-lieu en 2019, le parquet
général a requis un procès dans le crash de l’Airbus A330 assurant le
vol AF447 entre Rio-Paris qui avait fait 228 morts le 1er juin 2009, a
précisé la source judiciaire, confirmant une information du Parisien.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris statuera le
4 mars sur le renvoi ou non en correctionnelle des sociétés Airbus et
Air France pour « homicides involontaires ». Ces réquisitions vont
au-delà de celles du parquet de Paris, qui avait fait appel de ce
non-lieu, mais n’avait réclamé un procès que contre la seule compagnie
aérienne. En août 2019, les deux juges d’instruction chargés de
l’enquête sur le crash du vol AF447 avaient prononcé un non-lieu. Tous
les passagers et les membres d’équipage, de 34 nationalités, avaient
péri dans l’accident, le plus meurtrier de l’histoire de la compagnie
française. Les parties civiles s’étaient élevées contre cette décision
« très contestable », « absurde et corporatiste ». Les magistrats avaient considéré que
« cet accident s’explique manifestement par une conjonction d’éléments
qui ne s’était jamais produite, et qui a donc mis en évidence des
dangers qui n’avaient pu être perçus avant ». Les investigations « n’ont
pas conduit à caractériser un manquement fautif d’Airbus ou Air France
en lien (…) avec les fautes de pilotage (…) à l’origine de l’accident »,
avaient-ils estimé. Selon les expertises, le givrage en vol de
sondes de vitesse Pitot avait conduit à un dérèglement des mesures de
vitesse de l’Airbus A330 et désorienté les pilotes jusqu’au décrochage
de l’appareil. Airbus et Air France avaient été mis en examen en 2011
pour « homicides involontaires ». Le parquet avait requis en
juillet 2019 le renvoi devant le tribunal correctionnel d’Air France
seulement, estimant que la compagnie aérienne avait « commis une
négligence et une imprudence » en ne délivrant pas à ses pilotes
suffisamment d’informations sur la procédure à adopter en cas
d’anomalies liées aux sondes qui permettent de contrôler la vitesse de
l’appareil, après plusieurs incidents du même genre au cours des mois
précédents.
>
Air France : Transavia lance cet été une offensive "XXL" sur le marché domestique
(source La Tribune) 29 janvier - Alors que le transport aérien est une nouvelle fois frappé
de plein fouet par le durcissement des restrictions de voyage qui
accompagne la flambée de l'épidémie, Air France continue de dérouler son
plan de marche sur le réseau intérieur français. Désormais pièce maîtresse du groupe sur les lignes dites de "point-à-point" (par
opposition aux lignes réservées à l'alimentation des passagers en
correspondance sur les hubs de Roissy-Charles de Gaulle et Lyon,
assurées par Air France et HOP), Transavia, la filiale low-cost du
groupe, se prépare, selon nos informations, à lancer une offensive à
grande échelle sur le marché domestique avec l'ouverture d'une vingtaine
de nouvelles liaisons cet été, à la fois des lignes dites
"radiales" (Paris-régions) au départ d'Orly, et des lignes transversales
(région-région), avec un programme de vols saisonniers vers la Corse
significatif. (...)
Avec le maintien des cinq premières lignes "test" début novembre
(Orly-Biarritz, et quatre lignes au départ de Nantes vers Toulouse,
Montpellier, Marseille et Nice), Transavia opèrera près de 25 lignes
intérieures la prochaine saison d'été, qui, dans l'aviation, s'étale de
fin mars à fin octobre. Les premiers vols de Transavia sont prévus fin
mars. Pour sa première saison estivale sur le réseau domestique, la
filiale low-cost d'Air France entend donc démarrer très fort.
Objectif :
être présent au moment de la reprise espérée du trafic cet été. La
semaine dernière, Anne Rigail, la directrice générale d'Air France
indiquait dans nos colonnes s'attendre cet été à "une reprise dynamique
du trafic loisirs". Mais il s'agit aussi de dérouler extrêmement
rapidement le plan de transformation du groupe sur le réseau intérieur
français, et ainsi éviter que les compagnies à bas coûts étrangères
comme EasyJet, Volotea, Vueling ou Ryanair récupèrent demain les fortes
positions qu'elles détenaient avant la crise. De fait, pour Transavia,
la crise du Covid-19, et la baisse de capacités qu'elle a provoqué chez
les autres low-cost fortement implantées dans l'Hexagone, constitue une
belle "opportunité". Tout le monde partant de zéro, la compagnie n'a pas
à cavaler derrière EasyJet, Vueling ou Volotea qui qui avaient plusieurs
longueurs d'avance avant la crise. Avec les fortes aides d'État dont sa
maison-mère bénéficie, Transavia a même un avantage certain sur ses
concurrentes. (...) Le déploiement massif de
Transavia sur le réseau domestique se poursuivra en 2022, probablement
plus vite que prévu, dès l'été 2022. Pour accompagner cette forte
croissance, la filiale d'Air France va faire entrer huit avions cette
année, qui feront passer la flotte à 48 Boeing 737-800. En 2022, onze
autres appareils suivront. Le plan de flotte prévoit enfin un doublement
du nombre d'avions en 2025 par rapport à 2020.
>
Les 6 plus grandes compagnies aériennes américaines cumulent 35 milliards de perte
(source Forbes) 31 janvier - Trois des six plus grandes compagnies
aériennes américaines ont déclaré jeudi des pertes nettes combinées
d’environ 14 milliards de dollars (11,5 milliards d’euros) pour
l’ensemble de l’année 2020, marquée par la pandémie. Cela vient
s’ajouter aux 20,9 milliards de dollars (17 milliards d’euros)
de pertes
nettes combinées déjà signalées par les trois autres grandes compagnies.
American Airlines, la plus grande compagnie aérienne américaine, a
déclaré avoir perdu 9,5 milliards de dollars (7,8 milliards d’euros), y
compris les éléments comptables spéciaux, pour l’ensemble de l’année, et
2,2 milliards de dollars (1,8 milliard d’euros) au quatrième trimestre.
Southwest Airlines, qui transporte plus de passagers intérieurs que
toute autre compagnie aérienne américaine, a enregistré une perte de 3,1
milliards de dollars (2,5 milliards d’euros) pour l’année entière et de
908 millions de dollars (7,5 millions d’euros) au quatrième trimestre.
JetBlue Airways a déclaré avoir perdu près de 1,4 milliard de dollars
(1,1 milliard d’euros) pour l’année entière et 381 millions de dollars
(314 millions d’euros) au quatrième trimestre. (...) Contrairement à ses homologues de Delta Airlines et United Airlines
qui, au début de ce mois, ont parlé avec plus d’optimisme d’une reprise
de la demande commençant peut-être même avant le début de l’été, le
PDG d’American Airlines Doug Parker a déclaré qu’il ne voyait pas de signes clairs
d’une telle reprise. « Nous avions espéré que la demande augmenterait,
pas tellement d’ici avril, mais pour l’été, et que nous accélérerions
vers l’été, ce qui n’a pas encore été le cas », a déclaré Doug Parker.
(...) « Un objectif, bien sûr, serait
d’atteindre un cash burn nul d’ici la fin 2021, mais cela reste
imprévisible », a déclaré M. Kelly, le PDG de Southwest
Airlines, ajoutant plus tard que « tout est
une question de demande. Quand la demande reprendra-t-elle vraiment ? »
(...) Le PDG Robin Hayes a indiqué que la compagnie JetBlue
Airways était très prudente quant à la planification de l’ajout de
capacité supplémentaire dans ses opérations au printemps et à l’été, et
dans la seconde moitié de l’année, car la société ne voit pas encore les
signes d’une reprise de la demande de construction qui justifierait de
telles augmentations de capacité. (...)
>
easyJet aast op marktaandeel KLM, Air France en Lufthansa (easyJet vise à gagner des parts de marché de KLM, Air France et Lufthansa)
(source ANP traduit avec Deepl) 25 janvier - La low-cost easyJet
espère gagner des parts de marché auprès des grandes compagnies
aériennes nationales comme KLM, Air France, British Airways et Lufthansa
dans la période à venir. Johan Lundgren, le directeur général de la
compagnie britannique, pense qu'easyJet peut bénéficier de la réduction de
capacité de ces compagnies aériennes traditionnelles lorsqu'elle se remettra de
la crise de la Covid-19, a-t-il déclaré au journal économique
britannique Financial Times. Selon M. Lundgren, le réseau
d'easyJet chevauche principalement celui des grandes compagnies aériennes
européennes. Il parle donc d'une grande opportunité de croissance.
easyJet se concentrera moins sur la concurrence avec les compagnies
aériennes à bas prix comme Ryanair. (...) On s'attend à ce
que les anciennes compagnies aériennes nationales se rétablissent plus
lentement car elles se concentrent davantage sur les voyages d'affaires
et les vols court courrier pour prendre des passagers pour les vols long
courrier. Les voyages d'affaires et les voyages long-courriers devraient
reprendre à un rythme plus lent que l'ensemble du secteur aérien.
Sur les deux tiers de son réseau, EasyJet est en concurrence avec ces
compagnies aériennes établies. En planifiant son réseau cette année,
easyJet donne la priorité aux vols en provenance des aéroports les plus
chers que ces compagnies utilisent habituellement, a déclaré M. Lundgren.
Il est plus prudent sur les opportunités découlant de la crise que, par
exemple, Michael O'Leary de Ryanair ou József Váradi de Wizz Air. (...)
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Ryanair Seeks to Topple Lufthansa’s Rescue at EU Court (Ryanair cherche à faire annuler le sauvetage de Lufthansa devant la Cour de justice de l'UE)
(source Bloomberg traduit avec Deepl) 28 janvier - La
recapitalisation de 6 milliards d'euros de
l'Allemagne et la garantie de l'État pour un prêt de 3 milliards d'euros
"établissent une discrimination illégale entre les compagnies aériennes
de l'UE", a déclaré Ryanair dans un communiqué envoyé par courrier
électronique jeudi. Le transporteur a déposé sa contestation devant le
Tribunal de l'UE le 22 janvier. (...)
Ryanair conteste plus d'une douzaine de plans de sauvetage d'État pour
des compagnies aériennes en Europe, craignant que le coup de pouce
financier donné à ses rivales ne leur permette de sortir plus fortes, de
réduire leurs tarifs et d'avaler les autres. La compagnie irlandaise
craint de brûler ses propres réserves de liquidités pendant que d'autres
obtiennent des sauvetages de l'État. Ses documents juridiques
visent l'approbation de la Commission européenne pour les
aides d'État, affirmant que l'autorité de régulation européenne n'est
pas à la hauteur de sa tâche, qui est de veiller à ce que les
gouvernements n'aident pas injustement une entreprise favorisée au
détriment des autres. La Cour de justice de l'UE peut annuler ces
autorisations. L'autorité de régulation a été mise sous pression pour
approuver une aide d'État sans précédent afin de sauver l'économie
européenne, frappée par la pandémie. La Commission s'est
contentée de déclarer qu'elle défendrait toutes les décisions prises
devant la Cour de justice. Le ministère allemand des finances a refusé
de commenter, tandis que Lufthansa n'a pas répondu aux demandes de
commentaires. Lufthansa s'est battue l'année dernière contre les
demandes de l'UE visant à ce qu'elle fasse des concessions, notamment en
ce qui concerne les principaux créneaux horaires des aéroports de
Francfort et de Munich, afin de compenser le préjudice causé par l'aide
à la concurrence. Les conditions empêchent effectivement Ryanair de
prendre les créneaux à Francfort, car ils ne sont disponibles que pour
les nouveaux arrivants à l'aéroport. Les engagements "sont
totalement inadéquats pour remédier à la distorsion de concurrence", a
déclaré Ryanair. (...)
>
Boeing perd près de 12 milliards de dollars en 2020 et retarde l'entrée en service du 777X
(source Le Journal de l'Aviation) 27 janvier - 2019 avait été très
difficile pour Boeing et 2020 tout autant. L'avionneur américain
a
publié ses résultats annuels le 27 janvier et ceux-ci font état d'une
explosion de la perte nette à 11,94 milliards de dollars pour un chiffre
d'affaires en baisse de 24% à 58,16 milliards de dollars. (...) Les
résultats financiers ne sont pas une grande surprise. Boeing est dans la
tourmente depuis l'immobilisation mondiale du 737 MAX en mars 2019. Mais
à cette crise est venue s'ajouter celle liée à la pandémie de Covid-19
et les problèmes de qualité sur le 787, qui ont mis un coup d'arrêt aux
livraisons sur les autres programmes. Les pertes sont ainsi
principalement dues à l'activité Aviation commerciale, même si toutes
les activités ont ralenti. Ainsi, le secteur des services a lui aussi
perdu 16% de son chiffre d'affaires (à 15,54 milliards de dollars) et
son résultat opérationnel a chuté de 83% (à 450 millions de dollars),
principalement en raison de l'immobilisation des avions commerciaux.
Toutefois, 2020 s'est achevée sur de bonnes nouvelles : la re-certification
du Boeing 737 MAX par la FAA puis par l'ANAC brésilienne a
permis le retour en vol de l'appareil et la reprise des livraisons. De
quoi alléger un petit peu les charges du programme et soulager la
pression. Transports Canada a autorisé à son tour la remise en service
au Canada la semaine dernière et l'EASA vient de publier sa directive de
navigabilité pour l'Europe. (...) Quant au programme 777, non
seulement la production est au plus bas, à deux appareils par mois, mais
Boeing a aussi dû se résoudre à reporter la
première livraison du 777-9 à la fin de l'année 2023. (...) Les nouvelles exigences en
matière de certification, l'impact de la pandémie sur la demande - et
cet impact est particulièrement lourd sur les programmes de
gros-porteurs -, et les nouveaux besoins des clients ont encore repoussé
l'horizon de la mise en service. Une charge de 6,5 milliards de dollars
a été portée au programme. (...)
>
Nouvel allègement des règles d'utilisation des créneaux horaires
(source Conseil de l'UE : Communiqué de presse ) 27 janvier - L'UE
élabore actuellement de nouvelles règles temporaires pour aider les
transporteurs aériens à faire face à la baisse drastique du trafic
aérien causée par la crise du coronavirus et à éviter d'opérer des vols
à vide. Les ambassadeurs des États membres ont approuvé ce jour un
mandat de négociation en vue d'accorder aux compagnies aériennes un
allègement des règles en matière d'utilisation des créneaux horaires
aéroportuaires pour l'été 2021, tout en prenant les premières mesures
pour commencer à relancer le secteur et encourager la concurrence. Les
nouvelles règles offriront également une certaine souplesse pour
s'adapter à différents scénarios et permettre que des mesures soient
prises jusqu'à la période de planification horaire de l'été 2022.
La COVID-19 est encore très largement présente, et un retour à
l'ancienne règle du "créneau utilisé ou perdu" serait prématuré.
(...) La Commission sera habilitée à adopter des
actes délégués pendant un an afin de couvrir les deux saisons suivantes.
Avec ces actes, la Commission peut modifier le taux minimal
d'utilisation des créneaux, en le faisant passer à une valeur comprise
entre 30 % et 70 %. Cela offre la souplesse nécessaire pour s'adapter à
différents niveaux de trafic aérien sur la base des données réelles et
prévisionnelles relatives au trafic ainsi que d'autres indicateurs. (...) Les négociations entre
les colégislateurs sur la proposition se tiennent de manière urgente,
afin que les nouvelles règles soient en place à temps pour le début de
la saison estivale 2021, le 28 mars 2021. (...)
Fin de la revue de presse
>
Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Les relevés annuels émanant de Natixis
et/ou de la Société Générale sont en cours d'acheminement. Par défaut ces relevés sont acheminés par
la Poste.
Vous trouverez sur mon site http://navigaction.com/Vous/Vendre%20acheter.htm
les modalités d'accès aux sites des gérants.
Pour éviter
d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants,
Natixis, Société Générale, votre établissement financier personnel si
vous avez acheté vos actions par celui-ci.
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Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 4,863 euros en clôture lundi
1er février. Elle est en forte hausse de +6,95% sur une semaine.
Avant l'épidémie de coronavirus, l'action Air France-KLM
était à 9,93 euros.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 3,31 euros.
L'objectif de cours le plus élevé est à 5 euros, le plus bas à 1 euro. Vous pouvez
retrouver sur mon blog le détail du consensus des analystes. Je ne
prends plus en compte les opinions d'analystes antérieures au début de
la crise sanitaire.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est stable à 56$. Depuis l'annonce d'un potentiel vaccin
le cours a progressé de 16$ (+41%).
Au début de l'épidémie de coronavirus,
il était à 69$.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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Les nouveaux lecteurs pourront la recevoir en
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François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
salariés et anciens salariés actionnaires PNC et PS. Vous pouvez me retrouver sur mon
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Lors de mon élection, j'ai
reçu le soutien de la CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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