N°798, 8 mars 2021
Si vous ne voyez pas correctement cette page, ou
si vous souhaitez lire les versions anglaises ou néerlandaises If you
do not see this page correctly, or if you want to read the English or
Dutch versions, Als u deze pagina niet goed ziet, of als
u de Engelse of Nederlandse versie wilt lezen,
suivez
ce lien ,
it is here,
vindt u deze hier
Editorial
La Revue de Presse du lundi
>
Contre le "greenwashing d'Air France", des militants Greenpeace repeignent en vert un avion à Roissy
(source La Dépêche) 5 mars - Des membres de Greenpeace ont
partiellement repeint en vert vendredi un avion Air France stationné à
l'aéroport Paris-Charles-de-Gaulle à Roissy, en accusant le gouvernement
de "greenwashing" sur les enjeux environnementaux autour du trafic
aérien, a constaté l'AFP. La compagnie aérienne et le
gestionnaire des aéroports parisiens, le groupe ADP, ont annoncé qu'ils
portaient plainte. Neuf militants de l'ONG, vêtus de jaune ou de blanc,
ont escaladé vers 9 heures le grillage du tarmac de l'aéroport et se
sont déployés autour d'un avion Boeing 777 de la compagnie Air France,
stationné au sol et sans passager à bord. (...) Le projet de loi pour le
climat, qui reprend certaines propositions de la Convention citoyenne
pour le climat, sera débattu à l'Assemblée fin mars et en commission
spéciale dès lundi. Dans un communiqué, Greenpeace a demandé aux députés
d'aller plus loin, pour ne pas "continuer comme avant, sans remettre en
question un modèle de développement basé sur une croissance du trafic
sans limite et intenable pour le climat". L'ONG demande également que
l'État soutienne la reconversion des salariés du secteur. Air
France dépose plainte (...). ADP a également indiqué qu'il allait "porter plainte"
après cette "action irresponsable et potentiellement dangereuse" qui
"constitue un délit". "La sécurité aérienne n'est pas remise en cause et
le trafic aérien continue normalement", a précisé le gestionnaire.
"La transition écologique du transport aérien, dans laquelle Air France
est profondément engagée avec des objectifs forts et des réalisations
concrètes, mérite d'être menée dans un esprit de dialogue et de
responsabilité avec l'ensemble des parties prenantes", a souligné pour
sa part la compagnie aérienne. Le ministre délégué aux Transports
Jean-Baptiste Djebbari avait auparavant évoqué des "poursuites pénales"
sur Twitter en réaction à l'opération de Greenpeace.
>
Ce rapport (sceptique sur l'avion décarboné) qui pousse à baisser le trafic aérien
(source La Tribune) 3 mars -
"Supprimer les vols aériens dès lors qu'une alternative ferroviaire
existe en moins de 4h30"; "allouer des droits à voyager", sorte de quota
d'heures de vol à ne pas dépasser; instaurer une "taxe progressive
indexée sur la fréquence des voyages et de la distance parcourue" à la
manière de l'impôt sur le revenu : voici quelques exemples des mesures
radicales pour réduire l'impact de l'aviation française sur le
réchauffement climatique d'ici à 2050 préconisées par le think tank de
la transition carbone "Shift Project" et le "collectif Supaéro Décarbo",
un groupe d'une centaine d'élèves et anciens élèves de l'ISAE-SUPAERO,
l'institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace qui forme des
ingénieurs de ces secteurs.
Contrairement aux industriels du secteur et aux compagnies aériennes,
ils expliquent dans un rapport qu'une réduction du trafic aérien est
quasi inévitable pour permettre à l'aviation de respecter les ambitions
de l'Accord de Paris sur le climat, lequel vise à limiter le
réchauffement climatique à +2° en 2050 par rapport à la période pré-industrielle.
A leurs yeux, les innovations technologiques (avion
à hydrogène, renouvellement des flottes, carburants alternatifs....)
ne
seront pas suffisantes pour y parvenir. Au mieux, elles pourraient
permettre une très légère progression du trafic, mais pas de maintenir
une croissance estimée à 4% par an à partir de 2024, au moment où le
trafic aura retrouvé son niveau de 2019.
Un discours qui remet en
question les objectifs des acteurs du secteur, dont la feuille de route
visant à réduire de 50% les émissions de CO2 du secteur en 2050 par
rapport à 2005, doit permettre de respecter l'Accord de Paris sans
réduction de trafic. Les compagnies aériennes se sont en effet engagées
à stabiliser leurs émissions à partir de 2020 à travers un système de
compensation mondial des émissions (système Corsia) avant de les réduire
grâce à la réorganisation de la gestion du ciel aérien, le
renouvellement des flottes d'avions, l'utilisation accrue des carburants
alternatifs ou encore la mise en service de nouveaux appareils moins
énergivores, comme l'avion à hydrogène sur lequel travaille Airbus à
l'horizon 2035.
Un projet qui suscite le scepticisme des auteurs
du rapport. "On ne peut pas dire que l'avion à hydrogène va permettre de
solutionner le problème", ont indiqué des rapporteurs du dossier lors
d'une conférence de presse. (...) Une défiance sévère à l'égard d'un secteur
pourtant capable, depuis sa création, de prouesses technologiques
incroyables.
Celle-ci
s'explique par une approche différente. Pour justifier leur trajectoire
de réduction des émissions, le Shift Project et le collectif Supaéro-Décarbo ont défini un budget carbone pour l'aviation d'ici à
2050 à ne pas dépasser. Calculé au prorata des émissions de CO2 du
secteur en 2018 (2,56% des émissions totales au niveau mondial), ce
budget s'élève à 536 millions de tonnes de CO2 d'ici à 2050 au niveau
mondial et à 21,6 millions de tonnes au niveau français. (...) Dans l'hypothèse d'un retour du trafic
aérien à son niveau d'avant-crise en 2024 et d'une croissance de 4% par
an jusqu'en 2050, (...) les auteurs du rapport (...)
ne voient que trois
possibilités pour rentrer dans les clous : parier sur davantage
d'amélioration technique, "un pari très risqué"; augmenter le budget
carbone du transport aérien en puisant dans les budgets d'autres
secteurs (un peu à la manière des échanges de quotas d'émissions
d'aujourd'hui); ou baisser le trafic.
Selon les auteurs
du rapport, pour respecter le budget carbone dévolu au
transport aérien malgré l'arrivée de différentes innovations
technologiques, il faudrait diminuer la croissance du trafic
mondial à +2,52% par an à partir de 2025 dans le scénario très
optimiste, et le réduire de 0,8% par an dans le scénario le plus
raisonnable. (...) Pour baisser
l'offre, le rapport préconise de mettre plus de sièges dans les avions
en faisant une croix sur les classes affaires et les premières classes,
de mettre fin à l'offre aérienne dès lors qu'une alternative ferroviaire
existe en 4h30 (hors vols vers les hubs), ce qui revient à supprimer la
quasi-totalité des lignes intérieures de point-à-point, mais aussi de
limiter l'aviation d'affaires, et de repenser le système des "miles" qui
pousse à la surconsommation de voyage. (...) Le
coût social sera majeur. Si le scénario jugé le plus probable se
réalisait, le trafic mondial diminuerait de 19% en 2050 par rapport à
2019 et la production d'avions de 55% ! Le rapport préconise donc des
transferts de personnel. Notamment dans le transport ferroviaire pour
une partie des personnels des compagnies aériennes. Dans le secteur
aéronautique, le rapport propose de "réallouer les capacités productives
pour produire les équipements nécessaires à la transition
énergétique". (...) Le secteur aérien représente 4,3% du PIB français et 435.000
emplois directs et indirects. Beaucoup plus si l'on tient compte des
métiers liés au tourisme. Selon le ministère de l'Economie, ce secteur
représente plus de 800.000 salariés et environ 2 millions d'emplois
directs et indirects. Au-delà du cas français, il est clair qu'une
baisse du trafic mondial risque d'impacter fortement les nombreux pays
en voie de développement dont l'économie est fortement dépendante de
l'activité touristique.
>
L'Académie de l'air et de l'espace organise un colloque sur l'aérien et le changement climatique
(source Le Journal de l'Aviation) 5 mars - L'Académie de l'air et de
l'espace organise les 11 et 12 mars un colloque pour discuter de
l'avenir et des évolutions de l'industrie aéronautique au regard des
préoccupations climatiques, qui ne cessent de se renforcer.
Réunissant
climatologues, experts des divers secteurs industriels (énergie,
aéronautique, transport), sociologues et économistes, l'AAE propose
d'éclaircir les enjeux et présenter stratégies des différents acteurs.
Quatre sessions sont programmées sur les thèmes suivants : enjeux
climatiques, énergies nouvelles et apports de la technologie, évolution
des stratégies du transport aérien et interactions internationales et
mobilité du futur à l'échelle mondiale.
>
La future génération de monocouloirs s'esquisse enfin
(source Le Journal de l'Aviation) 2 mars - Difficile de séparer le
bon grain de l'ivraie parmi la multitude d'annonces des industriels et
des responsables politiques concernant les enjeux réels de la
décarbonation du transport aérien. Pourtant, deux informations majeures
viennent d'être révélées en l'espace d'une semaine concernant la future
génération de monocouloirs, le segment qui constitue pratiquement les
trois quarts du marché mondial en termes de passagers transportés.
La première est venue du patron d'Airbus lors de la présentation des
résultats annuels du groupe aéronautique européen, Guillaume Faury
annonçant que les activités d'aérostructures resteront au cœur de son
outil industriel, une décision stratégique qui entre en cohérence avec
ses projets d'avions décarbonés qui pourraient être accompagnés
d'architectures nouvelles, en particulier pour l'intégration non
conventionnelle des futures motorisations. Pratiquement en même temps,
l'avionneur européen signait un accord de coopération avec les Pays-Bas
concernant les composites thermoplastiques, des matériaux prometteurs
pour l'allègement d'éléments d'aérostructure complexes et pour une
production fortement automatisée. La seconde a quant a elle été
avancée par Oliver Andriès, le nouveau patron de Safran qui, profitant
aussi de la présentation des résultats annuels de son groupe, a révélé
que Safran Aircraft Engines travaillait déjà avec General Electric sur
un moteur de « rupture » pour l'horizon 2035, avec des gains
significatifs par rapport au moteur LEAP, « d'au moins 20% », et tirant
partie « de toutes les leçons acquises sur les démonstrateurs de l'Open
Rotor ». Le directeur général de Safran a cependant voulu préciser que
le futur moteur ne sera pas nécessairement basé sur une soufflante non
carénée. Ce qui est désormais certain, c'est que Safran et
son partenaire américain GE ont désormais une vision qui commence
réellement à se préciser quant au successeur du LEAP-1X de CFM
International qui viendra motoriser la future génération d'avions de
ligne monocouloirs au cours de la prochaine décennie, et en particulier
celui qui viendra remplacer l'A320neo d'Airbus (...).
>
HOP! : Mise au point à la suite des récentes publications parues dans la presse
(source Direction de HOP) 2 mars - Depuis quelques jours des articles
de presse font état d’une procédure à venir à l’encontre de HOP!,
concernant le versement d’allocations au chômage partiel pour le
personnel navigant.
La Direction de HOP! applique scrupuleusement
les dispositions légales prévues par la Direction Générale de l’Aviation
Civile, en programmation comme en réalisation. En particulier, aucun
paiement d’indemnité d’Activité Partielle n’est cumulé avec la
réalisation d’heures supplémentaires, dont le décompte porte sur les
heures de vol, conformément au Code de l’Aviation Civile.
La
Direction de HOP! a fourni à l’Administration du Travail, en toute
transparence, la description de ses pratiques, les textes règlementaires
utilisés et leur application concrète sur les plannings et la paie de
navigants. Elle se tient à la disposition des Autorités pour toute
information complémentaire.
>
Delta Airlines: met le cap sur la neutralité carbone
(source CercleFinance) 5 mars - Delta Airlines présente 'un plan
ambitieux pour la neutralité carbone', engageant des investissements à
long terme et ses actions en faveur d'une aviation 'sans impact'.
La compagnie va ainsi consacrer 30 millions de dollars pour compenser le
rejet de 13 millions de tonnes de CO2 dans l'atmosphère en 2020. Delta
Airlines annonce en outre s'engager en faveur du carburant d'aviation
durable (SAF) qui permet de réduire les émissions de près de 80%.
L'objectif à moyen terme de Delta est de remplacer 10% de son carburant
par des SAF d'ici la fin 2030. Enfin, la neutralité carbone
passe aussi par une rénovation de son matériel. Delta a retiré plus de
200 appareils de sa flotte en 2020, les remplaçant par des appareils
plus efficients et moins gourmands en carburant, soit une économie
correspondant à la consommation électrique de 200 000 foyers pendant un
an.
>
Lufthansa parie sur le redécollage de la demande cet été
(source Les Échos) 4 mars - Des trois sumos du ciel européen,
Lufthansa est finalement celui qui s'en est le moins mal sorti en 2020.
Avec une perte d'exploitation de 5,45 milliards d'euros et une perte
nette, incluant les dépréciations d'actifs, de 6,72 milliards, pour un
chiffre d'affaires de 13,58 milliards d'euros, en baisse de 63 %, le
groupe allemand a un peu mieux résisté qu' Air France-KLM et ses 7
milliards de pertes et beaucoup mieux qu'IAG, la maison mère de British
Airways et Iberia. Des trois géants, Lufthansa est également
celui qui avance les prévisions les plus détaillées pour 2021. Si le
groupe n'évitera pas de nouvelles pertes colossales en 2021, son PDG,
Carsten Spohr, table sur une nette amélioration cet été, avec une offre
qui pourrait remonter à 70 % du niveau de 2019 pendant la période
estivale. (...)
Sur l'ensemble de l'année 2020, l'offre du groupe était tombée à un
tiers du niveau de 2019 et le nombre de passagers, à 25 % (36,4
millions). Toutefois, plus encore qu'Air France-KLM, les bénéfices de la
branche cargo (772 millions d'euros) ont compensé très partiellement les
pertes du réseau passagers. Lufthansa avait aussi été l'un
des premiers à réduire massivement sa flotte en faisant sortir une
centaine d'avions et en reportant toutes les livraisons. Cette réduction
de l'offre s'était accompagnée de la suppression de 28.000 postes, sur
un total de plus de 130.000 salariés et de l'arrêt de la compagnie
définitive de sa filiale moyen-courrier Germanwings . Ces coupes franches vont se poursuivre
en 2021. Lufthansa va encore supprimer 10.000 postes en Allemagne, pour
ramener les effectifs du groupe autour de 100.000 salariés.
Le groupe
aérien prévoit aussi de poursuivre la réduction de sa flotte, avec un
objectif de 650 appareils en 2023 (contre 765 en 2019), en sortant tous
les avions de plus de 25 ans, mais aussi ses 14 A380, toujours cloués au
sol et qui ne revoleront probablement pas sous les couleurs de
Lufthansa, a confirmé Carsten Spohr. Au total, huit modèles d'avion et
10 % de la flotte long-courrier ne reprendront pas les airs.
La priorité reste le retour à un
excédent brut d'exploitation, à la préservation de la trésorerie,
limitée à 10,6 milliards d'euros fin 2020 et à la réduction de la dette,
passée de 6,7 à 9,9 milliards d'euros. Lufthansa, qui a bénéficié d'une
recapitalisation de 5,7 milliards d'euros en 2020, a même déjà remboursé
1 milliard d'euros sur les 2,3 milliards de prêts garantis par le
gouvernement allemand, et il ne prévoit pas de demander une aide
supplémentaire. « Notre dette nette vis-à-vis du contribuable allemand
n'est plus que de 1,3 milliard d'euros », a souligné Carsten Spohr.
Selon Carsten Spohr, ces réductions de coûts supplémentaires devrait
permettre de stopper la consommation de cash, qui restait de l'ordre de
300 millions d'euros par mois au quatrième trimestre, dès que le niveau
de l'offre sera revenu à 50 % de celui de 2019, soit à partir de cet
été. Toutefois, le groupe ne retrouvera pas son niveau d'avant-crise
« avant le milieu de la décennie », souligne-t-il. Et aucune date n'est
avancée concernant le retour au bénéfice, même si 2022 semble être la
ligne d'horizon.
>
Flightglobal Gallego estime que l'accord avec Air Europa a plus de chances d'être conclu à la fin de 2021
(source Flightglobal traduit avec Deepl) 26 février - Le directeur général d'IAG, Luis Gallego,
s'attend à ce que l'acquisition prévue du transporteur espagnol
Air Europe par le groupe soit finalisée d'ici la fin de l'année, après
avoir fixé un objectif pour le second semestre. La société mère Iberia et Vueling avaient initialement
conclu un accord en 2019 pour acquérir Air Europa avant que la crise du
coronavirus ne frappe le projet d'achat. Un accord révisé, en vertu
duquel le prix d'acquisition a été réduit de moitié à 500 millions
d'euros, a été conclu en janvier. Mais l'achèvement reste
conditionné à des "négociations satisfaisantes" entre Iberia et la
société holding publique espagnole SEPI sur les conditions non
financières liées à un prêt de 475 millions d'euros sur six ans garanti
par l'État qu'Air Europa a obtenu en novembre pour traverser la crise.
Les médias espagnols ont précédemment rapporté que ce prêt était
conditionné à ce que la SEPI soit représentée au conseil d'administration d'Air
Europa. En présentant aujourd'hui les résultats annuels de
l'IAG, M. Gallego a déclaré "Air Europa avait le soutien du gouvernement
et ce soutien était accompagné de mauvaises conditions. Nous devons donc
tout d'abord négocier avec le gouvernement espagnol ces mauvaises
conditions car nous devons avoir la liberté de gérer la compagnie. Après
cet accord que nous espérons pouvoir conclure, nous aurons besoin de
l'approbation de la concurrence. "Tout ce processus est prévu
pour le second semestre de l'année, je pense qu'il sera plus proche de
la fin de l'année que du début du second semestre". M. Gallego
souligne le rôle que peut jouer Air Europa dans le maintien de sa
connectivité avec l'Amérique latine, qui a été touchée par le fait que
l'ancien partenaire de l'IAG, LATAM, a quitté l'alliance Oneworld
l'année dernière après avoir conclu un nouvel accord stratégique avec
Delta Airlines, membre de SkyTeam (...).
Fin de la revue de presse
>
Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Les relevés annuels émanant de Natixis et/ou de la Société
Générale doivent vous être parvenus, par mail ou acheminés par
la Poste.
Vous trouverez sur mon site navigaction
les modalités d'accès aux sites des gérants.
Pour éviter
d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants,
Natixis, Société Générale, votre établissement financier personnel si
vous avez acheté vos actions par celui-ci.
>
Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 5,322 euros en clôture lundi
8 mars. Elle est en baisse de -5,37% sur une semaine, après avoir
progressé de 12,39% la semaine précédente. Depuis fin
novembre 2020, le cours se maintient autour de 5 euros.
Avant l'épidémie de coronavirus, l'action Air France-KLM
était à 9,93 euros.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 3,31 euros.
L'objectif de cours le plus élevé est à 5 euros, le plus bas à 1 euro. Vous pouvez
retrouver sur mon blog le détail du consensus des analystes. Je ne
prends pas en compte les opinions d'analystes antérieures au début de
la crise sanitaire.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est
en hausse de 4$ à 69$. En progression constante depuis
la fin octobre 2020, il retrouve son niveau
pré-pandémie.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
Pour retrouver les dernières revues de presse du lundi, c'est
ici
Si vous appréciez cette revue de presse, faites la
circuler.
Les nouveaux lecteurs pourront la recevoir en
me communiquant l'adresse
email de leur choix.
|
François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
salariés et anciens salariés actionnaires PNC et PS. Vous pouvez me retrouver sur mon
compte twitter @FrRobardet
Lors de mon élection, j'ai
reçu le soutien de la CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
recevoir cette lettre/revue de presse,
[désabonnez-vous]
Si vous préférez recevoir la revue de presse sur une autre adresse,
merci de me l'indiquer. Pour me joindre :
message pour François Robardet.
10852 personnes reçoivent cette revue de presse en direct
|