N°802, 5 avril 2021
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La Revue de Presse du lundi
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MRO : AFI KLM E&M et Triumph créent une coentreprise pour l'entretien de nacelles
(source Le Journal de l'Aviation) 1er avril - Le rapprochement d'Air
France Industries KLM Engineering & Maintenance (AFI KLM E&M) et Triumph
se concrétise. Alors que les deux sociétés y travaillent depuis juin
2019, un accord définitif a été signé créant une coentreprise qui sera
spécialisée dans la maintenance des nacelles montées sur les avions de
nouvelle génération. S'adressant en particulier aux clients
basés sur le continent américain, les deux partenaires indiquent que les
travaux seront réalisés dans le centre de réparation de Triumph à Hot
Springs (en Arkansas). La coentreprise, qui compte capitaliser
sur l'expérience du groupe Air France-KLM dans l'exploitation et
l'entretien d'avions de nouvelle génération et sur l'expertise du groupe
Triumph dans les services MRO, offrira toute une palette de services.
Elle pourra ainsi gérer des problèmes opérationnels ou de la maintenance
régulière. En 2019, les partenaires précisaient qu'ils offriraient aussi
bien des services de MRO que du pooling de pièces de rechange et qu'ils
développeraient conjointement des réparations pour les aérostructures et
les nacelles. Triumph et AFI KLM E&M précisent que ce
rapprochement est « la première phase d'une collaboration stratégique »
qui va leur donner un élan pour profiter de la reprise à venir. Sa mise
en place effective reste encore soumise à l'approbation des autorités
réglementaires.
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Face à la reprise du trafic, la compagnie United embauche de nouveau des pilotes
(source Afp) 1er avril - La compagnie américaine United Airlines a
indiqué jeudi qu'elle allait commencer à embaucher de nouveau des
pilotes de ligne, 300 dans un premier temps, pour faire face à la
reprise du trafic aux États-Unis. "Avec les taux de vaccinations
qui augmentent et la demande pour les billets qui remonte, j'ai le
plaisir de vous annoncer que United va reprendre le processus de
recrutement des pilotes qui avait été suspendu l'an dernier", a écrit
Bryan Quigley, le responsable des opérations de vol, dans un message aux
salariés consulté par l'AFP. L'idée n'est pas de remplacer les
pilotes qui ont vu leurs heures réduites en raison de la pandémie,
a-t-il assuré. Le nombre de nouveaux embauchés "dépendra de la reprise".
Les compagnies aériennes ont pris des mesures drastiques depuis le
début de la propagation du Covid-19 pour réduire leurs coûts, incitant
notamment des dizaines de milliers de salariés à partir en retraite, en
plans de départ volontaire ou en congés non rémunérés. (...)
Autre signe d'un
regain d'activités pour les sociétés de transport aérien: la compagnie
Delta a annoncé mercredi qu'elle ne bloquerait plus les sièges du milieu
à partir du 1er mai comme elle le faisait depuis le début de la
pandémie, afin de pouvoir proposer plus de sièges à la vente.
Delta était la dernière grande compagnie aux États-Unis à proposer cette
mesure destinée à garantir une certaine distance dans les avions. Les
masques restent en revanche bien de rigueur.
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Lufthansa Pitches $6.5 Billion Plan to Raise Capital, Repay Aid (Lufthansa présente un plan de 5,5 milliards d'euros pour lever des capitaux et rembourser les aides.)
(source Bloomberg, traduit avec Deepl) 2 avril - Deutsche Lufthansa
AG va demander à ses actionnaires d'approuver une augmentation de
capital qui ouvrirait la voie à la suppression du gouvernement allemand
en tant que principal actionnaire. Les 5,5 milliards d'euros
de capitaux frais proposés donneraient à la
plus grande compagnie aérienne d'Europe suffisamment de liquidités pour
remplacer une participation tacite, qui constitue une part importante du
renflouement de 9 milliards d'euros de Lufthansa par l'État.
Les
taux d'intérêt sur la participation tacite sont appelés à augmenter, et
la compagnie aérienne pourrait être en mesure d'obtenir un meilleur
financement par le biais d'une augmentation de capital, a déclaré la
compagnie dans les diapositives accompagnant l'annonce de jeudi.
Lufthansa pourrait décider de lever moins que la totalité de
l'autorisation, et pourrait émettre des capitaux frais par étapes.
(...)
Lufthansa a été renflouée l'année dernière après que la pandémie de
coronavirus a mis fin à un boom de l'aviation qui durait depuis des
décennies. Dans le cadre de ce plan, le gouvernement allemand a pris une
participation de 20 % et a appliqué des restrictions strictes aux
activités de fusion et d'acquisition de la compagnie aérienne et à la
rémunération de ses dirigeants. En remboursant
la participation tacite de 5,5 milliards d'euros - un instrument hybride
dette/équité qui ne dilue pas les droits de vote des actionnaires -
Lufthansa devrait rembourser un total de 2 milliards d'euros aux
gouvernements suisse, belge et autrichien, où elle exploite des
compagnies aériennes nationales. La compagnie a déjà remboursé 1
milliard d'euros du montant prêté par la banque publique de
développement allemande, la KfW. (...)
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Le sauvetage d'Alitalia, casse-tête pour Mario Draghi
(source AFP) 2 avril - Mario Draghi, chef du gouvernement italien
depuis février, est confronté à son premier dossier explosif sur le
terrain économique: comment sauver de la faillite le fleuron national
Alitalia, alors que les négociations sur ce sujet avec Bruxelles sont
dans l'impasse. Si au début des tractations en mars sur
l'épineuse question des aides d'État les deux parties s'étaient
félicitées d'un débat "constructif", le ton s'est nettement durci
depuis. (...) Dans une missive envoyée à Rome et dévoilée
par la presse italienne, Mme Vestager fait part de sa "préoccupation sur
le manque de progrès substantiels" dans ses négociations avec Rome et
réclame que la nouvelle compagnie censée naître des cendres d'Alitalia
marque une nette rupture avec son ancêtre. L'ancien gouvernement
dirigé par Giuseppe Conte avait créé en 2020 une entreprise publique
pour sauver Alitalia, baptisée Ita, dans laquelle il comptait injecter 3
milliards d'euros. (...) Le mandat donné par Mario Draghi à ses
ministres paraît clair, mais difficile à réaliser: "il faut négocier un
plan pour Ita lui permettant" de voler de ses propres ailes "sans peser
sur la collectivité". "Les contribuables italiens ont déjà dû
débourser des dizaines de milliards d'euros ces trente dernières années
pour maintenir à flot une compagnie très mal gérée", a commenté à l'AFP
Massimo Colombo, professeur d'économie de l'innovation à l'École
polytechnique de Milan. (...)
Fin connaisseur des rouages de l'Union européenne, Mario Draghi
trouvera-t-il une solution? Selon M. Giuricin, économiste des transports à l'université Bicocca
de Milan, "il n'ira pas à
la confrontation avec Bruxelles et cherchera à réduire au minimum le
recours à l'argent public".
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Taxe de sûreté : double peine pour les compagnies aériennes selon le SCARA
(source Air Journal) 31 mars - L’État français réclame aux compagnies
aériennes 550 millions d’euros de dépenses de sûreté et de sécurité,
correspondant selon le SCARA au déficit en 2020 et 2021 de la taxe
d’aéroport – liée au trafic passagers en chute de plus de 70% l’année
dernière pour cause de pandémie de Covid-19. D’après le Syndicat
des Compagnies AéRiennes Autonomes (SCARA), la DGAC a annoncé la
nouvelle le 26 mars 2021 « lors de la réunion annuelle de présentation
du bilan économique de la fonction sûreté/sécurité des aéroports » : le
déficit de ces dépenses atteint un total de 550 millions d’euros et
devra être payé par les compagnies aériennes « sur 6 ans à partir de
2024 », la somme étant « majorée des intérêts et des frais de gestion
réclamés par l’État ». Il s’agit donc de faire payer aux
compagnies aériennes, déjà fortement touchées par la crise sanitaire,
« un service de sûreté/sécurité sur des vols non effectués », dénonce le
SCARA en parlant de « double peine ». Cette fonction régalienne devrait
pourtant être payée par l’État comme dans d’autres pays, rappelle le
syndicat qui regroupe 50% des compagnies aériennes françaises, basées en
métropole et dans les territoires ultra-marins ainsi que des sociétés
d’assistance aéroportuaire et de formation. (...) Le ministère délégué aux Transports,
interrogé par l’AFP, a rappelé de son côté que l’État a accordé aux
compagnies des avances de 300 millions au titre de 2020 et 250 millions
pour 2021, afin de « préfinancer les missions de sécurité (et de) sûreté
sur leur aéroport durant la crise sanitaire et la chute du trafic ». Ces
sommes seront remboursées « sur le produit de la taxe d’aéroport (TAP),
c’est-à-dire sur le prix des billets d’avion qui sera acquitté par les
passagers, en fonction du rythme de remontée en charge de l’activité
aérienne », a précisé Jean-Baptiste Djebbari.
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La nouvelle grosse commande de Southwest profitera aussi au groupe Safran
(source Le Journal de l'Aviation) 2 avril - Les 100 nouveaux Boeing
737 MAX 7 (737-7) commandés par la compagnie américaine Southwest
Airlines va logiquement profiter à Safran Aircraft Engines par le biais
de CFM International, sa coentreprise avec GE Aviation.
Les
nouveaux LEAP-1B sont ainsi valorisés à plus de 2,8 milliards de
dollars, sans prendre en compte les possibles spares qui pourront
également être livrés à Southwest. La compagnie américaine a déjà
réceptionné 61 737 MAX, avec un total de 348 exemplaires en commande
ferme restant à livrer et 270 autres en option.
Pour rappel,
Southwest Airlines a joué un rôle majeur dans l'histoire de CFM en
devenant le client de lancement du CFM56-3 en 1984, motorisation
exclusive du Boeing 737 Classic. En 1997,
la compagnie aérienne a également lancé le CFM56-7B comme moteur
exclusif de la génération des 737 NG. La compagnie low-cost texane
reste
d'ailleurs aujourd'hui le plus gros client commercial de CFM
International, avec ses quelques 700 monocouloirs 737 propulsés par des
moteurs CFM56-7B ou LEAP-1B.
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Boeing 737 MAX : certifié par la FAA pour Ryanair, livré pour Blue Air
(source Air Journal) 1er avril - Cinq mois et demi après
avoir approuvé le retour dans les airs des monocouloirs remotorisés de
Boeing, impliqués dans deux accidents ayant fait 346 victimes chez Lion
Air puis Ethiopian Airlines, la Federal Aviation Administration (FAA) a
déclaré le 31 mars 2021 avoir certifié la version du MAX 8 pouvant
accueillir jusqu’à 200 passagers (au lieu des 189 typiques dans
les 737-800 et MAX 8). Le « 737-8200 incorpore toutes les améliorations
de conception issues qui faisaient partie de l’examen de 20 mois du 737
MAX, y compris celles relatives au MCAS », a déclaré le régulateur
américain à The Air Current. L’ajout de sièges dans cette version du MAX
8 (appelée 8-200 par Boeing) a entrainé l’installation de portes
supplémentaires, la densification à taille de cabine égale étant issue
d’une diminution à 28 pouces de l’espace entre rangées.
Boeing, qui a déjà assemblé plusieurs exemplaires
destinés à Ryanair et ses filiales Buzz et Malta Air, a réagi
par voie de communiqué : il continue à « travailler avec les régulateurs
mondiaux pour remettre en service les 737-8 et -9 en toute sécurité. Nos
équipes veillent également à ce que les futurs membres de la famille 737
satisfassent à toutes les exigences réglementaires ».
L’EASA (Agence européenne de la sécurité aérienne), dont le feu
vert au retour des MAX remonte à la fin janvier, doit encore
certifier cette version 8-200 avant qu’elle ne puisse fouler les pistes
des aéroports du Vieux continent. Rappelons que l’Irlandaise
Ryanair a porté en décembre à 210 exemplaires ferme sa commande de la
version densifiée du MAX, qui accueillera 197 passagers et avait été
choisie dès 2014. La low-cost vietnamienne VietJet Air est à ce jour le
seul autre client du 8-200, avec cent avions commandés en 2016.
Basée à l’aéroport de Bucarest-Henri Coanda, la low-cost Blue Air a de son côté reçu mardi le
premier des dix 737 MAX 8 (YR-MAXA) pris en leasing chez ALC et
configurés pour accueillir 189 passagers ; les neuf autres appareils
sont attendus entre ce mois d’avril et 2022 (...)
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Avion décarboné : British Airways joue aussi l'hydrogène
(source Air & Cosmos ) 2 avril - Déjà impliquée dans les carburants
durables via le groupe IAG, British Airways joue aussi la carte de la
propulsion électrique-hydrogène avec son investissement dans ZeroAvia.
British Airways (...) fait
partie des investisseurs qui ont participé à la nouvelle levée de fonds
lancée par la startup ZeroAvia qui développe une pile à combustible
hydrogène. Des essais en vol avec un Piper Malibu de six places ont été
initiés en septembre 2020. La levée de fonds porte sur 24,3 M$. Le
gouvernement britannique s'est déjà engagé à hauteur de 16,3 M$. Parmi
les autres investisseurs de ZeroAvia : SYSTEMIQ, Shell Ventures, Summa
Equity, Ecosystem Integrity Fund ainsi que le véhicule d'investissements
de Bill Gates, Breakthrough Energy Ventures qui a mis 21,4 M$ dans
l'aventure. Sans oublier la société de capital-risque Horizon Ventures,
basée à Hong-Kong et créée par le milliardaire Li Ka-shing.
ZeroAvia n'a peur de rien et annonce
que la nouvelle levée de fonds servira à lancer le développement d'un
groupe propulseur hydrogène-électrique de 2 MegaWatts destiné à des
avions de 50 places et plus. Avec un calendrier ambitieux : 2026 comme
date de la commercialisation avant de passer à une autre étape, celle de
la propulsion d'un avion de 100 places à l'horizon 2020. Les sommes
levées, les 24,3 M$ s'ajoutant aux 50 M$ déjà réunis, ne sont donc
qu'une première étape. De son côté, EasyJet s'est associée à Wright
Electric sur la propulsion électrique. Et a également signé en 2019 un
protocole d'accord avec Airbus sur les avions hybrides et électriques.
Via le groupe
IAG, British Airways est aussi présente sur les carburants durables ou
SAF avec notamment un investissement de 400 M$ dans une usine de
production de carburant vert dans le cadre d'un partenariat avec Shell
et Velocys. Située à Immingham, dans le nord-est du Lincolnshire
(Grande-Bretagne), dans l'estuaire de la rivière Humber, l'usine a pour
objectif de retraiter 500 millions de tonnes par an de déchets ménagers
et industriels, normalement destinés à l'incinération ou l'épandage,
pour le convertir en 60 millions de litres de biocarburant, à
destination des avions ou des voitures.
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Volotea et Air Nostrum poussent le financement de l’avion électrique en Espagne
(source actu-aero) 2 avril - La compagnie aérienne régionale d’Iberia
et la low-cost Volotea s’associent à la start up Dante Aeronautical pour
obtenir le soutien financier de l’Union Européenne de leur projet
d’avion 100 % électrique de 19 places.
Le consortium formé par
les trois sociétés a présenté au ministère des Transports, de la
Mobilité et de l’Agenda urbain espagnol (MITMA) un projet
d’électrification de flotte pour un budget total de 42 millions d’euros
en réponse à l’appel à manifestation d’intérêt du Ministère des
Transports.
Ce
partenariat public-privé stratégique doit permettre à l’Espagne de
lancer l’électrification de son transport aérien régional et d’atteindre
ses objectifs en matière de transport aérien à zéro émission, maillon
essentiel de la transition écologique dans le secteur du transport
aérien. En la matière, rappelons que l’objectif européen pour atteindre
la neutralité est fixé à 2050. Le projet vise également à développer le
tissu économique et industriel espagnol et à favoriser la cohésion
territoriale, indiquent les partenaires.
Volotea et Air Nostrum prévoient la transformation
et l’électrification de leurs flottes d’avions de court et
moyen-courrier utilisées pour le transport aérien régional. Le projet
propose la transformation et l’électrification d’avions en service pour
en faire des appareils 100 % électriques. Ces avions pourraient ainsi
être déployés sur des lignes courtes à faible densité et pour relier des îles entre elles.
La maîtrise technique du projet a été confiée à
Dante Aeronautical. L’adaptation d’avions traditionnels de 9 à 19
passagers doit permettre un gain de temps considérable dans le
développement de futures solutions 100% électriques pour le transport
aérien en limitant à la fois l’investissement nécessaire et le temps de
développement comme de certification des aéronefs. La
certification du premier avion est prévue pour 2024, s’en suivra ensuite
une période d’industrialisation et de mise en service qui aboutira à la
mise en opération complète de plusieurs modèles d’avions en 2026.
Volotea et Air Nostrum espèrent être pionnières dans l’utilisation de
cette technologie sur des routes régionales.
Fin de la revue de presse
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Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Les relevés annuels émanant de Natixis et/ou de la Société
Générale doivent vous être parvenus, par mail ou acheminés par
la Poste.
Vous trouverez sur mon site navigaction
les modalités d'accès aux sites des gérants.
Pour éviter
d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants,
Natixis, Société Générale, votre établissement financier personnel si
vous avez acheté vos actions par celui-ci.
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Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 5,136 euros en clôture lundi
5 avril. Elle est en hausse de +2,47% sur une semaine. Depuis fin
novembre 2020, le cours se maintient autour de 5 euros.
Avant l'épidémie de coronavirus, l'action Air France-KLM
était à 9,93 euros.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 3,31 euros.
L'objectif de cours le plus élevé est à 5 euros, le plus bas à 1 euro. Vous pouvez
retrouver sur mon blog le détail du consensus des analystes. Je ne
prends pas en compte les opinions d'analystes antérieures au début de
la crise sanitaire.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est
stable à 65$. Il
est à son niveau
pré-pandémie. Le blocage temporaire du canal de Suez par un cargo gigantesque n'aura pas eu
d'effet sur le cours du pétrole.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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Les nouveaux lecteurs pourront la recevoir en
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François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
salariés et anciens salariés actionnaires PNC et PS. Vous pouvez me retrouver sur mon
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Lors de mon élection, j'ai
reçu le soutien de la CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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