AF-KLM : Sans nos actionnaires, notre groupe n’aurait tout simplement pas survécu 

photo François Robardet, Administrateur Air France-KLM I Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

François Robardet Représentant des salariés et anciens salariés actionnaires PS et PNC

N°810, 31 mai 2021
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Editorial

Chères lectrices, chers lecteurs,

L'Assemblée Générale d'Air France-KLM s'esttenue le mercredi 26 mai 2021 hors la présence physique des actionnaires ou des autres personnes ayant le droit d’y assister.

Je tiens à remercier tous les actionnaires salariés et anciens salariés qui m'ont transmis leurs pouvoirs. Je continuerai à œuvrer pour la défense de vos, intérêts.

Comme les semaines précédentes, je publie en fin de lettre une infographie (la cinquième) sur l'impact climatique de l'aviation. Elle apporte de nouveaux éléments de réponse aux questions soulevées par les détracteurs de l'aérien.

Continuons à respecter les mesures barrières.

Bonne lecture
François


La Revue de Presse du lundi

> Assemblée générale Air France-KLM : « Sans nos actionnaires, notre groupe n’aurait tout simplement pas survécu »

(source Investir) 26 mai - « Sans [nos actionnaires], notre groupe n’aurait tout simplement pas survécu ». Le constat, posé par la présidente du conseil d’administration Anne-Marie Couderc, en préambule de l’e-assemblée générale, est sans appel. Sans Paris et sans les Pays-Bas, le nom d'Air France-KLM serait très certainement venu s’ajouter à la liste funeste des transporteurs aériens ayant fait faillite en 2020. L’International Air Transport Association (IATA) a recensé une quarantaine de compagnies…

Chez Air France-KLM, la brutalité de la crise de la Covid-19 peut se résumer avec ces quelques chiffres pour 2020 : - 70% de revenus, 4,5 milliards d’euros de perte d’exploitation (un niveau jamais atteint au cours des vingt dernières années), 11 milliards d’euros de dette nette et 10 millions d’euros de cash brûlé chaque jour chez Air France. Aujourd’hui encore, le groupe consomme beaucoup de trésorerie, mais les Ebitda pourraient redevenir positifs au troisième trimestre 2021, espère la direction. « C’est une crise de l’industrie, la situation n’est pas propre à Air France-KLM, a recadré le directeur financier, Frédéric Gagey. La perte nette de 7 milliards d’euros l'an dernier est proche de celles de Lufthansa et d’IAG. »

Dès le printemps 2020, Paris et La Haye ont volé au secours du transporteur, lui octroyant un total de 10,4 milliards d’euros sous forme de prêts directs d’actionnaires et de prêts bancaires garantis. (...) Une première étape pour sortir la tête de l’eau a été finalisée le mois dernier : une augmentation de capital de 1,03 milliard d’euros (après exercice de la clause d’extension).

Elle s’est accompagnée d’une recomposition de l’actionnariat : l’État français, qui, à lui seul, a souscrit à hauteur de 590 millions d’euros, est redevenu l’actionnaire de référence avec 28,6% du capital. China Eastern détient 9,6% des parts. L'État néerlandais, qui n'a pas voulu participer et poursuit ses discussions avec Bruxelles pour un renforcement des fonds propres de KLM, a vu sa part au capital reculer de 14% à 9,3%. Le second volet du plan de recapitalisation a consisté en la conversion par l'État français d'un prêt de 3 milliards d'euros en obligations hybrides perpétuelles.

Si le bilan s’est amélioré, les fonds propres restent négatifs. « Des mesures additionnelles seront nécessaires pour réduire le ratio d’endettement et nous replacer sur une trajectoire financière saine ». Le message a été entendu par les actionnaires : les résolutions 20 et 21, portant sur des opérations de renforcement des fonds propres pouvant aller jusqu’à 300% du capital social actuel, ont été approuvées.

« Un tel soutien [des États] appelle de la reconnaissance et aussi à la responsabilité de contribuer par tous les moyens possibles à la sauvegarde du groupe », a rappelé Frédéric Gagey. L’un de ces moyens est la coupe dans les effectifs. En 2020, ils ont été réduits de 10%, soit 8.700 ETP (équivalents temps plein). « Le nombre de salariés va continuer à baisser au cours des deux prochaines années », a précisé la direction, ajoutant que « les coûts unitaires post-crise seront plus bas que ceux de 2019. » Interrogée par un actionnaire, la directrice générale d’Air France, Anne Rigail, a indiqué que la compagnie Air France est parvenue à signer des accords de modération salariale avec les personnels navigants commerciaux, les personnels au sol et les pilotes ainsi qu'un accord salarial transverse portant sur les années 2021 et 2022.
(...)
La composante environnement était très présente lors de l’AG. La crise, accélérateur de tendance, pousse le groupe à se montrer plus ambitieux en la matière. La généralisation des avions carburant à l’huile de cuisson n’est certes pas pour demain, mais d’autres initiatives sont possibles. Ainsi, Air France débutera cette année le remplacement d’une partie de sa flotte moyen-courrier par des A220-300 de dernière génération. « La croissance durable est une composante clé de notre stratégie, ce n’est pas un ajout ni une extension », a assuré Ben Smith. D’ici à 2024, les émissions de CO2 sur le réseau domestique français d’Air France seront réduites de 50% et la neutralité carbone sera atteinte pour toutes les activités au sol en 2050.

L’intégration des biocarburants est-elle synonyme d’une augmentation du prix des billets ?, s’est inquiété un actionnaire. « L’absence d’installations pour une production à grande échelle de SAF (sustainable aviation fuel) fait que les biocarburants sont 5 fois plus chers que le kérosène aujourd’hui, c’est donc un défi pour les prochaines années que de permettre une utilisation durable des biocarburants à grande échelle, lui a répondu Ben Smith. Nous pensons que les passagers, y compris d’affaires, choisiront leur compagnie en fonction des engagements environnementaux. »
(...)

Mon commentaire : Vous retrouverez sur le site d'Air France-KLM la vidéo de l'assemblée générale ainsi que le résultat des votes.

S'il ne fallait retenir qu'une chose de cette assemblée générale, ce serait l'adoption à une très forte majorité des résolutions 20 et 21 qui permettront au groupe franco-néerlandais de reconstituer ses fonds propres via des augmentations de capital.

Ces opérations devraient intervenir avant la prochaine assemblée générale de 2022.

Je porterai une attention toute particulière au maintien de l'actionnariat salariés (et anciens salariés) à un niveau permettant aux salariés et à leurs représentants au Conseil d'Administration de continuer à s'exprimer.

> KLM renonce au licenciement de 700 personnes

(source Le Soir) 27 mai - "Grâce aux efforts de flexibilité déployés jusqu'ici, nous avons pu éviter les licenciements. Aujourd'hui, à la faveur d'une amélioration des perspectives du secteur aérien, KLM est en mesure de retirer sa demande d'avis. Cela signifie que le licenciement de 500 ETP (700 personnes) membres du personnel de cabine a été définitivement écarté. Nous voyons la lumière au bout du tunnel et nous osons doucement penser à la reprise", écrit le syndicat FNV Cabine dans une déclaration.

La compagnie aérienne a également indiqué que les programmes de vaccination commençaient à porter leurs fruits, incitant les pays à assouplir ou lever leurs restrictions de voyage. "Aux Pays-Bas et en Europe, il semble que nous ayons atteint un tournant et, heureusement, nous voyons les réservations augmenter à nouveau. Dans le même temps, la situation sanitaire est toujours précaire et l'évolution du monde reste très incertaine. KLM a encore du chemin à parcourir. Nous devons continuer à nous adapter à l'évolution des conditions du marché. La demande des passagers reste imprévisible, surtout concernant les destinations."

"Nous devrons donc nous adapter en permanence aux conditions du marché, qui sont en constante évolution. Cela suppose de la flexibilité chez nos collègues. C'est pourquoi nous allons conclure des accords avec les syndicats du personnel de cabine à court terme sur la manière dont nous pouvons garantir conjointement cette marge de manœuvre et cette flexibilité", a déclaré KLM.

Mon commentaire : Depuis le début de la crise les organisations syndicales de toutes les entreprises du groupe Air France-KLM s'attachent à négocier des accords permettant de limiter au maximum les suppressions de postes.

Les récents accords signés tant chez KLM que chez Air France et HOP en témoignent.

> Alitalia : Bruxelles valide les grandes lignes de la renaissance

(source AFP) 25 mai - Ita se rapproche de son acte de naissance. Le gouvernement italien a déclaré mercredi soir qu'une « étape importante » a été franchie dans les négociations avec la Commission européenne en vue de la création d'une future compagnie censée naître des cendres d'Alitalia.

« A la suite de discussions intenses et constructives à tous les niveaux, la Commission et les autorités italiennes sont parvenues à se mettre d'accord sur les paramètres essentiels pour assurer la discontinuité économique entre Ita et Alitalia. Les contacts vont maintenant se poursuivre à plein régime au niveau technique », a de son côté annoncé la Commission européenne.
(...)
« Le processus technique débute pour la naissance d'une compagnie durable : la nouvelle Alitalia qui devra être opérationnelle au plus vite, probablement en août », a détaillé Giancarlo Giorgetti, précisant que les conditions étaient encore à définir et que le processus n'était pas encore « terminé ». De son côté, la Commission européenne a salué les « efforts de préparation de l'Italie pour lancer Ita en tant que nouvel acteur viable du marché, le plus vite possible et en conformité avec les lois européennes ».
(...)
Mais les exigences pour donner son aval à l'Italie sont dures : Alitalia devra en partie vendre ses créneaux à l'aéroport de Milan-Linate et adopter un nouveau logo pour marquer une rupture nette avec le passé.

La nouvelle Alitalia verrait ainsi sa flotte réduite de moitié, à moins de 50 avions, et ses effectifs ramenés à environ 4.500 personnes, contre environ 11.000 aujourd'hui. Alitalia a cumulé des pertes de 11,4 milliards d'euros entre 2000 et 2020 et a dû être placée sous tutelle de l'administration publique en 2017. Aucun repreneur ne s'est manifesté.

Mon commentaire : Le démarrage d'ITA, la nouvelle Alitalia, est prévu pour la fin de l'été.

Une aubaine pour les concurrents de la future compagnie italienne. Ils pourront profiter de la période de forte activité pour prendre des parts de marché qu'ITA aura du mal à récupérer.

> Easyjet renonce finalement aux licenciements en Suisse

(source Le Temps) 26 mai - Easyjet Switzerland renonce finalement à prononcer des licenciements dans le cadre de la réduction de sa voilure à l'aéroport de Bâle-Mulhouse annoncée il y a huit mois. Les négociations avec les partenaires sociaux ont ainsi porté leurs fruits. Les effectifs n'en ont pas moins été amenuisés d'une quarantaine d'équivalents plein temps (EPT), pour représenter encore près d'un millier de postes.

Le recours à des départs contraints a pu être évité au travers de l'aménagement des pourcentages de temps de travail et du transfert d'une poignée de membres d'équipage de Bâle vers Genève
. «Les 23 positions de pilotes et 45 places de personnel de cabine qui étaient à risque ont été grâce à ces mesures intégralement préservées», a précisé le directeur général, Jean-Marc Thévenaz.

La représentation helvétique du transporteur à bas coûts britannique avait en effet mis début octobre en consultation avec les représentants du personnel le sort d'une septantaine d'emplois, menacés par le retrait de deux de ses douze appareils stationnés sur le tarmac rhénan. La base de Genève et ses quinze avions n'étaient pas concernés.

> Airbus prévoit de produire un nombre d'avions jamais observé dans l'histoire de l'aéronautique

(source La Tribune) 27 mai - N'en déplaise aux détracteurs de l'aviation. Le monde d'après ne sera pas sans avions. Au contraire même au regard des dernières prévisions de production d'Airbus. La crise sanitaire n'est encore pas encore terminée. Mais le constructeur européen n'en doute plus. Avec les progrès de la vaccination, le transport aérien est bel et bien dans une phase de forte reprise. Et c'est sur une production d'avions jamais observée dans l'histoire de l'aviation que table le constructeur européen d'ici à deux ans seulement, avec des rythmes de production capables de livrer près de 800 avions par an, voire dépasser les 1000 d'ici à 2025 !

C'est ce qui ressort de l'annonce d'Airbus, ce jeudi. Un an seulement après avoir réduit sa production de 40%, à 40 appareils monocouloirs livrés par mois, l'avionneur confirme qu'il passera à une cadence de production mensuelle de 45 A320 au quatrième trimestre 2021 (contre 40 aujourd'hui). Surtout, il se prépare à monter à 64 au deuxième trimestre 2023, un niveau jamais atteint dans l'histoire de l'aéronautique, qui correspond à plus de deux avions livrés par jour. Dans un communiqué de presse, Airbus a, en effet, indiqué qu'il avait demandé "aux fournisseurs de préparer l'avenir en sécurisant une cadence ferme de 64 d'ici au deuxième trimestre 2023".Une telle cadence permettra à Airbus de dépasser son niveau d'avant-crise (cadence 60) et d'aller plus loin que les projets de croissance envisagés avant crise (63 d'ici mi-2021). Ce n'est pas tout. "En prévision d'une reprise du marché, Airbus demande également à ses fournisseurs de permettre un scénario de cadence 70 d'ici au premier trimestre 2024. À plus long terme, Airbus étudie des opportunités de cadences allant jusqu'à 75 avions par mois d'ici à 2025", explique l'avionneur.

Airbus s'est déjà mis en ordre de marche, en relançant récemment son projet de créer une nouvelle ligne d'assemblage d'A321 NEO à Toulouse.

Au-delà de la famille A320, Airbus prévoit également d'augmenter la production de l'A220 en passant à une cadence de 5 avions par mois à six au début 2022, "puis 14 appareils d'ici le milieu de la décennie".

Concernant les appareils long-courriers, dont le redémarrage sera plus lent que les appareils court et moyen-courriers, Airbus ne donne pas de prévisions à long terme. La cadence de production moyenne de cinq avions par mois devrait passer à six d'ici à l'automne 2022, contre cinq aujourd'hui. Celle de l'A330 se maintient à deux par mois.

Mon commentaire : Willie Walsh, le directeur de l'association internationale du transport aérien (IATA), est sceptique devant les prévisions d'Airbus.

Il a déclaré à l'agence Reuters : "Attendons de voir, parce que de toute évidence, il y a une énorme divergence entre ce que les constructeurs disent qu'ils vont produire et ce que les compagnies aériennes décident d'acheter".

> Les livraisons du B787 Dreamliner à nouveau suspendues, Boeing doit s'expliquer

(source La Tribune) 28 mai - Boeing n'en a pas encore fini avec les déboires qui s'enchaînent depuis plus de deux ans. Si ceux du moyen-courrier B737 MAX sont connus, ceux de son autre best-selller, le long-courrier B787, le sont beaucoup moins.

Après les problèmes rencontrés pendant sa phase d'industrialisation puis après sa mise en service en 2011, l'avionneur américain traverse aujourd'hui une nouvelle crise. Les livraisons du 787 Dreamliner sont suspendues, deux mois après avoir repris à la suite d'une première suspension après la découverte de défauts de fabrication l'été dernier.

Aujourd'hui, le groupe doit en effet fournir plus d'informations au régulateur sur ces problèmes de production du Dreamliner. Objectif : éteindre rapidement la polémique, après l'interdiction déjà retentissante de voler pendant 22 mois infligée au 737 MAX et levée fin 2020. Aussi, l'Américain s'est engagé à transmettre davantage de justifications à la FAA (Federal Aviation Administration). Pour rappel, le 787 Dreamliner est le principal générateur de recettes pour Boeing après le 737 MAX.

"Nous travaillons pour fournir à la FAA des informations complémentaires concernant l'analyse et la documentation associées au travail de vérification sur les 787 non livrés", indique Boeing dans une déclaration transmise vendredi à l'AFP.

Le constructeur précise qu'"il n'y a aucun effet sur (la) flotte en service".
(...)


Le Bonus de la semaine

> Le pilotage éco-responsable

(source #aviationdurable) 25 mai - L'écopilotage regroupe les pratiques visant à réduire l’empreinte environnementale de l’aviation.

Ces pratiques existent depuis un certain temps et connaissent une forte accélération ces dernières années, notamment sous l’impulsion des BigData, qui permettent de réduire la consommation de carburant de l'ordre de 5% par vol.

À partir des données opérationnelles (météo, poids de l'avion, longueur de piste…), la poussée des moteurs et les trajectoires pourront être optimisées. Ces bonnes pratiques comprennent également l’extinction d’un moteur lors du roulage, l'utilisation modérée des inverseurs de poussée, la sortie optimisée des volets ou des trains d'atterrissage, l'évitement du fuel tankering, le vol à un cost index faible...

Des outils permettent désormais d'améliorer la bonne application de toutes ces pratiques, et la totalité de la flotte mondiale sera donc optimisée d'ici quelques années.

écopilotage


Fin de la revue de presse

> Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires

Vous trouverez sur mon site navigaction les modalités d'accès aux sites des gérants Natixis et de la Société Générale .

Pour éviter d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse postale, je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.

Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants, Natixis, Société Générale, votre établissement financier personnel si vous avez acheté vos actions par celui-ci.

> Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

L'action Air France-KLM est à 4,626 euros en clôture lundi 31 mai. Elle est en hausse de +3,07% sur une semaine.

Avant l'épidémie de coronavirus, l'action Air France-KLM était à 9,93 euros.

La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM est à 3,27 euros. L'objectif de cours le plus élevé est à 5 euros, le plus bas à 1 euro. Vous pouvez retrouver sur mon blog le détail du consensus des analystes. Je ne prends pas en compte les opinions d'analystes antérieures au début de la crise sanitaire.


Le baril de pétrole Brent
(mer du nord) est en légère hausse de 1$ à 69$. Il a flirté toute la semaine avec la barre des 70$. Il faut remonter à 2018 pour trouver trace d'un niveau de cet ordre. Si dans les prochaines semaines le cours se maintient, les compagnies aériennes se verront dans l'obligation d'augmenter le prix des billets.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur du groupe Air France-KLM.

Vous pouvez me poser, par retour, toute question relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...

A bientôt.

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| François Robardet

Administrateur Air France-KLM représentant les salariés et anciens salariés actionnaires PNC et PS.
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