N°814, 28 juin 2021
Si vous ne voyez pas correctement cette page, ou
si vous souhaitez lire les versions anglaises ou néerlandaises If you
do not see this page correctly, or if you want to read the English or
Dutch versions, Als u deze pagina niet goed ziet, of als
u de Engelse of Nederlandse versie wilt lezen,
suivez
ce lien ,
it is here,
vindt u deze hier
Élection des membres des conseils de surveillance de l'épargne salariale du groupe Air France
Si vous êtes détenteur d'épargne dans un des fonds suivants de l'épargne salariale du groupe Air France : Aéroactions, Majoraction, Horizon Epargne Actions, Horizon Epargne Mixte, Horizon Epargne Taux, vous êtes invité à élire ceux qui surveilleront la gestion de votre épargne.
Les électeurs, porteurs de parts concernés, actifs ou anciens salariés, reçoivent en ce moment, par mail ou par courrier postal, un courrier leur précisant les modalités de vote sur Internet.
Conservez-le précieusement.
Dans chacun de ces fonds, plusieurs listes de candidats se présentent.
Je soumets à nouveau aux électeurs concernés des listes "Union-Expérience avec
François Robardet" et invite à voter pour elles.
Le scrutin sera ouvert du
mercredi 30 juin au lundi 19 juillet.
Éditorial
La Revue de Presse du lundi
>
AIR FRANCE-KLM a levé 800 millions d'euros sur le marché obligataire
(source AOF) 25 juin - Air France-KLM a placé une émission
d'obligations senior pour un total de 800 millions d'euros en deux
tranches. La première tranche est d'un montant de 300 millions d'euros,
d'une maturité de 3 ans et est assortie d'un coupon de 3% par an.
La
seconde tranche d'obligations est d'un montant de 500 millions d'euros,
d'une maturité de 5 ans et est assortie d'un coupon de 3,875% par an.
Le
produit net de cette émission sera utilisé pour financer le
remboursement de la dette de marché de la société et graduellement une
partie de l'aide d'État attribuée en mai 2020. Cette opération
s'inscrit dans la poursuite du plan de mesures visant à renforcer du
bilan, de préparer la reprise et de repositionner le groupe sur une
trajectoire financière durable.
>
Transavia France : 49eme avion et offre égale à 2019
(source Air Journal) 22 juin - La compagnie aérienne low-cost
Transavia France a reçu un 49ème Boeing 737-800, qui sera déployé cet
été sur un réseau porté à 150 liaisons dont 37 nouvelles – avec une
offre en sièges similaire à celle de l’été 2019, avant la pandémie de
Covid-19. Le 737-800 immatriculé F-HTVZ (MSN6088
précédemment destiné à Norwegian) livré le 21 juin 2021 est le sixième
et dernier loué par la filiale d’Air France spécialisée dans le vol pas
cher chez la société de leasing Jackson Square Aviation, le premier
étant arrivé en janvier dernier. (...) Ce 737-800, configuré comme les autres pour accueillir
189 passagers, porte à 49 le nombre d’avions opérés par Transavia
France, contre 37 à l’été 2019 – dernière saison estivale « normale »
avant l’arrivée de la crise sanitaire. Sa directrice générale
Nathalie Stubler a rappelé hier que la low-cost proposera en juin et
juillet une offre en sièges équivalente à celle d’il y a deux ans, comme
prévu depuis la fin avril : « C’est déjà un fort rattrapage », a-t-elle
expliqué sur le plateau de BFM Business. « Nous observons depuis
quelques semaines 30 à 40% de ventes en plus [par rapport] à la même
époque en 2019 », il y a « un effet rattrapage parce que pendant un
certain nombre de mois on n’a pas vendu » mais cela montre aussi « une
appétence forte des clients à vouloir revoyager », a souligné la
dirigeante qui évoque une montée progressive des coefficients
d’occupation « de l’ordre de 70% en juin, alors qu’on était à 50% au
mois d’avril lors des mesures de restriction des déplacements ».
(...)
>
Airbus testera ses réservoirs à hydrogène à bord d'un A380
(source Les Échos) 24 juin - Le projet d'avion à hydrogène « ZeroE »
a franchi une étape de plus chez Airbus. Moins d'un an après avoir
dévoilé trois concepts d'avions à hydrogène, dont le premier pourrait
voir le jour dès 2035, l'avionneur a annoncé la création de deux
« centres de développement zéro-émission », désignés en interne sous le
sigle ZEDC. Situés l'un à Nantes et l'autre à Brême, ces deux
centres d'excellence auront notamment en charge la fabrication de
l'élément le plus critique du futur avion à hydrogène : les réservoirs
cryogéniques. Avec le circuit
de carburant, le stockage de l'hydrogène à bord d'un avion est le
principal défi technologique auquel est confronté l'avionneur. De par sa
faible densité, l'hydrogène sous sa forme liquide, la plus compacte,
nécessite des réservoirs quatre fois plus gros que le kérosène, à
autonomie égale. Et pour rester à l'état liquide, il doit en sus être
conservé à une température de -253 °C. Ce qui suppose de concevoir des
réservoirs cryogéniques à la fois bien isolés, robustes, volumineux et
néanmoins légers, afin de ne pas trop alourdir l'appareil.
Malgré les difficultés, les ingénieurs d'Airbus semblent avoir réussi à
concilier tous ses impératifs, puisque l'avionneur prévoit de commencer
la fabrication de ces réservoirs à hydrogène à Nantes et Brême dès 2023.
D'après une communication interne, le ZEDC de Nantes devrait ainsi
livrer une petite dizaine de réservoirs par an, entre 2023 et 2025 -
date laquelle Airbus prévoit un premier vol expérimental, à bord d'un
A380. L'A380 dédié aux essais
en vol embarquerait dans sa cabine un réservoir à hydrogène et un moteur
électrique, afin de tester des solutions de propulsion hybrides. Car
outre l'utilisation de l'hydrogène liquide comme carburant en
remplacement du kérosène, Airbus s'intéresse aussi aux piles à
combustible , pour alimenter des équipements ou des moteurs électriques.
L'objet est de parvenir à fabriquer des réservoirs à hydrogène, qui
soient non seulement sûrs mais aussi à un coût compétitif, en associant
le savoir-faire du site de Brême dans le domaine des lanceurs à
propulsion cryogénique et celui de Nantes dans le domaine du caisson
central de voilure et des réservoirs. Airbus conserve toutefois,
semble-t-il, plusieurs fers au feu. Le groupe aurait également investi
plusieurs millions de dollars dans une « start-up » californienne créée
par son ancien directeur de l'innovation, Paul Eremenko, autour d'un
projet de recharges amovibles d'hydrogène à charger dans les avions.
>
Avion à hydrogène : Airbus, Air Liquide et groupe ADP s’associent pour imaginer les aéroports de demain
(source industrie-techno) 22 juin - Lundi 21 juin, Air Liquide,
Airbus et Aéroports de Paris ont annoncé le lancement d’études
d’ingénierie, par le biais d'un communiqué, dans l’optique d’adapter les
infrastructures aéroportuaires à l’arrivée d’avions à hydrogène d’ici à
2035. (...) Une
étude assez générale sera d’abord réalisée auprès d’une trentaine
d’aéroports dans le monde pour « déterminer les configurations du
développement et de l’approvisionnement en hydrogène liquide », est-il
précisé dans le communiqué. À partir de cette enquête, « des scénarios
et plans détaillés pour définir les infrastructures requises, le
dimensionnement et l'implantation » seront ensuite élaborés pour les
deux principaux aéroports parisiens, à savoir Paris-Charles de Gaulle et
Paris-Orly. Ce type d'étude
s'avère indispensable, compte tenu des défis technologiques propres à
l’hydrogène liquide. Comme ce carburant entre en ébullition dès que la
température dépasse - 253°C, des technos cryogéniques sont requises pour
stocker ou transporter l'hydrogène sous forme liquide. Et toute fuite,
facilitée par la petite taille de la molécule, est à prévenir
absolument : elle risque en effet de provoquer une explosion.
En
termes d'infrastructures, le transport de l’hydrogène cryogénique depuis
les installations de l’aéroport vers les réservoirs des avions
représente d'ailleurs l'une des plus grosses difficultés. « Transporter
de l’hydrogène à - 253°C dans des tuyaux est un sacré défi
technologique… », soulevait récemment Thierry Poinsot, du Centre
européen de recherche et de formation avancée en calcul scientifique (Cerfacs),
interrogé dans le cadre de notre enquête sur l’avion à hydrogène, paru
dans notre dossier consacré à la décarbonation de l’aviation. Le
reste de l'écosystème hydrogène pourrait s'intégrer dans un schéma plus
classique. « Nous aurons probablement une sorte de hub à proximité de
l’aéroport, où l’on produira l’hydrogène liquide nécessaire à l’ensemble
d’une région pour alimenter les aéroports, les stations à hydrogène
gazeux, les gares », anticipait Pierre Crespi, le directeur de
l’innovation chez Air liquide Advanced Technologies, interrogé lors de
cette même enquête. « Certains gros aéroports s’équiperont peut-être de
pipelines d’ici à 2050. Mais dans un premier temps, il n’y aura pas
suffisamment d’avions pour installer un site de production et des
canalisations au sein de l’aéroport », a poursuivi M. Crespi.
>
Boeing 737 Max : 500 millions pour les familles des victimes américaines
(source Capital) 23 juin - Un fonds américain de 500 millions de
dollars pour indemniser les proches de 346 personnes tuées dans deux
accidents de Boeing 737 Max a été ouvert, ont annoncé mardi 22 juin ses
administrateurs à Reuters. L'avionneur américain a accepté en janvier
dernier de verser 500 millions de dollars pour indemniser les familles
des passagers américains qui ont perdu la vie dans les crashs des vols
Lion Air 610 et Ethiopian Airlines 302 en 2018 et 2019. Chaque
famille éligible recevra près de 1,45 million de dollars. La somme sera
versée au fur et à mesure après la restitution des formulaires de
demande, ont indiqué les administrateurs Ken Feinberg et Camille Biros
dans une déclaration commune. Les familles ont jusqu'au 15 octobre pour
retourner les documents remplis. Ni Boeing ni le ministère de la Justice
n'ont pour l'heure souhaité commenter cette information. Le
fonds fait partie d'un accord de 2,5 milliards de dollars conclu en
janvier dernier entre le ministère de la Justice et Boeing.
Les procureurs avaient alors accusé l'avionneur
américain de fraude concernant la certification du 737 Max, rappelle Reuters. " Boeing a
choisi la voie du profit plutôt que la franchise en cachant des
informations importantes à la FAA concernant le fonctionnement de son
avion 737 Max et en s'efforçant de dissimuler une tromperie", déclarait
alors le ministère de la Justice. Le règlement de cette somme avait
néanmoins permis à Boeing d'éviter des poursuites pénales, mais n'a pas
eu d'incidence sur les poursuites civiles engagées par les proches des
victimes. (...) Alors que Boeing a réglé les
poursuites judiciaires contre Lion Air, il est toujours poursuivi dans
plusieurs dossiers devant le tribunal fédéral de Chicago par les
familles des victimes du crash d'Ethiopian Airlines. (...)
>
Les compagnies face au défi du retour en vol des milliers d'avions stockés
(source Les Échos) 25 juin - Avec la reprise du trafic aérien cet
été, un défi d'un nouveau genre se présente pour les compagnies
aériennes et les avionneurs : la remise en service de milliers
d'appareils stockés parfois depuis le début de la crise et qu'il faut
sortir d'hibernation rapidement et surtout, en toute sécurité. Une
situation inédite, qui mobilise non seulement les équipes de maintenance
des compagnies aériennes, mais aussi les avionneurs. Si les
procédures de stockage et déstockage sont bien connues et ne posent pas
de problème en soi, l'ampleur de la tâche est en effet sans précédent
pour les services de maintenance des compagnies aériennes.
Au pire de la crise, au printemps
dernier, plus de la moitié de la flotte mondiale, soit plus de 16.000
appareils, dont 8.000 Airbus, était clouée au sol, certains
définitivement comme les A380 d'Air France. Rien qu'en Europe, jusqu'à
7.168 appareils se sont ainsi retrouvés immobilisés entre avril et mai
2020, selon les chiffres d'Eurocontrol, parfois pendant plusieurs mois.
(...) La reprise des réservations, courant
mai, a déjà permis d'en réveiller un grand nombre. « Environ 75 % de la
flotte mondiale d'Airbus a déjà repris du service, indique Claire
Kauffmann, en charge des services de maintenance programmée chez Airbus,
qui a envoyé des équipes prêter main-forte aux compagnies aériennes.
« Dans l'ensemble, ça s'est plutôt bien passé », souligne-t-elle. « Nous
avons connu assez peu d'incidents après remise en service », confirme
son collègue Nicolas Bardou, en charge de la communication sur les
questions de sécurité à Airbus. Toutefois, au 1er juin,
Eurocontrol dénombrait encore 3.384 avions de ligne encore au repos,
dont les deux tiers doivent être remis au travail pour faire face à la
demande estivale. Soit près de 2.000 appareils à « réveiller », avec
parfois quelques surprises à la clé. « D'habitude, les avions sont stockés dans
des environnements bien contrôlés, stables et secs, comme les déserts,
explique Claire Kauffmann. Mais là, les avions se sont retrouvés au sol
dans des endroits très divers et parfois peu adaptés. » D'où des
découvertes inhabituelles dans certains avions comme des nids de
rongeurs, d'oiseaux ou d'insectes susceptibles d'endommager le réseau
électrique, de bloquer des pièces mobiles ou d'obstruer certains
équipements, comme les sondes Pitot de mesures du taux d'incidence.
« Il y a eu pas mal de cas de sondes Pitot défectueuses », reconnaît
Claire Kauffmann. Autant d'incidents et d'imprévus qui nécessitent une vigilance
particulière des pilotes, avant un retour en vol. « Nous avons conseillé
aux compagnies aériennes des formations complémentaires pour renforcer
la résilience de l'équipage, avec des briefings et des séances de
simulateur adaptée », souligne Xavier Pépin, en charge des formations de
pilotes chez Airbus. (...) Beaucoup de compagnies comme Air France se
sont assurées de faire voler tous les pilotes à tour de rôle, au moins
une fois par mois. Et la réglementation impose d'avoir effectué au moins
trois décollages et atterrissages sur une période de 90 jours. Mais
certaines ont pu se contenter d'appliquer le minimum réglementaire,
d'une séance de simulateur par mois.
>
Reprise estivale : certaines compagnies aériennes redécollent dans le désordre
(source Air Journal) 26 juin - Pendant cette période de reprise du
trafic estival, certaines compagnies aériennes redémarrent dans la plus
grande improvisation, changeant leur programme de vols sans arrêt,
parfois du jour au lendemain. Des vols annulés la veille pour le
lendemain par manque d’autorisation d’atterrissage, d’autres reportés
pour cause d’équipage injoignable ou d’avion mal préparé pour redécoller
après des semaines cloué au sol… Dans les agences de voyages, les
standards téléphoniques sont saturés par les appels des clients
mécontents des modifications imposées à la dernière minute.
Parmi les mauvais élèves, Royal Air Maroc qui a réaménagé son programme
de vols pour l’été après les annulations de réservations liées aux
tarifs préférentiels. Chez Alitalia, les vols sont chamboulés à tel
point qu’ils entraînent non seulement un changement d’horaires mais
aussi d’aéroports (par exemple entre Rome-Fiumicino et Rome-Ciampino),
avec réémission totale des titres de transport. Les low-cost Ryanair et
Vueling n’en sont pas en reste…
Parmi les bons élèves, Air France et sa
filiale à bas coût Transavia offrent des programmes très stables,
reconnaissent les voyagistes. A l’approche des
grands départs de vacances, les agences du voyage, au lieu de vendre des
billets, passent leur temps à gérer cette masse de modifications -les
TSC (de l’anglais Time Schedule Change) dans le jargon de l’aérien.
(...) Ce
phénomène touche également des transporteurs aux États-Unis. Faute de
mécaniciens pour remettre à temps en vol ses avions, American Airlines a
dû annuler 400 vols le week-end dernier, et prévoit d’en déprogrammer
environ 950 durant la première quinzaine de juillet.
Le Bonus de la semaine
>
Les oiseaux migrateurs minimisent leurs efforts en volant en
formation
((source aviationdurable) 22 juin - De nombreux leviers de réduction
de la consommation des avions sont en cours de développement.
Airbus étudie par exemple l'opportunité de faire voler
les avions "en escadrille" afin de profiter du vortex généré par les
avions, à la manière des oiseaux migrateurs.
En 2003, la NASA a obtenu 29 % de
gain en consommation de carburant en l’appliquant sur des vols
militaires, et l'économie attendue sera de 10% de carburant pour les
appareils suiveurs sur les vols long courrier, avec un espacement de 1,5 nq (3 km). Des partenariats existent déjà avec des compagnies aériennes
comme French Bee et SAS Scandinavian Airlines, et l'économie sera
globalement de 3 à 4 millions de tonnes de CO2 non émises.
Fin de la revue de presse
>
Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Vous trouverez sur mon site
navigaction
les modalités d'accès aux sites des gérants.
Pour éviter
d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants,
Natixis, Société Générale, votre établissement financier personnel si
vous avez acheté vos actions par celui-ci.
>
Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 4,143 euros en clôture
lundi 28 juin. Elle est en baisse cette semaine de -7,89%. La baisse a
été régulière cette semaine. A cette heure, je n'ai pas d'explication
rationnelle.
Avant l'épidémie de coronavirus, l'action Air France-KLM
était à 9,93 euros.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 3,30 euros.
L'objectif de cours le plus élevé est à 5 euros, le plus bas à 1 euro. Vous pouvez
retrouver sur mon blog le détail du consensus des analystes. Je ne
prends pas en compte les opinions d'analystes antérieures au début de
la crise sanitaire.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est
en stable à 75$. Depuis un point bas fin octobre 2020
(37$) il augmente régulièrement. Il
dépasse son niveau
pré-pandémie. Depuis fin 2014, il n'a dépassé ce niveau que pendant
quelques mois, en 2018.
Alors que se profile la reprise du trafic
aérien, ce prix élevé est une mauvaise nouvelle pour les compagnies
aériennes.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
Pour retrouver les dernières revues de presse du lundi, c'est
ici
Si vous appréciez cette revue de presse, faites la
circuler.
Les nouveaux lecteurs pourront la recevoir en
me communiquant l'adresse
email de leur choix.
|
François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
salariés et anciens salariés actionnaires PNC et PS. Vous pouvez me retrouver sur mon
compte twitter @FrRobardet
Lors de mon élection, j'ai
reçu le soutien de la CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
recevoir cette lettre/revue de presse,
[désabonnez-vous]
Si vous préférez recevoir la revue de presse sur une autre adresse,
merci de me l'indiquer. Pour me joindre :
message pour François Robardet.
10910 personnes reçoivent cette revue de presse en direct
|