AF-KLM lève 800 millions d'euros sur le marché obligataire

photo François Robardet, Administrateur Air France-KLM I Lettre de l'Administrateur Air France-KLM

François Robardet Représentant des salariés et anciens salariés actionnaires PS et PNC

N°814, 28 juin 2021
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Élection des membres des conseils de surveillance de l'épargne salariale du groupe Air France

Si vous êtes détenteur d'épargne dans un des fonds suivants de l'épargne salariale du groupe Air France : Aéroactions, Majoraction, Horizon Epargne Actions, Horizon Epargne Mixte, Horizon Epargne Taux, vous êtes invité à élire ceux qui surveilleront la gestion de votre épargne.

Les électeurs, porteurs de parts concernés, actifs ou anciens salariés, reçoivent en ce moment, par mail ou par courrier postal, un courrier leur précisant les modalités de vote sur Internet. Conservez-le précieusement.

Dans chacun de ces fonds, plusieurs listes de candidats se présentent.

Je soumets à nouveau aux électeurs concernés des listes "Union-Expérience avec François Robardet" et invite à voter pour elles.

Le scrutin sera ouvert du mercredi 30 juin au lundi 19 juillet.


Éditorial

Chères lectrices, chers lecteurs,

Je publie en fin de lettre la neuvième infographie sur l'impact climatique de l'aviation. Il y est question de voler en formation pour réduire la consommation de kérosène.
 
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Ces infographies ont été réalisées par des spécialistes avec lesquels j'ai collaboré. Elles ont chacune été vues par plus de 100.000 personnes sur les réseaux sociaux

À bientôt sur nos lignes.
François


La Revue de Presse du lundi

> AIR FRANCE-KLM a levé 800 millions d'euros sur le marché obligataire

(source AOF) 25 juin - Air France-KLM a placé une émission d'obligations senior pour un total de 800 millions d'euros en deux tranches. La première tranche est d'un montant de 300 millions d'euros, d'une maturité de 3 ans et est assortie d'un coupon de 3% par an. La seconde tranche d'obligations est d'un montant de 500 millions d'euros, d'une maturité de 5 ans et est assortie d'un coupon de 3,875% par an.

Le produit net de cette émission sera utilisé pour financer le remboursement de la dette de marché de la société et graduellement une partie de l'aide d'État attribuée en mai 2020.
 
Cette opération s'inscrit dans la poursuite du plan de mesures visant à renforcer du bilan, de préparer la reprise et de repositionner le groupe sur une trajectoire financière durable.

Mon commentaire : L'émission a été un grand succès : alors que le groupe Air France-KLM visait 600 millions d'euros, il a reçu 2,2 milliards d'euros de demandes.

Ce succès démontre la confiance des investisseurs dans le plan de relance du groupe franco-néerlandais.

> Transavia France : 49eme avion et offre égale à 2019

(source Air Journal) 22 juin - La compagnie aérienne low-cost Transavia France a reçu un 49ème Boeing 737-800, qui sera déployé cet été sur un réseau porté à 150 liaisons dont 37 nouvelles – avec une offre en sièges similaire à celle de l’été 2019, avant la pandémie de Covid-19.
 
Le 737-800 immatriculé F-HTVZ (MSN6088 précédemment destiné à Norwegian) livré le 21 juin 2021 est le sixième et dernier loué par la filiale d’Air France spécialisée dans le vol pas cher chez la société de leasing Jackson Square Aviation, le premier étant arrivé en janvier dernier.
(...) 
Ce 737-800, configuré comme les autres pour accueillir 189 passagers, porte à 49 le nombre d’avions opérés par Transavia France, contre 37 à l’été 2019 – dernière saison estivale « normale » avant l’arrivée de la crise sanitaire.
 
Sa directrice générale Nathalie Stubler a rappelé hier que la low-cost proposera en juin et juillet une offre en sièges équivalente à celle d’il y a deux ans, comme prévu depuis la fin avril : « C’est déjà un fort rattrapage », a-t-elle expliqué sur le plateau de BFM Business. « Nous observons depuis quelques semaines 30 à 40% de ventes en plus [par rapport] à la même époque en 2019 », il y a « un effet rattrapage parce que pendant un certain nombre de mois on n’a pas vendu » mais cela montre aussi « une appétence forte des clients à vouloir revoyager », a souligné la dirigeante qui évoque une montée progressive des coefficients d’occupation « de l’ordre de 70% en juin, alors qu’on était à 50% au mois d’avril lors des mesures de restriction des déplacements ».
(...)

Mon commentaire : La flotte de Transavia France grandit selon les prévisions.

Il est à noter que, le groupe Air France s'étant engagé à baisser ses émissions de co2 sur son réseau domestique d'ici 2024, les nouveaux avions de Transavia France seront principalement utilisés pour relier la France au bassin méditerranéen.

> Airbus testera ses réservoirs à hydrogène à bord d'un A380

(source Les Échos) 24 juin - Le projet d'avion à hydrogène « ZeroE » a franchi une étape de plus chez Airbus. Moins d'un an après avoir dévoilé trois concepts d'avions à hydrogène, dont le premier pourrait voir le jour dès 2035, l'avionneur a annoncé la création de deux « centres de développement zéro-émission », désignés en interne sous le sigle ZEDC.
 
Situés l'un à Nantes et l'autre à Brême, ces deux centres d'excellence auront notamment en charge la fabrication de l'élément le plus critique du futur avion à hydrogène : les réservoirs cryogéniques.
 
Avec le circuit de carburant, le stockage de l'hydrogène à bord d'un avion est le principal défi technologique auquel est confronté l'avionneur. De par sa faible densité, l'hydrogène sous sa forme liquide, la plus compacte, nécessite des réservoirs quatre fois plus gros que le kérosène, à autonomie égale. Et pour rester à l'état liquide, il doit en sus être conservé à une température de -253 °C. Ce qui suppose de concevoir des réservoirs cryogéniques à la fois bien isolés, robustes, volumineux et néanmoins légers, afin de ne pas trop alourdir l'appareil.
 
Malgré les difficultés, les ingénieurs d'Airbus semblent avoir réussi à concilier tous ses impératifs, puisque l'avionneur prévoit de commencer la fabrication de ces réservoirs à hydrogène à Nantes et Brême dès 2023. D'après une communication interne, le ZEDC de Nantes devrait ainsi livrer une petite dizaine de réservoirs par an, entre 2023 et 2025 - date laquelle Airbus prévoit un premier vol expérimental, à bord d'un A380.
 
L'A380 dédié aux essais en vol embarquerait dans sa cabine un réservoir à hydrogène et un moteur électrique
, afin de tester des solutions de propulsion hybrides. Car outre l'utilisation de l'hydrogène liquide comme carburant en remplacement du kérosène, Airbus s'intéresse aussi aux piles à combustible , pour alimenter des équipements ou des moteurs électriques.
 
L'objet est de parvenir à fabriquer des réservoirs à hydrogène, qui soient non seulement sûrs mais aussi à un coût compétitif, en associant le savoir-faire du site de Brême dans le domaine des lanceurs à propulsion cryogénique et celui de Nantes dans le domaine du caisson central de voilure et des réservoirs.
 
Airbus conserve toutefois, semble-t-il, plusieurs fers au feu. Le groupe aurait également investi plusieurs millions de dollars dans une « start-up » californienne créée par son ancien directeur de l'innovation, Paul Eremenko, autour d'un projet de recharges amovibles d'hydrogène à charger dans les avions.

> Avion à hydrogène : Airbus, Air Liquide et groupe ADP s’associent pour imaginer les aéroports de demain

(source industrie-techno) 22 juin - Lundi 21 juin, Air Liquide, Airbus et Aéroports de Paris ont annoncé le lancement d’études d’ingénierie, par le biais d'un communiqué, dans l’optique d’adapter les infrastructures aéroportuaires à l’arrivée d’avions à hydrogène d’ici à 2035.
(...)
Une étude assez générale sera d’abord réalisée auprès d’une trentaine d’aéroports dans le monde pour « déterminer les configurations du développement et de l’approvisionnement en hydrogène liquide », est-il précisé dans le communiqué. À partir de cette enquête, « des scénarios et plans détaillés pour définir les infrastructures requises, le dimensionnement et l'implantation » seront ensuite élaborés pour les deux principaux aéroports parisiens, à savoir Paris-Charles de Gaulle et Paris-Orly.
 
Ce type d'étude s'avère indispensable, compte tenu des défis technologiques propres à l’hydrogène liquide. Comme ce carburant entre en ébullition dès que la température dépasse - 253°C, des technos cryogéniques sont requises pour stocker ou transporter l'hydrogène sous forme liquide. Et toute fuite, facilitée par la petite taille de la molécule, est à prévenir absolument : elle risque en effet de provoquer une explosion.
 
En termes d'infrastructures, le transport de l’hydrogène cryogénique depuis les installations de l’aéroport vers les réservoirs des avions représente d'ailleurs l'une des plus grosses difficultés. « Transporter de l’hydrogène à - 253°C dans des tuyaux est un sacré défi technologique… », soulevait récemment Thierry Poinsot, du Centre européen de recherche et de formation avancée en calcul scientifique (Cerfacs), interrogé dans le cadre de notre enquête sur l’avion à hydrogène, paru dans notre dossier consacré à la décarbonation de l’aviation.
 
Le reste de l'écosystème hydrogène pourrait s'intégrer dans un schéma plus classique. « Nous aurons probablement une sorte de hub à proximité de l’aéroport, où l’on produira l’hydrogène liquide nécessaire à l’ensemble d’une région pour alimenter les aéroports, les stations à hydrogène gazeux, les gares », anticipait Pierre Crespi, le directeur de l’innovation chez Air liquide Advanced Technologies, interrogé lors de cette même enquête. « Certains gros aéroports s’équiperont peut-être de pipelines d’ici à 2050. Mais dans un premier temps, il n’y aura pas suffisamment d’avions pour installer un site de production et des canalisations au sein de l’aéroport », a poursuivi M. Crespi.

Mon commentaire : Les deux articles précédents montrent bien l'engagement des entreprises françaises dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Le défi pour utiliser l'hydrogène liquide dans un avion commercial est de taille. Il a déjà été relevé par le secteur spatial, puisque l'hydrogène liquide sert de carburant pour la fusée Ariane.

> Boeing 737 Max : 500 millions pour les familles des victimes américaines

(source Capital) 23 juin - Un fonds américain de 500 millions de dollars pour indemniser les proches de 346 personnes tuées dans deux accidents de Boeing 737 Max a été ouvert, ont annoncé mardi 22 juin ses administrateurs à Reuters. L'avionneur américain a accepté en janvier dernier de verser 500 millions de dollars pour indemniser les familles des passagers américains qui ont perdu la vie dans les crashs des vols Lion Air 610 et Ethiopian Airlines 302 en 2018 et 2019.
 
Chaque famille éligible recevra près de 1,45 million de dollars. La somme sera versée au fur et à mesure après la restitution des formulaires de demande, ont indiqué les administrateurs Ken Feinberg et Camille Biros dans une déclaration commune. Les familles ont jusqu'au 15 octobre pour retourner les documents remplis. Ni Boeing ni le ministère de la Justice n'ont pour l'heure souhaité commenter cette information.
 
Le fonds fait partie d'un accord de 2,5 milliards de dollars conclu en janvier dernier entre le ministère de la Justice et Boeing. Les procureurs avaient alors accusé l'avionneur américain de fraude concernant la certification du 737 Max, rappelle Reuters. " Boeing a choisi la voie du profit plutôt que la franchise en cachant des informations importantes à la FAA concernant le fonctionnement de son avion 737 Max et en s'efforçant de dissimuler une tromperie", déclarait alors le ministère de la Justice. Le règlement de cette somme avait néanmoins permis à Boeing d'éviter des poursuites pénales, mais n'a pas eu d'incidence sur les poursuites civiles engagées par les proches des victimes.
(...)
Alors que Boeing a réglé les poursuites judiciaires contre Lion Air, il est toujours poursuivi dans plusieurs dossiers devant le tribunal fédéral de Chicago par les familles des victimes du crash d'Ethiopian Airlines.
(...)

> Les compagnies face au défi du retour en vol des milliers d'avions stockés

(source Les Échos) 25 juin - Avec la reprise du trafic aérien cet été, un défi d'un nouveau genre se présente pour les compagnies aériennes et les avionneurs : la remise en service de milliers d'appareils stockés parfois depuis le début de la crise et qu'il faut sortir d'hibernation rapidement et surtout, en toute sécurité. Une situation inédite, qui mobilise non seulement les équipes de maintenance des compagnies aériennes, mais aussi les avionneurs.
 
Si les procédures de stockage et déstockage sont bien connues et ne posent pas de problème en soi, l'ampleur de la tâche est en effet sans précédent pour les services de maintenance des compagnies aériennes.
 
Au pire de la crise, au printemps dernier, plus de la moitié de la flotte mondiale, soit plus de 16.000 appareils, dont 8.000 Airbus, était clouée au sol, certains définitivement comme les A380 d'Air France. Rien qu'en Europe, jusqu'à 7.168 appareils se sont ainsi retrouvés immobilisés entre avril et mai 2020, selon les chiffres d'Eurocontrol, parfois pendant plusieurs mois.
(...)
La reprise des réservations, courant mai, a déjà permis d'en réveiller un grand nombre. « Environ 75 % de la flotte mondiale d'Airbus a déjà repris du service, indique Claire Kauffmann, en charge des services de maintenance programmée chez Airbus, qui a envoyé des équipes prêter main-forte aux compagnies aériennes. « Dans l'ensemble, ça s'est plutôt bien passé », souligne-t-elle. « Nous avons connu assez peu d'incidents après remise en service », confirme son collègue Nicolas Bardou, en charge de la communication sur les questions de sécurité à Airbus.
 
Toutefois, au 1er juin, Eurocontrol dénombrait encore 3.384 avions de ligne encore au repos, dont les deux tiers doivent être remis au travail pour faire face à la demande estivale. Soit près de 2.000 appareils à « réveiller », avec parfois quelques surprises à la clé.
 
« D'habitude, les avions sont stockés dans des environnements bien contrôlés, stables et secs, comme les déserts, explique Claire Kauffmann. Mais là, les avions se sont retrouvés au sol dans des endroits très divers et parfois peu adaptés. » D'où des découvertes inhabituelles dans certains avions comme des nids de rongeurs, d'oiseaux ou d'insectes susceptibles d'endommager le réseau électrique, de bloquer des pièces mobiles ou d'obstruer certains équipements, comme les sondes Pitot de mesures du taux d'incidence. « Il y a eu pas mal de cas de sondes Pitot défectueuses », reconnaît Claire Kauffmann.
 
Autant d'incidents et d'imprévus qui nécessitent une vigilance particulière des pilotes, avant un retour en vol. « Nous avons conseillé aux compagnies aériennes des formations complémentaires pour renforcer la résilience de l'équipage, avec des briefings et des séances de simulateur adaptée », souligne Xavier Pépin, en charge des formations de pilotes chez Airbus.
(...)
Beaucoup de compagnies comme Air France se sont assurées de faire voler tous les pilotes à tour de rôle, au moins une fois par mois. Et la réglementation impose d'avoir effectué au moins trois décollages et atterrissages sur une période de 90 jours. Mais certaines ont pu se contenter d'appliquer le minimum réglementaire, d'une séance de simulateur par mois.

> Reprise estivale : certaines compagnies aériennes redécollent dans le désordre

(source Air Journal) 26 juin - Pendant cette période de reprise du trafic estival, certaines compagnies aériennes redémarrent dans la plus grande improvisation, changeant leur programme de vols sans arrêt, parfois du jour au lendemain.
 
Des vols annulés la veille pour le lendemain par manque d’autorisation d’atterrissage, d’autres reportés pour cause d’équipage injoignable ou d’avion mal préparé pour redécoller après des semaines cloué au sol… Dans les agences de voyages, les standards téléphoniques sont saturés par les appels des clients mécontents des modifications imposées à la dernière minute.
 
Parmi les mauvais élèves, Royal Air Maroc qui a réaménagé son programme de vols pour l’été après les annulations de réservations liées aux tarifs préférentiels. Chez Alitalia, les vols sont chamboulés à tel point qu’ils entraînent non seulement un changement d’horaires mais aussi d’aéroports (par exemple entre Rome-Fiumicino et Rome-Ciampino), avec réémission totale des titres de transport. Les low-cost Ryanair et Vueling n’en sont pas en reste…

Parmi les bons élèves, Air France et sa filiale à bas coût Transavia offrent des programmes très stables, reconnaissent les voyagistes.
 
A l’approche des grands départs de vacances, les agences du voyage, au lieu de vendre des billets, passent leur temps à gérer cette masse de modifications -les TSC (de l’anglais Time Schedule Change) dans le jargon de l’aérien.
(...) 
Ce phénomène touche également des transporteurs aux États-Unis. Faute de mécaniciens pour remettre à temps en vol ses avions, American Airlines a dû annuler 400 vols le week-end dernier, et prévoit d’en déprogrammer environ 950 durant la première quinzaine de juillet.

Mon commentaire : Pour les compagnies aériennes, le redémarrage de l'activité est un défi dans tous les domaines. Le groupe Air France-KLM fait partie des bons élèves.


Le Bonus de la semaine

> Les oiseaux migrateurs minimisent leurs efforts en volant en formation

((source aviationdurable) 22 juin - De nombreux leviers de réduction de la consommation des avions sont en cours de développement. Airbus étudie par exemple l'opportunité de faire voler les avions "en escadrille" afin de profiter du vortex généré par les avions, à la manière des oiseaux migrateurs.

En 2003, la NASA a obtenu 29 % de gain en consommation de carburant en l’appliquant sur des vols militaires, et l'économie attendue sera de 10% de carburant pour les appareils suiveurs sur les vols long courrier, avec un espacement de 1,5 nq (3 km). Des partenariats existent déjà avec des compagnies aériennes comme French Bee et SAS Scandinavian Airlines, et l'économie sera globalement de 3 à 4 millions de tonnes de CO2 non émises.

aviationdurable


Fin de la revue de presse

> Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires

Vous trouverez sur mon site navigaction les modalités d'accès aux sites des gérants.

Pour éviter d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse postale, je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.

Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants, Natixis, Société Générale, votre établissement financier personnel si vous avez acheté vos actions par celui-ci.

> Mon commentaire sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM

L'action Air France-KLM est à 4,143 euros en clôture lundi 28 juin. Elle est en baisse cette semaine de -7,89%. La baisse a été régulière cette semaine. A cette heure, je n'ai pas d'explication rationnelle.

Avant l'épidémie de coronavirus, l'action Air France-KLM était à 9,93 euros.

La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM est à 3,30 euros. L'objectif de cours le plus élevé est à 5 euros, le plus bas à 1 euro. Vous pouvez retrouver sur mon blog le détail du consensus des analystes. Je ne prends pas en compte les opinions d'analystes antérieures au début de la crise sanitaire.


Le baril de pétrole Brent
(mer du nord) est en stable à 75$. Depuis un point bas fin octobre 2020 (37$) il augmente régulièrement. Il dépasse son niveau pré-pandémie. Depuis fin 2014, il n'a dépassé ce niveau que pendant quelques mois, en 2018.

Alors que se profile la reprise du trafic aérien, ce prix élevé est une mauvaise nouvelle pour les compagnies aériennes.

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

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Vous pouvez me poser, par retour, toute question relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...

A bientôt.

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| François Robardet

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