N°818, 26 juillet 2021
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Élection des membres des conseils de surveillance de l'épargne salariale du groupe Air France
Comme à l'issue de l'élection précédente, deux listes se partagent
l'essentiel des 23 postes des conseils de surveillance des fonds Majoractions, Aéroactions, HEA, HEM et HET : . celle menée par le
SNPL (9 postes) . et celle que j'ai constituée (12 postes),
regroupant des collègues navigants commerciaux et du sol.
Par
ailleurs, la liste SNPL a remporté la totalité des cinq sièges du
fonds Concorde, un fonds créé en 1998 pour recueillir les parts des
salariés concernés par l'échange salaire action.
Les élus de ces
deux listes ont toutes les compétences requises pour bien gérer votre
épargne salariale pendant les cinq prochaines années.
Vous
retrouverez des informations détaillées en allant sur mon site, rubrique
"L'actionnariat salarié Air
France-KLM"
Encore une
fois, merci à toutes celles et ceux qui ont participé à ce scrutin.
La Revue de Presse du lundi
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Air France-KLM réorganise ses équipes commerciales
(source Air Journal) 26 juillet - Air France-KLM réorganise ses
équipes commerciales à travers le monde, passant de huit à quatre zones
géographiques dans le cadre de la transformation du groupe aérien.
Les zones commerciales du groupe franco-néerlandais vont être réduites à
quatre : deux domestiques, pour la France et le Benelux, et deux
internationales avec l’Europe et le long-courrier. A cette
occasion, Air France-KLM annonce dans son communiqué deux nominations,
effectives à compter du 1 août 2021 : Zoran Jelkic, actuellement
Directeur Général France, est nommé SVP (Senior Vice President)
Long-Courrier, et Henri Hourcade, actuellement SVP Afrique, est nommé
SVP France. Le Groupe présentera le 30 juillet ses résultats
pour le premier semestre ; en mai, il s’attendait à ce que la capacité
en sièges-kilomètres disponibles soit d’environ 50% pour Air France-KLM
au deuxième trimestre 2021 par rapport à 2019 pour l’activité réseaux
passage. Au cours de la seconde moitié du deuxième trimestre, le groupe
a augmenté progressivement sa capacité « compte tenu du déploiement de
la vaccination en Europe ». Pour le troisième trimestre, ses prévisions
étaient d’une capacité en sièges kilomètres offerts « entre l’indice 55%
et 65% par rapport à 2019 pour l’activité passage réseau grâce à la
hausse prévue de la demande ».
>
KLM aussi vérifie les documents de voyage en amont
(source Air Journal) 23 juillet - La compagnie aérienne KLM Royal Dutch Airlines
a lancé un nouveau service Upload@Home, permettant sur un
certain nombre de destinations aux voyageurs de vérifier qu’ils
disposent de tous les documents liés à la pandémie de Covid-19 avant de
se rendre à l’aéroport. A l’instar de sa sœur Air France ou de
Corsair International dans l’hexagone, la compagnie nationale met en
place dans sa base à Amsterdam-Schiphol un service de vérification des
documents de voyage en amont du vol. Les clients KLM voyageant
initialement vers ou depuis Curaçao, Dubaï, Lima, St Martin, Istanbul,
l’Allemagne et l’Espagne peuvent désormais utiliser Uload@Home pour vérifier à l’avance qu’ils disposent de tous les
documents de voyage nécessaires. La compagnie de l’alliance
SkyTeam « comprend que voyager avec toutes les exigences liées à la
Covid-19 peut être un défi en ce moment, en particulier parce que les
règles changent et peuvent varier d’un pays à l’autre ». La
pré-validation des documents requis par la destination via Upload@Home
« permet au client de s’assurer à l’avance que sa documentation est en
règle. De plus, la vérification des documents à l’avance peut accélérer
le processus d’enregistrement à l’aéroport », souligne son communiqué.
Le nombre de destinations de KLM pour lesquelles Upload@Home est
disponible « devrait augmenter dans un proche avenir ».
>
United Airlines brûle toujours du cash, mais mise sur un rebond du trafic aérien
(source La Tribune avec AFP) 21 juillet - Toujours dans le rouge,
United Airlines ne perd pas espoir et se veut très optimiste pour les
mois à venir. La compagnie aérienne américaine a en effet encore perdu
434 millions de dollars d'avril à juin. Néanmoins, même si ces chiffres
sont toujours mauvais, United Airlines a largement réduit sa perte par
rapport au deuxième trimestre 2020 (1,6 milliard), quand le trafic était
au plus bas aux États-Unis à cause de la pandémie de Covid-19, et mise
sur un rebond du trafic. Avec une campagne de vaccination réussie aux États-Unis et la
réouverture progressive de l'économie, les Américains reprennent en
effet peu à peu l'avion. De plus, les trajets internationaux et les
voyages d'affaires ont "accéléré encore plus rapidement que prévu",
souligne la compagnie dans un communiqué mardi. Le chiffre d'affaires de
United a ainsi été multiplié par plus de quatre par rapport à l'an
dernier, pour atteindre 5,47 milliards de dollars, mais reste toutefois
inférieur de 52% à la même période en 2019. (...) Grace notamment au
retour progressif des voyages d'affaires d'ici la fin de l'été, la
compagnie s'attend à dégager des bénéfices ajustés avant impôt au second
semestre, détaille son communiqué. United
Airlines ne semble pas s'inquiéter de la menace grandissante du variant
Delta et anticipe un retour complet de la demande d'ici 2023. Pour s'y
préparer, la société a passé fin juin la plus grosse commande de son
histoire: 200 Boeing 737 MAX et 70 Airbus A321neo. Ces deux
nouveaux contrats traduisent bien le dynamisme de la reprise transport
aérien intérieur aux États-Unis. Ils illustrent également la volonté de
United Airlines de combler son retard sur cette partie de son réseau en
plein rebond, sur lequel elle est aujourd'hui la moins bien placée de
toutes les compagnies américaines. En effet, en étant le transporteur
américain le plus dépendant du trafic international, United Airlines est
de facto la compagnie la plus durement touchée par la crise de
l'activité long-courrier, impactée par les restrictions de voyage. Avec
ces 270 nouveaux avions, United entend augmenter d'environ 30% ses
capacités sur le réseau nord-américain. D'autre part, Delta et American Airlines ont
également indiqué la semaine dernière avoir profité du regain d'achats
de billet d'avion aux États-Unis au deuxième trimestre pour redresser un
peu leurs finances. American Airlines a annoncé le 13 juillet avoir
profité du redressement du trafic aérien aux États-Unis pour rétablir un
flux de liquidités positif au deuxième trimestre pour la première fois
depuis le début de la pandémie. (...)
La compagnie aérienne américaine Delta Airlines de son côté a dévoilé le
14 juillet des résultats supérieurs aux attentes au deuxième trimestre,
enregistrant même son premier bénéfice net trimestriel depuis le début
de la pandémie, et s'est aussi montrée optimiste concernant la reprise
progressive du trafic (...)
>
Groupe Lufthansa : la nouvelle Eurowings Discover décolle demain
(source Air Journal) 23 juillet - (...) Le projet Ocean du groupe allemand réunissant en une unique
structure la low-cost Eurowings, CityLine et SunExpress (la fusion avec
Brussels Airlines ayant été rejetée) a été renommé Eurowings Discover
(4Y), et débute ses opérations le 24 juillet 2021 en Airbus A330-200.
Avec des départs de sa base de Francfort mercredi et samedi à 19h35 pour
arriver le lendemain à 5h10 à Mombasa-Moi, puis à 7h00 à Zanzibar-Abeid
Amani Karume à 7h00 ; les vols retour quittent la Tanzanie jeudi et
dimanche à 8h50 puis le Kenya à 11h00 pour se poser à 18h40.
Eurowings Discover est en concurrence avec Condor vers ces deux
destinations, dévoilées en octobre dernier par sa maison-mère Lufthansa
et donc désormais transférées à la nouvelle filiale – qui opère sous sa
propre responsabilité commerciale et opérationnelle, et partage ses
codes. En août, le programme des vols d’Eurowings Discover sera
complété par trois rotations hebdomadaires vers Punta Cana en République
Dominicaine, et cinq vers Windhoek en Namibie. Puis en octobre, elle
inaugurera de nouvelles liaisons vers Las Vegas aux États-Unis et vers
l’île Maurice (3 vols par semaine dans les deux cas).
Dans le
programme de vols d’hiver 2021, Bridgetown (Barbados), Montego Bay
(Jamaïque) et Varadero (Cuba) seront ajoutés au programme, avec trois
fréquences hebdomadaires chacune. Et en novembre verront le jour de
premières liaisons moyen-courrier, « vers les îles Canaries, l’Égypte et
le Maroc ». Le tout sous réserve de restrictions de voyage liées à la
pandémie de Covid-19.
« Le timing ne pourrait pas être meilleur.
Les gens peuvent enfin voyager à nouveau et nous sommes tous prêts à les
faire voler vers les plus belles destinations du monde », expliquait le
mois dernier Wolfgang Raebiger, CEO d’Eurowings Discover. « Nous avons
construit une compagnie aérienne en seulement un an – un objectif
ambitieux que nous avons atteint avec le grand soutien de l’ensemble du
groupe Lufthansa, une équipe motivée et en étroite coopération avec
l’Autorité fédérale de l’aviation allemande. Nous souhaitons exprimer
notre sincère gratitude à toutes les personnes impliquées ».
La
flotte d’Eurowings Discover se composera d’un maximum de onze appareils
au total cette année, et passera à 21 avions d’ici le milieu de l’année
prochaine (dix A320 et onze A330, tous provenant de la flotte du groupe
de Star Alliance). Côté passagers, grâce à l’intégration complète dans
le réseau d’alimentation de Lufthansa, les voyageurs « bénéficieront de
processus de réservation de bout en bout et d’un trafic de transfert
fluide ». Elle prévoit déjà d’ouvrir une deuxième base à Munich l’année
prochaine. (...)
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Ryanair perd 273 millions d'euros au premier trimestre
(source Le Journal de l'Aviation) 26 juillet - Ryanair a enregistré
une perte de 273 millions d'euros au premier trimestre, creusée de 47%
par rapport au premier trimestre 2020. En revanche, son chiffre
d'affaires a triplé, à 371 millions d'euros, sous l'effet de
l'augmentation des passagers : ils ont été 8,1 millions à monter à bord
de ses avions, contre 500 000 à la même période l'année dernière.
La low-cost souligne que le trimestre avait mal démarré, avec l'absence
de voyage à Pâques et un assouplissement tardif des restrictions de
voyage en Europe. Les incertitudes pesant autour des green lists et la
grande prudence du gouvernement irlandais ont maintenu la tendance aux
réservations tardives et les tarifs bas. (...) Ryanair s'attend à ce que son trafic augmente de 5 millions
de passagers en juin à 9 millions en juillet et 10 millions en août,
mais ses tarifs resteront bien au-dessous de ceux de 2019 pour stimuler
le trafic et retrouver ses coefficients de remplissage.
La
compagnie explique n'avoir aucune visibilité sur ses résultats
financiers pour l'année fiscale 2022 (débutée le 1er avril 2021) mais
espère enregistrer une faible perte ou un résultat à l'équilibre. Elle a
toutefois resserré ses prévisions de trafic à entre 90 et 100 millions
de passagers (au lieu de 80 à 120 millions de passagers), si aucune
rechute n'intervient dans le cours de la pandémie. Elle s'attend enfin à
un retour de ses taux de croissance à un niveau équivalent à 2019 durant
l'été 2022.
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Johan Lundgren, PDG d'EasyJet : « Non aux aides qui faussent la concurrence »
(source Le Journal du Dimanche) 25 juillet - Pour sa première sortie
du Royaume-Uni depuis plus d’un an, le Suédois à la tête du deuxième
transporteur européen derrière Ryanair a fait escale à Paris afin de
rencontrer ses équipes. Il a profité de cette occasion pour décrypter,
en exclusivité pour le JDD, comment la sortie de crise se dessine dans
le secteur aérien. Johan Lundgren assure que son entreprise est toujours
orientée vers la croissance, qui provient cet été des grandes capitales
européennes et des vols domestiques français.
Nous n’assurerons que 60 % de nos
vols par rapport à l’été 2019, mais surtout, c’est en Europe et non plus
depuis le Royaume-Uni, que nous allons en opérer le plus. Deux tiers de
nos passagers sont désormais en Europe. C’est grâce à eux que nous
allons poursuivre notre croissance, comme à Berlin, ou à Amsterdam où
nous programmons cette année plus de vols qu’en 2019. Globalement, nous
avons prévu de ne retrouver notre niveau d’activité d’avant crise qu’en
2023, avec des redémarrages très disparates selon les pays. Mais aucun
scénario n’est écrit. Vous avez enregistré 370 millions d’euros
de pertes pour le seul dernier trimestre. C’est en partie lié à
l’absence de la clientèle britannique ? Oui, et je suis très
critique face aux choix faits par le Royaume-Uni en matière de
restrictions de voyage. Pourquoi imposer une quarantaine aux gens qui
ont reçu leurs deux doses ? Le pays est en train de s’isoler quand
l’Europe redémarre, ce qui est ironique puisque la campagne de
vaccination y a commencé beaucoup plus tôt. L’Europe ouvre la voie pour
sortir de la crise. Et la France ? C’est historiquement
l’un de nos principaux marchés et cet été le trafic y redémarre très
vite. Notre programme de vols intérieurs s’est encore développé,
notamment avec un quatrième aéroport en Corse (Calvi), des vols vers
Toulon et au total sept bases dans l’Hexagone où sont positionnés des
avions et des équipages. Nous proposons plus de vols domestiques
qu’avant la pandémie. Ils représentent 70 % de notre activité, contre 30
% pour les vols vers l’étranger. C’était exactement le contraire il y a
deux ans. C’est un signe qu’il y a une forte demande pour les liaisons
intérieures et que notre stratégie était la bonne.
Votre
principal concurrent est donc la SNCF ? Nous n’opérons pas de
trajets pour lesquels il y a une véritable alternative par le train.
C’est valable en France comme dans toute l’Europe. Trois heures
constituent la limite à partir de laquelle les passagers basculent vers
l’avion. Je ne vois pas pourquoi ce comportement changerait et je ne le
souhaite pas. (...) Pendant
la crise, avez-vous reçu des aides de gouvernements, notamment français
? Nous avons beau être une compagnie low-cost, nous opérons en
France, avec des équipages basés en France et des salariés sous contrat
français. Cela nous a permis de bénéficier de l’activité partielle.
Au
Royaume-Uni, nous avons obtenu un prêt garanti par l’État. Je n’ai
jamais été contre ce type d’aides. Nous sommes face à une crise à
laquelle aucune société n’était préparée. Mais quand on voit les
montants d’aides accordés à certains, on peut craindre une distorsion de
la concurrence. Ce n’est pas juste et nous ne l’accepterons pas. Nous
sommes contre les aides d’État qui faussent la concurrence.
Comme les aides accordées à Air France-KLM ? Nous sommes la plus
grosse compagnie du Royaume-Uni, la deuxième en Europe et nous avons reçu
600 millions d’euros d’aides du gouvernement britannique contre plus de
10 milliards d’euros pour Air France-KLM et l’équivalent à quelques
autres. Encore une fois, je ne suis pas contre les aides. Nous utilisons
des infrastructures qui doivent recommencer à fonctionner. Mais nous
allons regarder si les fonds accordés l’ont été pour vraiment assurer la
survie de l’entreprise ou bien pour lui permettre de conserver des parts
de marché. Dans ce second cas, nous prendrons les mesures qui
s’imposent. Trouvez-vous le bashing de l’aérien injuste ?
Notre croissance ne peut plus se faire au prix d’un impact sur
l’environnement, comme cela a été le cas par le passé. EasyJet a été la
première compagnie à soutenir le système d’échanges de quotas de CO2
européen et à lancer la compensation carbone automatique et volontaire.
Toutes les tonnes de fuel que nous utilisons sont compensées par le
financement de projets, partout dans le monde, pour lutter notamment
contre la déforestation. Ce n’est pas un choix que nous offrons aux
passagers comme le font d’autres compagnies. Chez EasyJet, nous
l’intégrons dans nos opérations et dans nos coûts. Nous travaillons
aussi avec Airbus sur l’efficacité énergétique de nos avions. Nous
sommes très impliqués dans le développement d’appareils électriques et à
hydrogène car tôt ou tard, les technologies seront au point et ils
voleront. Airbus a dit qu’il aurait un avion zéro émission en 2035. Cela
va changer la donne et nous voulons être les premiers à le faire.
Vos efforts peuvent-ils être pris en compte dans le projet de taxe
européenne du secteur aérien à l’étude ? Je pense que
nous sommes la seule compagnie européenne 100 % favorable à la mise en
place d’une taxe sur le carburant. Mais à certaines conditions : que le
revenu de la taxe soit investi directement dans les projets destinés à
décarboner l’aviation. Il faut aussi que la taxe soit appliquée à tous et de façon
juste. La Commission européenne parle d’exempter certaines compagnies…
On sait que la majorité des émissions viennent des vols long-courriers.
Il est impensable que ce type de trajets – ou que le trafic dans des
hubs – ne soient pas pris en compte. Même si cela favorise les grandes
compagnies nationales, ce qui semble être l’objectif recherché. Enfin,
cette taxe européenne devra remplacer les taxes nationales qui sont
censées viser des objectifs environnementaux, mais qui finissent souvent
dans les caisses des gouvernements.
>
Créneaux aéroportuaires dans l'UE: le maintien des règles critiqué
(source Le Figaro avec AFP) 26 juillet - Bruxelles a proposé
lundi de prolonger pour l'hiver 2021-2022 l'allègement temporaire des
règles sur les créneaux aéroportuaires des compagnies,
s'attirant les critiques de l'Association internationale du transport
aérien qui réclame un nouvel assouplissement. Les règles
européennes prévoient en temps normal que les compagnies doivent
utiliser au moins 80% des créneaux de décollage et d'atterrissage qui
leur sont attribués dans les aéroports, sans quoi elles perdent leurs
droits la saison suivante. Après
une suspension de ces règles au début de la pandémie en mars 2020 pour
éviter que les compagnies n'opèrent des vols à vide dans le but de
garder leurs créneaux, Bruxelles avait recommandé un retour progressif à
la normale. Depuis le 28 mars 2021, les compagnies sont tenues
d'utiliser 50% de leurs créneaux de décollage et d'atterrissage
prévus pendant l'été 2021 pour pouvoir les conserver lors de la
saison suivante. «Alors que le secteur de l'aviation
commence à se remettre de l'impact de la crise du Covid-19, la
Commission reste déterminée à maintenir l'allégement des règles ordinaires d'attribution
des créneaux horaires pour les compagnies aériennes», a-t-elle souligné
dans un communiqué. Elle propose donc de poursuivre cet allègement pour
la prochaine saison de planification des horaires d'hiver, du 31 octobre
au 27 mars 2022. (...) L'Association internationale du
transport aérien (IATA) a jugé que cette proposition était
«déconnectée de la réalité» pour la saison d'hiver, dans un communiqué
publié vendredi avant l'annonce officielle.
Elle a
reproché à la Commission d'avoir «ignoré» les arguments d'États membres
et du secteur aérien qui avaient plaidé «pour un seuil beaucoup plus
bas», soulignant que la demande en hiver est toujours inférieure à celle
d'été. (...) La
proposition doit encore être approuvée par le Parlement européen et
formellement endossée par le Conseil, représentant les États membres.
Fin de la revue de presse
>
Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Vous trouverez sur mon site
navigaction
les modalités d'accès aux sites des gérants.
Pour éviter
d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants,
Natixis, Société Générale, votre établissement financier personnel si
vous avez acheté vos actions par celui-ci.
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Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 4,012 euros en clôture
lundi 26 juillet. Elle est en forte hausse cette semaine de +5,80%.
Elle a repris cette semaine ce qu'elle avait perdu la semaine
précédente.
Avant l'épidémie de coronavirus, l'action Air France-KLM
était à 9,93 euros.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 3,24 euros.
L'objectif de cours le plus élevé est à 5 euros, le plus bas à 1 euro. Vous pouvez
retrouver sur mon blog le détail du consensus des analystes. Je ne
prends pas en compte les opinions d'analystes antérieures au début de
la crise sanitaire.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est
en forte hausse de 6$ à 75$. Il a repris cette semaine ce qu'il avait
perdu la semaine précédente.
Depuis un point bas fin octobre 2020
(37$) il augmente régulièrement.
Alors que se profile la reprise du trafic
aérien, ce prix élevé est une mauvaise nouvelle pour les compagnies
aériennes.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
salariés et anciens salariés actionnaires PNC et PS. Vous pouvez me retrouver sur mon
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Lors de mon élection, j'ai
reçu le soutien de la CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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