N°824, 6 septembre 2021
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La Revue de Presse du lundi
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Air France supprime la Navette Orly-Montpellier : est-ce la fin du trafic «affaires» ?
(source Le Figaro) 6 septembre - À partir du 8 novembre, Air France
met fin à sa liaison Orly-Montpellier au profit de sa filiale Transavia,
avec, comme conséquence, une diminution drastique de la fréquence des
vols quotidiens. Une mauvaise nouvelle pour les passagers affaires, en
grand nombre sur cette ligne. Dans un communiqué triomphaliste,
Transavia annonçait cet été l'ouverture dès le 8 novembre
de la ligne
Montpellier - Paris-Orly, avec «jusqu'à quatre vols par jour». Une bonne
nouvelle, en apparence. En apparence seulement, car l'annonce omettait
de dire que s'arrêtait le même jour la navette Air France. Laquelle
opérait jusqu'à dix vols par jour sur cette même liaison et transportait
500.000 passagers par an. On revoit ainsi à Montpellier exactement ce à
quoi on assistait à Biarritz il y a quelques mois : le transfert de
cette ligne vers Paris-Orly à Transavia, assorti d'une baisse drastique
du nombre de fréquences quotidiennes. Pouvait-il en être
autrement ? Transavia dispose de Boeing 737 de 149 places, quand Air
France peut, selon la demande, employer des avions de 100 à 212 places.
Si Biarritz est une destination essentiellement loisirs, Montpellier en
revanche a été élevée il y a 5 ans au rang de « navette » comme Nice et
Toulouse, en raison de son important trafic affaires. À cette occasion,
Air France avait exigé de l'aéroport de Montpellier un certain nombre
d'aménagements, comme une file rapide pour les contrôles de sécurité -
la « Sky priority » - un salon et un guichet prioritaire pour ses
passagers fréquents, comme il est d'usage avec les compagnies adhérentes
à Skyteam. Ce parcours au sol rapide avait permis d'augmenter le nombre
de passagers de 20%. Mais, avec Transavia, finies les files rapides,
fini l'enregistrement prioritaire, fini le salon... Avec trois vols par
jour, Transavia se consacrera donc exclusivement au trafic loisirs,
délaissant une clientèle affaires pourtant la plus rémunératrice, au
profit du TGV, qui, lui, peut aligner jusqu'à dix fréquences
quotidiennes. Dans le même temps, Air
France continuera d'assurer la liaison entre Montpellier et
Paris-Charles de Gaulle, au rythme de quatre ou cinq liaisons
quotidiennes. Si l'on ajoute les vols de Transavia à Orly à ceux d'Air
France à Charles de Gaulle, l'offre pourrait être très correcte pour les
passagers « affaires ». Mais il y a un bémol de taille : les billets de
l'une et de l'autre compagnie ne peuvent être combinés. Ainsi, si vous
partez d'Orly vers Montpellier avec Transavia et que vous revenez à
Charles de Gaulle avec Air France, votre voyage sera considéré comme
deux allers simples. Or, les billets les plus intéressants avec Air
France sont toujours des aller-retour... De même, les abonnés
ou les statuts Gold ou Platinum sur Air France auront le droit, à
l'aller au départ de Charles de Gaulle, au Sky Priority, au salon et au
choix du siège gratuit, mais pas pour le trajet retour vers Orly. Autre
écueil, si la taille du bagage cabine a bien été uniformisée entre les
deux compagnies, les limites de poids diffèrent toujours : 10 kg chez
Transavia contre 12 kg chez Air France en cabine, et 20 kilos pour
Transavia contre 23 kilos pour Air France en soute. Enfin, les cartes de
réduction Abonné, Week-end, Senior ou Jeune, ne sont évidemment pas
acceptées sur Transavia. De telles dissonances entre deux
compagnies appartenant au même groupe ne sont plus de mise de nos jours.
Si l'on regarde du côté des trains, la SNCF a, par exemple, mis en place
un groupe de travail qui étudiera, à partir de l'année prochaine, les
façons de rendre compatibles les billets Ouigo et TGV. Cela est d'autant
plus absurde que Transavia est la seule compagnie à offrir des miles et
des XP à ses usagers, sans pour autant leur reconnaître les statuts
Flying Blue de l'alliance Skyteam. Cela marque aussi la fin
progressive des correspondances à Orly vers les DOM TOM, New York et les
autres villes en régions. Transavia, comme toute compagnie low-cost,
n'assure pas les correspondances. Ni entre ses vols ni avec ceux d'Air
France. Par exemple, un passager qui ferait un Toulon-Brest via Orly
avec deux vols Transavia sera obligé de se débrouiller lui-même, de
réenregistrer ses bagages et de refaire le parcours de sûreté. Même
chose pour un passager partant de Biarritz pour un vol vers les Antilles
ou La Réunion avec un premier vol Transavia suivi d'un vol long-courrier
sur Air France. Vous avez dit compliqué ?
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KLM : une aide supplémentaire est nécessaire
(source De Telegraaf, traduit avec Deepl) 1er septembre -
KLM a déclaré à De Telegraaf
qu'elle aura besoin d'une aide supplémentaire lorsque le programme NOW sera
arrêté après le 1er octobre. Transavia peut s'en sortir sans aide
supplémentaire. Un porte-parole de KLM a déclaré que la compagnie
aérienne est reconnaissante du soutien qu'elle a reçu jusqu'à présent,
mais souligne que les secteurs du voyage et du tourisme subissent
toujours une pression importante en raison de la crise du coronavirus.
Ce soutien était encore incroyablement important, il est donc dommage
qu'il soit interrompu", a noté le porte-parole. KLM se réjouit de la
nouvelle selon laquelle le gouvernement a laissé "une ouverture" pour
d'éventuelles mesures de soutien au quatrième trimestre pour les
industries fortement touchées, et est favorable à une "interprétation
appropriée" des mesures de soutien supplémentaires, a ajouté le
porte-parole. Le journal note brièvement que la capacité
inférieure aux prévisions avec laquelle KLM a pu fonctionner pourrait
avoir un impact sur sa capacité à rembourser le prêt de 3,4 milliards
d'euros accordé par les banques et l'État néerlandais. KLM pourrait
également être contrainte d'introduire de nouvelles mesures de réduction
des coûts, spécule le journal.
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Lufthansa ne compte pas sur un assouplissement de l'interdiction d'entrée aux États-Unis avant Noël
(source ANP, traduit avec Deepl) 3 septembre - La compagnie aérienne allemande
Lufthansa
ne s'attend pas à ce que l'interdiction d'entrée aux États-Unis pour les
voyageurs européens soit levée avant Noël. Un assouplissement des
restrictions d'entrée n'est pas attendu de manière réaliste avant la fin
du quatrième trimestre, a déclaré Harry Hohmeister, membre du conseil
d'administration, lors d'une conférence en ligne organisée par le
magazine TravelTalk de fvw. Chez Lufthansa, on espérait que
l'interdiction des voyages non essentiels, en vigueur depuis mars
dernier en raison de la pandémie de corona, serait levée en juillet de
cette année. Le directeur général de Lufthansa, Carsten Spohr, a alors
fixé son objectif pour septembre, mais a rapidement indiqué qu'il ne se
sentait plus capable de faire des prédictions. L'Union
européenne a levé ses restrictions sur les voyageurs américains en juin.
M. Hohmeister a déclaré ne pas comprendre la logique qui sous-tend la
décision des États-Unis de maintenir une interdiction d'entrée pour les
Européens, étant donné que les taux de vaccination aux États-Unis et
dans de nombreux pays d'Europe sont à des niveaux similaires. Le
fait que les vols au départ des États-Unis restent rentables pour
Lufthansa, malgré la faiblesse de la demande, n'est pas seulement dû aux
citoyens américains qui effectuent des vols transatlantiques, mais aussi
à un boom dans le secteur du fret aérien. Lufthansa remplit ses avions
de passagers "à ras bord avec du fret", déclare M. Hohmeister.
Il y
a quelques jours, M. Spohr a prédit un "hiver long et froid" pour le
groupe aérien, d'autant que la Chine ne devrait pas non plus assouplir
les restrictions sur les voyages avant le deuxième trimestre de l'année
prochaine. En temps normal, Lufthansa tire une grande partie de ses
bénéfices des vols long-courriers vers l'Amérique du Nord et l'Asie.
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Boeing voit s'envoler une méga-commande de Ryanair
(source Les Échos) 6 septembre - Du pur Ryanair ! Alors que la
compagnie low-cost irlandaise faisait miroiter depuis des mois une
possible nouvelle méga commande de Boeing 737 Max, son directeur
général, Michael O'Leary, annonce publiquement l'échec des négociations
avec l'avionneur américain, non sans un coup de griffe au passage.
Dans un communiqué diffusé lundi, Ryanair clame à qui veut l'entendre
que les discussions engagées « depuis plus de dix mois au sujet d'une
importante nouvelle commande de Max 10 […] se sont terminées sans aucun
accord sur le prix ». « Par conséquent les deux parties ont convenu de
ne plus perdre de temps sur ces négociations », indique la compagnie,
dans son style sans langue de bois. « Nous ne partageons pas les perspectives de prix optimistes de Boeing,
bien que cela puisse expliquer pourquoi, ces dernières semaines,
d'autres grands clients de Boeing, tels que Delta et Jet2, ont passé de
nouvelles commandes à Airbus, plutôt qu'à Boeing », ajoute Michael
O'Leary, en guise de coup de pied de l'âne. Jusqu'à présent,
Ryanair avait toujours réussi à s'entendre avec Boeing, notamment en lui
passant commande de 75 B737 Max 8 supplémentaires en décembre dernier,
même si c'était au prix de grosses réductions. Avec 210 appareils en
commande, la flotte de Ryanair devrait dépasser les 600 appareils d'ici
à 2025, tous des Boeing 737. Mais dans le cas présent, Boeing voit s'envoler une commande
potentielle de 200 Max, d'une valeur théorique, hors réduction,
d'environ 25 milliards de dollars, alors que son mono couloir a bien
besoin de redorer son blason. Circonstances aggravantes, ce revers
concerne la toute nouvelle version du 737, le Max 10, encore en cours de
certification. Capable d'emporter jusqu'à 230 passagers, contre
197 pour la version précédente la plus densifiée, le 737 Max 10 est
censé donner la réplique au nouveau super best-seller d'Airbus, l'A321.
Mais pour l'heure, il semble bien en peine de rattraper son concurrent.
Aux cours des dernières semaines, l'Airbus A321 a encore remporté deux
beaux succès face à Boeing et son 737 Max, l'un auprès de la compagnie
américaine Delta pour 30 A321 et l'autre auprès de la low-cost anglaise
Jet2. Toutefois, le refus de
Boeing de brader ses Max correspond aussi à un choix stratégique, qui
est de privilégier la restauration de sa rentabilité sur celle de ses
parts de marché. Or la stratégie de Ryanair a toujours reposé sur
l'obtention d'énormes ristournes (de l'ordre de 50 %, dit-on) en
contrepartie de très grosses commandes. A l'instar des loueurs de
voitures, Ryanair a en effet gravé dans son modèle économique, la
revente de ses avions dès que leur prix sur le marché de l'occasion
croise celui du prix d'achat au rabais. Reste à savoir qui de
Ryanair ou de Boeing craquera le premier. Pour l'heure, l'un comme
l'autre semblent pouvoir patienter. Malgré un été encourageant, la
reprise du trafic aérien est encore incertaine et incomplète. Quant au
Boeing 737 Max, les premières livraisons ne débuteront pas avant 2023. A
moins que d'ici là, Ryanair se décide enfin à passer commande à Airbus.
Ce qui reste toutefois très peu probable, le passage à une flotte
composite étant une source de surcoût fondamentalement contraire au
modèle low-cost.
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Airbus : première cabine Airspace chez Lufthansa
(source CercleFinance) 6 septembre - Airbus indique que Lufthansa a
démarré l'exploitation de son premier appareil de la famille A320,
équipé de sa nouvelle cabine Airspace, en faisant le premier opérateur
en Europe à introduire les nouvelles caractéristiques de cette cabine
sur un monocouloir. En 2018, la compagnie allemande, cliente de
longue date de la famille A320 et l'un des plus grands exploitants
d'Airbus au monde, a choisi d'équiper de cabines Airspace plus de 80 de
ses nouveaux appareils de la famille A320 commandés à Airbus.
Les nouvelles caractéristiques d'Airspace comprennent notamment des
panneaux de parois latérales plus minces, une meilleure vue au travers
les hublots, des coffres à bagages plus grands, ainsi que les dernières
technologies d'éclairage full LED.
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Le transport aérien inquiet après les nouvelles restrictions annoncées
(source Franceinfo) 5 septembre - Files d’attentes au passage de la
sûreté, ou à l’enregistrement, longues queues au décollage sur certains
grands hubs, le bilan de cette saison estivale a finalement été meilleur
que prévu pour les professionnels du transport aérien européen.
En août, le nombre de passagers a ainsi atteint 71% du niveau de 2019
avant la crise sanitaire dépassant les prévisions les plus optimistes de
l’organisme de surveillance Eurocontrol. Ailleurs dans le monde,
aux États-Unis, le trafic domestique n’accusait plus en juillet qu’une
baisse de 28% par rapport à la même période de 2019. Et en Chine, marché
jusqu’à la très hermétique, les compagnies aériennes ont réduit leurs
pertes de près de 50% cet été. Malgré ce vent d’optimisme,
une partie du secteur ne cachent pas son inquiétude de voir se répéter
le scénario de 2020 : Un été marqué par une belle reprise, avant une
rechute catastrophique avant l’arrivée d’une deuxième puis troisième
vague de l’épidémie. Aujourd’hui, les professionnels naviguent
à vue. Michael O'Leary, le patron de Ryanair, s’attend à un hiver
difficile après avoir annoncé un retour aux bénéfices cet été. Son
homologue de la Lufthansa évoque un hiver "à nouveau long et froid".
Quant au groupe Air France-KLM qui a déjà perdu plus de 10 milliards
d’euros depuis le début de la crise, il se garde de toutes prévisions de
trafic pour le quatrième trimestre. (...)
Pour relancer l’activité du secteur qui a perdu 126 milliards de dollars
rien qu’en 2020, IATA a exhorté cette semaine, les gouvernements à
rétablir la liberté de voyager. Le transport aérien, secteur mondialisé
par excellence doit composer avec des mesures gouvernementales
"fragmentaires, unilatérales et transitoires, insoutenables", étant
donné que nous vivrons avec le Covid pendant encore un certain
temps, ont également argumenté les promoteurs d’un consortium pour la
sécurité sanitaire mondiale, parmi lesquels l’ancien Premier ministre,
Tony Blair. Ils appellent le G20 à la mise en place d’un certificat de
vaccination reconnu dans le monde entier pour relancer les liaisons
aériennes entre les continents.
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Nicolas Notebaert (Vinci Airports): "il faut un pass sanitaire au niveau mondial"
(source BFM Éco) 3 septembre - Alors que le trafic aérien a redécollé
cet été grâce à la vaccination, le patron des aéroports de Vinci
souhaite que le système du pass sanitaire soit étendu dans le monde.
(...)
Si le tourisme et le voyage familial ont permis au secteur de redécoller
cet été, l'ensemble du trafic reste néanmoins en retrait par rapport aux
années d'avant crise. Selon le patron de Vinci Airport, le trafic au
global était en retrait de 63% en juillet par rapport à 2019. La faute à
l'activité d'affaires qui n'a pas repris en Europe et aux nombreuses
restrictions qui perdurent. C'est pour permettre la reprise de ce trafic
que Nicolas Notebaert souhaite un pass sanitaire global. "Il
faut signaler le grand succès du pass sanitaire européen, se
félicite-t-il, les voyageurs l'ont vu cet été; les Européens ont voyagé
avec cette initiative sanitaire et technologique qu'est le QR Code.
Il
faut un outil harmonisé qui fluidifie le passage dans les aéroports. La
solution c'est que les grandes zones du monde, les États-Unis, l'Europe
et l'Asie reconnaissent les mêmes vaccins avec un outil commun. Nous
appelons à la généralisation du pass sanitaire au niveau mondial." (...)
Fin de la revue de presse
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Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Vous trouverez sur mon site
navigaction
les modalités d'accès aux sites des gérants.
Pour éviter
d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants,
Natixis, Société Générale, votre établissement financier personnel si
vous avez acheté vos actions par celui-ci.
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Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 3,907 euros en clôture
lundi 6 septembre. Elle est en baisse cette semaine de -1,76%.
Avant l'épidémie de coronavirus, l'action Air France-KLM
était à 9,93 euros.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 3,24 euros.
L'objectif de cours le plus élevé est à 5,5 euros, le plus bas à 1 euro. Vous pouvez
retrouver sur mon blog le détail du consensus des analystes. Je ne
prends pas en compte les opinions d'analystes antérieures au début de
la crise sanitaire.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est en
légère baisse de 1$ à 72$.
Depuis un point bas fin octobre 2020
(37$) il a régulièrement augmenté, jusqu'à franchir atteindre 69$ début
mars 2021. Depuis cette date, il oscille entre 69$ et 77$.
Alors que se profile la reprise du trafic
aérien, ce prix élevé est une mauvaise nouvelle pour les compagnies
aériennes.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
salariés et anciens salariés actionnaires PNC et PS. Vous pouvez me retrouver sur mon
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reçu le soutien de la CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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