N°826, 20 septembre 2021
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« Travel ban » : une réouverture du ciel américain très attendue par les compagnies aériennes
(source Les Échos) 20 septembre - C'est LA nouvelle que toutes les
compagnies aériennes américaines et européennes attendaient avec
impatience, depuis plusieurs semaines. Avec la levée même partielle des
restrictions d'entrée aux États-Unis pour les voyageurs européens
vaccinés , début novembre, c'est en effet une part majeure de leur
activité qui va enfin pouvoir reprendre dans les deux sens. De quoi
ressortir de la naphtaline quelques avions gros-porteurs long-courriers
et atténuer un peu les craintes d'une rechute brutale du trafic cet
hiver, après l'embellie estivale. Initialement espérée pour le début de l'été, la
réouverture des frontières américaines avait été retardée par le regain
de l'épidémie en Europe. Toutefois, la réouverture unilatérale des
frontières européennes aux touristes américains avait déjà apporté un
peu d'air aux compagnies européennes, les Américains ayant été plus
nombreux que prévu à revenir en Europe. Le PDG de Lufthansa , Carsten
Spohr, avait ainsi indiqué que, même amputées de la clientèle des
Européens, les lignes américaines étaient déjà redevenues, dès cet été,
les plus importantes du réseau long-courrier de la compagnie allemande.
De toutes les destinations long-courrier, les États-Unis sont en
effet, de loin, la plus importante pour les compagnies européennes. En
France, les États-Unis sont la première destination long-courrier
internationale des aéroports français, avec 8,88 millions de passagers
en 2019 (et 411.594 tonnes de fret). En 2020, il en restait encore 1,7
million. Le directeur général d'Air France-KLM, Benjamin Smith,
avait d'ailleurs clairement lié la réalisation des objectifs pour 2021 à
la réouverture des frontières américaines. D'autant que les deux
compagnies avaient pris le risque de remettre beaucoup d'offres sur le
marché. À lui seul, le marché nord-américain représente
en effet 40 % du chiffre d'affaires long-courrier d'Air
France-KLM. Ce lundi, le
dirigeant canadien a salué une « nouvelle formidable ».
Ses
principaux concurrents, IAG et Lufthansa, sont tout aussi intéressés.
Le
marché américain pèse en effet plus du quart de l'offre de British
Airways et de Lufthansa. La Bourse ne s'y est d'ailleurs pas trompée.
Avant même la confirmation de la bonne nouvelle, l'action Air France
était en hausse de plus de 5 % à Paris, tandis que celle de Lufthansa
gagnait 6 % à Francfort et que le titre IAG bondissait de 11 % à
Londres.
La Revue de Presse du lundi
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Air France Boeing Jet Makes Emergency Landing in Beijing (Un Boeing d'Air France fait un atterrissage d'urgence à Pékin)
(source Bloomberg, traduit avec Deepl) 18 septembre - Un vol Air
France-KLM a effectué un atterrissage d'urgence peu après son décollage
de Pékin après que le Boeing 777 ait subi une défaillance technique
et que de la fumée ait envahi la cabine. Le vol, à destination
de l'aéroport de Paris-Charles de Gaulle, est revenu à l'aéroport de
Pékin 14 minutes après son départ, a indiqué le transporteur dans un
communiqué samedi. Les passagers ont déclaré avoir entendu une forte
détonation avant que de la fumée noire ne commence à envahir la cabine,
selon le Beijing Daily. Aucun blessé n'a été signalé.
Un porte-parole de Boeing a renvoyé à Air France pour toute
information sur l'incident. "Une défaillance du système
pneumatique de l'avion a entraîné une surpression dans l'un des tuyaux
de la climatisation, ce qui a répandu des résidus et de la poussière
dans la cabine", a déclaré Air France dans son communiqué. Des
travaux de maintenance seront effectués sur l'appareil, et les passagers
se sont vus proposer des vols alternatifs vers Paris, a précisé la
compagnie.
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Vliegtickets fors duurder door Schiphol (Des billets d'avion nettement plus chers à cause de Schiphol)
(source De Telegraaf, traduit avec Deepl) 19 septembre - Les
compagnies aériennes KLM et easyJet trouvent inacceptable l'augmentation
proposée de 40% des frais aéroportuaires au cours des trois prochaines
années. Un billet de 100 euros est assorti d'environ 50 euros
de taxes et de frais aéroportuaires. Cette augmentation serait de 20 euros.
Fin octobre, les compagnies aériennes et Schiphol doivent
trouver un compromis sur les nouveaux tarifs. "Étant donné le manque à
gagner en 2020 dû à la crise du coronavirus, KLM peut comprendre une
certaine augmentation des tarifs. Cependant, KLM estime que les
augmentations de tarifs proposées par Schiphol sont disproportionnées et
peu judicieuses, car elles étoufferont dans l'œuf la reprise naissante",
déclare la compagnie aérienne.
KLM terminera l'année avec une nouvelle
perte, car de nombreuses frontières hors d'Europe sont toujours fermées.
Schiphol veut augmenter considérablement ses tarifs, afin de compenser
partiellement les pertes. Cependant, l'aéroport est toujours en bonne
santé financière, avec des fonds propres de 3,6 milliards d'euros à la
fin du mois de juin et une solvabilité de 38%.
EasyJet, le
deuxième acteur le plus important de l'aéroport après le groupe KLM,
affirme que l'augmentation n'est pas souhaitable pour le moment. (...) En raison de l'augmentation des
redevances, il est plus difficile de rester attractif en tant
qu'aéroport de transit. "La position des Pays-Bas dans le secteur
mondial de l'aviation est menacée. Les aéroports des pays environnants
n'intègrent pas les effets de l'effet coronavirus, ou le font dans une bien
moindre mesure, dans leurs tarifs", a déclaré KLM."
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Vueling rafle la totalité des "slots" lâchés par Air France à Orly pour faire passer l'aide de l'État français
(source La Tribune) 20 septembre - C'est une victoire par KO pour
Vueling. La Commission européenne vient d'annoncer l'attribution de
l'intégralité des créneaux mis à disposition par Air France sur
l'aéroport de Paris-Orly - mesure exigée par Bruxelles en contrepartie
des aides d'État accordées par la France - à la compagnie ibérique,
filiale à bas coût du groupe IAG. Vueling obtient ainsi pas moins de 18
créneaux quotidiens supplémentaires (soit 9 aller-retour par jour) sur
l'aéroport parisien et pourra les exploiter à partir de novembre. Leur
transmission doit désormais être finalisée entre les deux compagnies.
Cette attribution s'est faite selon une procédure ouverte, selon
Margrethe Vestager, vice-présidente exécutive de la Commission
européenne chargée de la politique de concurrence. Selon le communiqué,
c'est ainsi « la Commission, assistée du mandataire chargé de la
surveillance, (qui) a examiné en détail les propositions reçues en
accordant la priorité aux transporteurs exploitant déjà une base à
l'aéroport de Paris-Orly, et en classant ensuite les propositions selon
le niveau de capacité et de connectivité que déploieraient les
transporteurs en faisant usage des créneaux mis à disposition par Air
France.» Cette façon de procéder diffère des redistributions classiques
au cours desquelles les créneaux sont redistribués à 50-50 entre les
nouveaux entrants et les acteurs déjà présents sur la plateforme.
Chantre de la concurrence en Europe, Margrethe Vestager a déclaré :
« Cela permettra à Vueling d'élargir ses activités dans cet aéroport
très saturé et contribuera ainsi à garantir des prix équitables et un
choix accru pour les consommateurs européens. Cela contribue également à
ce que le soutien en capital considérable accordé à Air France permette
à cette compagnie aérienne de surmonter les difficultés financières dues
à la pandémie de COVID-19 sans fausser indûment la concurrence sur le
marché unique. » (...) Air France, comme
Lufthansa avant elle à Francfort et Munich, avait dû s'engager à rendre
une partie de ses créneaux à Orly pour bénéficier de 4 milliards d'euros
d'aides de la part de l'État français et ainsi boucler sa
recapitalisation au printemps dernier.
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American Airlines investit 200 millions de dollars dans GOL
(source Businesstravel) 17 septembre - American Airlines a signé une
lettre d'intention avec GOL, qui verra le transporteur américain prendre
une participation de 5,2% dans la plus grande compagnie aérienne du
Brésil. Dans le cadre de l'accord, les deux transporteurs
établiront un accord exclusif de partage de codes, GOL devenant le seul
partenaire de partage de codes d'AA au Brésil et American devenant le
seul partenaire de partage de codes de GOL aux États-Unis. (...) American investira 200 millions de dollars dans GOL en
échange d'une participation de 5,2 % dans le capital et aura le droit de
nommer un membre au conseil d'administration de GOL. (...)
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Lufthansa veut lever plus de 2 milliards d'euros pour rembourser les aides de l'Allemagne
(source Les Échos) 19 septembre - Vaste opération en perspective chez
l'allemand Lufthansa. Le premier groupe de transport aérien européen
(qui englobe outre la compagnie éponyme, Swiss, Austrian Airlines ou
encore Brussels Airlines) a annoncé dimanche soir
qu'il allait tenter de
lever 2,1 milliards d'euros par une augmentation de capital. Cette
opération, validée par le conseil d'administration, démarrera mercredi
et durera jusqu'au 5 octobre. Le prix de l'action a été fixé à 3,58
euros soit une décote de presque 40 % par rapport au prix théorique
moins les droits de vote (TERP). Cette émission de capital doit
permettre à Lufthansa de consolider ses comptes et surtout
de rembourser
une partie des aides délivrées par l'Allemagne au plus fort de la crise,
via le Fonds de stabilisation économique. En 2020, alors que le trafic
aérien s'effondrait, Berlin avait pris 20 % du groupe. Mais le
gouvernement allemand et Lufthansa avaient toutefois pris des
engagements auprès de Bruxelles pour rembourser les aides. Objectif,
ramener la part de l'État à son niveau d'avant-crise dans un délai de 2
ans. Le désengagement a déjà commencé puisque l'État fédéral ne détient
désormais plus « que » 16 % du groupe. « Nous avons toujours été
très clairs sur le fait que nous ne retiendrons le Fonds de
stabilisation que le temps nécessaire. Nous sommes par conséquent fiers
de pouvoir respecter notre promesse et rembourser les mesures plus vite
que prévu. Nous pouvons désormais nous concentrer pleinement sur la
poursuite de la transformation du groupe Lufthansa » explique Carsten
Spohr, PDG de Deutsche Lufthansa AG, dans un communiqué. (...) Lufthansa a
affiché un Ebitda ajusté négatif de 852 millions d'euros, le retour dans
le vert n'étant prévu qu'au troisième trimestre. Ses pertes restent
conséquentes et surtout, le remplissage de ses vols restent très
insuffisant, avec 7 millions de passagers soit seulement 17 % du trafic
avant crise. Mais Lufthansa devrait revenir à 50 % du trafic de 2019
« dans les prochains mois », notamment grâce au rebond des voyages
d'affaires.
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Shell veut produire à grande échelle du biocarburant pour l'aérien
(source Reuters) 20 septembre - Royal Dutch Shell prévoit de débuter
d'ici 2025 la production à grande échelle de carburant durable pour
l'aviation, une démarche destinée à encourager les compagnies aériennes
mondiales à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Le
groupe pétrolier a annoncé son intention de produire 2 millions
de tonnes de carburant aérien durable d'ici 2025, soit dix fois plus que la
production totale actuelle en la matière à l'échelle mondiale.
Avec le recours au carburant durable, fabriqué notamment à partir
d'huiles de cuisson usagées, les émissions de gaz à effet de serre du
secteur aérien, qui représentent 3% des émissions mondiales, pourraient
diminuer jusqu'à 80%, selon Shell. Pour l'heure, Shell fournit
uniquement des carburants durables produits par d'autres firmes, comme
le groupe finlandais Neste. (...) Shell souhaite que, d'ici
2030, 10% de ses ventes de carburant au secteur aérien concernent du
carburant "vert".
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L'Union européenne s'apprête à ouvrir un boulevard à Qatar Airways
(source La Tribune) 16 septembre - C'est un dossier vieux de plus de
cinq ans qui est sur le point d'aboutir. L'Union européenne et ses États
membres sont sur le point de valider un accord de ciel ouvert avec le
Qatar. Autrement dit un accord de libéralisation des services aériens
permettant notamment aux compagnies aériennes membres de cet espace de
pouvoir desservir n'importe quelle ville sans aucune restriction en
termes de capacités ou de fréquence des vols. (...) Dès cet automne, Qatar Airways va donc
obtenir des droits de troisième et quatrième libertés sans limitation au
niveau des routes, de la capacité et des fréquences, entre n'importe
quel point du Qatar et de l'Union européenne. Une première pour un
transporteur du Golfe. La compagnie nationale va donc pouvoir faire
fonctionner son hub à plein régime vers l'Europe une fois que le trafic
long-courrier repartira de l'avant. Certes, ces droits sont
également octroyés aux transporteurs européens, mais ils sont bien moins
intéressants. Au vu du faible volume que représente la desserte du
Qatar, Air France, Lufthansa et les autres n'auront aucun intérêt à
déployer de la capacité vers Doha. L'accord prévoit tout de même
une période transitoire de cinq ans pour le trafic sur l'Allemagne, la
Belgique, la France, l'Italie et les Pays-Bas qui, contrairement aux
autres pays européens, n'avaient pas encore libéralisé leur ciel via des
accords bilatéraux avec le Qatar. Actuellement, la France accorde 42
fréquences à Qatar Airways, dont la moitié sur Paris. Elle passera
progressivement à 96 d'ici la saison IATA hiver 2023-2024, puis ouvrira
complètement son ciel l'année suivante. Sur l'activité cargo, l'accord va encore plus loin en
accordant un droit de cinquième liberté, soit la possibilité pour une
compagnie qatarie d'effectuer des vols entre l'Union européenne et des
pays tiers. Dans un premier temps, cela concernera uniquement les
États-Unis, avec qui le Qatar et l'Europe possèdent déjà des accords de
ciel ouvert. Mais en théorie, cette cinquième liberté pourra être
étendue à tout pays nord ou sud-américains. En contrepartie, les
opérateurs aériens européens pourront desservir la majeure partie de
l'Asie et de l'Océanie depuis le Qatar, mais là encore l'intérêt est
limité. Bruxelles a tout de même mis quelques garde-fous et
cette cinquième liberté ne sera jamais pleinement accordée : limitée à
quatre fréquences hebdomadaires par État membre au moment de la
signature, elle ira jusqu'à un maximum de sept lors de la saison IATA hiver
2023-2024. (...) Pourquoi l'Union européenne s'apprête-elle à accorder autant de
droits à un pays dont la compagnie nationale rêve de tailler des
croupières aux compagnies du Vieux Continent ?
Selon un connaisseur du
dossier, Bruxelles mise sur les contreparties qui seront demandées au
Qatar en termes de respect des règles de la concurrence, de la
transparence et du droit social. Un accord de « fair competition » en
somme, avec des conditions drastiques qui auront pour objectif de
rééquilibrer les débats entre Qatar Airways et ses concurrents
européens. Également en négociation avec Bruxelles ces dernières années,
les Émirats Arabes Unis avaient fini par renoncer en 2019 jugeant a
priori l'accord trop contraignant au vu des bénéfices potentiels.
Sur le papier, le Qatar va s'engager par cet accord à interdire et
éliminer toute forme de discrimination, de pratique déloyale, ou de
subvention « qui serait de nature à compromettre les conditions de
concurrence loyales et équitables des transporteurs aériens de l'autre
partie ». L'accord comprend tout de même des exceptions, avec la
possibilité pour les États de fournir
un soutien temporaire aux transporteurs aériens en difficulté, sous
certaines conditions de restructuration. Pour s'assurer du
respect de ces conditions, chaque transporteur concerné devra ainsi
fournir un rapport financier et une fiche financière faisant l'objet
d'un audit externe selon des normes internationales au moins une fois
par an. Chaque État pourra également demander la remise de rapports
complémentaires, livrables sous trente jours. (...) L'autre volet « offensif » posé par la Commission européenne
concerne le droit du travail. Si chaque pays est libre d'établir « son
propre niveau de protection du travail au niveau national », il doit
veiller à ce que ces mesures soient appliquées. Surtout, l'accord engage
chaque État « à faire tout ce qui est en son pouvoir » pour ratifier les
conventions fondamentales de l'Organisation internationale du travail
(OIT). Derrière ces déclarations louables, la formulation pour
l'instant retenue dans le projet et l'absence de mesures coercitives
semblent de nature à limiter l'impact réel de ces clauses. Bien que
membre de l'OIT depuis 1972, le Qatar n'en a pour l'instant signé que
cinq des huit conventions fondamentales. L'émirat ne s'est toujours pas
engagé sur la liberté syndicale et la protection du droit syndical, sur
le droit d'organisation et de négociation collective, et sur l'égalité
de rémunération. Et ce en dépit d'un programme de coopération sur trois
ans avec l'OIT lancé en 2017. Ce volet résume à lui seul la fragilité potentielle de cet accord : sa
réussite dépend entièrement de la capacité de la Commission européenne à
contrôler et faire respecter les conditions énoncées dans l'accord. Au
vu des avantages que celui-ci offre à Qatar Airways, les pays européens
devraient se montrer particulièrement regardant sur le niveau
d'engagement de Bruxelles en la matière. Elle
pourra s'appuyer pour cela sur deux instances de contrôle. Tout
d'abord un comité mixte, représentant les différentes parties, sera
institué pour veiller à la mise en œuvre et au respect de l'accord.
(...) La seconde instance est un
tribunal d'arbitrage. En cas d'incapacité du comité mixte à régler un
différend, il pourra être saisi par chacune des parties. Trois arbitres
seront désignés : un par l'Union européenne, un autre par le Qatar et le
dernier d'un commun accord (ou par le président du conseil de l'OACI en
cas de désaccord), avec la fonction de président du tribunal. Cette
instance semble dotée de pouvoirs coercitifs plus conséquents avec la
possibilité de suspendre certains avantages pour la partie jugée
responsable d'une violation de l'accord.
Mais dans le cas présent, il
est fort à parier que le jeu diplomatique prenne le dessus.
Fin de la revue de presse
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Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 4,089 euros en clôture
lundi 20 septembre. Elle est en forte hausse cette semaine de +5,39%.
Elle bénéficie de l'annonce par les États-Unis de la réouverture de ses
frontières aux voyageurs vaccinés.
Avant l'épidémie de coronavirus, l'action Air France-KLM
était à 9,93 euros.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 3,24 euros.
L'objectif de cours le plus élevé est à 5,5 euros, le plus bas à 1 euro. Vous pouvez
retrouver sur mon blog le détail du consensus des analystes. Je ne
prends pas en compte les opinions d'analystes antérieures au début de
la crise sanitaire.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est en
légère hausse de 1$ à 74$.
Depuis un point bas fin octobre 2020
(37$) il a régulièrement augmenté, jusqu'à franchir atteindre 69$ début
mars 2021. Depuis cette date, il oscille entre 69$ et 77$.
Alors que se profile la reprise du trafic
aérien, ce prix élevé est une mauvaise nouvelle pour les compagnies
aériennes.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
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reçu le soutien de la CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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