N°834, 15 novembre 2021
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La Revue de Presse du lundi
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Quand Air France-KLM doit encore se recapitaliser, Lufthansa finit de rembourser les aides de l'État allemand
(source La Tribune) 13 novembre - Lufthansa vient de frapper un grand
coup pour son redressement. Le groupe allemand a annoncé, le 12
novembre, avoir remboursé l'intégralité des sommes que lui avait versées
l'État fédéral d'Allemagne pour lui permettre de surmonter
l'effondrement du transport aérien en 2020. Le groupe retrouve donc sa
liberté stratégique, notamment pour réaliser des opérations
capitalistiques significatives, et reprend ses distances avec Air
France-KLM. (...) En juin 2020, le groupe Lufthansa
avait obtenu du gouvernement fédéral allemand, via le Fonds de
stabilisation économique (ESF), un paquet d'aides et de prêts à hauteur
de 9 milliards d'euros. Il n'en aura finalement utilisé que 3,8
milliards, annulant ainsi le reste à tirer. Ce montant inclut 306
millions d'euros investis par l'ESF dans le capital de Lufthansa, avec
une prise de participation à hauteur de 20 %. Pour rembourser l'État,
Lufthansa s'est largement appuyé sur l'ouverture des marchés de capitaux
avec plusieurs émissions d'obligations d'entreprise depuis fin 2020 : 1
milliard d'euros en novembre 2020 (plus 600 millions d'euros
d'obligations convertibles), 1,6 milliard en février 2021, 1 milliard en
juillet et finalement 1,5 milliard il y a quelques jours. Il faut y
ajouter une augmentation de capital de 2,2 milliards d'euros en octobre,
soit un total de près de 8 milliards d'euros levés en un an. En
dépit de la crise du transport aérien, le groupe allemand a donc su se
montrer attractif sur les marchés et attirer des capitaux. Les mesures
d'économies rapides ont contribué à cette attractivité dès fin 2020.
Lufthansa revendique actuellement l'implémentation de réductions de
coûts de l'ordre de 2,5 milliards d'euros annuels, dont la suppression
de près de 30 000 postes. La bonne tenue du trafic cet été, avec une
génération de cash, a aussi contribué à renforcer ses positions.
Cela lui permis de rembourser 1 milliard d'euros à la banque publique
KfW dès février, puis une première tranche de 1,5 milliard à l'ESF en
octobre et enfin 1 dernier milliard en novembre. Soit 3,5 milliards
d'euros sur 3,8 milliards. Certes, ce remboursement des aides
étatiques ne permet pas au groupe de se désendetter, et le niveau de
dette nette reste élevé. Il était de l'ordre de 9 milliards d'euros fin
septembre. Mais, comme le note un analyste, ce transfert vers les
marchés de capitaux permet à Lufthansa de disposer de taux bien plus
abordables que ceux des supports étatiques. Ces derniers étaient de 4 %
en 2020 et 2021, et devaient s'accroître par la suite. La
dernière étape du désengagement de l'État allemand sera la vente par
l'ESF de la participation qu'il détient encore dans le capital de
Lufthansa. Le fonds s'est déjà défait de 6 % en août et il a désormais
jusqu'en octobre 2023 pour écouler les 14 % restants.
Avec ce remboursement, Lufthansa s'affranchit également
des contreparties exigées par l'État allemand et surtout la Commission
européenne. Bruxelles interdisait ainsi au groupe toute opération
capitalistique d'envergure tant qu'il n'avait pas remboursé 75 % des
sommes étatiques perçues. Aucune opération n'est en vue à court terme,
mais Carsten Spohr avait prévenu que les mouvements pourraient
s'accélérer à partir de 2022, une fois la période « d'hibernation »
passée. La remise en ligne d'importantes capacités l'an prochain va
nécessiter pour les compagnies de brûler à nouveau du cash et donc
ouvrir des opportunités. Lufthansa pourra alors disposer des
produits de ces éventuelles cessions pour réduire sa dette et préparer
de nouveaux investissements. Le groupe allemand réfléchit actuellement à
valoriser sa branche de maintenance Lufthansa Technik soit par une
cession partielle à un investisseur financier ou industriel, soit par
une cotation. La décision sera prise d'ici la fin de l'année, en vue
d'une opération l'an prochain. Le groupe étudie également la cession de
sa filiale de catering LSG et de sa plateforme de gestion de voyages
d'affaires Airplus. Toujours selon un analyste, cela pourrait générer
des rentrées de liquidités de l'ordre de deux à trois milliards d'euros
l'an prochain. Lufthansa remet donc de la distance avec Air France-KLM. Après avoir été
tous deux dépendants des aides d'État pendant la crise, les deux groupes
ne sont plus sur une marche d'égalité. Malgré un été positif, le groupe
français n'a toujours pas remboursé les aides étatiques reçues et reste
donc limité dans ses marges de manœuvre. Il s'est certes désendetté de 3
milliards d'euros depuis le début de l'année, mais cela tient
essentiellement à l'augmentation de capital largement portée par l'État
français et à la conversion du prêt direct de ce dernier en quasi-fonds
propres perpétuels. Alors que Lufthansa n'est plus dépendant de
l'État allemand et se finance désormais entièrement sur les marchés, Air
France-KLM va devoir passer par une nouvelle recapitalisation avant de
pouvoir espérer faire de même.
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Un nouveau centre de maintenance moteurs d'Air France ouvrira à Orly fin 2023
(source Les Échos) 12 novembre - Un gain de productivité dans le
traitement des moteurs d'Air France et des technologies plus innovantes.
Telle est l'ambition d'Air France Industries pour son futur centre de
maintenance moteurs, qui sera situé sur la plateforme aéroportuaire
d'Orly (Val-de-Marne). Lundi 8 novembre 2021, la première pierre du
bâtiment baptisé « Single Roof MM 4.0 » a été posée . (...)
Au lieu de trois ateliers distincts,
« Single Roof MM 4.0 » réunira l'ensemble de ces activités de
maintenance d'Air France Industries. Un regroupement qui, selon
le groupe, permettra de réduire le temps de traitement des moteurs de
15 %. Sur le nouveau site, l'entretien des moteurs nouvelle génération,
réputés moins émetteurs en CO2 et plus silencieux, pourra également être
pris en charge. Dans un communiqué, la société cite en exemple le moteur
qui équipe les avions A220 d'Airbus. (...) L'activité
maintenance moteur représente actuellement 800 emplois. Et
selon Grand-Orly Seine Bièvre, les objectifs de recrutement du futur centre de maintenance s'élèvent à
300 mécaniciens et cadres sur les trois premières années. Ce pourquoi
l'EPT s'engage dans un communiqué vouloir accompagner Air France
Industries dans son besoin de formation sur le territoire. En outre, la
société a d'ores et déjà développé une formation inclusive maintenance
moteurs avec le CFA des métiers de l'aérien à Bonneuil-en-France
(Val-d'Oise) et l'association Jérémy. Cette dernière propose des
formations à des métiers aéroportuaires adressées à des demandeurs
d'emploi de la région. Pour son nouveau centre de maintenance
moteurs, Air France Industries a reçu des financements de l'État via
France Relance et de la Région Île-de-France dans le cadre de son
soutien aux projets de recherche et développement. Ces enveloppes
s'élèvent respectivement à 800.000 euros et 1,2 million d'euros. En
tout, l'opération coûtera 30 millions d'euros. Selon la
société, « Single Roof MM 4.0 » devrait être livré et
opérationnel fin 2023.
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Emirates Airlines: perte de 1,6 milliard de dollars sur un semestre
(source AFP) 10 novembre - Emirates Airlines a enregistré une perte
de 1,6 milliard de dollars (1,4 milliard d'euros) au premier
semestre de l'exercice comptable et reste dans le rouge en raison de la
pandémie, a annoncé la plus grande compagnie du Moyen-Orient, basée à
Dubaï. En revanche, le chiffre d'affaires a augmenté de 86% pour
atteindre 5,9 milliards de dollars au cours de la même période, du 1er
avril au 30 septembre, a-t-elle ajouté mercredi dans un communiqué.
(...) En juin, Emirates avait annoncé sa
première perte annuelle en plus de trois décennies, après que la
pandémie de coronavirus a durement affecté le secteur aérien. Le
transporteur avait alors indiqué avoir reçu une aide de 3,1 milliards de
dollars (2,7 milliards d'euros) de son propriétaire, le gouvernement de Dubaï, pour l'aider à
survivre à la crise.
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Wizz Air dit se baser sur la croissance organique, mais "ne pas être aveugle".
(source Reuters) 14 novembre - Le directeur général de Wizz Air,
Jozsef Varadi, a déclaré dimanche que le transporteur
à bas coûts
hongrois était conçu pour une croissance organique, mais n'était pas
"aveugle".
"(Wizz) est une plateforme basée sur la croissance
organique. Je pense que ce que nous disons, c'est que nous sommes bien
sûr intéressés par la consolidation du marché et, dans une certaine
mesure, nous pouvons payer ce jeu ; nous pouvons racheter des créneaux
horaires dans les aéroports, par exemple", a déclaré Varadi à Reuters.
"Nous gardons un œil sur le marché en termes de tendances et nous
continuerons à le faire. Nous ne sommes pas une Lufthansa, nous ne
sommes pas une IAG. Ce sont des forces qui se consolident, pas nous.
Nous sommes une entreprise organique avec un modèle commercial
clairement défini, mais nous ne sommes pas aveugles", a-t-il déclaré
après avoir annoncé une commande de 102 jets à Dubaï. En
septembre, EasyJet a déclaré qu'elle avait rejeté une offre de rachat,
choisissant plutôt de lever 1,7 milliard de dollars auprès des
actionnaires et de faire cavalier seul. Elle a refusé de nommer son
prétendant, mais une source familière avec la question a déclaré à
Reuters qu'il s'agissait de Wizz Air.
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Airbus : Indigo Partners commande 255 appareils A321
(source Boursier) 15 novembre - Lors du salon aéronautique de
Dubaï, Wizz Air (Hongrie), Frontier (États-Unis), Volaris (Mexique) et
JetSMART (Chili, Argentine), compagnies aériennes du portefeuille
d'Indigo Partners, ont annoncé une commande ferme à Airbus de 255
appareils de la famille A321neo dans le cadre de l'entente Indigo Partners. Les avions commandés sont un mix d'A321neos et
d'A321XLR. Ils seront livrés aux compagnies aériennes comme suit : -
Wizz Air : 102 appareils (75 A321neo + 27 A321XLR) - Frontière : 91
avions (A321neo) - Volaris : 39 appareils (A321neo) - JetSMART :
23 appareils (21 A321neo + 2 A321XLR) En plus de cette commande,
Volaris et JetSMART convertiront 38 A320neo en A321neo. Cette
commande porte à 1.145 appareils de la famille A320 le nombre total
d'avions commandés par les compagnies aériennes des partenaires Indigo.
L'A321neo intègre des moteurs et des Sharklets de nouvelle
génération, offrant plus de 25% d'économies de carburant et de CO2,
ainsi qu'une réduction de bruit de 50%. La version A321XLR offre une
extension de portée à 4.700 nm. Le temps de vol de l'A321XLR peut ainsi
aller jusqu'à 11h. (...) Le montant négocié de la commande n'est
pas précisé. Rappelons qu'Indigo Partners LLC est un fonds de
capital-investissement basé à Phoenix en Arizona. Il est axé sur les
investissements mondiaux dans le transport aérien.
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L'aéronautique tire les premières leçons de la crise au salon de Dubaï
(source Les Échos) 14 novembre - Le salon aéronautique de
Dubaï, qui a ouvert ses portes ce dimanche, jusqu'au 18
novembre (...) - le premier depuis le début de la pandémie -
marque bien l'entrée dans le monde de l'après-crise. Un monde dans la
continuité du précédent, (...) mais aussi, avec quelques
changements significatifs. La dernière édition de l'étude
d'Airbus sur les perspectives de marché à 20 ans, dévoilée à la veille
du salon, illustre bien ce changement dans la continuité. Globalement,
ces prévisions n'ont pas radicalement changé. Airbus table
toujours sur 39.000 livraisons d'avions neufs de plus de 100 places
d'ici à 2040 (contre 39.213 prévus dans l'édition 2019) , tous
modèles et avionneurs confondus, avec une forte proportion inchangée
d'avions moyen-courrier monocouloir de type A320 et A220 (29.700).
Selon le directeur commercial d'Airbus, Christian Scherer, la crise du
Covid a certes fait perdre deux ans de croissance au transport aérien
mondial. Mais le trafic pourrait retrouver son niveau de 2019 dès 2023.
Et sur le long terme, le transport aérien pourrait toujours
tabler sur un rythme de croissance d'environ 4 % par an, comme
avant la crise, ce qui permettrait au trafic aérien mondial de dépasser,
tel que prévu, les 8 milliards de passagers vers 2040.
Toutefois, si la crise n'a pas remis en cause le développement du
transport aérien, quelques modifications notables apparaissent en
arrière-plan. La première concerne la part des livraisons d'avions
destinées à remplacer des avions plus anciens. Dans l'étude Airbus, elle
est passée de 35 % en 2019 à 40 %, soit quelque 15.250 appareils sur les
39.000 prévus. (...) Malgré les difficultés financières,
la plupart des compagnies aériennes n'ont pas annulé leurs commandes
- certaines ont même déjà recommencé à commander - témoignant ainsi de
leur volonté de moderniser leurs flottes sans attendre le retour de la
croissance. (...) « Cette volonté
de renouvellement était jusqu'à présent guidée par le prix du carburant,
mais les préoccupations environnementales s'y sont ajoutées,
explique Christian Scherer. Aujourd'hui, seulement 13 % de la flotte
mondiale est constituée d'avions de nouvelle génération. Or ces avions
de nouvelle génération permettent de réduire la consommation de
carburant - et donc les émissions de CO2 - de 25 % », souligne-t-il.
Ce souci accru d'efficacité explique également une autre
nouveauté : la montée en puissance du segment de marché des avions
milieu de gamme, à cheval entre les moyen-courriers et les
long-courriers. L'exemple le plus achevé est l'Airbus A321 XLR,
qui entrera en service entre 2023 et 2024. Cette nouvelle
version au rayon d'action allongé du plus grand des monocouloirs
d'Airbus pourra aussi bien opérer des lignes moyen-courriers que des
lignes transatlantiques. « L'A321 XLR va
changer la donne », assure-t-on chez Airbus. Jusqu'à présent,
pour lancer une ligne long-courrier, il fallait prendre un gros-porteur
long-courrier même si le trafic ne le justifiait pas vraiment. Avec
l'A321, les compagnies vont pouvoir développer des lignes long-courriers
au départ de métropoles régionales sans devoir passer par des grands
« hubs ». De quoi nourrir la réflexion de Boeing, qui
s'interrogeait avant la crise sur les perspectives de marché d'un nouvel
avion « milieu de gamme » et qui n'a pas abandonné l'idée de
lancer un nouveau modèle, une fois sorti de la crise. « Aujourd'hui, on
sait que le marché existe bel et bien ». Autre
enseignement majeur de cette crise : l'importance nouvelle du fret
aérien. Avec la chute du trafic passager, le trafic cargo,
considéré jusqu'alors comme un simple complément d'activité, est devenu
une planche de salut pour nombre de compagnies aériennes. Et malgré la
reprise du trafic, la demande de fret aérien reste soutenue à des tarifs
élevés. D'où des prévisions de marché revues en forte hausse par Airbus,
qui table sur une demande de 3.000 avions-cargos d'ici à 2040, soit un
tiers de plus qu'avant la crise. Elle explique aussi les
nouveaux projets d'Airbus et Boeing pour ce marché des avions-cargos.
L'avionneur européen, jusqu'alors peu présent, a dégainé le
premier en annonçant l'été dernier, une version cargo de l’A350.
« Nous sommes très satisfaits de la réponse du marché à cette annonce »,
assure Christian Scherer, qui pourrait signer une première commande au
salon de Dubaï. De son côté, Boeing fait miroiter à ses
clients une version cargo du 777X, dont le lancement commercial était
attendu au salon de Dubaï. Ce ne sera probablement pas le cas,
l'avionneur américain n'ayant apparemment pas encore finalisé les
discussions avec les premiers clients potentiels, parmi lesquels
Emirates et Qatar Airways. Mais en attendant, Boeing a déjà augmenté la
production de 777 cargos classiques, en engrangeant une cinquantaine de
commandes depuis le début de la crise.
Fin de la revue de presse
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Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Vous trouverez sur mon site
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les modalités d'accès aux sites des gérants.
Pour éviter
d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants,
Natixis, Société Générale, votre établissement financier personnel si
vous avez acheté vos actions par celui-ci.
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Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 4,231 euros en clôture
lundi 15 novembre. Elle est en forte baisse cette semaine de
-8,76%. Elle a perdu la moitié de ce qu'elle avait gagné les deux semaines
précédentes (suite à l'annonce de résultats trimestriels meilleurs que
prévus, elle avait progressé de 19,5%).
Avant l'épidémie de coronavirus, l'action Air France-KLM
était à 9,93 euros.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 3,29 euros.
L'objectif de cours le plus élevé est à 5,5 euros, le plus bas à 1 euro. Vous pouvez
retrouver sur mon blog le détail du consensus des analystes. Je ne
prends pas en compte les opinions d'analystes antérieures au début de
la crise sanitaire.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est
en baisse notable cette semaine de 3$ à 81$.
Fin octobre 2020, il était au plus bas à 37$.
Avec 86$ le 25 octobre dernier, le Brent avait atteint un niveau jamais observé depuis 2014,
soutenu par les ruptures d'approvisionnement et la demande sous-jacente.
Le prix du gaz naturel continue sa progression pour atteindre son plus
haut niveau depuis au moins sept ans. Les investisseurs semblent
considérer que les producteurs d'hydrocarbures ont trop fortement réduit
leurs capacités de production durant la pandémie de sorte que la
pression de la demande déséquilibre le marché.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
salariés et anciens salariés actionnaires PNC et PS. Vous pouvez me retrouver sur mon
compte twitter @FrRobardet
Lors de mon élection, j'ai
reçu le soutien de la CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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