N°838, 13 décembre 2021
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Editorial
La Revue de Presse du lundi
>
Lancement de l’Observatoire de l’Aviation Durable (1)
(source Air & Cosmos, tribune de Philippe Fonta) 10 décembre -
Le ministre des Transports,
Jean-Baptiste Djebbari, lance l'Observatoire de l'Aviation Durable dont
l'objectif est de travailler à la fois sur les effets du transport
aérien sur le réchauffement climatique et sur les actions mises en œuvre
aux niveaux national, européen et international pour décarboner le
secteur, avec le concours d’acteurs et d’observateurs du secteur.
Des opinions pas conscientes des bouleversements en cours Ce 10
décembre 2021 est sans aucun doute un jour important pour le futur de
l’aviation durable avec le lancement officiel de l’Observatoire de
l’Aviation Durable, destiné à fédérer toutes les ressources disponibles
qui souhaitent contribuer à un développement décarboné du transport
aérien. En effet, la question de l’impact du transport aérien (ou de
tout autre activité humaine) sur le dérèglement climatique se doit
d’être proprement appréhendée et traitée, car il constitue une
préoccupation sociétale majeure et est, de fait, un enjeu de premier
plan pour l’avenir de l’aviation civile internationale. Or, bien
que les acteurs du secteur se soient engagés dans un effort sans
précédent de décarbonation de leurs activités, les opinions publiques
n’ont pas encore pleinement pris conscience des (r)évolutions et
bouleversements en cours. On assiste en effet beaucoup plus à une
bataille de chiffres, plus ou moins justes, ou plus ou moins utilisés à
bon escient et à un affrontement d’opinions sans que le moindre débat ne
puisse faire bouger les lignes. Pire encore, si vous avez la moindre
volonté d’initier une discussion sur les réseaux sociaux avec des
arguments factuels, basés sur des données scientifiques, mais différents
du courant de pensée dominant, après avoir reçu quelques messages pour
le moins agressifs, votre compte se retrouve bloqué voire désactivé. Ce
qui signifie que ce n’est pas le lieu adéquat pour les échanges.
Dépassionner les débats Dans ce contexte, cet observatoire devrait
permettre de dépassionner les débats tout en favorisant les discussions,
échanges entre les parties prenantes, en créant un espace de dialogue
réunissant acteurs et observateurs du transport aérien. ENAC Alumni,
association des diplômés de l’École Nationale de l’Aviation Civile, dont
je fais partie, est l’un des membres fondateurs de cet Observatoire. De
par la richesse technique des formations dispensées à l’École
(constructeurs, pilotes, contrôleurs, ingénieurs opérations, management
aéroportuaire, avionique…), ENAC Alumni se présente donc comme un
contributeur naturel et incontournable des travaux de l’Observatoire.
Les résultats de ces travaux devront permettre d’objectiver
l’impact du transport aérien sur le réchauffement climatique, en se
basant sur les données et connaissances scientifiques, en documentant
les incertitudes (ex. effets non CO2) et en suivant les différentes
évolutions, modélisations, en ne se limitant pas à une simple
extrapolation du passé. Une documentation sur les progrès historiques et
les perspectives de décarbonation, levier par levier, sera élaborée et
rendue accessible au grand public. Capacité à repousser les
contraintes On ne peut donc que se réjouir de la création d’un tel
observatoire, lui souhaiter de réussir dans sa mission, et permettre,
entre autres, que l’image du secteur soit mieux en adéquation avec son
impact réel, basé sur des faits scientifiques, et sur sa capacité à
repousser les contraintes que nous impose la lutte contre le dérèglement
climatique, comme il a su repousser les limites de la physique, de la
sécurité, de la distance, de la vitesse, de la capacité et de la
fiabilité, pour ne citer qu’elles. Il faudra s’assurer que ses
travaux prennent en compte la dimension internationale, par nature, du
transport aérien et l’impact environnemental, économique et sociétal de
toute mesure, pour ambitieuse qu’elle soit, mais limitée au niveau du
territoire français par rapport à une autre mesure, peut-être moins
ambitieuse, mais généralisable à notre monde globalisé. Comme le dit le
proverbe africain : « Tout seul on va vite, ensemble on va plus loin ».
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Lancement de l’Observatoire de l’aviation durable (2)
(source Aerobuzz) 10 décembre - Comme le rappelle le ministère des
transports, « La question de l’impact du transport aérien sur le
changement climatique est devenue ces dernières années une préoccupation
sociétale majeure et un enjeu de premier plan pour l’avenir de
l’aviation civile internationale. » Au niveau mondial, le transport
aérien s’est fixé un objectif de neutralité carbone d’ici à 2050.
C’est dans ce contexte que Jean-Baptiste Djebbari a souhaité
associer compagnies aériennes, aéroports, constructeurs aéronautiques,
ONG, experts, instituts de recherche spécialisés,
élus et administrations compétentes pour installer l’Observatoire de
l’aviation durable ce vendredi 10 décembre 2021.
Cet observatoire sera constitué de la façon suivante
Un collège de
représentants qui définira et mènera le programme de travail de
l’observatoire : Acteurs du monde académique et instituts de
recherche publics : Académie de l’Air et de l’Espace, ONERA, IFPEN, Supaéro, Chaire Pégase, ENAC,
ENAC Alumni Administrations : DGAC – DGEC – CGDD – France Stratégie
Agences : EASA – ADEME Parlementaires : Vincent Capo-Canellas, Mickaël
Nogal, Zivka Park Entreprises : ADP – Airbus – Air France – Safran –
Thalès Fédérations françaises : GIFAS – FNAM – UAF Fédérations
européennes : A4E – ASD – CANSO ONG : Transport & Environment – Green
Cross France Territoires – The Shift Project – International Coalition
for sustainable Aviation (ICSA) Un comité d’experts
indépendants de haut niveau, chargés de proposer des thèmes de travail
et de rendre des avis indépendants sur les productions de
l’observatoire. Olivier Boucher – Climatologue – Institut
Pierre-Simon Laplace Economie industrielle Emmanuel Combe – Economie
industrielle -Autorité de la concurrence Jean-Philippe Héraud – Carburants aéronautiques durables
(SAFs)- IFPEN Paul Peeters – Tourisme durable – Centre for
Sustainability, Tourism & Transport (CSTT), Breda University of Applied
Sciences François Gemenne – Politiste – Sciences-Po Paris
Fadimatou Noutchemo – Jeunes professionnels du transport aérien – Young
African Aviation Professionals Associations Denis Huet – Gestion de
trafic aérien – Eurocontrol Philippe Novelli – Construction
aéronautique – ONERA Jean-Paul Hertemann – Construction aéronautique
– Ancien PDG de Safran Jean-Michel Vernhes – Ecosystème aéroportuaire
– Ancien président de l’UAF Pedro Piris-Cabezas – CORSIA &
biocarburants aéronautiques durables -ONG Environmental Defense Fund,
ancien membre du CAEP
L’Observatoire sera doté
d’un secrétariat hébergé au sein de la direction générale de
l’Aviation civile (DGAC) du Ministère des Transports. Il aura pour
mission de : . Recenser,
organiser et mettre à disposition du public les
connaissances sur l’impact du transport aérien sur le changement
climatique et sur les efforts de l’ensemble des acteurs du secteur pour
réduire cet impact à court, moyen et long terme ; . Favoriser les
échanges, en créant un espace de dialogue réunissant acteurs et
observateurs du transport aérien (compagnies aériennes, aéroports,
constructeurs aéronautiques, ONG, instituts de recherche spécialisés,
élus et administrations compétentes etc.) ; . Objectiver l’impact
du transport aérien en documentant les incertitudes) et points de débat
. Documenter les progrès historiques et proposer des jeux d’hypothèses
ayant vocation à alimenter les travaux de modélisation . Mettre en
perspective, notamment en regard de la situation mondiale et en
particulier européenne, les engagements et les actions de la France en
faveur de la décarbonation du transport aérien.
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Air France a remboursé 500 millions d'euros de son PGE français
(source La Tribune) 10 décembre - Malgré l'incertitude qui plane sur
le risque économique lié à la cinquième vague de Covid-19, Air France
commence à rembourser ses dettes à l'État français. Le groupe de
transport a en effet annoncé lundi avoir reversé 500 millions d'euros
sur les quatre milliards d'euros de prêt garanti par l'État français
(PGE),
accordé dans le cadre d'un plan de soutien de sept milliards d'euros à
Air France. De plus, le groupe vient tout juste de finaliser un
report de l'échéance finale de 2023 à 2025. Air France a en effet obtenu
un « reprofilage » avec le remboursement d'une première tranche du PGE
français de 500 millions ce mois-ci, 800 millions en mai 2023, puis 1,3
milliard en mai 2024 et autant en mai 2025. Ce PGE devait à la base
arriver à maturité en 2023 après avoir été prolongé de deux ans (le
maximum) avec un taux d'intérêt annuel croissant. Le PGE néerlandais de
son côté est moins pressant, il n'a pas été entièrement tiré et dispose
d'une maturité de cinq ans. "Ce remboursement partiel et le
nouveau profil de remboursement amorti du PGE constituent une nouvelle
étape dans la restructuration du profil de la dette et du bilan du
groupe", dans un contexte marqué par "les premiers signes de reprise du
trafic aérien mondial, combinés à un meilleur accès aux marchés de
capitaux", note le groupe aérien. (...) Air France qui va faire face à une avalanche de dépenses à venir
(selon un analyste, le groupe aurait besoin de quatre milliards d'euros
supplémentaires), va devoir se recapitaliser rapidement. Le groupe avait
déjà réussi à se donner un peu d'air avec une première opération de
renforcement de son capital en avril dernier, à hauteur de 4 milliards
d'euros. "Comme préalablement indiqué, des discussions sont en cours sur
d'autres mesures de renforcement du bilan du Groupe Air France-KLM.
Celles-ci pourraient inclure l'émission d'instruments de fonds propres
et de quasi-fonds propres, en fonction des conditions de marché", est-il
précisé. (...)
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Une compagnie low-cost pour British Airways
(source Trends Tendances) 11 décembre - Après une première expérience
désastreuse avec Go il y a une vingtaine d'années, British Airways va se
doter d'une compagnie low-cost à l'instar de Transavia pour Air France
et Eurowings pour Lufthansa. Appelée BA Euroflyer, elle va
assurer des vols court et moyen-courriers au départ de Gatwick. En
déficit et en perte de vitesse dans l'aéroport londonien au profit
d'easyJet et de Ryanair, British Airways compte ainsi refaire une partie
du retard concédé. BA Euroflyer devrait débuter ses activités
l'été prochain avec une flotte de 17 Airbus A320 sur des lignes
intra-européennes à forte connotation de loisirs: Barcelone, Amsterdam,
Paris, etc.
Fidèle à la tradition British Airways, la nouvelle
compagnie offrirait un service classique mais engagerait ses pilotes et
son personnel de bord à des conditions moins avantageuses, en ligne avec
ce qui se fait chez Ryanair ou easyJet et bannirait les nuits d'escale
pour faire des économies. La commercialisation des vols devrait débuter
en janvier.
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ITA noue des partenariats avec Air France et KLM
(source AFP) 9 décembre - La nouvelle compagnie aérienne italienne
ITA, qui a succédé à Alitalia, a noué des accords de partage de code
avec Air France et KLM, a annoncé jeudi la maison mère de ces dernières.
"Le partenariat commercial offrira des opportunités de voyage
supplémentaires et ouvrira douze destinations ITA en Italie et en Europe
du Sud pour les clients Air France et KLM, tandis que les clients ITA
pourront réserver des billets vers une grande variété de destinations
Air France et KLM en Europe, y compris le Royaume-Uni et la
Scandinavie", a précisé Air France-KLM dans un communiqué. Le
partage de code dans le transport aérien consiste pour deux compagnies à
commercialiser le même avion, chacune sous sa marque et sous son propre
numéro de vol. (...) "Effectif pour KLM à compter du 1er décembre et pour Air France à
partir du 9 décembre 2021, pour des voyages à compter du 13 décembre
2021", l'accord survient deux mois après qu'ITA a succédé à Alitalia
qui, percluse de dettes et mise sous tutelle, a cessé ses activités.
ITA, comme Alitalia avant elle, a rejoint fin octobre l'alliance
aérienne Skyteam, dont Air France et KLM sont également membres.
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À cause des retards de Boeing, une compagnie aérienne doit annuler des vols
(source 6medias) 9 décembre - C'est la crise à American Airlines. La
compagnie aérienne a annoncé, jeudi 9 décembre, qu'elle réduirait le
nombre de ses trajets internationaux à l'été 2022 en raison de retards
dans les livraisons du long-courrier 787 Dreamliner de Boeing. "Boeing
continue de ne pas être en mesure de livrer les 787 que nous avons
commandés, notamment 13 avions qui devaient intégrer notre flotte d'ici
à cet hiver", a indiqué Vasu Raja, un haut responsable de la compagnie
américaine, dans une lettre adressée aux employés du groupe. (...) Lourdement
affectée par la pandémie et les restrictions de déplacement, l'industrie
aéronautique tente de repartir de l'avant. Mais les déboires du 787
compliquent cette reprise. Depuis la fin de l'été 2020, Boeing a en
effet détecté plusieurs vices de fabrication sur l'appareil, suspendant
les livraisons et réduisant les cadences de production à environ deux
exemplaires par mois contre cinq normalement. "Nous regrettons
profondément l'impact sur nos consommateurs et nous travaillons afin de
permettre la reprise des livraisons des nouveaux 787", a réagi un
porte-parole de Boeing auprès de l'AFP. "Nos équipes continuent de mener
des inspections complètes et d'apporter les modifications nécessaires
aux avions non livrés tout en ayant des discussions transparentes avec
la FAA (l'agence américaine de l'aviation, ndlr), nos fournisseurs et
nos consommateurs", a-t-il assuré. "Bien que cela ait des
impacts à court terme, nous sommes convaincus qu'il s'agit de la bonne
approche pour assurer la stabilité et la meilleure qualité de nos
opérations", a poursuivi ce porte-parole.
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Air navigation charges developments (Évolution des redevances de navigation aérienne)
(source diverses dont AF-KLM, traduit avec Deepl) 10 décembre - -
Christine Berg, la direction générale de la mobilité et des transports
(DG MOVE) de la Commission européenne, qui est chargée de l'initiative
du Ciel unique européen (CUE) de la Commission, préconise l'introduction
d'un taux unitaire commun pour les redevances de navigation aérienne.
- Selon elle, un taux unitaire commun n'inciterait pas les
compagnies aériennes à emprunter des routes moins directes pour
bénéficier de redevances moins élevées pour les fournisseurs de services
de navigation aérienne (FSNA) et conduirait à une "meilleure performance
climatique" des compagnies aériennes. - Mme Berg espère que les
États membres de l'UE parviendront à un accord sur la nouvelle structure
de tarification d'ici la fin de l'année 2023, ce qui permettrait
l'introduction de cette structure en 2025. Taux unitaires globaux ajustés de novembre 2021 - Eurocontrol
Revue de presse boursière
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Air France-KLM chute face à la perspective de l'émission de nouvelles actions
(source Investing) 13 décembre - L'action Air France - KLM SA
(PA:AIRF) a reculé de 1,1% dans les échanges européens matinaux,
contrastant avec un début de semaine généralement positif sur le
continent, après avoir indiqué qu'elle souhaitait toujours lever des
fonds propres pour renforcer son bilan malgré le dernier plongeon des
actions de voyages dû à la pandémie. La compagnie aérienne a
répété qu'elle envisageait toujours des mesures de renforcement du
capital telles que l'émission de nouvelles actions ou d'instruments
assimilables à des actions, après avoir remboursé 500 millions d'euros
(564,8 millions de dollars) d'un prêt de 4 milliards d'euros accordé par
l'État français pour l'aider à traverser la pandémie de Covid.
La compagnie aérienne a déclaré que cette décision était motivée par des
signes de reprise du trafic aérien et un meilleur accès aux marchés des
capitaux. Elle a également négocié une prolongation du prêt, qui devait
initialement être remboursé intégralement en mai 2023. Elle remboursera
désormais le prêt en trois étapes entre 2023 et 2025.
Fin de la revue de presse
>
Versement de l'intéressement Air France 2019. Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Les salariés d'Air France vont percevoir ces jours-ci
l'intéressement 2019. Cet intéressement aurait dû être versé fin 2020.
Un accord entre les syndicats et la Direction d'Air France a permis à
Air France de soulager temporairement sa trésorerie en repoussant d'une
année le versement.
Les salariés concernés ont reçu un
courrier de Natixis leur donnant jusqu'au 14 décembre 2021 pour indiquer
leur préférence :
==> PLACER J’épargne et je profite
d’une exonération d’impôts* ==> PLACER ET PERCEVOIR Je place une
partie et je perçois l’autre ==> PERCEVOIR Le montant rentre dans
mon revenu imposable
Pour éviter
d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants,
Natixis, Société Générale, votre établissement financier personnel si
vous avez acheté vos actions par celui-ci.
Vous trouverez sur mon site
navigaction
les modalités d'accès aux sites des gérants.
>
Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 3,814 euros en clôture
lundi 13 décembre. Elle est en baisse cette semaine de
-3,52%. Lire mon commentaire dans la section Revue de presse
boursière.
Avant l'épidémie de coronavirus, l'action Air France-KLM
était à 9,93 euros.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 3,29 euros.
L'objectif de cours le plus élevé est à 5,5 euros, le plus bas à 1 euro. Vous pouvez
retrouver sur mon blog le détail du consensus des analystes. Je ne
prends pas en compte les opinions d'analystes antérieures au début de
la crise sanitaire.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est
en légère hausse cette semaine de 1$ à 75$.
Fin octobre 2020, il était au plus bas à 37$.
Avec 86$ le 25 octobre dernier, le Brent avait atteint un niveau jamais observé depuis 2014,
soutenu par les ruptures d'approvisionnement et la demande sous-jacente.
L'annonce de l'arrivée du variant Omicron a entrainé une chute de près
de 10$.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
salariés et anciens salariés actionnaires PNC et PS. Vous pouvez me retrouver sur mon
compte twitter @FrRobardet
Lors de mon élection, j'ai
reçu le soutien de la CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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