N°843, 17 janvier 2022
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La Revue de Presse du lundi
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Financement d’un Airbus A350-900 d’Air France dans le cadre d’un prêt intégrant les enjeux en matière de développement durable
(source Next-finance) 17 janvier - Le 3 décembre 2021, Air France a
réceptionné son douzième Airbus A350-900, un avion de dernière
génération offrant des performances environnementales remarquables.
Le financement de cet appareil d’Air France a été mis en place par
Société Générale sous la forme d’un prêt bancaire intégrant les enjeux
en matière développement durable. Il s’agit du premier prêt à terme
garanti par un avion à être indexé sur la performance environnementale
de la compagnie aérienne emprunteuse. Les conditions de
financement de cet appareil sont liées à l’atteinte par Air France
d’Objectifs de Performance sur certains indicateurs clés liés au
développement durable. Les indicateurs sélectionnés pour la transaction
sont centrés sur la proportion d’avions de nouvelle génération, économes
en carburant, au sein de la flotte d’Air France ainsi que sur
l’utilisation future de carburant d’aviation durable dans le cadre des
opérations quotidiennes d’Air France. La transaction est
couverte par une police d’assurance contre le défaut de paiement
(Balthazar), fournie par un consortium de compagnies d’assurance privées
de premier plan par l’intermédiaire du courtier en assurances Marsh
France. En mettant en place cette opération de financement
aéronautique historique, Société Générale soutient les efforts de
renouvellement de la flotte d’Air France, qui sont au cœur de la
trajectoire de développement durable de la compagnie aérienne.
(...) La politique de développement durable et les
objectifs environnementaux ambitieux d’Air France-KLM ont été reconnus
par la récente évaluation ESG réalisée par S&P, qui classe Air
France-KLM comme l’un des leaders de l’industrie aéronautique, soutenant
la stratégie globale du Groupe.
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Que signifie le départ du PDG Pieter Elbers pour KLM ?
(source NU traduit avec Deepl) 14 janvier - Pieter Elbers quittera
l'année prochaine son poste de PDG de KLM, a annoncé la compagnie
aérienne jeudi soir. Cette décision a été un choc pour le personnel et
les syndicats. Que va devenir KLM ? Quatre questions sur le départ
soudain d'Elbers. Que se passe-t-il ? Jeudi, KLM a, contre
toute attente, envoyé un bref communiqué de presse informant le monde
que Pieter Elbers quitterait le cockpit de la compagnie aérienne après
huit ans. Le conseil de surveillance aurait "en bonne concertation" avec
Elbers décidé de ne pas entamer un troisième mandat.
M. Elbers
restera à la tête de la compagnie jusqu'au 1er mai 2023 et continuera à
se consacrer à la compagnie aérienne jusqu'à cette date, a-t-il
déclaré.
"Je suis extrêmement fier de cette entreprise et de ses excellents
employés. Surtout en ces temps agités et difficiles, ils restent la
force de KLM. Ma carrière de trente ans au sein de la famille bleue KLM
est un voyage d'une beauté inimaginable que je chérirai toujours",
a-t-il répondu jeudi. Qu'est-ce que cela signifie pour KLM ?
Avec Elbers, la compagnie aérienne perd un PDG expérimenté qui a
travaillé pour KLM pendant des décennies et qui connaît parfaitement
l'entreprise. Parmi le personnel, il est connu comme quelqu'un qui a
défendu les intérêts de KLM et qui a toujours œuvré pour que la
compagnie puisse conserver son autonomie au sein de la holding Air
France-KLM. Cela lui a valu plusieurs
différends avec le PDG d'Air France, Ben Smith. (...) La crainte est qu'à partir de ce moment-là, KLM soit
principalement pilotée depuis Paris et ne puisse guère prendre ses
propres décisions en matière de politique du personnel ou d'autres
questions stratégiques. Les syndicats s'interrogent sur la situation de
l'emploi si cela devait se produire. Quelles sont les réactions
au départ d'Elbers ? Tout le monde réagit avec stupeur et n'avait pas
vu venir cette annonce maintenant. (...) Vendredi, le personnel de KLM a lancé une
pétition pour garder Elbers. Cette pétition compte désormais
environ six mille signatures. L'initiateur Marcel van Tiel
(...) pense que le PDG est
finalement parti de son propre chef, mais sous une légère
pression d'Air France. (...)
M. Van Tiel ne s'attend pas à ce que la pétition fasse revenir
sur la décision, mais par cette action, il veut montrer
l'importance de ne pas laisser KLM finir dans les mains des Français.
(...) Qui sera le nouveau PDG ?
Ce n'est pas
encore clair. Selon un porte-parole, la recherche d'un nouveau timonier
est en cours et de plus amples informations suivront ultérieurement.
Selon De Telegraaf, quelques noms circulent. Pieter Bootsma, l'actuel
Chief Revenue Officer, serait en lice pour lui succéder, mais le patron
de Transavia, Marcel De Nooijer, serait également dans la course. Le PDG
de Rabobank, Wiebe Draijer, serait également intéressé par le poste.
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L'avenir de l'aéroport de Schiphol
(source Luchtvaartnieuws traduit avec Deepl) 15 janvier - L'aéroport
de Schiphol est l'une des questions auxquelles le nouveau cabinet peut
immédiatement s'attaquer. L'aéroport peut-il continuer à se développer,
dans des conditions de "modération et de contrôle", pour atteindre 600.000 à 650.000 mouvements de vol d'ici 2035, dont 25.000 à 45.000 via
Lelystad ? Ou bien l'aéroport, qui a été réduit à 267.000 vols par
Corona, restera-t-il bloqué à 350.000 ou 400.000 et Lelystad ne
s'ouvrira jamais aux vols commerciaux (de vacances) ? (...) Dans un récent livre blanc, intitulé "L'importance du
hub de Schiphol", KLM précise sa vision. "Pour maintenir une
position concurrentielle saine, nous et Schiphol devons être en mesure
de croître d'au moins 1,5 % par an. Nous faisons tout ce qui est en
notre pouvoir pour y parvenir en toute sécurité, de manière durable et
avec moins de désagréments. À cette fin, nous investissons dans les
avions les plus modernes, qui sont plus silencieux et plus économes en
carburant, et nous utilisons du carburant plus propre dans la mesure du
possible." Selon KLM, si Schiphol perd son rôle de hub, d'autres
aéroports en Europe et dans le reste du monde reprendront immédiatement
cette fonction. "Il y a un risque sérieux de pénurie de capacité au
poste Corona. Nous devons donc continuer à investir dans de grands
projets d'infrastructure. L'ajout d'une jetée A ne suffit pas ; un
terminal supplémentaire est nécessaire pour traiter 20 millions de
passagers. Les halls de départ 1 et 2 pourront alors éventuellement être
prolongés côté terre." Selon KLM et de nombreux
experts, la demande croissante de voyages aériens va certainement se
poursuivre au cours des prochaines décennies, malgré l'écologisation.
(...) Si Schiphol veut
dépasser les 650.000 passagers à long terme avec moins de nuisances,
alors la piste parallèle au Kaagbaan est une nécessité, selon la vision
du gestionnaire de l'aéroport. Schiphol prévoit de revenir
au niveau d'avant la Covid, soit 500.000 vols, d'ici 2024-25.
Auparavant, l'aéroport avait déclaré qu'il s'attendait à une croissance
annuelle de 1,5 %. Cela représenterait environ 600.000 vols en 2035. KLM
y est également favorable. En tant que limite inférieure, bien sûr.
Le directeur Sijas Akkerman de la Fédération de la nature et de
l'environnement de Hollande du Nord est très clair. "Nous demandons au
nouveau gouvernement de mettre fin aux situations illégales à Schiphol.
Cela signifie qu'il ne faut pas dépasser un maximum de 400.000
mouvements de vol, soit l'espace prévu par le permis nature pour les
émissions d'azote. Il faut également mettre fin immédiatement à
l'étrange application anticipée des normes de bruit. Dans ce cas
également, la baisse de trafic ne peut être évitée.
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Equair confie ses appareils à AFI KLM E&M
(source aeroweb) 13 janvier - La nouvelle compagnie équatorienne
Equair a annoncé avoir choisi AFI KLM E&M pour assurer le support des
équipements de ses deux Boeing 737 NG. Le contrat pluriannuel comprend
la maintenance, les réparations, l'accès au pool d’équipements d'AFI KLM
E&M, ainsi que la mise à disposition d'un stock avancé (Main Base Kit)
sur la base du client à l'aéroport international Mariscal Sucre (Quito,
UIO). Gabriela Sommerfeld, PDG d'Equair, a déclaré : "Il est
important pour nous de commencer nos opérations avec le plus haut niveau
de qualité. C'est pourquoi nous avons choisi une solution MRO de premier
plan, qui garantit la disponibilité des pièces et donc la disponibilité
de notre flotte au profit de nos passagers." (...)
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Aéroport de Pau : les députés béarnais dénoncent l’arrivée de Transavia
(source Sud-Ouest) 12 janvier - L’arrivée de Transavia sur la
liaison Pau-Orly ne plaît pas aux élus du Béarn. (...) Ils réagissent à l’annonce de la
reprise de la ligne parisienne par cette filiale low-cost d’Air France,
dès le 27 mars prochain. Jusque-là, le service est assuré par Air
France. (...) « Rappelons que le trafic entre la
plateforme aéroportuaire de Pau et Paris n’est pas majoritairement un
trafic dit de tourisme, indiquent les députés. C’est un trafic
d’affaires qui nécessite des vols au départ de Pau et de Paris à 6
heures du matin et un retour tant sur Pau que sur Paris à 21 heures.
Transavia ne privilégie pas ce type de créneau horaire. Notre
territoire, qui est en plein développement avec des entreprises de rang
mondial, ne peut s’accommoder de liaisons aériennes au rabais. »
La consultation du site de Transavia nous apprend que, sur la première
semaine de service, la compagnie offre trois vols à 6h45 au départ de
Pau vers Orly. Dans l’autre sens, elle propose également trois vols par
semaine sur le créneau de 20 heures, pour une arrivée sur Pau après 21
heures. (...) Ils ajoutent que Transavia
« a une flotte composée exclusivement de Boeing alors que chacun connaît la densité de notre industrie aéronautique liée à Airbus. »
(...) « L’inquiétude exprimée est légitime, considère
pour sa part le maire et président de l’Agglomération paloise François
Bayrou. Un territoire comme le nôtre ne peut pas se développer sans
avoir l’assurance de liaisons aériennes solides et adaptées à nos
besoins. C’est probablement le cas pour Roissy mais ce n’est pas le cas
pour Orly. Notre mobilisation doit être sans faille pour que - dès que
la situation du transport aérien s’améliorera - la fréquence des vols
suive. » François Bayrou a participé aux négociations avec Air
France. « La copie de départ a été améliorée, admet celui qui est par
ailleurs Haut Commissaire au Plan. Mais il y a encore de grands progrès
à faire. Il faut être sans faiblesse. »
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Delta Air Lines rentable en 2021
(source Journal de l'Aviation) 14 janvier - Malgré une année très
difficile, Delta Air Lines est parvenue à dégager un bénéfice (selon les
normes GAAP) en 2021. Elle a en effet enregistré un chiffre d'affaires
de 29,9 milliards de dollars sur l'année (en baisse de 36% par rapport à
2019) et un bénéfice net de 280 millions de dollars (-94%).
La
compagnie a été fortement soutenue par le gouvernement américain au
début de la crise mais a aussi enregistré un bon second semestre
(rentable) et un très bon quatrième trimestre, retrouvant un niveau de
chiffre d'affaires équivalant à 80% de celui de décembre 2019.
Sur l'année, sa capacité n'a plus été inférieure que de 29% à celle de
2019 et son trafic de 43%.
Le début de l'année 2022 va toutefois
être perturbé par le variant omicron, dont Delta Air Lines pense qu'il
ralentira la demande pendant deux mois. Elle a stabilisé son offre et
s'attend à des mois de janvier et février de nouveau en perte, pour
renouer avec les bénéfices en mars. Par la suite, elle estime que les
autres trimestres de l'année devraient être rentables.
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Boeing redresse la barre en 2021, avec un peu plus de commandes qu'Airbus
(source Les Échos) 11 janvier - L'année 2021 fut malgré tout celle du
redécollage pour Boeing et ses avions commerciaux, même si l'avionneur
américain est loin d'avoir retrouvé son altitude de croisière. Après
avoir touché le fond en 2020, Boeing est parvenu à livrer 340 avions
civils l'an dernier, contre 157 l'année précédente. Et
si Airbus
reste largement en tête dans ce domaine, avec ses 611 livraisons,
l'avionneur américain est néanmoins parvenu à engranger plus de
commandes que son rival européen, avec un total de 909 commandes brutes,
qui font 535 commandes nettes, une fois soustraites les annulations
(contre respectivement 771 et 507 pour Airbus). Toutefois,
le principal motif de satisfaction de Boeing est
d'avoir réussi à relancer la carrière commerciale du 737 Max, qui
totalise 749 commandes sur l'ensemble de l'année, soit plus que la
famille A320 d'Airbus (661). Paradoxalement, les centaines
d'appareils stockés pendant l'interdiction de vol du 737 Max ont permis
à Boeing d'offrir à ses clients des créneaux de livraisons, mais aussi
probablement des prix, plus intéressants que ceux d'Airbus, dont le
carnet de livraison est plein pour les deux prochaines années. C'est
notamment la raison pour laquelle la compagnie low-cost américaine Allegiant, qui exploitait jusqu'alors des Airbus, a tout récemment opté
pour 50 Max, livrables à partir de l'an prochain. Boeing continue également de bénéficier d'une
gamme d'avions long-courriers plus large que celle d'Airbus et de sa
position dominante sur le marché des avions-cargos. L'avionneur
américain a ainsi pu engranger 144 commandes de gros-porteurs
long-courriers, cargo et passagers, contre 46 pour Airbus. Seule ombre
au tableau : son dernier modèle, le 777X, n'a remporté qu'une seule
commande l'an dernier, de Singapore Airlines, pour 11 exemplaires. Les
reports successifs des premières livraisons à Emirates n'y sont
probablement pas pour rien. Côté livraisons, en revanche, 2021
n'a clairement pas tenu ses promesses, en raison des différents
problèmes de malfaçons détectés sur les 737 Max et les 787. Boeing n'a
ainsi pu livrer que 261 Max l'an dernier, alors que plus de 400
appareils étaient stockés aux États-Unis. Toutefois, le plus décevant
fut l'arrêt des livraisons des 787, dont 14 exemplaires seulement ont pu
être livrés en 2021, contre 53 en 2020.
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Transport aérien international : douche froide chinoise
(source Voyages d'Affaires) 13 janvier - L’autorité en charge de
l’aviation civile chinoise (CAAC) a publié la semaine dernière le
nouveau plan quinquennal de développement du transport aérien dans le
pays. Avec une indication qui donne le ton pour l’évolution du secteur
de l’aviation pour toute l’année 2022. En effet, le régulateur du
transport aérien a indiqué que la Chine se concentrera sur l’expansion
des vols intérieurs en 2022. Le rétablissement des lignes aériennes
internationales n’est prévu qu’entre 2023 et 2025. Selon le plan
de transports rapporté par l’agence Reuters, sur la période 2021-2022,
la Chine concentrera ainsi ses efforts sur le contrôle et la prévention
du Covid-19. Elle promet aussi de nombreuses mesures de soutien à ses
compagnies aériennes, de sorte que la « dynamique de développement »
puisse continuer dans les futurs années. « La période de 2023 à
2025 est une période de croissance », a déclaré la CAAC. « L’accent est
mis sur l’expansion du marché intérieur, la restauration du marché
international, la libération de l’impact des réformes et l’amélioration
du niveau d’ouverture. » Une telle annonce va donc
toucher l’ensemble du secteur aérien, compagnies étrangères comme
chinoises. Cependant, ces dernières devraient moins souffrir de cette
stratégie en raison de l’énorme potentiel du marché intérieur. Selon les
statistiques d’OAG (Official Aviation Guide of the Airways), le nombre de sièges offerts par les trois géants
chinois de l’aviation, Air China, China Eastern and China Southern
s’affichait en baisse respective de -5,2%, -5,9% et -3,7% en décembre
2021 comparé à 2019. (...) Une résurgence du virus dans certaines
villes de Chine a cependant pesé négativement depuis la fin de l’année.
(...) Ce coup de frein sur les lignes aériennes
intérieures a été activé en raison de la stricte politique du « zéro
Covid ». Cette dernière a même été renforcée par les autorités avec
l’approche des J.O. d’hiver de Pékin en février. Elle se traduit par la
suspension de nombreux vols. (...) La
coupure de la Chine du reste du monde va forcer la planète à vivre sans
ce marché lucratif. Mais comme il s’agira de la troisième année d’un
transport aérien mondial sans voyageurs chinois, les compagnies
finissent par s’y habituer. Notamment en Europe…
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VINCI Airports : 7 aéroports de plus au Brésil dont Manaus
(source Air Journal) 13 janvier - Le gestionnaire aéroportuaire
français VINCI a annoncé le 12 janvier 2022
avoir repris l’exploitation de l’aéroport de Manaus-Eduardo Gomes,
dans le cadre d’un contrat de concession de 30 ans attribué par
l’aviation civile brésilienne en avril dernier. (...) Six autres aéroports de la
région – Porto Velho, Rio Branco, Boa Vista, Cruzeiro do Sul, Tabatinga et Tefé –
rejoindront le portefeuille de VINCI Airports en
février 2022 ; au cumul, ces sept aéroports ont accueilli 7 millions de
passagers en 2019. Les sept sont présentés comme « essentiels pour le
désenclavement d’une région vaste de 3,8 millions de km2 ».
(...) « Fort des bonnes performances environnementales de l’aéroport de
Salvador de Bahia, devenu l’aéroport le plus durable du Brésil » depuis
sa reprise de l’exploitation en 2018, VINCI Airports déploiera également
son plan d’action environnemental en Amazonie. L’objectif est de réduire
les émissions de CO2 des aéroports – grâce notamment à la construction
d’une ferme solaire – et d’améliorer leur gestion de l’eau et des
déchets. Enfin, un programme de puits carbone forestiers y sera mis en
œuvre, pour séquestrer leurs émissions résiduelles de CO2, tout en
participant à la protection de la forêt amazonienne et de la
biodiversité. Au terme de l’intégration de l’aéroport de Manaus
et des six autres plateformes de la région, VINCI Airports opèrera 53
aéroports dans 12 pays, dont 8 au Brésil. Il devient ainsi « le 1er
concessionnaire aéroportuaire international du pays en nombre
d’aéroports gérés », et y emploie près de 500 personnes. (...)
Fin de la revue de presse
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Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Vous trouverez sur mon site
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les modalités d'accès aux sites des gérants.
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d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
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vous avez acheté vos actions par celui-ci.
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Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 4,204 euros en clôture
lundi 17 janvier. Elle est en baisse de
-2,00%. Avant l'épidémie de coronavirus, l'action Air France-KLM
était à 9,93 euros.
Évolution du cours de l'action Air France-KLM sur cinq ans.
La chute brutale correspond au début de l'épidémie de Covid-19.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 3,45 euros. L'objectif de cours le plus élevé est
à 5,50 euros, le plus bas à 1,30 euro. Vous pouvez
retrouver sur mon blog le détail du consensus des analystes. Je ne
prends pas en compte les opinions d'analystes antérieures au début de
la crise sanitaire.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est en forte hausse cette semaine de
6$ à 87$.
Fin octobre 2020, il était au plus bas à 37$.
Avec 86$ le 25 octobre dernier, le Brent avait atteint un niveau jamais observé depuis 2014,
soutenu par les ruptures d'approvisionnement et la demande sous-jacente.
Il dépasse ce niveau record cette semaine, la crise au Kazakhstan
expliquant la hausse.
Évolution du cours du pétrole sur cinq ans.
La chute brutale correspond au début de l'épidémie de Covid-19.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
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Lors de mon élection, j'ai
reçu le soutien de la CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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