N°851, 14 mars 2022
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Avion cargo ukrainien Antonov-225
La Revue de Presse du lundi
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Air France-KLM, Delta et Virgin veulent des liens plus étroits avec ITA Airways
(source Reuters) 10 mars - Air France-KLM, Delta Air Lines et Virgin
Atlantic sont déterminés à forger des liens plus étroits avec la
nouvelle compagnie italienne ITA Airways (ex-Alitalia), a indiqué jeudi
un porte-parole de la compagnie franco-néerlandaise. (...) Jeudi, le quotidien italien
La
Repubblica a rapporté que Delta Air Lines et Air France-KLM avaient fait
part de leur intérêt auprès du gouvernement italien pour la prise d'une
participation majoritaire dans ITA Airways.
Le gouvernement
italien a également reçu des marques d'intérêt de la part d'un fonds
international détenant déjà des participations dans des compagnies
aériennes à bas coût, précise le quotidien. (...)
Des sources à Reuters ont par ailleurs indiqué fin janvier que la
compagnie aérienne allemande Lufthansa était en pourparlers afin
d'acquérir une participation de 40% dans ITA Airways. La
nouvelle compagnie aérienne nationale d'Italie a officiellement remplacé
Alitalia en octobre dernier, mettant un terme aux 75 années d'existence
du transporteur longtemps symbole du style et du glamour à l’italienne
avant qu'il ne connaisse d'importants déboires financiers.
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Schiphol a pris davantage d’importance dans le réseau Air France-KLM pendant la crise Covid-19
(source Luchtvaartnieuws, traduit avec Deepl) 8 mars - Depuis des
années, le réseau d'Air France-KLM se développe plus vite à Schiphol
qu'à Paris CDG. Pendant la crise de Covid-19, ce développement s'est
poursuivi. En conséquence, la part de Schiphol dans la connectivité
totale d'Air France-KLM a encore augmenté. C'est ce qu'a indiqué lundi
le ministre de l'infrastructure, M. Harbers, devant la Chambre des
représentants néerlandaise, sur la base du rapport annuel de SEO
Economic Research sur la qualité des réseaux et les garanties de l'État.
Ce contrôle fait suite au respect des garanties de l'État qui ont
été convenues lors de la fusion de KLM avec Air France. Le rapport
compare le réseau Air France-KLM au départ de Schiphol avec celui de
Paris CDG. Il prend en compte, par exemple, le nombre de connexions
directes (connectivité directe) et les connexions possibles avec un
transfert via l'aéroport en question (connectivité du hub).
"Après une forte baisse en 2020, les réseaux d'Air France-KLM à Schiphol
et à Paris CDG se redressent. Les deux aéroports ont connu un
développement similaire en 2021. A plus long terme, le réseau Air France KLM
se développe mieux à Schiphol qu'à Paris CDG. Même pendant la crise de
la Covid-19, la part de Schiphol dans la connectivité totale d'Air
France-KLM a augmenté", a déclaré le ministre Harbers dans sa lettre
parlementaire. (...)
Connectivité Schiphol (en rouge)-Paris (en noir) depuis 2004 Schiphol joue donc un rôle de plus en plus important
dans le réseau d'Air France-KLM, mais uniquement en ce qui concerne les
vols de passagers. Le transport de fret montre une tendance différente :
"Ce n'est que dans le domaine du fret qu'Air France-KLM s'est mieux
développé à Paris Charles de Gaulle qu'à Schiphol ces dernières années,
en partie en raison du retrait progressif d'un certain nombre d'avions
cargo de Martinair et d'une réduction de la capacité de fret de KLM",
selon le ministre Harbers.
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Air France a revendu une partie de sa flotte Hop
(source Capital) 9 mars - Air France allège sa flotte. La compagnie
aérienne vient de vendre 14 Bombardier CRJ1000 de sa filiale régionale
Hop à la société de leasing Jetcraft Aviation, rapporte Air Journal. Ces
appareils devraient être livrés entre mars et décembre 2022. (...) Les Bombardier CRJ1000 étaient équipés d'une seule classe de
100 sièges. Avec cette vente, Air France s'est séparé de ses
derniers Bombardier CRJ1000. La flotte de Hop étant désormais composée
de 15 Embraer E170 et 19 Embraer E190 biclasse. En 2018, la compagnie
aérienne avait déjà annoncé la sortie de sa flotte des ATR 42-500. Les
derniers Turboprops ont officiellement été mis à la retraite fin juin
2019. (...)
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Bamboo Airways et AFI KLM E&M veulent étendre leur collaboration
(source Journal de l'Aviation) 11 mars - AFI KLM E&M et Bamboo
Airways ont signé un protocole d'accord qui ouvre la voie à un
renforcement de leur collaboration. La société de maintenance a
déjà conclu plusieurs accords avec la compagnie vietnamienne portant sur
la maintenance de ses Boeing 787, Airbus A320 et Embraer.
Elles
envisagent désormais de les étendre dans le domaine de l'entretien
moteur, pour les GEnx des 787 et ceux de la famille A320 - elle exploite
des A319 et A320ceo équipés de V2500 et des A321ceo, A320neo et A321neo
motorisés par CFM International. Bamboo Airways pourrait
également recourir aux services d'AFI KLM E&M à Amsterdam pour les
grandes visites de ses 787 mais aussi pour des opérations de maintenance
en ligne sur ses escales. Il aura par ailleurs accès aux
capacités d'EPCOR pour l'entretien des APU de ses E-Jets (APS2300) et de
ses Dreamliner (APS5000).
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Lufthansa : une nouvelle filiale Moyen-Courrier pour 2023
(source Air Journal) 11 mars - Le CEO du groupe Lufthansa a confirmé
que compagnie aérienne allemande va créer une deuxième filiale de type CityLine, qui aura pour mission d’alimenter ses hubs de Francfort et
Munich – et d’employer quelques 250 pilotes sans emploi depuis la
fermeture de Germanwings Carsten Spohr a souligné suite à la
présentation des résultats financiers annuels que Lufthansa lancera en
2023 cette nouvelle filiale, qui devrait disposer d’une quarantaine
d’Airbus. Le nouvel AOC (certificat d’opérateur aérien) aura pour
objectif de « protéger les emplois de 250 pilotes qui les ont perdus
avec la fermeture de Germanwings », basée à l’aéroport de Cologne-Bonn
et disparue il y a deux ans quand Lufthansa avait lancé sa
restructuration (son code 4U avait été remplacé par le EW d’Eurowings).
La filiale aura aussi pour mission de baisser les coûts unitaires du
groupe, en particulier dans des deux principaux aéroports
Ces
pilotes seront nécessaires dès cet été avec la reprise attendue du
trafic moyen-courrier, a souligné le CEO ; et les laisser partir pour
les réembaucher l’année prochaine au sein de la nouvelle filiale
« serait très coûteux au regard du droit allemand ». Ils auront les
mêmes contrats que ceux en vigueur chez Lufthansa Cityline. Qui de son
côté pourrait bénéficier de la nouvelle filiale pour augmenter la taille
de sa flotte, taille dont la limite est actuellement en cours de
renégociation avec les syndicats de pilotes (elle opère 50 monocouloirs
Airbus, Bombardier et Embraer). Pour Casten Spohr, le syndicat
de pilotes Vereinigung Cockpit (VC) « ne peut pas arrêter ce projet, car
on peut ouvrir des AOC (certificat d’opérateur aérien) autant qu’on veut. Ces pilotes auraient également
pu rejoindre d’autres AOC, Lufthansa ou CityLine, mais le syndicat ne
voulait pas cela parce qu’il ne voulait pas que ces pilotes contournent
la séniorité des pilotes existants ». (...) Rappelons qu’en
décembre 2020, le groupe assurait qu’il n’y aurait « aucun licenciement
sec » dans le cadre de son accord avec les quelque 5000 pilotes exerçant
dans les filiales Lufthansa, Germanwings, Austrian Airlines, Brussels
Airlines et SWISS – un accord prolongé seulement jusqu’en avril 2021 ;
le chômage partiel de ces pilotes avait été prolongé jusqu’à la fin de
l’année dernière. Mais ceux de Germanwings n’étaient pas « couverts »
par la dérogation aux licenciements obligatoires » comme leurs
collègues.
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Boeing : un souci pour la certification du 737 MAX 10 ?
(source Air Journal) 10 mars - Après la
certification du MAX 8 puis du MAX 9, la recertification du MAX 8
impliqué dans deux accidents ayant fait 346 morts chez Lion Air puis
Ethiopian Airlines, et la certification du MAX 8-200, l’avionneur
américain doit encore faire accepter par le régulateur deux derniers
modèles : le MAX 7 serait en bonne voie, mais le MAX 10 présente un
autre problème.
Comme le rapporte le Seattle Times qui cite de multiples
sources à la FAA, Boeing voudrait certifier le 737 MAX 10 sans les
dernières normes de sécurité sur la conception des alertes de l’équipage
du cockpit ; l’EICAS (système d’indication moteur et d’alerte de
l’équipage) indique aux pilotes ce qui ne va pas à bord de l’avion et
leur indique comment résoudre la situation, et est déjà présent dans
tous les autres Boeing. Mais le cockpit du 737 se prête mal à son
installation, et l’avionneur voudrait le mettre de côté afin de
commencer à livrer les MAX 10 d’ici la fin de l’année.
C’est un
problème de calendrier pour Boeing : la loi de fin 2020 « Aircraft
Safety and Certification Reform Act », qui a entre autre permis à la FAA
de reprendre la main sur un processus de certification en partie délégué
aux constructeurs, oblige tout avion certifié après le 31 décembre 2022
à se conformer aux dernières règlementations d’alerte des équipages,
dont le fameux EICAS. Si la certification du MAX 10 n’est pas obtenue
avant cette date, Boeing pourrait être contraint à revoir le cockpit de
l’appareil, et donc retarder encore plus son entrée en service
(initialement espérée en juillet 2020). Cette refonte avait déjà été
déclarée « irréalisable » par le constructeur. Et un programme de
formation des pilotes différents des autres versions du MAX deviendrait
obligatoire. Le Seattle Times explique que les lobbyistes de
Boeing devraient bientôt entrer en action au Congrès, afin d’obtenir un
amendement repoussant la date butoir. L’avionneur a déclaré dans un
communiqué : « Nous continuons à travailler de manière transparente avec
la FAA pour fournir les informations dont ils ont besoin, et nous nous
engageons à répondre à leurs attentes pour obtenir la certification du
737-10 ». (...)
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Les aéroports français toujours en crise
(source Journal de l'Aviation) 10 mars - La situation des aéroports
français est encore très mitigée. L'UAF (Union des aéroports français) a
indiqué que ses membres avaient accueilli 90,7 millions de passagers en
2021, une belle amélioration de près de 30% par rapport à 2020 mais
toujours en chute de 57,7% par rapport à 2019. Des chiffres jugés encore
catastrophiques pour la profession. (...) Les plateformes régionales (accueillant plus
d'un million de passagers) et des territoires d'outre-mer sont celles
qui ont enregistré les résultats les moins mauvais (...). La situation dans les plus
petits aéroports régionaux est quant à elle assez disparate, Figari
ayant profité du dynamisme de la destination Corse tandis que les
aéroports dépendants des sports d'hiver et des voyageurs britanniques
ont souffert. Pour le moment, l'UAF s'aligne sur les
prévisions de trafic de l'ACI Europe et de la DGAC pour 2022, qui
estiment que celui-ci pourrait flirter avec les 70% de son niveau de
2019. (...) Il souligne (...) qu'un
danger pèse sur les régions les plus enclavées, concernées par les
délégations de service public. Les critères mis en place pour la
desserte de ces lignes peuvent désormais apparaître trop contraignants
au vu de la faiblesse du trafic et de la restructuration du réseau
régional d'Air France, et demandent à être revus pour attirer des
opérateurs. (...) Par ailleurs, l'UAF
soulève à nouveau la question du financement de la sûreté aéroportuaire,
financée par la taxe d'aéroport (rebaptisée T2S et fusionnée avec la
taxe Chirac et la taxe de l'aviation civile au sein de la taxe sur le
transport aérien de passagers). Avec la chute du trafic, les recettes
liées à cette taxe ont chuté d'autant alors que les aéroports ont
supporté les coûts. Pour les soulager, l'État leur a octroyé des
avances pour un montant de 700 millions d'euros, remboursables à partir
de 2024. (...) L'UAF demande (...) que ces avances
soient transformées en subvention. Enfin, les aéroports
s'inquiètent de la mise en place du système Entrée-Sorties européen, qui
impose des contrôles renforcés aux frontières extérieures de l'Europe.
Repoussée au 1er octobre pour éviter les perturbations durant le pic de
la saison été, elle pourrait entraîner un temps de traitement en
aéroport deux voire trois fois plus long pour chaque passager concerné,
d'autant que le ministère de l'Intérieur a indiqué qu'il n'y aurait pas
d'effectifs supplémentaires affectés à ces contrôles. L'UAF réclame donc
la suppression des contrôles pour les vols intra-européens, la
possibilité d'utiliser au maximum les technologies de contrôle pour
éviter le passage aux aubettes et une simplification des procédures là
où c'est possible.
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Le choc pétrolier risque de malmener encore plus les compagnies aériennes
(source AFP) 9 mars - L’invasion russe en Ukraine a entraîné le prix
des hydrocarbures vers des sommets historiques. Le kérosène
s’échange actuellement à quelque 150 dollars US le baril, en hausse
d’environ 30 % sur un mois et de 100 % en un an, selon l’indice de
référence Platts de l’agence S&P. « Les pressions haussières sur
les prix vont continuer, surtout si le secteur énergétique russe subit
des sanctions plus dures », affirmait lundi l’Association du transport
aérien international (Iata), porte-voix des compagnies. C’était
avant que le président américain Joe Biden provoque un nouveau pic des
cours en annonçant, mardi, un embargo sur le pétrole russe.
« Toutes les compagnies qui ont une partie de leur consommation non
couverte seront directement affectées », a prévenu l’IATA.
Des
compagnies aériennes, dont les dépenses en carburant représentent entre
20 et 30 % des coûts en temps normal, se prémunissent en effet contre
les évolutions brutales des cours en concluant des contrats leur
assurant un prix fixe sur une partie de leur kérosène, ce qu’on appelle
la « couverture » ou « hedging » en anglais.
Par exemple, Air
France-KLM a économisé en 2021 300 millions de dollars sur le carburant
(soit 10 % de sa facture totale), car les cours sont montés pendant
l’année. Avant même la récente escalade du brut, le groupe
franco-néerlandais escomptait 470 millions de dollars de coûts évités
cette année, grâce notamment à une consommation déjà acquise à 72 % pour
le premier trimestre, proportion déclinant toutefois jusqu’à 28 % au
quatrième. « On va plutôt retrouver les
répercussions dans quelques mois, une fois que les compagnies aériennes
auront été obligées d’utiliser les barils achetés avec les cours
actuels », indique à l’AFP Paul Chiambaretto, professeur associé de
stratégie et marketing à la Montpellier Business School et directeur de
la Chaire Pégase, spécialiste du secteur aérien. (...) De fait, « la pression va
monter si les prix du kérosène restent élevés pendant le restant de
l’année et en 2023, lorsque les couvertures se réduiront », a souligné
Moody’s dans un rapport mardi, en évoquant le risque de voir les
compagnies ne pas « être en mesure de revenir à leur rentabilité d’avant
la pandémie » à cette échéance. Pour l’agence de notation
financière, les compagnies européennes sont couvertes à environ 50 % en
2022, et doivent s’attendre à une hausse de leurs dépenses de carburant
de 20 à 25 % en moyenne. D’autres compagnies, notamment américaines,
n’ont que très peu acheté de carburant à l’avance, selon elle. (...)
Pour Moody’s, les
compagnies, même avec des couvertures de carburant pour 2022,
« devraient augmenter le prix de leurs billets d’environ 5 % pour
préserver leurs marges ». « Et en période d’inflation déjà forte […] ces
hausses pourraient faire chuter la demande », a prévenu l’IATA.
« On va toujours garder un volant de prix abordables, mais on surveille
évidemment les évolutions du cours du pétrole pour s’ajuster si
effectivement l’impact devenait trop fort pour nous », remarque de son
côté Nathalie Stubler, directrice générale de Transavia France.
Revue de presse boursière
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Air France-KLM: AlphaValue abaisse sa recommandation
(source CercleFinance) 8 mars - AlphaValue est passé ce mardi
d'une recommandation 'accumuler' à un conseil 'alléger' sur le titre Air
France-KLM après avoir procédé à un certain nombre
d'ajustements liés au conflit russo-ukrainien. Dans une note de
recherche, le bureau d'études parisien explique sa dégradation
par les conséquences négatives de la crise, appelée à se traduire
d'après lui par une baisse de la demande pour les voyages et
l'annulation de certaines routes. AlphaValue ajoute que
la nécessité d'opérer un détour pour atteindre certaines destinations va
également se traduire par un surcoût au niveau de la facture de
kérosène. Son objectif de cours se trouve ramené en
conséquence de 3,93 à 3,34 euros.
Fin de la revue de presse
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Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Vous trouverez sur mon site
navigaction
les modalités d'accès aux sites des gérants.
Pour éviter
d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants,
Natixis, Société Générale, votre établissement financier personnel si
vous avez acheté vos actions par celui-ci.
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Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 3,735 euros en clôture
lundi 14 mars. Elle est en forte hausse cette semaine de +13,35%.
Avant l'épidémie de coronavirus, l'action Air France-KLM
était à 9,93 euros.
Évolution du cours de l'action Air France-KLM sur cinq ans.
La chute brutale correspond au début de l'épidémie de Covid-19.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 3,30 euros. L'objectif de cours le plus élevé est
à 5,50 euros, le plus bas à 1,30 euro. Vous pouvez
retrouver sur mon blog le détail du consensus des analystes. Je ne
prends pas en compte les opinions d'analystes antérieures au début de
la crise sanitaire.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est en
très forte baisse cette semaine de -18$ à 105$.
La crise en Ukraine est à l'origine de la hausse du cours du pétrole,
hausse qui touche également le cuivre et
l'or.
En début de semaine, le Brent a atteint
132$, proche de son record de 150$ atteint en 2008.
Fin octobre 2020, il était au plus bas à 37$.
Évolution du cours du pétrole sur dix ans.
La chute brutale correspond au début de l'épidémie de Covid-19.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM..
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
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François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
salariés et anciens salariés actionnaires PNC et PS. Vous pouvez me retrouver sur mon
compte twitter @FrRobardet
Lors de mon élection, j'ai
reçu le soutien de la CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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