N°858, 2 mai 2022
Si vous ne voyez pas correctement cette page, ou
si vous souhaitez lire les versions anglaises ou néerlandaises If you
do not see this page correctly, or if you want to read the English or
Dutch versions, Als u deze pagina niet goed ziet, of als
u de Engelse of Nederlandse versie wilt lezen,
suivez
ce lien ,
it is here,
vindt u deze hier
La Revue de Presse du lundi
Éditorial
.>
Air France dans les starting-blocks pour une nouvelle recapitalisation
(source Les Échos) 2 mai - Le prochain gros chèque de l'État à une
entreprise sera probablement pour Air France. Mais reste à savoir quand
il sera signé. Pour restaurer son bilan, réduire son endettement et
satisfaire aux conditions posées par la Commission européenne, sa maison
mère, Air France-KLM a déjà indiqué, lors de ses résultats annuels,
avoir besoin de lever encore quelque 4 milliards d’euros. Ce qui devrait
se faire par une nouvelle augmentation de capital, ainsi qu'une nouvelle
émission d'obligations. Dans tous les cas, le contribuable
français sera encore mis fortement à contribution. Ni le gouvernement,
ni la direction d'Air France-KLM, n'en font plus mystère. Les dirigeants
du groupe ont déjà obtenu le feu vert de ses actionnaires pour procéder
aux émissions nécessaires, dès qu'ils le jugeront opportun. La seule
question qui se pose encore, est donc celle de la date de lancement de
cette opération. Les
dirigeants d'Air France-KLM s'étaient pourtant eux-mêmes fixés comme
échéance de procéder à cette nouvelle recapitalisation avant l'assemblée
générale des actionnaires du 24 mai 2022. À l'automne 2021, il était
même prévu de lancer l'opération en fin d'année, en surfant sur la
reprise du trafic. Mais la vague Omicron avait déferlé, entraînant un
report sine die de l'opération. Et depuis, la guerre en Ukraine et son
corollaire, la flambée du prix du carburant, ont accentué encore
l'incertitude. Au sein d'Air France-KLM, on s'efforce de
dédramatiser cette incertitude, en soulignant que l'entreprise a jusqu'à
la fin de l'année pour appliquer les résolutions relatives à sa
recapitalisation et que le solide niveau de trésorerie (plus de 10
milliards d'euros à fin 2021) ne nécessite pas une injection urgente de
fonds. La reprise du trafic paraît bien engagée en Europe comme en
Amérique et Air France-KLM pourrait donc tout aussi bien attendre
d'avoir engrangé un maximum de réservations sur la saison estivale,
avant de faire appel aux investisseurs. « Air France a beaucoup
abaissé son point mort. Pour qu'elle puisse en tirer profit, il faut
seulement que l'activité reparte durablement », souligne un autre bon
connaisseur du dossier. Toutefois, d'autres arguments plaident aussi pour un lancement rapide de
l'opération, si possible avant la fin juin. Dans le cadre de l'accord
passé en 2020 auprès de la Commission européenne, en contrepartie du feu
vert aux aides, Air France-KLM aurait en effet pris certains engagements
non rendus publics, relatifs au remboursement des aides publiques, et
dont la première échéance tomberait le 30 juin, sous peine de pénalités.
Par ailleurs, si le cours actuel de l'action Air France-KLM reste à
la traîne, malgré l'amélioration de ses résultats trimestriels souvent
meilleurs que ceux de ses concurrents, c'est notamment du fait de
l'incertitude sur sa recapitalisation, estiment certains analystes. Les
investisseurs potentiels redouteraient d'être fortement dilués, en se
portant trop tôt sur le titre AF-KLM. Ce qui pourrait inciter Air France-KLM à
lancer sans trop tarder son opération de refinancement, dans la foulée
des résultats du 1er trimestre, le 5 mai prochain. « On pourrait avoir
le lancement d'un premier volet après les résultats trimestriels, qui
devraient permettre de vérifier que la réduction des coûts constatée sur
les trimestres précédents est bien durable », estime ainsi Yan Derocles,
analyste chez Oddo Securities. Au final, « cela dépendra de
l'état du marché », résume un autre bon connaisseur du dossier. Si les
résultats du 1er trimestre d'Air France-KLM, mais aussi ceux de ses
principaux concurrents européens, Lufthansa et IAG, publiés juste après,
sont suffisamment bons pour susciter une remontée du titre en bourse,
alors ses dirigeants pourraient décider d'appuyer sans tarder sur le
bouton. Mais si au contraire, le marché ne réagit pas ou qu'un évènement
venait à générer des vents contraires, alors l'attente pourrait se
prolonger. L'un de ces évènements pourrait être, par exemple, le
déclenchement d'un conflit social chez Air France, contre le projet de
délocalisation en Inde d'une partie des développements informatiques.
Selon la CFDT, qui se dit prête à s'y opposer « par tous les moyens »,
ce projet serait contraire à la politique de relocalisation du
gouvernement et incompatible avec une nouvelle aide publique.
>
Schiphol discute avec les compagnies aériennes des conséquences financières de l'engorgement.
(source LC, traduit avec Deepl) 29 avril - Schiphol est déjà en train
de discuter avec les compagnies aériennes du préjudice financier causé
par l'annulation des vols pour ce week-end [des 30 avril et 1er mai].
L'aéroport a demandé aux compagnies aériennes d'annuler des vols
(...) en raison du trafic intense. Cette demande a été
satisfaite. KLM annulant au moins 47 vols (...).
Schiphol
affirme qu'elle prend toujours en compte les réclamations "dans des
situations comme celle-ci". (...)
Un porte-parole n'a pas voulu se prononcer sur le montant éventuel des
dégâts.
Il s'agirait
probablement de millions d'euros. Plus tôt dans la journée de vendredi,
les agences de voyage ont indiqué qu'elles craignaient des
millions d'euros de dommages en raison du possible chaos à Schiphol.
Selon Schiphol, l'affluence
est due aux vacances de mai et au manque de personnel dans le secteur de
l'aviation. C'est pourquoi Schiphol avait demandé aux compagnies de réduire
le nombre de leurs passagers ce week-end. L'aéroport parle d'une
"demande exceptionnelle" qui a également été faite pour la sécurité des
passagers et des employés. (...)
>
L'incroyable come-back des compagnies aériennes américaines (American, Delta, United)
(source La Tribune) 27 avril - Les compagnies américaines ont
décidément une capacité de rebond incroyable en sortie de crise. Les
résultats du premier trimestre 2022 de Delta Airlines, United Airlines
et American Airlines ne sont pas encore mirobolants, avec des pertes
encore significatives même pour un début d'année, mais les perspectives
pour les mois à venir sont colossales avec plusieurs milliards de
dollars supplémentaires déjà engrangés par rapport aux niveaux
d'avant-crise. Sur le plan du chiffre d'affaires, le constat est
relativement simple : au premier trimestre, les trois compagnies
américaines ont toutes plus que doublé leurs revenus par rapport à la
même période l'an dernier. (...) Elles ont ainsi récupéré entre 80 et
90% de leurs niveaux de recettes du premier trimestre 2019. (...) En revanche, les pertes
opérationnelles restent lourdes. Si Delta améliore significativement son
résultat de plus de 600 millions de dollars, elle en perd encore près de
800 millions. United stagne avec une perte autour de 1,4 milliard de
dollars. Et American dégringole encore, avec un déficit opérationnel
renforcé de 400 millions de dollars pour un total de plus de 1,7
milliard. Les pertes nettes évoluent dans les mêmes proportions pour
chaque compagnie. Le bilan est donc encore fragile, même s'il faut
rappeler que le premier trimestre est traditionnellement compliqué et
que celui-ci a été marqué par le variant Omicron et la guerre en
Ukraine. (...) Si les trois compagnies sont si optimistes
en dépit des montagnes russes de ces dernières années, c'est tout
simplement parce qu'elles ont d'ores et déjà engrangé des montants de
ventes records pour les prochains mois. (...)
Au total sur ce premier trimestre, les trois mastodontes du transport
aérien américain ont réalisé un résultat colossal, comme l'a qualifié un
analyste, en ayant déjà vendu pour plus de 26 milliards de dollars de
billets pour des vols encore à venir. C'est une hausse foudroyante de
plus de 42 % par rapport à 2019. Le deuxième trimestre va donc générer
des revenus très importants, voire historiques. Et si la tendance se
poursuit au troisième trimestre, le plus rentable et de loin du
transport aérien, l'été pourrait être de tout premier ordre pour les
compagnies américaines. (...) L'augmentation des recettes tient plus à la hausse
du tarif unitaire plutôt qu'à l'accroissement du nombre de passagers.
Les "majors" américaines restent d'ailleurs prudentes sur la remise en
ligne de leurs capacités. Pour le deuxième trimestre, le nombre de
sièges au kilomètre offert va ainsi osciller entre 82 % et 87 % de la
capacité de 2019 d'une compagnie à l'autre. Sans compter qu'il persiste
un décalage important entre le domestique, qui revient à la pleine
capacité, et l'international, encore à la peine.
Cette dynamique va donc permettre aux compagnies d'absorber en partie la
hausse du prix du kérosène et d'engranger du cash. (...)
Au final, les trois géants prévoient tous d'être rentables au
deuxième trimestre, ainsi que sur l'année. Delta Airlines et
United Airlines visent toutes deux des marges "à deux chiffres" pour les
prochains mois, quelques points en dessous du niveau de 2019. (...)
>
La compagnie aérienne russe Aeroflot suspendue de l’alliance SkyTeam
(source La Quotidienne) 29 avril - L’alliance aérienne SkyTeam,
dirigée en Europe par Air France-KLM, a annoncé hier la suspension
d’Aeroflot en tant que membre du groupe. La mesure est cependant
« temporaire ». Il y a une semaine, S7, la deuxième compagnie
aérienne russe, avait reçu le même traitement de la part de l’alliance
concurrente Oneworld. Dans le cas de SkyTeam, la suspension
affectera surtout les clients qui avaient engrangé des points en volant
avec Aeroflot, ainsi que ceux qui avaient l’intention d’en profiter
avec. La première compagnie aérienne russe avait rejoint
l’alliance SkyTeam en 2006 devenant ainsi la septième du groupe fondé
par Delta, Air France-KLM, Korean et Aeromexico. « Cette
suspension, indique le communiqué, signifie qu’un retour pourrait être
envisagé, dans la mesure où le conflit armé en Ukraine le permet». (...)
>
Qantas confirme son basculement chez Airbus
(source Le Figaro) 1er mai - Qantas Airways, la principale compagnie
australienne, s’apprête à basculer complètement chez Airbus.
Elle doit
annoncer ce lundi la commande de douze avions A350-1000, pour 4,4
milliards de dollars. Avec ces appareils, le transporteur pourra relier
d’ici 2025 Sydney à Londres en vingt heures, soit la plus longue liaison
aérienne du monde, ou encore Sydney à New York. Les A350-1000
sont un pas de plus dans la stratégie zéro carbone de Qantas. Ils
consomment 20 % de carburant de moins par rapport aux avions d’ancienne
génération. Cette commande est aussi un nouveau revers pour Boeing, dont
le 787 Dreamliner n’a pas été retenu. Selon le quotidien
The West Australian, cette commande comprendrait aussi vingt
A321 XLR et vingt A220 et des options pour 106 autres appareils.
En effet, en décembre 2021, la compagnie australienne avait passé une
commande géante de 134 appareils de 13 milliards de dollars, au prix
catalogue, afin de renouveler sa flotte de moyen-courriers composés
jusqu’ici uniquement de Boeing. Mais l’annonce officielle n’a pas encore
été faite. (...) L’achat de
ces long-courriers est le signe que Qantas parie sur la reprise sur les
très longues distances. En 2021, la compagnie avait annoncé une immense
perte au second semestre, en raison de la pandémie. Depuis le début de
la crise sanitaire, elle a perdu plus de 20 milliards de dollars
australiens.
>
Airbus remporte une première manche judiciaire contre Qatar Airways
(source Les Échos) 26 avril - Airbus a remporté le premier round du
différend qui l'oppose depuis des mois à Qatar Airways au sujet des
A350. La Haute cour de justice de Londres a rejeté le recours de la
compagnie de Doha, contre la décision d'Airbus d'annuler sa commande de
50 A321 moyen-courriers. La justice britannique a estimé que le refus de
Qatar Airways de prendre livraison de ses derniers A350 autorisait
Airbus à annuler la livraison de ces A321, même si les deux contrats ne
portent pas sur le même modèle d'avion. Airbus, qui faisait
valoir que le contrat de l'A321 était lié au respect par Qatar Airways
de celui des A350, s'est félicité de ce jugement, qui revient pourtant à
confirmer la perte d'une commande d'une valeur de plus de quatre
milliards de dollars. Mais l'avionneur va pouvoir replacer ces A321
auprès d'autres clients. Qatar Airways, qui a déjà commandé des Boeing
737 Max pour remplacer ces Airbus A321, cherchait apparemment à empêcher
Airbus de replacer ces appareils auprès d'autres clients, tant que le
litige principal sur les A350 ne serait pas réglé.
Cette première décision de justice ne règle pas pour autant la question
de fond. A savoir la responsabilité de l'avionneur dans le différend qui
l'oppose depuis des mois à Qatar Airways au sujet de la détérioration
anormale de la peinture sur ses A350. (...) La justice britannique devra
non seulement statuer sur les causes de ce problème de peinture, mais
aussi sur le montant éventuel du préjudice subi. La procédure initiale
pourrait ainsi durer 18 à 20 mois, avant de déboucher sur un éventuel
premier jugement. Après quoi, les deux parties auront encore la
possibilité de faire appel.
>
Boeing reporte les premières livraisons de son 777X à 2025
(source Les Échos) 27 avril - À chaque annonce de Boeing son lot de
mauvaises nouvelles. Les résultats du premier trimestre, mardi,
n'échappent pas à la règle du moment. L'avionneur américain a même fait
coup double avec l'annonce du report à 2025 des premières livraisons de
son dernier modèle, le 777X, prévues jusqu'à présent en 2023. A quoi
s'ajoute un surcoût additionnel de 1,5 milliard de dollars sur ce
programme. Le géant de Chicago passe également 1 milliard de
dollars de charges exceptionnelles, pour prendre en compte les dérapages
de différents programmes militaires, dont celui du futur avion
présidentiel Air Force One. Une addition qui se solde par une nouvelle
perte nette de 1,2 milliard de dollars sur les trois premiers mois de
l'année, malgré l'amélioration des ventes d'avions commerciaux.
Ce nouveau report des premières
livraisons du 777X, initialement attendu pour 2020, n'est pas vraiment
une surprise. Boeing en est à son troisième ou quatrième report sur ce
programme - qui n'est pourtant qu'une nouvelle version de son
gros-porteur long-courrier, le 777-300-, et son principal client,
Emirates, avait déjà vendu la mèche la veille.(...) Et ce « en supposant que la FAA [l'aviation
civile américaine en charge des certifications, NDLR] ne découvre pas de
nouveaux problèmes ». Le Boeing 777-9 est censé remplacer
progressivement les Airbus A380 chez Emirates. (...) Et c'est également pour satisfaire aux exigences de la FAA, mise en
cause pour sa trop grande mansuétude dans l'affaire du 737 MAX, que le
patron de Boeing n'est toujours pas en mesure d'indiquer une date pour
la reprise des livraisons de 787, suspendues depuis mai 2021 , après la
découverte de défauts de fabrication sur un grand nombre d'appareils.
(...)
>
Les aéroports parisiens doivent recruter 4.000 personnes mais peinent à attirer
(source AFP) 28 avril - Les plateformes aéroportuaires d’Orly et de
Roissy-Charles-de Gaulle font face à d’« énormes » difficultés de
recrutement alors que 4.000 postes sont à pourvoir, a annoncé ce jeudi
27 avril le PDG du Groupe ADP Augustin de Romanet sur BFM Business.
« Ce qui nous préoccupe, c’est la bonne expérience du passager
et notamment dans les postes d’inspection filtrage (contrôle de
sécurité, N.D.L.R.). Et aujourd’hui, les entreprises ont beaucoup de mal
à recruter » dans ce secteur, a indiqué M. de Romanet. (...) « Nous cherchons des techniciens de
maintenance, des ingénieurs » (...). (...) Le patron du groupe aéroportuaire a listé les secteurs où il
manquait du personnel en plus des postes dans les métiers de sûreté
comme dans les commerces, le duty-free, la restauration ou encore les
bars. (...) Les
syndicats disent craindre un manque d’effectif criant cet été alors que
la reprise du trafic s’annonce vigoureuse. « On n’avait pas anticipé non
plus la reprise économique dynamique avec beaucoup d’offres d’emploi, où
les gens qualifiés ont le choix » ce qui complique les recrutements, a
indiqué le secrétaire général de la CGT Daniel Bertone.
>
CDG Express : la justice valide la ligne ferroviaire entre Paris et l’aéroport de Roissy
(source AFP) 28 avril - La Cour administrative d’appel de Paris a
validé jeudi 28 avril la poursuite du chantier du futur train rapide CDG
Express entre Paris et l’aéroport de Roissy, en revenant sur une
précédente décision de justice. (...) Le litige qui a
conduit cette affaire devant la justice concerne plus particulièrement
la portion de voies nouvelles qui s’étend sur 4,4 kilomètres au niveau
de Mitry-Mory (Seine-et-Marne). Cette commune (...) avait attaqué l’arrêté préfectoral autorisant le projet
à traverser des zones où vivent des espèces protégées.
L’avancement du chantier avait été initialement perturbé par un jugement
du tribunal administratif de Montreuil (Seine-Saint-Denis), qui avait
stoppé les travaux début novembre 2020 en annulant cette dérogation.
(...) Dans les faits, les porteurs de projet avaient
toutefois rapidement obtenu l’autorisation de reprendre les travaux en
attendant la décision au fond. Aux yeux des opposants au projet
parmi lesquels des élus de gauche et des associations de défense de
l’environnement, le train des riches se construit au détriment des
transports en commun du quotidien. Le chantier du CDG Express
est piloté par CDG Express, un gestionnaire d’infrastructure détenu à
parts égales par Groupe ADP, SNCF Réseau et la Caisse de Dépôts.
Cette liaison de 32 km doit relier directement en 20 minutes la Gare de
l’Est, à Paris, et l’aéroport de Roissy, avec un train tous les quarts
d’heure.
Fin de la revue de presse
>
Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Vous trouverez sur mon site
navigaction
les modalités d'accès aux sites des gérants.
Pour éviter
d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants,
Natixis, Société Générale, votre établissement financier personnel si
vous avez acheté vos actions par celui-ci.
>
Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 3,893 euros en clôture
lundi 2 mai. Elle est en baisse cette semaine de -4,00%.
Elle était descendue à 3,295€ début mars.
Avant l'épidémie de coronavirus, l'action Air France-KLM
était à 9,93 euros.
Évolution comparée du cours de l'action Air France-KLM vs IAG et LH sur un an.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 3,24 euros. L'objectif de cours le plus élevé est
à 5,50 euros, le plus bas à 1,30 euro. Vous pouvez
retrouver sur mon blog le détail du consensus des analystes. Je ne
prends pas en compte les opinions d'analystes antérieures au début de
la crise sanitaire.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est en
forte hausse cette semaine de 8$ à 109$.
Depuis la mi-février, il fait le yoyo entre 100 et 120 $.
Au début du mois de mars, le Brent avait atteint
132$, proche de son record de 150$ (en 2008).
Fin octobre 2020, il était au plus bas à 37$.
Évolution du cours du pétrole sur dix ans.
La chute brutale correspond au début de l'épidémie de Covid-19.
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM..
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
A bientôt.
Pour retrouver les dernières revues de presse du lundi, c'est
ici
Si vous appréciez cette revue de presse, faites la
circuler.
Les nouveaux lecteurs pourront la recevoir en
me communiquant l'adresse
email de leur choix.
|
François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
salariés et anciens salariés actionnaires PNC et PS. Vous pouvez me retrouver sur mon
compte twitter @FrRobardet
Lors de mon élection, j'ai
reçu le soutien de la CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
recevoir cette revue de presse,
[désabonnez-vous]
Si vous préférez recevoir la revue de presse sur une autre adresse,
merci de me l'indiquer. Pour me joindre :
message pour François Robardet.
11119 personnes reçoivent cette revue de presse en direct
|