N°888, 28 novembre 2022
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La Revue de Presse du lundi
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Air France reçoit son vingtième Airbus A350-900 baptisé « Angers »
(source Air Journal) 26 novembre - Le vingtième A350-900 sur les 38
commandés a été livré hier à la compagnie aérienne tricolore.
Immatriculé F-HTYT, l’appareil est sorti des chaînes d’assemblage
d’Airbus à Toulouse et a rejoint Paris-Charles de Gaulle, où il sera
affecté aux liaisons long-courrier de la compagnie. Il effectue
d’ailleurs son premier vol commercial dès aujourd’hui, en s’envolant
vers Lima, au Pérou. Depuis 2019 et la livraison de son premier
Airbus A350, Air France renoue avec la tradition de baptiser ses avions
du nom de villes françaises. « Angers » a été choisi « en hommage à
cette ville de l’ouest de la France, haut lieu du patrimoine, et qui fut
un lieu de résidence des rois de France », dixit Air France. Avant
« Angers », elle a baptisé ses 19 Airbus A350 précédents du nom de
« Toulouse », « Lyon », « Saint-Denis de la Réunion », « Nice »,
« Bordeaux », « Marseille », « Reims », « Dijon », « Saint-Malo »,
« Cannes », « Aubusson », « Pointe-à-Pitre », « Fort-de-France »,
« Chambord », « Cayenne », « Lille », « Menton », « Deauville » et
« Biscarosse ». Avec l’Airbus A350 en service sur son réseau
long-courrier, Air France poursuit l’intégration dans sa flotte
d’appareils de nouvelle génération, plus économes et plus respectueux de
l’environnement. « Avec des émissions de CO2 réduites de 25% par rapport
aux avions de génération précédente, il constitue un levier majeur de
réduction de l’empreinte environnementale de la compagnie. Son empreinte
sonore est également réduite de 40% », rappelle la compagnie aérienne.
Cet hiver, les A350 d’Air France desserviront 20 destinations
sur quatre continents, au départ de Paris-Charles de Gaulle (...)
D’ici 2030, les appareils de dernière génération
(Airbus A350 et Airbus A220) représenteront 70 % de sa flotte, contre
7 % actuellement, grâce à un plan d’investissement ambitieux d’un
milliard d’euros par an.
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Le tour-opérateur Corendon étend son offre depuis Bruxelles
(source Trends Tendances) 28 novembre - Le géant néerlandais de
réservation de voyages Corendon va doubler sa capacité de départs depuis
l'aéroport de Bruxelles la prochaine saison, aux dépens de celle de
Schiphol aux Pays-Bas. Les raisons mises en avant sont les coûts élevés
et une situation chaotique à l'aéroport néerlandais, rapporte le journal
néerlandais De Telegraaf lundi.
Corendon va doubler le nombre de
sièges au départ de Brussels Airport pour passer à 260.000 la saison
prochaine. La capacité à Schiphol passera alors à 230.000 sièges.
Le
patron de Corendon, Atilay Uslu, craint que la société soit
contrainte même de dégraisser davantage encore la capacité depuis
l'aéroport néerlandais à l'avenir, à cause de la pénurie de personnel à
Schiphol. "Depuis Bruxelles, nous pouvons assurer des vacances à la
clientèle", avance-t-il.
En outre, les avions au départ de la
Belgique sont moins coûteux, car les tarifs à l'aéroport de Schiphol ont
augmenté et les taxes néerlandaises sur l'aviation quadruplées, justifie
encore le PDG.
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Emirates confirme qu'il fera voler tous ses a380 dès l'été prochain
(source BFMtv) 24 novembre - Progressivement abandonné par les
compagnies aériennes, pour cause de non-rentabilité, l'A380 - qui n'est
plus fabriqué par Airbus depuis trois ans - fait son retour dans le
ciel, notamment chez Emirates, premier utilisateur de ce très gros
porteur. 70 de ses 118 unités sont actuellement opérées, un
chiffre qui passera à 80 à la fin de l'année et à 118 l'été prochain.
Soit toute la flotte de la compagnie a confirmé ce mercredi à la presse
allemande son PDG, Tim Clark.
La compagnie aérienne basée à Dubaï, de par la configuration de ses
opérations, mise énormément sur cet appareil alors que ses concurrents
le remisaient au garage. Elle investit en effet 2 milliards de dollars
pour l'équiper de sa nouvelle classe Économie Premium. (...) A l'opposé de la
tendance actuelle qui privilégie les appareils plus légers, biréacteurs
et monocouloirs, l'A380 qui est très cher à rentabiliser fait également
un retour chez d'autres compagnies. Il revole sur les liaisons
inter-continentales chez British Airways qui possède 12 appareils,
Singapore Airlines qui en possède également 12, Qatar Airways (8),
Qantas (6) et Korean (4). La Lufthansa souhaite remettre en service sa
flotte de huit A380 l'été prochain près de trois ans après les avoir mis
en retrait. Pour autant, à l'exception d'Emirates, ces retours
se font un peu sous la contrainte pour les compagnies. Elles doivent en
effet absorber une hausse très sensible du trafic actuellement, il faut
donc délivrer. D'autant plus que les livraisons de Boeing 777X
se font attendre. Cet appareil, le plus imposant du catalogue de Boeing
mais plus léger que l'A380, n'a que deux moteurs, il est donc bien moins
cher à opérer et donc à rentabiliser. (...) Les premières livraisons étaient attendues
mi-2020 avant d'être reportées à début 2021 pour encore connaître un
report. Elles sont désormais attendues fin 2023. Il est également censé
concurrencer l'A350 qui est aujourd'hui le plus gros appareil au
catalogue d'Airbus. (...)
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Lufthansa conserve des partisans à Rome pour reprendre ITA Airways
(source Les Échos) 26 novembre - Énième rebondissement dans la
comédie dramatique de la privatisation d'ITA Airways. Lufthansa
sera-t-elle bientôt aux manettes de la compagnie italienne ? C'est en
tout cas ce que veut la compagnie aérienne allemande restée seule en
lice dans le dossier de la privatisation de l'avionneur transalpin.
En
début de semaine, le géant du transport maritime MSC a annoncé son
retrait. Il avait déposé en août dernier avec Lufthansa une offre de 850
millions d'euros pour 80 % d'ITA, ne laissant à l'État italien qu'une
part de 20 %. Le géant du transport maritime devait assumer 60 % de
l'investissement. Désormais seul en piste, et après avoir passé au
crible les comptes d'ITA, Lufthansa maintient son intérêt pour
l'entreprise en crise. Selon des indiscrétions du « Corriere
della Sera », le gouvernement Meloni étudie l'option de vendre la
majorité d'ITA à un consortium formé par Lufthansa et le groupe public
des chemins de fer, Ferrovie dello Stato (FS). Le groupe allemand serait
majoritaire avec 51 % des parts et l'État conserverait 20 % du capital.
Le Trésor italien refuse de démentir catégoriquement. « L'option
allemande » rencontre pourtant les faveurs du ministre de l'Économie
Giancarlo Giorgetti. Dès sa prise de fonction fin octobre, une de ses
premières décisions avait été de ne pas renouveler l'exclusivité pour
les négociations avec Certares, associé à Air France-KLM et Delta
Airlines, décidée par le gouvernement de Mario Draghi. Il estime qu'Air
France serait un partenaire commercial et non industriel. (...)
Andrea Giuricin Professeur d'économie des transports à l'université de
Milan-Bicocca « ITA est une pièce essentielle dans la stratégie de
Lufthansa, estime Andrea Giuricin, professeur d'économie des transports
à l'université de Milan-Bicocca. Lorsqu'elle reprend des compagnies
concurrentes comme Austrian Airlines, Brussels Airlines ou Swiss, elle
est très attentive au développement du Hub que ce soit à Vienne, Zurich
ou Bruxelles. C'est ce qu'elle compte faire à Rome qui pourrait lui
permettre de combler une lacune avec ses rivaux concernant l'Amérique du
Sud. Pour des raisons historiques notamment liées à l'immigration et à
l'émigration, l'Italie dispose d'un potentiel important. »
Ferrovie dello Stato et le gestionnaire
d'autoroutes et d'aéroports Atlantia, ont en revanche démenti les
rumeurs évoquant leur entrée en lice. Elles ressuscitaient des
projets nés en 2019 sous la pression du gouvernement populiste
Ligue-M5S. « (...) Lufthansa veut une véritable
privatisation et avoir les mains libres mais il y a une frange
nationaliste au sein du gouvernement italien qui veut que l'État reste
déterminant. Cela pourrait compliquer des négociations qui doivent
s'achever au plus tard au printemps prochain. »
C'est le délai
de liberté dont dispose encore ITA dont les comptes ne cessent de se
dégrader. L'État vient tout juste de recapitaliser la compagnie à
hauteur de 400 millions d'euros. Bruxelles a autorisé une injection
maximum de 1,35 milliard d'euros de fonds publics et il ne reste plus
qu'une enveloppe de 250 millions d'euros. C'est trop peu pour qu'elle
continue à voler de ses propres ailes. « Elle est trop petite, trop
fragile et le secteur aérien est trop compliqué » insiste Andrea Giuricin.
Elle ne peut qu'être reprise par un autre groupe ou c'est le
crash assuré. »
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Les compagnies aériennes chinoise optimistes sur le retour de leurs vols long-courriers
(source Air & Cosmos) 26 novembre - Les trois grandes compagnies
aériennes chinoises, Air China, China Southern Airlines, China Eastern
Airlines, reviennent sur le long-courrier même si des mesures de
contrôle sanitaire sont toujours en place mais désormais inscrites dans
une dynamique d'assouplissement. Air China annonce l'ouverture de 52
liaisons d'ici le 25 mars 2023 tandis que China Southern Airlines et
China Eastern Airlines en proposeront chacune 42, précise "Le Quotidien
du Peuple en ligne". Air China assurera 132 fréquences hebdomadaires sur
ses 52 routes. (...) Ce retour des vols long-courriers s'accompagne d'un
assouplissement progressif du contrôle sanitaire avec notamment
"l'annulation du mécanisme du disjoncteur", pour reprendre la formule de
Li Yangmin, directeur général de China Eastern Airlines. Ce mécanisme
était mis en place si 5 passagers ou plus d'un vol d'une compagnie
aérienne étaient testés positifs à l'atterrissage en Chine avec pour
conséquence la suspension de tous les vols de ce même transporteur
pendant deux semaines. Une suspension portée à quatre semaines si 10
passagers ou plus étaient testés positifs au Covid. Par contre,
la quarantaine subsiste pour les voyageurs entrants même si elle est
réduite à 8 jours contre 10 auparavant tandis que les passagers sont
invités à fournir un résultat de test négatif au lieu de deux à partir
de tests d'acide nucléique effectués au maximum 48 heures avant
l'embarquement.
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Contrôles aux frontières : les aéroports français craignent le chaos en 2023
(source Les Échos) 25 novembre - L'interdiction de l'avion sur les
liaisons desservies par le train en moins de 2h30 n'est pas, tant s'en
faut, le seul sujet susceptible de nourrir les cauchemars des
gestionnaires d'aéroports français. Le congrès annuel de l'Union des
aéroports français (UAF), ce vendredi, a été l'occasion d'en dresser une
petite liste. Le principal sujet de préoccupation des aéroports
français au sortir de deux ans de crise, reste le cadre réglementaire,
qui limite étroitement leurs marges d'action dans les négociations avec
les compagnies et la gestion de leurs capacités. Un cadre que les
aéroports espèrent voir évoluer. Mais l'année 2023 présente également un nouveau risque de chaos dans les
aéroports, avec l'entrée en vigueur d'une nouvelle règle européenne sur
le contrôle aux frontières. À compter de mai 2023, les voyageurs
internationaux en provenance de l'extérieur de l'espace Schengen devront
en effet s'enregistrer avant de passer la frontière, afin de bénéficier
d'une exemption de visa. Ce système directement inspiré du programme Esta
des États-Unis, est censé renforcer la sécurité
européenne. Mais sa
mise en place inquiète les aéroports, qui redoutent d'interminables
files d'attente aux bornes d'enregistrement. « Les États se sont
concentrés sur l'aspect informatique du projet, mais pas sur sa mise en
œuvre dans les aéroports, ce qui risque de provoquer une situation de
chaos, avec des heures d'attente aux frontières », souligne Olivier Jankovec, directeur général de l'association ACI des aéroports
européens. Faute de moyens supplémentaires, la mise en œuvre du
dispositif devrait être « reportée ou pour le moins, assoupli en période
de pointe », estime le représentant des aéroports. « Nous demandons une
période de transition, avec un assouplissement des contrôles en cas de
saturation », précise Olivier Jankovec. Autre sujet de préoccupation pour 2023 :
le projet de révision des règles d'attribution des créneaux horaires,
pour lequel la Commission a entamé le processus de consultation.
Soucieux d'optimiser leurs infrastructures, les aéroports plaident pour
un renforcement des règles d'utilisation des précieux créneaux horaires,
tandis que les compagnies plaident pour davantage de souplesse. « Nous
allons vers un manque de capacité aéroportuaire, ce qui nécessite
d'utiliser les créneaux au maximum », assure le directeur de l'ACI, en
évoquant le projet de restriction du nombre de vols à
Amsterdam-Schiphol. À ces sujets européens s'ajoutent les
problématiques françaises. Les aéroports tricolores, qui s'estiment
moins bien traités par le législateur que les compagnies aériennes,
n'ont pas oublié la promesse du précédent ministre des Transports,
d'étudier une réforme de la réglementation encadrant la fixation des
tarifs et le financement de leurs investissements. Les idées ne leur manquent pas. « Il faudra revoir
l'application des grands principes, estime le président du directoire
des Aéroports de Lyon, Tanguy Bertolus. Le premier est la juste
rentabilité des capitaux investis, qui n'est plus respecté dans le cas
des aéroports. Mais aussi le niveau des redevances, qui ne couvrent plus
que 70 % du coût réel des services aéroportuaires et le principe de
modération tarifaire, qui limite les hausses de redevances mais pas les
baisses », souligne-t-il. Un message qui n'est évidemment pas du
goût des compagnies aériennes. « Les compagnies aériennes ont perdu en
deux ans l'équivalent de 10 ans de résultat, tandis que les pertes
d'exploitation des aéroports se sont élevées à 700 millions d'euros en
2020, après 1,1 milliard de bénéfices en 2019, souligne Laurent Timsit,
le délégué général de la Fédération nationale de l'aviation (FNAM). S'il
y a de l'argent à aller chercher, ce n'est pas chez les compagnies
aériennes ». Mais pour l'heure, les centres d'intérêt de
l'actuel ministre des Transports, Clément Beaune, semble plutôt
ailleurs. Du côté de 2024 et du bon déroulement des Jeux Olympiques,
pour lesquels le ministre et l'Union des aéroports français ont signé
une « charte d'engagement en faveur de la qualité de service ». Mais
sans moyens supplémentaires pour améliorer le parcours des passagers
dans les aéroports.
Fin de la revue de presse
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Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 1,27 euro en clôture lundi 28
novembre. Elle est en stable cette semaine (+0,55%).
Elle est pénalisée par l'émission d'obligations
convertibles en actions et par la pause d'un préavis de grève de
syndicats PNC pour la période de Noël.
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 1,54 euros. L'objectif de cours le plus élevé est
à 2,00 euros, le plus bas à 0,85 euro. Je ne
prends en compte que les opinions d'analystes postérieures à
l'augmentation de capital de mai 2022.
Vous pouvez retrouver sur
mon blog le détail du consensus des analystes.
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Mon commentaire
sur l'évolution du prix du carburant
Le pétrole et le Jet Fuel sont revenus à des niveaux proches
de ceux du début de l'année, même si l'écart entre le cours du pétrole et celui du Jet Fuel est
toujours très important. Le besoin accru de gazole pour
compenser la moindre disponibilité du gaz fait monter
les cours du kérosène, les deux carburants étant produits de manière
similaire.
Le baril de Jet Fuel en Europe est en
baisse cette semaine de -6$ à 129$. Il se rapproche de son niveau
minimal depuis le début de la crise sanitaire. Après avoir atteint un
maximum de 182$ en juin 2022, il était redescendu à 132$ début août. Il était à 79$ il y a un
peu plus d'un an.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est en
baisse cette semaine de -4$ à 83$ De la mi-février
à fin juillet, il faisait le yoyo entre 100 et 120 $. Depuis, il oscille
entre 85$ et 99$.
Au début du mois de mars, le Brent avait atteint
132$, proche de son record de 150$ (en 2008).
Les craintes de voir l'économie en récession à la fin de l'année
2022 ont entrainé la baisse des cours des carburants.
Depuis le début de la guerre en Ukraine, il n'y a plus de
corrélation entre le prix du baril de pétrole Brent et celui du baril de
Jet Fuel. C'est très clair sur le graphique ci-dessous, qui porte sur la
période juin 2015 - novembre 2022.
Prix du baril de Jet Fuel selon les régions du monde (source IATA)
au 18 novembre 2022
Bon à savoir
>
Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Vous trouverez sur mon site
navigaction
les modalités d'accès aux sites des gérants.
Pour éviter
d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants,
Natixis, Société Générale, votre établissement financier personnel si
vous avez acheté vos actions par celui-ci.
>
Gestion des FCPE
Lorsque vous placez de l'argent dans un des fonds FCPE d'Air
France, vous obtenez des parts dans ces fonds. Vous ne détenez pas
directement d'actions.
Ce sont les conseils de surveillance,
que vous avez élus en juillet 2021 pour cinq ans, qui gèrent les fonds
et qui prennent les décisions.
Les fonds Aeroactions,
Majoractions et Concorde ne détiennent que des actions Air France.
Les fonds Horizon Épargne Actions (HEA), Horizon Épargne Mixte
(HEM), Horizon Épargne Taux (HET) gèrent des portefeuilles d'actions
diverses.
Précisions
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
À bientôt.
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François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
salariés et anciens salariés actionnaires PNC et PS. Vous pouvez me retrouver sur mon
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Suppléant Nicolas Foretz, PNC
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reçu le soutien de la CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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