N°890, 12 décembre 2022
Si vous ne voyez pas correctement cette page, ou
si vous souhaitez lire les versions anglaises ou néerlandaises If you
do not see this page correctly, or if you want to read the English or
Dutch versions, Als u deze pagina niet goed ziet, of als
u de Engelse of Nederlandse versie wilt lezen,
suivez
ce lien ,
it is here,
vindt u deze hier
La Revue de Presse du lundi
>
Air France KLM veut prolonger le mandat de la présidente Anne Marie Couderc, faute de successeur
(source AOF) 9 décembre - Le Conseil d’administration du Groupe Air
France-KLM réuni le 8 décembre 2022 a décidé de soumettre à l’Assemblée
générale de 2023 une résolution modifiant l’article 26 des statuts du
groupe afin de préciser que lorsque la limite d’âge du Président du
Conseil d’administration est atteinte en cours de mandat, ce dernier
continuera d’exercer ses fonctions jusqu’au terme de son mandat
d’administrateur. Dans cette hypothèse, les fonctions
d'Anne-Marie Couderc actuelle présidente du Conseil d'administration
d'Air France-KLM, seront prolongées jusqu'au terme de son mandat
d'administrateur, soit jusqu'à l'issue de l'Assemblée générale 2024
devant approuver les comptes de l'année 2023. L'objectif est
d'assurer la cohérence au sein du CA en alignant la durée du mandat du
Président du Conseil sur celle de son mandat d'administrateur. Le groupe
précise que le Comité de nomination et de gouvernance du Conseil
d'administration a lancé un processus approfondi d'identification d'un
successeur à la Présidence.
>
KLM se dote (enfin) d'une Premium Comfort
(source TourMaG) 6 décembre - À la fin de
l’été, la compagnie KLM a commencé à modifier la configuration de ses
avions long-courriers - les B777 et 787 - pour pouvoir proposer un des
produits phare de l’aérien, celui qui fait déjà le bonheur de grandes
compagnies : une classe économique améliorée. Intermédiaire
entre l’éco et la business, elle peut prendre plusieurs appellations
selon les compagnies : Premium Economy, chez Air France, Premium Select
chez Delta ou encore Moana Premium chez Air Tahiti Nui. Pour la
compagnie des Pays-Bas, elle est baptisée "Premium Comfort".
Inventée en 2008 par Air
France lors de la crise économique mondiale, l’idée de départ était de
proposer une alternative à la classe « éco » pour une partie de la
clientèle affaires aux budgets plus serrés et ne pouvant plus s’offrir
la business. Avec le retour d’une certaine croissance économique
à partir de 2010, la classe éco Premium a commencé à séduire également
une clientèle loisirs souhaitant pouvoir bénéficier d’un espace un peu
plus généreux, un repas amélioré et quelques signes de reconnaissance.
Ben Smith, lors de son arrivée aux commandes d’Air France-KLM a
tout de suite engagé la refonte de ce produit sur Air France, le
considérant comme essentiel pour améliorer la rentabilité de la
compagnie. Une stratégie gagnante dont il se félicitait lors de
l’annonce des derniers résultats du groupe. Partout dans le monde, ce
modèle de classe intermédiaire a été adopté par les grandes compagnies
internationales. Elle s’avère être une véritable cash machine pour les
opérateurs qui régulièrement en augmentent le nombre de sièges à bord.
Emirates l’a bien compris et n'a pas hésité cette année à investir
deux milliards de dollars pour équiper ses Airbus A380 d'une nouvelle
classe Economie Premium, prête à accueillir 56 passagers. (...)
Boet Kreiken, Directeur Général chez KLM de l’expérience
client, a donné quelques précisions. « Il nous fallait
impérativement pouvoir proposer les mêmes options que nos collègues et
partenaires d’Air France et de Delta ainsi que nos concurrents. C’était
une demande de plus en plus forte de nos clients ». (...) Le produit KLM va donc peu à peu se mettre au diapason
du groupe Air France-KLM et de ses compagnies partenaires.
>
Les dirigeants d'ITA et de Lufthansa se sont rencontrés avant une éventuelle vente
(source Reuters) 9 décembre - Le président d'ITA Airways, Antonino Turicchi, a rencontré le directeur général de Lufthansa, Carsten Spohr,
cette semaine, alors que le gouvernement italien vise à signer un accord
préliminaire pour la vente du transporteur italien d'ici la fin de
l'année, rapporte le Corriere della Sera vendredi.
L'accord
pourrait valoriser le successeur d'Alitalia à 450-480 millions d'euros
($475-$505 millions) et Lufthansa obtiendrait une participation de
55-60%, ajoute le journal italien. (...) Le nouveau gouvernement italien a rouvert le
processus de privatisation d'ITA le mois dernier après qu'une période
d'exclusivité pour les discussions avec le fonds d'investissement privé
américain Certares, Air France-KLM et Delta Airlines n'ait pas abouti à
un accord. Lufthansa croit fermement qu'elle va réussir, a
déclaré une personne ayant connaissance de la situation, ajoutant qu'il
n'y a pas d'autre soumissionnaire en lice. (...)
ITA a lancé un plan visant à embaucher 1200 nouveaux employés en 2023,
lorsque le transporteur ajoutera 39 nouveaux avions aux 65 qu'il possède
déjà.
>
La question du nucléaire fait capoter un accord sur les carburants d'aviation durable
(source Les Échos) 9 décembre - Une semaine, qui s'annonçait cruciale
pour la décarbonation du transport aérien en Europe, s'est terminée par
un échec. Au terme d'une négociation marathon de plus de 9 heures,
achevée au petit matin de vendredi, la réunion de trilogue n'est pas
parvenue à résoudre les désaccords entre la Commission, le Conseil de
l'UE et le parlement européen, concernant l'incorporation de carburants
d'aviation durable (CAD). Faute d'accord, l'adoption définitive du
règlement « RefuelEU Aviation », prévue cet été, sera probablement
renvoyée à la prochaine présidence suédoise de l'Union européenne, en
2023. (...)
Mais la négociation a viré dans une
impasse du fait de l'hostilité de plusieurs participants de sensibilité
écologiste antinucléaire aux formes de « e-kérosènes » produits à base
d'électricité d'origine nucléaire. Ces opposants auraient notamment
voulu imposer une date limite pour l'utilisation d'électricité d'origine
nucléaire et le recours exclusif à de l'électricité 100 % « verte » pour
la fabrication de ses « e-kérosènes ». De quoi rendre encore plus
difficile, voire impossible, le développement de la production des
« e-kérosènes », très gourmande en électricité, et qui constitue
pourtant la voie d'avenir pour les carburants d'aviation durable ; la
seule basée sur une ressource presque illimitée. « Les
antinucléaires et les gouvernements allemand et espagnol ne veulent pas
que Refuel EU serve de cheval de Troie à l'énergie nucléaire », explique
un bon connaisseur du dossier. La présidence française avait réussi à
réintégrer le nucléaire dans le jeu. Ils comptent sur la prochaine
présidence suédoise pour rectifier le tir. » Après plus de deux ans de travaux à la
Commission européenne et au parlement, la piste de décollage semblait
pourtant dégagée pour les CAD. Ces carburants d'origine non fossile sont
en effet considérés par l'ensemble des acteurs du secteur comme le moyen
le plus efficace, à court et moyen terme, pour réduire significativement
les émissions de CO2 du transport aérien et atteindre la neutralité
carbone en 2050. Produits à base de résidus alimentaires et agricoles et
mélangés au kérosène classique, ils permettraient de réduire jusqu'à
80 % le bilan carbone des avions actuels, sans attendre l'arrivée d'une
nouvelle génération d'appareils. En juillet dernier, le Conseil
et le parlement européens étaient déjà tombés d'accord sur les grandes
lignes du texte, qui rendait obligatoire l'incorporation d'un minimum de
2 % de CAD dans le kérosène à compter de 2025, et de 6 % en 2030.
Les
régulateurs européens avaient également convenu d'exclure tous les
carburants à partir de produits agricoles susceptibles d'entrer en
concurrence avec la production alimentaire ou de participer à la
déforestation. Et ce, contrairement aux États-Unis, où l'agriculture
contribue directement et massivement à la production de biocarburants.
Cet échec ne signe évidemment pas
pour autant l'abandon du projet Refuel EU et des carburants d'aviation
durable, dont la production dans différents pays est en plein décollage.
En France, depuis le 1er janvier 2022, la réglementation oblige déjà les
compagnies aériennes et les pétroliers à incorporer 1 % de CAD dans leur
kérosène, même si la production industrielle n'a pas encore décollé.
(...)
>
À Toulouse, Clément Beaune annonce 435 millions dès 2023 pour la décarbonation de l'aviation
(source La Tribune) 9 décembre - Le ministre était en déplacement
dans la Ville rose pour réunir au sein même des locaux d'Airbus les
principaux représentants de la filière de l'industrie aéronautique dans
le cadre du Conseil pour la recherche aéronautique civile (Corac)
ministériel. Clément Beaune a annoncé que la filière pourra engager dès
2023 la somme de 435 millions euros destinés exclusivement à la
décarbonation dans le cadre de France 2030. En mars dernier, le
gouvernement avait dévoilé dans le cadre de France 2030 une enveloppe de
800 millions d'euros sur trois ans à destination du Corac pour soutenir
l'émergence d'un avion bas carbone dont 300 millions pour l'année 2022,
300 millions en 2023 et les 200 millions restants en 2024. L'exécutif a
donc décidé d'accélérer quelque peu le versement des aides à destination
de la filière. Une précédente enveloppe de 1,5 milliard d'euros sur
trois ans avait déjà été attribuée au Corac sur l'avion en 2020 dans le
cadre du plan de soutien aéronautique. Le prochain salon du Bourget en
juin prochain pourrait aussi être l'occasion de revoir les trajectoires
d'investissement et de soutien public pour le Corac dans les années qui
viennent. Cela suffira-t-il ?
Le patron d'Airbus Guillaume Faury a alerté jeudi à l'occasion d'une
rencontre organisée par l'association des journalistes de l'aéronautique
(AJPAE) sur les risques de distorsion de concurrence pour la filière
face aux aides massives aux énergies vertes mises en place par les
États-Unis. Dans le cadre d'une loi pour réduire les effets de
l'inflation, des subventions conséquentes ont été attribuées notamment
pour les biocarburants, l'hydrogène vert et les batteries qui sont au
cœur de la décarbonation de l'aviation. « Il faut que l'Europe réagisse
vite pour éviter que s'installe dans la durée un désavantage
concurrentiel fort », a notamment pointé Guillaume Faury. Ce à
quoi répond le ministre des Transports : « Nous ne pouvons pas avoir un
tel écart de subventions ou de soutiens divers et variés entre les
États-Unis et l'Union européenne. Il faut sans doute qu'on fasse
davantage côté européen pour éviter une forme de compétition inéquitable
avec les États-Unis.» Avant d'ajouter : « La meilleure politique face à
la concurrence, c'est l'excellence. Si Airbus reste le leader mondial de
l'aéronautique sur le plan commercial, opérationnel, technologique, nous
garderons cet avantage.» (...)
>
Soupçons de corruption au Parlement européen : quatre personnes, dont la vice-présidente grecque, Eva Kaili, ont été écrouées
(source Le Monde avec AFP) 11 décembre - La vice-présidente grecque
du Parlement européen Eva Kaili et trois autres personnes ont été
inculpées et écrouées dimanche 11 décembre en Belgique dans une enquête
sur des soupçons de corruption en lien avec le Qatar au sein de cette
institution de l’Union européenne (UE), a indiqué à l’Agence
France-Presse (AFP) une source judiciaire. (...) Dans
cette affaire « est suspecté le versement d’importantes sommes d’argent
ou l’offre de cadeaux significatifs à des tiers ayant une position
politique et/ou stratégique permettant, au sein du Parlement européen,
d’influencer les décisions » de cette institution, souligne le
communiqué du parquet. (...) L’affaire de corruption présumée au profit du
Qatar impliquant des représentants du Parlement européen constitue « une
atteinte grave à la réputation » de cette institution et « une affaire
honteuse et intolérable », a estimé dimanche le commissaire européen à
l’économie, Paolo Gentiloni, lors d’une émission sur la Rai, le groupe
de médias italien.
Article Bonus, sans commentaire
>
Fin du procès du crash du Rio-Paris, jugement le 17 avril
(source AFP) 8 décembre - Le procès du crash du vol Rio-Paris en 2009
s'est achevé jeudi 8 décembre et le tribunal se prononcera le 17 avril
2023 sur le sort d'Airbus et d'Air France, jugés pour homicides
involontaires depuis le 10 octobre. Après neuf semaines
d'audience, la 31e chambre correctionnelle du tribunal de Paris a quatre
mois pour trancher sur une éventuelle responsabilité d'Airbus et d'Air
France dans cette catastrophe qui a coûté la vie à 228 personnes, de 33
nationalités différentes, le 1er juin 2009. Mercredi, le parquet
a requis en creux la relaxe du constructeur et de la compagnie, jugés
pour homicides involontaires depuis le 10 octobre, estimant ne «pas
(être) en mesure de requérir (leur) condamnation». Un «choc»
pour les parties civiles présentes au procès, déçues de cette position
après une procédure judiciaire de plus d'une décennie, marquée par un
non-lieu en 2019 et un procès finalement ordonné par la cour d'appel de
Paris en 2021. Prise à partie pendant les débats, accusée
d'«arrogance» et de «froideur» par des parties civiles, la défense de
l'avionneur a assuré jeudi que cette image était «loin de la réalité»:
«Airbus n'est pas une fiction juridique, c'est aussi une réalité
humaine», a assuré Me Simon Ndiaye. Lui et son confrère Antoine
Beauquier plus tard se sont excusés que des mots, une attitude, aient
«pu blesser». Comme il est d'usage, la parole a été donnée en
dernier aux représentants des entreprises prévenues, qui se sont
adressés aux familles. Celui d'Air France a évoqué sa «compassion
inconditionnelle», celui d'Airbus les a assurées de son «profond
respect». «On est sur un lieu d'antagonisme entre l'émotion et
la raison», a déclaré Me Ndiaye dans sa plaidoirie. «La vérité peut
parfois ne pas apaiser. Il vous appartiendra d'appliquer le droit et
seulement le droit», a-t-il poursuivi, réclamant «une décision qui sera
humainement difficile, mais techniquement et juridiquement justifiée:
une décision de relaxe». «Biais rétrospectif» L'avocat s'est
ensuite appliqué à démontrer en quoi Airbus n'avait pas «sous-estimé» la
gravité de la panne des sondes Pitot, les sondes mesurant la vitesse de
l'avion qui ont toutes les trois givré sur l'AF447 la nuit de
l'accident. Déstabilisés par les répercussions de cette défaillance, les
pilotes ont perdu le contrôle de l'A330 qui a décroché et heurté l'océan
Atlantique moins de cinq minutes plus tard. Dans les mois qui
ont précédé le crash, il y avait eu une recrudescence des pannes de ces
sondes. Mais pour Airbus, «à l'époque des faits, personne ne relevait de
dangerosité» significative, «dans tous les cas connus à l'époque, il y
avait eu une maîtrise de la trajectoire». L'avionneur est aussi
soupçonné de ne pas avoir pris de «mesures d'urgence» à destination des
compagnies aériennes, afin qu'elles forment et informent mieux leurs
équipages. La cour d'appel qui a ordonné le procès a «été victime d'un
biais rétrospectif», a plaidé Me Beauquier. «Il n'y a aucune
désinvolture», a-t-il soutenu, «nous avons fait avant 2009 tout ce que
nous avons pu pour éviter l'accident». Se défendant de vouloir
«blâmer les pilotes, accabler les morts», Me Ndiaye est néanmoins revenu
sur le déroulement du vol, mettant en exergue le non-évitement de la
zone de turbulences, la répartition floue des responsabilités au sein de
l'équipe des pilotes. «Les raisons pour lesquelles l'équipage
n'a pas réagi de façon adéquate» restent «inexpliquées», a-t-il conclu.
«Cela restera peut-être un mystère, mais cela ne peut pas être la base
d'une condamnation». «La relaxe, ce n'est pas la victoire d'Airbus face
aux parties civiles, il ne peut y avoir de victoire face à 228 morts», a
assuré Me Beauquier. «Il y a un besoin de justice et je pense que cette
justice passe par la relaxe».
Fin de la revue de presse
>
Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 1,268 euro en clôture lundi 12
décembre. Elle est quasi stable cette semaine (-0,39%). .
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 1,52 euros. L'objectif de cours le plus élevé est
à 2,00 euros, le plus bas à 0,85 euro. Je ne
prends en compte que les opinions d'analystes postérieures à
l'augmentation de capital de mai 2022.
Vous pouvez retrouver sur
mon blog le détail du consensus des analystes.
>
Mon commentaire
sur l'évolution du prix du carburant
Le pétrole et le Jet Fuel sont revenus à des niveaux proches
de ceux du début de l'année, même si l'écart entre le cours du pétrole et celui du Jet Fuel est
toujours très important. Le besoin accru de gazole pour
compenser la moindre disponibilité du gaz fait monter
les cours du kérosène, les deux carburants étant produits de manière
similaire.
Le baril de Jet Fuel en Europe est en
baisse cette semaine de 18$ à 111$. Il se rapproche de son niveau
minimal depuis le début de la crise sanitaire. Après avoir atteint un
maximum de 182$ en juin 2022, il était redescendu à 132$ début août. Il était à 79$ il y a un
peu plus d'un an.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est
également en baisse cette semaine de 5$ à 78$. Il revient à un niveau de
prix plus raisonnable. De la mi-février
à fin juillet, il faisait le yoyo entre 100 et 120 $. Depuis, il oscillait
entre 85$ et 99$.
Au début du mois de mars, le Brent avait atteint
132$, proche de son record de 150$ (en 2008).
Les craintes de voir l'économie en récession à la fin de l'année
2022 ont entrainé la baisse des cours des carburants.
Depuis le début de la guerre en Ukraine, il n'y a plus de
corrélation entre le prix du baril de pétrole Brent et celui du baril de
Jet Fuel. C'est très clair sur le graphique ci-dessous, qui porte sur la
période juin 2015 - novembre 2022.
Prix du baril de Jet Fuel selon les régions du monde (source IATA)
au 2 décembre 2022
Bon à savoir
>
Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Vous trouverez sur mon site
navigaction
les modalités d'accès aux sites des gérants.
Pour éviter
d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants,
Natixis, Société Générale, votre établissement financier personnel si
vous avez acheté vos actions par celui-ci.
>
Gestion des FCPE
Lorsque vous placez de l'argent dans un des fonds FCPE d'Air
France, vous obtenez des parts dans ces fonds. Vous ne détenez pas
directement d'actions.
Ce sont les conseils de surveillance,
que vous avez élus en juillet 2021 pour cinq ans, qui gèrent les fonds
et qui prennent les décisions.
Les fonds Aeroactions,
Majoractions et Concorde ne détiennent que des actions Air France.
Les fonds Horizon Épargne Actions (HEA), Horizon Épargne Mixte
(HEM), Horizon Épargne Taux (HET) gèrent des portefeuilles d'actions
diverses.
Précisions
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
À bientôt.
Pour retrouver les dernières revues de presse du lundi, c'est
ici
Si vous appréciez cette revue de presse, faites la
circuler.
Les nouveaux lecteurs pourront la recevoir en
me communiquant l'adresse
email de leur choix.
|
François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
salariés et anciens salariés actionnaires PNC et PS. Vous pouvez me retrouver sur mon
compte twitter @FrRobardet
Suppléant Nicolas Foretz, PNC
Lors de mon élection, j'ai
reçu le soutien de la CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
recevoir cette revue de presse,
[désabonnez-vous]
Si vous souhaitez modifier l'adresse de réception de cette revue de presse,
merci de me communiquer votre nouvelle adresse
email. Pour me joindre :
message pour François Robardet.
11.364 personnes reçoivent cette revue de presse en direct
|