N°894, 9 janvier 2023
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Éditorial
La Revue de Presse du lundi
>
Air France-KLM veut tester le marché obligataire avec un format ESG
(source AGEFI) 5 janvier 2023 - Le groupe de transport aérien [Air
France-KLM] a
présenté mercredi aux investisseurs son cadre d’émission au format sustainability linked bond (SLB), avec pour objectif d’émettre deux
obligations d’un minimum de 300 millions d’euros chacune à 3 ans et/ou 5
ans. «Le timing est bien choisi, confirmant notre opinion positive sur
le management», écrit Christine Kam, analyste chez Octo Finances dans
une note. Le contexte sectoriel est favorable, après deux années de
restrictions sévères de déplacements, avec une demande forte et des
capacités mondiales limitées, assurant aux compagnies du pricing power.
A cela s’ajoute un resserrement des «spreads de crédit ces derniers
mois, entrouvrant la porte au marché primaire high yield»,
poursuit-elle. Le groupe, qui vise la neutralité carbone en 2050, grâce
au renouvellement de sa flotte et à l’utilisation de carburants
«propres», se donne des objectifs intermédiaires qui serviront de
référence pour ces obligations. Celles-ci prévoient également des
pénalités par l’augmentation des coupons si ces cibles ne sont pas
atteintes. Le segment des SLB, qui permet aux entreprises ne
pouvant lever de la dette pour financer des projets verts (green bond)
de capitaliser sur leur stratégie de développement durable, s’est
fortement développé au cours des deux dernières années mais non sans
controverse. Les investisseurs reprochent à certaines entreprises ayant
émis ce type de papier d’avoir fixé des objectifs faciles à atteindre et
des pénalités trop faibles. Les fonds levés par Air France KLM
serviront notamment au remboursement d’une partie des prêts bancaires
garantis par l’État accordés pendant la crise du Covid d’un montant de 4
milliards d’euros dont 500 millions ont déjà été remboursés en 2021.
«Nous attendons des spreads à l’émission autour de +430% pour la
maturité de 3 ans et +470% pour la maturité de 5 ans», juge l’analyste
d’Octo Finances. (...)
>
Coup de théâtre chez Air France-KLM : la patronne de Transavia France écartée
(source La Tribune) 4 janvier 2023 - Le bruit courait depuis quelques
jours dans les couloirs d'Air France-KLM, mais la surprise reste grande.
La présidente-directrice générale de Transavia France, Nathalie Stubler,
quitte son poste à la tête de la compagnie low-cost pour devenir
conseillère spéciale sur la stratégie de décarbonation du groupe. Passer
du statut de PDG d'une filiale aussi stratégique que Transavia à celui
de conseiller, la nomination ressemble davantage à une mise à l'écart
qu'à une promotion pour celle qui a multiplié la flotte par trois en
sept ans et avait conduit la compagnie à la rentabilité à laquelle elle
courrait des années. Elle est remplacée par Olivier Mazzucchelli, devenu
président de la filiale régionale HOP! il y a quelques mois seulement et
actuellement en pleine ascension. Dans ce jeu de chaises musicales,
Hervé Boury prend le dernier strapontin. Actuellement directeur général
adjoint en charge des Opérations de Transavia France - qui perd par la
même un deuxième dirigeant - il prend la présidence de HOP!.
Nathalie Stubler sera directement attachée à Ben Smith, directeur
général du groupe Air France-KLM. Ce dernier a tenu à la « remercier
pour le travail remarquable qu'elle a mené avec ses équipes au sein de
Transavia France tout au long des sept dernières années », précisant que
« la décarbonation, et plus globalement notre capacité à mener notre
activité de façon plus durable, font partie des principaux défis
stratégiques que notre groupe doit relever ». Il est pourtant
fort à parier que la désormais ex-PDG de Transavia France ne soit guère
enchantée d'un tel poste et qu'il ne s'agisse que d'une situation
transitoire avant un départ du groupe. D'autant plus que plusieurs
sources concordantes rapportent que les relations entre Nathalie Stubler
et Ben Smith étaient plutôt fraîches et font état de divergences
stratégiques. La transformation du modèle de Transavia France, avec la
reprise d'une partie des lignes domestiques d'Air France, n'aurait pas
facilité la communication. Tout comme les concessions faites par Ben
Smith aux pilotes d'Air France pour permettre le développement de
Transavia au-delà de 40 appareils. Et le fait d'avoir été sur la
« short-list » pour prendre la direction générale d'Air France fin 2018,
finalement confiée par Ben Smith à Anne Rigail, a pu également
contribuer à fragiliser la position de Nathalie Stubler dans le groupe.
À l'inverse, Olivier Mazzucchelli connaît bien ce marché domestique au vu de son passé chez
HOP!. Il poursuit ainsi son ascension. Il avait notamment été très
présent lors de la renégociation du PDV-PSE de HOP! en 2021, réalisé
sous l'égide d'Oltion Carkaxhija, directeur général adjoint en charge de
la transformation d'Air France-KLM qui a la haute main sur les relations
sociales dans le groupe. Il avait ensuite pris la tête de la compagnie
en septembre 2022, en remplacement de Pierre-Olivier Bandet nommé
directeur général adjoint en charge des systèmes d'information à compter
du 1er janvier 2023. Avec cette nomination, Olivier Mazzucchelli
entre au comité exécutif d'Air France, tout comme Hervé Boury. Ils
seront tous deux rattachés à Anne Rigail.
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ITA Airways : un nouveau décret favorable au rachat par Lufthansa
(source AFP) 4 janvier 2023 - Un nouveau décret encadrant la
privatisation d’ITA Airways, publié le 2 janvier, prévoit une cession
"en plusieurs étapes" passant par une phase initiale d'augmentation de
capital réservée à l'acquéreur qui devrait dans un premier temps
racheter une part minoritaire. Ultérieurement, le prétendant, qui
doit être nécessairement une compagnie aérienne, pourra acquérir la
majorité du capital d'ITA Airways, précise le décret. Le
transporteur allemand Lufthansa, considéré comme grand favori dans la
course au rachat d'ITA, pourrait ainsi suivre la voie déjà empruntée
pour sa montée au capital de Brussels Airlines, acquise en deux étapes,
en 2009 et 2016. Dès l'acquisition d'une part minoritaire d'ITA,
Lufthansa devrait prendre les commandes du successeur d'Alitalia, même
si l'État italien garde un droit de regard sur les décisions
stratégiques. Selon le quotidien "Corriere della Sera", Lufthansa vise
une part d'environ 40 %, évaluée entre 180 et 200 millions d'euros, et
pourrait monter jusqu'à 100 % du capital à moyen terme. Officiellement, tous les candidats au
rachat qui avaient participé à la procédure de vente précédente menée
par l'ancien gouvernement dirigé par Mario Draghi sont cependant
autorisés à soumettre des offres. Le gouvernement Draghi avait
sélectionné fin août l'offre concurrente du fonds d'investissement
américain Certares, associé à Air France-KLM et Delta Airlines, en vue
de l'ouverture de négociations exclusives. (...)
>
Feu vert à une aide d'Air Austral qui devra réduire la voilure
(source Les Échos) 6 janvier 2023 - La Commission européenne a
autorisé, le 5 janvier, l'État français à octroyer à la compagnie
réunionnaise Air Austral une aide à la restructuration d'un montant de
119,3 millions d'euros, ainsi qu'une aide supplémentaire de 17,5
millions d'euros en indemnisation des dommages causés par le premier
confinement de 2020. Le montant de l'aide à la restructuration couvre
une partie de l'endettement accumulé par la compagnie depuis le début de
la crise sanitaire, estimé à 200 millions d'euros. Le détail du
projet, qui avait été soumis à l'approbation de Bruxelles en septembre
2022, n'est pas encore connu mais selon le communiqué de l'Union
européenne, il intègre plusieurs mesures dont « la limitation du nombre
des sièges offerts par Air Austral » et « une limitation du nombre des
lignes aériennes exploitées par la compagnie ». Cette dernière détient
actuellement 23 % de part de marché sur l'axe entre la métropole et l'île
de la Réunion, qui draine au total plus d'un million de passagers par
an. Air Austral est également la seule à assurer une desserte directe
entre Mayotte et Paris, tout en exploitant un réseau de lignes
régionales entre La Réunion, les autres îles de l'océan Indien et
l'Afrique du Sud et des liaisons sur Chennai (Inde) et Bangkok.
Le soutien de l'État est motivé par les
engagements capitalistiques d'un ensemble d'acteurs locaux, publics et
privés. L'actionnaire principal, le conseil régional de La Réunion, le
conseil départemental et la chambre de commerce de l'île doivent
apporter, ensemble 25 millions d'euros. Des investisseurs privés emmenés
par Michel Deleflie (groupe de santé Clinifutur) se sont dits prêts à
mettre 30 millions d'euros sur la table, en capital et en compte
courant. (...)
>
Atos : les intentions d'Airbus se précisent face à Thales
(source Les Échos) 1er janvier 2023 - Atos échappera-t-il à l'appétit
de Thales ? Les spéculations reprennent autour de l'avenir de ses
activités de cybersécurité. Airbus pourrait bien sérieusement contrarier
les ambitions du spécialiste de l'électronique aérospatiale et de
défense. Selon plusieurs sources, l'avionneur serait en discussions
préliminaires avec Atos pour prendre une part minoritaire du capital d'Evidian,
la branche qui va héberger son activité numérique et cyber. Un projet
qui entre dans la droite ligne du plan de restructuration du groupe
informatique, à l'inverse des intentions de Thales. Pour Atos, ces
dernières signifieraient abandonner 100 % des seules activités cyber en
forte croissance. « Il y a des discussions exploratoires avec de
potentiels futurs actionnaires minoritaires d'Evidian. Thales ne
s'inscrit pas à ce stade dans ce schéma », appuie une source au fait du
dossier. Interrogé, Thales maintient de fait sa position : le groupe est
« potentiellement intéressé par tout actif de cybersécurité qui serait
disponible à la vente », mais ne veut pas se diversifier et « n'a aucune
discussion en cours avec Atos ». (...) Interrogé sur
l'approche d'Airbus, Atos confirme des négociations préliminaires sans
citer de nom : « dans la perspective de la mise en œuvre de son plan
stratégique, la société a engagé des discussions exploratoires avec de
potentiels futurs actionnaires minoritaires du périmètre d'activités
regroupé sous Evidian. Ces discussions ne sont pas suffisamment avancées
pour permettre tout autre commentaire ». Pour sa part, Airbus
répond être « en discussion constante avec ses partenaires, clients et
fournisseurs dans l'ensemble de ses secteurs d'activité », en tant
qu'entreprise globale. « Ces conversations demeurent privées par
nature. » Pour Airbus, via sa branche Defence and Space,
comme pour Thales, se rapprocher d'Atos présente un intérêt industriel
évident. La connectivité et les communications sécurisées entre les
« plates-formes » blindés, avions, navires, devient l'une des clés de la
guerre de demain. Et la cybersécurisation de ces communications
militaires est un enjeu majeur. Ainsi les savoir-faire d'Atos dans ces
communications sécurisées, - la société est notamment un fournisseur clé
de l'Armée de terre avec le système d'information et de combat Scorpion
qui met en réseau les nouveaux blindés français et les combattants -,
intéressent l'ensemble des acteurs de la défense. (...) Selon plusieurs sources, Airbus
aurait bien besoin du savoir-faire d'Atos pour pouvoir piloter, comme
elle en a la charge, les recherches sur le cloud de combat pour le
Système de combat aérien du futur (SCAF). Toutefois, cette part du
projet « cloud », est aussi à réaliser en partenariat avec Thales et
l'Espagnol Indra. D'autres voient, au contraire, l'ancrage du
siège d'Airbus Defense and Space, en Allemagne, comme un désavantage
dans ces enchères sur les actifs d'Atos, alors que le groupe Thales peut
lui se targuer de son noyau tricolore - à 34,75 % dans les mains de
l'État et à 29,79 % dans celles de Dassault Aviation. Thales
serait aussi selon eux un meilleur partenaire car il est davantage
associé à Atos dans des projets sensibles pour l'armée française. Atos
travaille également avec Thales pour la Direction générale de l'armement
afin de mettre en place le projet Artémis pour développer le traitement
de données avec de l'intelligence artificielle. Ensemble encore, au
travers de leur consortium Athea, ils concourent pour remplacer
l'Américain Palantir dans le sensible appel d'offres lancé par la DGSI
dans le traitement des données.
>
Ponctualité dans l'aérien: les compagnies espagnoles au top, les françaises encore absentes du top10
(source BfmTv) 5 janvier 2023 - L'institut Cirium a publié son
traditionnel rapport annuel qui montre une détérioration globale de la
ponctualité sur un an. La ponctualité des avions dans le monde en
général et en Europe en particulier a été bousculée par les nombreuses
grèves et les pénuries de personnels dans les aéroports, notamment l'été
dernier, le tout dans un contexte de forte reprise du trafic mondial.
Dans ce contexte difficile, les compagnies aériennes espagnoles
tirent une nouvelle fois leur épingle du jeu en terme de ponctualité
selon le dernier rapport* annuel "The On-Time Performance Review"
réalisé par Cirium, société centenaire spécialisée dans les données de
l'industrie du voyage et de l'aviation. En Europe, c'est Iberia
qui remporte la couronne avec un taux de ponctualité de 85,87% pour
91.154 vols opérés, gagnant ainsi 4 places en un an dans le classement.
La compagnie nationale ibérique détrône un autre opérateur espagnol, Vueling, premier en 2021 qui se retrouve 4e avec un taux de 83,80%.
La deuxième place est également occupée par
une compagnie espagnole: Air Europa avec une ponctualité de 84,10% tout
comme la troisième avec Iberia Express (83,80%). On remarquera
l'absence de toute compagnie française dans ce Top 10 européen tout
comme l'an passé d'ailleurs. D'autres poids lourds européens comme KLM
ou Lufthansa brillent également par leur absence. (...) Au niveau mondial, c'est la
compagnie brésilienne Azul qui obtient le score le plus élevé avec une
ponctualité de 88,93% sur 279.222 vols réalisés. Une performance notable
puisque la compagnie était absente du Top 10 l'an passé. Azul
double les compagnies japonaises habituées à truster le haut de ce
palmarès intercontinental. ANA (1er l'an passé) présente une ponctualité
de 88,61% devant JAL avec 88%. (...) "En 2022, les compagnies aériennes ont eu du mal à anticiper la
reprise soudaine de la demande. Ils avaient été déçus à plusieurs
reprises tout au long de la pandémie, alors qu'il semblait que la
demande reprenait. Lorsque la reprise a finalement eu lieu l'année
dernière, l'industrie - y compris les compagnies aériennes, les
aéroports, les fournisseurs de navigation aérienne et d'autres parties
prenantes - a été aux prises avec un manque de personnel et une capacité
insuffisante. Les retards et les annulations sont devenus des problèmes"
commente Jeremy Bowen, PDG de Cirium. Sur un an, la
ponctualité s'est en effet sensiblement dégradée même chez les
compagnies les mieux classées. (...)
Fin de la revue de presse
>
Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM en 2022
L'évènement qui aura impacté le plus le cours de l'action cette
année aura été en juin l'augmentation de capital à hauteur de 2,256
milliards d’euros. Ils ont été affectés au remboursement
accéléré des aides d’État et à la réduction de la dette.
Les
États français et néerlandais avaient participé à hauteur de leurs
droits, leur participation restant inchangée. CMA CGM est devenu un
nouvel actionnaire stratégique de référence avec 9,0% au capital du groupe.
Les salariés et anciens salariés
actionnaires via les FCPEs avaient quant à eux participé à l’augmentation de capital
dans une moindre mesure, via une opération blanche.
En
conséquence, le
cours de l'action qui avoisinait 2 euros avant l'opération se situe
depuis aux alentours
de 1,30 euros.
>
Mon commentaire
sur l'évolution du cours de l'action Air France-KLM cette semaine
L'action Air France-KLM est à 1,384 euro en clôture lundi 9
janvier. Elle est en forte hausse cette semaine (+10,46%).
La moyenne (le consensus) des analystes pour l'action AF-KLM
est à 1,50 euros. L'objectif de cours le plus élevé est
à 2,00 euros, le plus bas à 0,85 euro. Je ne
prends en compte que les opinions d'analystes postérieures à
l'augmentation de capital de mai 2022.
Vous pouvez retrouver sur
mon blog le détail du consensus des analystes.
>
Mon commentaire
sur l'évolution du prix du carburant en 2022
Depuis le début de la guerre en Ukraine, il n'y a plus de
corrélation entre le prix du baril de pétrole Brent et celui du baril de
Jet Fuel. C'est très clair sur le graphique ci-dessous, qui porte sur la
période janvier 2022 - décembre 2022. L'écart entre les deux
produits oscille entre 30 et 50$, alors qu'il ne dépassait pas 10$ les
années précédentes.
>
Mon commentaire
sur l'évolution du prix du carburant cette semaine
Le baril de Jet Fuel en Europe est en
baisse cette semaine de -13$ à 121$. Après avoir atteint un
maximum de 182$ en juin 2022, il était redescendu à 132$ début août. Il était à 79$ il y a un
peu plus d'un an.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est en
forte baisse cette semaine de -6$ à 80$. Cela correspond au niveau moyen
observé depuis cinq ans, hors évènements exceptionnels. De la mi-février
à fin juillet, il faisait le yoyo entre 100 et 120 $. Depuis, il oscillait
entre 85$ et 99$.
Au début du mois de mars, le Brent avait atteint
132$, proche de son record de 150$ (en 2008).
Si le pétrole est revenu à un niveau habituel, ce n'est pas le cas du Jet Fuel, qui coûte
41$ de plus le baril. Le besoin accru de gazole pour
compenser la moindre disponibilité du gaz fait monter
les cours du kérosène, les deux carburants étant produits de manière
similaire.
Bon à savoir
>
Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Vous trouverez sur mon site
navigaction
les modalités d'accès aux sites des gérants.
Pour éviter
d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants,
Natixis, Société Générale, votre établissement financier personnel si
vous avez acheté vos actions par celui-ci.
>
Gestion des FCPE
Lorsque vous placez de l'argent dans un des fonds FCPE d'Air
France, vous obtenez des parts dans ces fonds. Vous ne détenez pas
directement d'actions.
Ce sont les conseils de surveillance,
que vous avez élus en juillet 2021 pour cinq ans, qui gèrent les fonds
et qui prennent les décisions.
Les fonds Aeroactions,
Majoractions et Concorde ne détiennent que des actions Air France.
Les fonds Horizon Épargne Actions (HEA), Horizon Épargne Mixte
(HEM), Horizon Épargne Taux (HET) gèrent des portefeuilles d'actions
diverses.
Précisions
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
À bientôt.
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François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
salariés et anciens salariés actionnaires PNC et PS. Vous pouvez me retrouver sur mon
compte twitter @FrRobardet
Suppléant Nicolas Foretz, PNC
Lors de mon élection, j'ai
reçu le soutien de la CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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