N°902, 5 mars 2023
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Éditorial
La Revue de Presse du lundi
>
Air France-KLM attaque en justice l'État néerlandais contre les mesures environnementales à l'aéroport de Schiphol
(source La Tribune) 2 mars 2023 - Le camp néerlandais s'est
fissuré. Longtemps uni pour défendre l'intérêt national du temps de
Pieter Elbers, l'ancien directeur général de KLM, la compagnie
batave et le gouvernement néerlandais s'opposent désormais. La
compagnie, filiale du groupe français Air France-KLM, a engagé, avec
d'autres compagnies comme Delta, Transavia ou EasyJet, une action
légale à l'encontre du gouvernement de La Haye, ainsi que du Royal
Schiphol Group, gestionnaire de l'aéroport d'Amsterdam.
Selon un courrier interne que La Tribune s'est procuré, KLM dénonce
la décision du gouvernement néerlandais de vouloir limiter le nombre
de mouvements, déjà plafonnés, sur l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol
en faisant passer le nombre de créneaux d'atterrissage et de
décollage de 500.000 à 460.000 par an. Une mesure décidée selon des
considérations environnementales. Après une annonce l'été dernier (avec un
objectif de descendre jusqu'à 440.000 mouvements), alors que
l'aéroport était en proie à d'importantes perturbations dues à la
reprise brutale du trafic, La Haye serait sur le point de passer à
l'action. Le courrier indique ainsi que le calendrier s'est accéléré
ces derniers jours et qu'un « règlement expérimental » est en
préparation. Il pourrait être adopté dès les prochaines semaines
« pour fixer un maximum de 460.000 mouvements dès le 1er novembre
2023 ». Face à cette
menace qui pèse sur l'activité de son hub, KLM estime en interne que
« ce nouveau calendrier ne (lui) laisse d'autre choix que d'engager
cette action légale ». La compagnie dénonce « une approche
autoritaire, contraire à l'approche équilibrée prévue par les textes réglementaires européens et internationaux, alors qu'il existe
d'autres scénarios pour atteindre le même objectif de réduction de
bruit. » Toujours dans ce même courrier, Air France-KLM déclare
qu'il « soutient sa compagnie néerlandaise dans sa démarche ».
Interrogé par La Tribune, le groupe a fait savoir qu'il « réitère
son opposition au projet du gouvernement néerlandais de restreindre
le nombre de mouvements à l'aéroport d'Amsterdam Schiphol. »
Air France-KLM va même plus loin en exprimant « ses préoccupations
quant à l'impact et à l'efficacité réelle de la mesure envisagée par
le gouvernement néerlandais et le groupe Royal Schiphol ». Il met en
avant les risques économiques avec des conséquences sur la
connectivité, l'attractivité et l'emploi aux Pays-Bas, ainsi que le
risque de « fuite de carbone » avec un report du trafic vers
d'autres pays. Le groupe estime par ailleurs
être dans les clous pour respecter son objectif de réduction de 30 %
de ses émissions de CO2 avec le renouvellement engagé de ses flottes. Dans une
volonté de trouver une porte de sortie, le groupe indique tout de
même qu'il « reste à la disposition du gouvernement néerlandais pour
discuter plus avant des moyens alternatifs de réduire l'impact
environnemental de l'aviation tout en préservant les intérêts
nationaux et européens plus larges. » De fait, il n'a guère d'autres choix au vu
de l'importance vitale de Schiphol pour KLM, seul aéroport
d'envergure internationale du pays par lequel transite l'ensemble de
ses opérations et une bonne partie de celui de sa filiale à bas coût
Transavia Holland. Une telle limitation contraindrait grandement les
capacités de développement des deux compagnies, déjà limitées dans
leurs perspectives par le plafonnement actuel. À elles seules, les
compagnies du groupe Air France-KLM, qui comprennent également
Martinair et KLM Cityhopper, représentent 60 % du trafic de
l'aéroport. (...) C'est en tout cas un retournement pour
la compagnie néerlandaise, qui avait souvent pu compter sur le
gouvernement néerlandais pour préserver une certaine autonomie face
à Air France-KLM. (...) En
2019, le ministre des finances Wopke Hoekstra (CDA) avait même
organisé dans le plus grand secret un achat d'actions pour accroître
sa participation dans le groupe à 14 % et pouvoir gagner en
influence au sein du groupe. Puis, pendant la crise
sanitaire, l'État néerlandais avait accordé un soutien financier de
3,4 milliards d'euros à KLM, dont un milliard d'euros sous forme
d'un prêt direct. Une réflexion était même en cours pour porter le
plafond de Schiphol à 540.000 mouvements. (...)
La situation s'est durcie depuis
l'arrivée du nouveau gouvernement néerlandais en janvier 2022 après
de longs mois pour constituer une coalition. Si Mark Rutte entame
son quatrième mandat de Premier ministre depuis 2010, Wopke Hoekstra
a été remplacé par Sigrid Kaag (D66) au ministère des finances moins
conciliante.
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Virgin Atlantic a rejoint l’alliance SkyTeam
(source Air Journal) 3 mars 2023 - La compagnie aérienne Virgin
Atlantic a officiellement fait son entrée dans l’alliance SkyTeam,
son 18eme membre et premier britannique rejoignant entre autres son
actionnaire Delta Airlines et ses partenaires de coentreprise
transatlantique Air France et KLM Royal Dutch Airlines.
Comme annoncé en septembre dernier, la compagnie basée à l’aéroport
de Londres-Heathrow est depuis le 2 mars 2023 membre à part entière
de SkyTeam. (...) Des accords de partage de code sont déjà
en place avec Aeromexico et Middle East Airlines (MEA), en plus des
partages de code existants avec Air France-KLM et Delta, avec des
options pour d’autres partages de code à suivre plus tard cette
année. Des accords interlignes avec tous les membres de SkyTeam sont déjà en place, ce qui permet à tous les clients de
n’avoir qu’un seul point de contact et de bénéficier d’un voyage
fluide avec un seul billet. Virgin Atlantic
dessert 12 destinations aux États-Unis en partenariat avec Delta et
Air France-KLM. (...) L’entrée de Virgin Atlantic dans l’alliance
s’appuie selon le communiqué de SkyTeam « sur le succès de sa joint
venture transatlantique avec Delta et Air France-KLM, toutes deux
membres de longue date de SkyTeam. Virgin Atlantic est installée au
Terminal 3 de Londres Heathrow, aux côtés de Delta et des membres
actuels de SkyTeam, Aeromexico et China Eastern, ce qui permet aux
clients de bénéficier de transits aériens fluides et de temps de
correspondance aussi pratiques que possible ». (...)
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Lufthansa Group revient dans le vert après deux années de pertes
(source Air Journal) 4 mars 2023 - Le groupe aérien allemand
Lufthansa a renoué avec les bénéfices en 2022, porté par une forte
reprise des vols après deux années plombées par les répercussions de
la pandémie de Covid-19. Le bénéfice net, soutenu par les
résultats records dans le fret et la maintenance, est ressorti à 791
millions d’euros l’an dernier, contre une perte de 2,19 milliards
d’euros un an plus tôt, a indiqué Lufthansa Group dans un
communiqué. Son indicateur clé, le résultat d’exploitation ajusté,
atteint 1,51 milliard d’euros, en ligne avec sa dernière prévision
connue, en attendant une «amélioration significative» en 2023.
Le résultat net du groupe aérien allemand est sensiblement identique
aux 728 millions affichés par le concurrent franco-néerlandais Air
France-KLM, aussi largement revenu dans le vert après les
répercussions du Covid-19, tout comme l’autre rival britannique IAG
(British Airways et Iberia). Les ventes totales de Lufthansa Group,
qui compte en son sein la compagnie aérienne allemande éponyme ainsi
que les filiales Austrian Airlines, Brussels Airlines, SWISS et la
low-cost Eurowings, ont elles quasiment doublé sur un an, à 32,8
milliards d’euros. (...)
La performance de l’an dernier a été obtenue malgré « l’inflation
des charges », a souligné le groupe allemand, avec l’augmentation du
coût du kérosène depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine. La
reprise des vols ne s’est pas non plus faite sans accrocs : des
goulots d’étranglement mondiaux dans l’industrie du transport aérien
l’été dernier ont conduit à l’annulation de milliers de vols et
nombre de voyageurs se sont plaints chez Lufthansa de retards ou de
valises perdues. Le groupe allemand chiffre à 555 millions
d’euros les surcoûts liés à ces déconvenues, comprenant aussi des
journées de grève chez les personnels, pour de meilleurs salaires,
et dans les aéroports. Si le groupe affiche néanmoins un confortable
bénéfice, il le doit aux performances opérationnelles records de ses
filiales Lufthansa Cargo (1,6 milliard d’euros) dans le fret et
Lufthansa Technik (511 millions d’euros) dans l’entretien des
avions. En tout, 102 millions de passagers ont emprunté les
compagnies aériennes du groupe en 2022, plus du double de 2021, mais
encore bien en deçà du record de 145 millions de passagers datant
d’avant le Covid-19, en 2019. Les recettes de la branche passagers
ont ainsi plus que doublé, à 22,8 milliards d’euros, avec des
recettes par siège en hausse de 148% sur un an dans un contexte de
hausse des prix des billets.
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Air India veut contrer les compagnies du Golfe pour jouer dans la cour des grands du transport aérien
(source La Tribune) 1er mars 2023 - Faire de l'Inde un hub aérien
international. Bien que redevenu un groupe entièrement privé depuis
son rachat par le groupe Tata il y a plus d'un an maintenant,
Air
India reprend pleinement à son compte cette ambition posée par le
Premier ministre indien Narendra Modi et son gouvernement. Après
avoir commandé il y a deux semaines 470 appareils de dernière
génération à Airbus et Boeing, dont 70 long-courriers, la compagnie
aérienne entend développer fortement son réseau international avec
des liaisons directes depuis plusieurs centres névralgiques du pays.
De quoi renforcer la connectivité du pays, mais aussi couper l'herbe
sous le pied des compagnies du Golfe largement implantées sur le
marché indien, en particulier Emirates, souvent qualifiée de
compagnie nationale indienne. Lancé en octobre dernier, le
plan stratégique pour redresser Air India commence à prendre de la
consistance. Baptisé Vihaan.AI, « l'aube d'une nouvelle ère » en
sanskrit, il s'établit en trois phases (« Roulage », « Décollage »
et « Montée ») pour ramener Air India au premier plan d'ici cinq
ans. Son directeur général, Campbell Wilson,
veut qu'Air India soit redevenue l'un des acteurs dominants sur le
trafic domestique. (...) Il précise tout de même que cet
objectif ne sera pas atteint par Air India seule, mais par la
réunion de l'ensemble des compagnies du groupe Tata : Vistara, qui
devrait être intégrée sous la marque Air India dès que l'approbation
sera obtenue auprès des autorités de la concurrence, mais aussi Air
India Express et AirAsia India qui vont être fusionnées pour créer
un opérateur low-cost unique.
(...) Pourtant, le trafic domestique et les énormes besoins de
connectivité entre les différentes mégalopoles du pays ne semblent
pas attirer Campbell Wilson outre mesure, qui
y voit plutôt un moyen d'alimenter ses vols
internationaux. Il ne fait ainsi pas de mystère, le développement
international est au cœur de son ambition.
(...) Air India est ainsi lancée dans « un parcours de
transformation pour revenir résolument dans le peloton de tête de
l'aviation internationale », selon son directeur général. Elle va
recevoir 40 Airbus A350, 20 Boeing 787 et 10 Boeing 777X dans les
prochaines années. (...) Pour le réseau,
Campbell Wilson mise sur un maximum de vols sans escale en
multipliant les routes. Il va donc articuler ses opérations autour
de trois hubs principaux, à savoir Delhi, la capitale politique, Mumbai (Bombay), la capitale économique que Campbell Wilson juge
d'ailleurs insuffisamment desservie, et un troisième aéroport dans
le sud du pays mais qui n'a pas encore été annoncé. S'il ne cite
aucune compagnie nominalement, ce positionnement est clairement fait
pour contrer les compagnies du Golfe. (...) Avant d'arriver à tout cela,
Campbell Wilson est bien conscient
que sa compagnie se trouve actuellement très loin des standards
internationaux. Au-delà des projections, cette première
phase de roulage sera donc consacrée à « résoudre les problèmes
accumulés depuis des années ». (...) Cela passe
aussi par une révision et une amélioration des
processus opérationnels, en Inde mais aussi dans les escales
internationales, comme des produits. Outre la remise à niveau de la flotte et des cabines,
l'accueil ou le catering seront revus et plusieurs centaines de
recrutements sont prévus en conséquence. Un travail est également
engagé avec le reste de l'écosystème - aéroports, assistance en
escale, maintenance - pour améliorer les opérations et préparer
l'Inde à devenir un hub international.
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Lufthansa passe à son tour à l'Airbus A350-1000
(source Air & Cosmos) 2 mars 2023 - Avec une commande de 10
Airbus A350-1000, Lufthansa devient le 12e client de cette version
du long-courrier d'Airbus. Tombées à 140 unités à fin janvier 2023,
les ventes fermes devraient également bénéficier de la ré-intégration de tout ou partie des 21 exemplaires que Qatar
Airways devait encore réceptionner. La compagnie aérienne et Airbus
ont en effet signé "la paix des braves" après un long feuilleton
juridique. Lufthansa a également commandé cinq A350-900
supplémentaires, portant le total de ses achats pour la famille A350
à 60 exemplaires. Lufthansa avait initialement fait
le choix du Boeing 777-9. Les retards accumulés dans le programme
avec une mise en service commercial que des clients comme Emirates
estiment désormais au début de 2025 obligent les compagnies
aériennes à s'organiser face à une demande de trafic long-courrier
qui aura retrouvé sa vitesse de croisière en 2025. La commande de
Lufthansa ne précise pas le calendrier des livraisons de ses
A350-1000 mais il est évident que le transporteur a besoin de
long-courriers disponibles pour faire face à l'échéance 2025.
En attendant, Qantas
Airways commence à faire le "buzz" autour de ses futurs Airbus
A350-1000 qui lui permettront de relier Sydney à Londres mais aussi
New York d'une seule traite. Une version ULR "Ultra Long Range" qui
ne prendra que 238 passagers alors que la capacité de l'A350-1000 en
trois classes dépasse les 300 sièges. Le projet "Sunrise" entrera
dans le concret opérationnel à la fin de l'année 2025.
Fin de la revue de presse
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Évolution du cours de l'action Air France-KLM depuis 2022
L'évènement qui aura impacté le plus le cours de l'action en 2022 aura été en juin l'augmentation de capital à hauteur de 2,256
milliards d’euros. Ils ont été affectés au remboursement
accéléré des aides d’État et à la réduction de la dette.
En 2023, la suppression des restrictions liées aux aides d'État
et l'amélioration progressive du bilan de la compagnie ont été
accueillies favorablement par les analystes.
Le
cours de l'action qui se situait
en-dessous de 1,30 euros en début d'année dépasse
désormais 1,70 euro.
>
Évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 1,836 euro en clôture lundi
6 mars. Elle est en hausse cette semaine de +5,18%. Les
annonces récentes sur les résultats 2022 et sur la fin des
contraintes imposées par la Commission Européenne expliquent cette
hausse.
Elle était à 1,253 euro
le 2 janvier 2023.
La moyenne (le consensus) des analystes
à 12 mois pour l'action AF-KLM
est à 1,72 euros. L'objectif de cours le plus élevé est
à 2,30 euros, le plus bas à 1,10 euro. Je ne
prends en compte que les opinions d'analystes postérieures à
l'augmentation de capital de mai 2022.
Vous pouvez retrouver sur
mon blog le détail du consensus des analystes.
>
Évolution du prix du carburant en 2022
Depuis le début de la guerre en Ukraine, il n'y a plus de
corrélation entre le prix du baril de pétrole Brent et celui du baril de
Jet Fuel. L'écart entre les deux
produits oscillait entre 30 et 50$, alors qu'il ne dépassait pas 10$ les
années précédentes.
>
Évolution du prix du carburant cette semaine
Le baril de Jet Fuel en Europe est en
hausse cette semaine de 3$ à 114$. Après avoir atteint un
maximum de 182$ en juin 2022, il était redescendu à 132$ début août. Il était à 79$ il y a un
peu plus d'un an.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est en
hausse cette semaine de +4$ à 86$. C'est proche du niveau moyen
observé depuis cinq ans, hors évènements exceptionnels. De la mi-février
à fin juillet, il faisait le yoyo entre 100 et 120$. Depuis, il oscillait
entre 85$ et 99$.
Au début du mois de mars, le Brent avait atteint
132$, proche de son record de 150$ (en 2008).
Alors que le pétrole est revenu depuis plusieurs semaines à un niveau habituel,
le Jet Fuel se rapproche à son tour de son niveau habituel. L'écart
entre le Jet Fuel en Europe et le baril de pétrole Brent n'est désormais
plus que de 28$. Depuis le début du conflit ukrainien, cet écart
avoisinait 50$.
Bon à savoir
>
Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Vous trouverez sur mon site
navigaction les modalités d'accès aux sites des gérants.
Pour éviter
d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants,
Natixis, Société Générale, votre établissement financier personnel si
vous avez acheté vos actions par celui-ci.
>
Gestion des FCPE
Lorsque vous placez de l'argent dans un des fonds FCPE d'Air
France, vous obtenez des parts dans ces fonds. Vous ne détenez pas
directement d'actions.
Ce sont les conseils de surveillance,
que vous avez élus en juillet 2021 pour cinq ans, qui gèrent les fonds
et qui prennent les décisions.
Les fonds Aeroactions,
Majoractions et Concorde ne détiennent que des actions Air France.
Les fonds Horizon Épargne Actions (HEA), Horizon Épargne Mixte
(HEM), Horizon Épargne Taux (HET) gèrent des portefeuilles d'actions
diverses.
Précisions
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
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François Robardet
Administrateur Air France-KLM représentant les
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Suppléant Nicolas Foretz, PNC
Lors de mon élection, j'ai
reçu le soutien de la CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
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