N°921, 17 juillet 2023
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La Revue de Presse du lundi
>
Air France-KLM va regrouper ses actions
(source AOF) 12 juillet - Air France-KLM a annoncé la mise en
œuvre du regroupement des actions composant son capital et de la
réduction de capital par voie de diminution de la valeur nominale
des actions décidée par le Conseil d’administration réuni le 4
juillet 2023. Le regroupement se traduira par l'attribution de 1
action ordinaire nouvelle d’une valeur nominale de 10 euros contre
10 actions ordinaires anciennes d’une valeur nominale de 1 euro et
par la division par 10 du nombre des actions en circulation.
La compagnie aérienne rappelle que le regroupement est une opération
d'échange purement technique sans incidence directe sur la valeur
totale des actions de la société détenues en portefeuille par chaque
actionnaire. Les opérations de regroupement débuteront le 31
juillet 2023, une période d'échange étant ouverte à compter de cette
date et jusqu'au 30 août 2023 (inclus) pour permettre aux
actionnaires ne détenant pas un nombre d'actions multiple de 10 de
procéder à l'achat ou à la vente d'actions anciennes afin d'obtenir
un nombre d'actions anciennes multiple de 10. Le regroupement
prendra effet le 31 août 2023. La valeur nominale de chaque
action de la société sera, elle, ramenée de 10 euros à 1 euro, soit
une réduction de 9 euros par action. Le montant de cette réduction
de capital sera affecté au compte "prime d'émission". Après
la réduction de capital, la valeur nominale des nouvelles actions
sera identique à la valeur nominale des actions actuelles (avant le
regroupement des actions). " La réduction par voie de
diminution du nominal et affectation en prime d'émission est une
opération purement technique, sans incidence ni sur la valeur
boursière des actions de la société, ni sur le nombre d'actions en
circulation ", rappelle Air France-KLM.
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Air France-KLM : Apollo va apporter un financement de 500 millions d'euros
(source AGEFI) 14 juillet - Le groupe de transport aérien
franco-néerlandais Air France-KLM a annoncé vendredi avoir signé un
accord définitif avec le fonds d'investissement Apollo Global
Management qui permettra à la filiale dédiée à l'activité de
composants d'ingénierie et de maintenance de sa compagnie Air France
de recevoir un financement en quasi-fonds propres de 500 millions
d'euros. Cette transaction fait partie intégrante des
mesures de recapitalisation annoncées par Air France-KLM à
l'occasion de la présentation en début d'année de ses résultats de
l'exercice 2022. "En vertu de cet accord et sous réserve des
conditions de clôture habituelles, Apollo souscrira à des
obligations perpétuelles émises par cette filiale opérationnelle et
ce financement sera comptabilisé comme des fonds propres selon les
normes IFRS", a indiqué Air France-KLM dans un communiqué. "Le
produit de la transaction sera affecté aux besoins généraux du
groupe et au financement de composants liées à l'activité de
maintenance", a complété le transporteur aérien.
Air France-KLM
a par ailleurs indiqué que les obligations perpétuelles souscrites
par les fonds et les entités gérées par Apollo porteraient un
intérêt de 6,9% au cours des trois premières années, après quoi des
augmentations progressives et un plafond seraient appliqués. Le
groupe aura la possibilité de rembourser les obligations à tout
moment au-delà de la troisième année.
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Début de la fin pour l’alliance American Airlines – JetBlue
(source Air Journal) 17 juillet - Les compagnies aériennes
American Airlines et JetBlue Airways ont commencé le « détricotage »
de leur Northeast Alliance, refusée par le régulateur de la
concurrence aux USA. Ayant renoncé début juillet 2023 à
faire appel d’une décision de la justice fédérale en mai dernier lui
ordonnant de mettre fin à l’alliance lancée avec American Airlines
début 2021 dans les aéroports du nord-est (à New York et Boston
principalement), JetBlue a annoncé le 14 juillet « travailler de
concert » avec son ex-partenaire pour préparer la fin de leur
alliance. (...) Si cette dernière
[American Airlines) maintient ses plans de faire appel, JetBlue
préfère se concentrer sur le rachat de Spirit Airlines –
fusion elle
aussi rejetée par le régulateur de la concurrence. Une décision
vivement contestée par les deux compagnies : elles pensent que « le
ministère de la Justice se trompe sur la loi et qu’il ne comprend
pas que cette fusion créera un concurrent national de poids, à bas
prix » face aux quatre compagnies dominant actuellement le secteur
(American Airlines, United Airlines, Delta Airlines et la low-cost
Southwest Airlines contrôlent 80% du transport aérien américain,
devant Alaska Airlines et justement JetBlue Airways et Spirit
Airlines, qui ensemble deviendraient la cinquième compagnie aérienne
des États-Unis).
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ITA et la vente de printemps aux Allemands de Lufthansa
(source veritaeaffari, traduit avec Deepl) 11 juillet - Lufthansa
achète 41% d'ITA pour 325 millions. Ou plutôt non. Car
si elle
revient sur sa décision, sous certaines conditions, elle a le droit
de tout récupérer. C'est l'option en faveur des Allemands
prévue dans l'accord de vente de la compagnie italienne à la
compagnie allemande. (...) Dans un mémo
confidentiel des avocats du ministère de l'économie sur le contrat
ITA-Lufthansa, que Verità&Affari a pu consulter, il est précisé que
les Allemands ont tout à fait le droit de se retirer dans deux cas.
D'une part, si la continuité des affaires est assurée entre
l'ancienne Alitalia et ITA. Le second cas est celui où les procès
des anciens employés d'Alitalia obligent ITA à absorber les anciens
employés de la compagnie aérienne italienne. Deux circonstances qui
se sont déjà manifestées dans la décision du tribunal de Rome qui a
donné raison à 77 anciens employés d'Alitalia qui doivent
maintenant, sauf appel, être embauchés par les compagnes dirigées
par Fabio Lazzerini. "Il est envisagé que si de tels
événements se produisent, après la date d'exécution, Lufthansa aura
le droit de se retirer d'ITA et de recevoir, en remboursement
intégral, le montant de l'ensemble de l'investissement réalisé dans
ITA jusqu'à cette date", peut-on lire dans la note du cabinet
d'avocats Gianni&Origoni, datée du 14 juin. Aucune indication n'est
cependant donnée quant aux modalités et aux conséquences de cet
éventuel retrait. Lufthansa
entrera dans le capital d'ITA par une augmentation de capital
réservée de 350 millions. Mais l'opération se fera "avec la
souscription par le Ministère de l’Économie et des Finances (MEF)
d'une nouvelle augmentation de capital de la compagnie de 250
millions". Un signe qu'ITA a immédiatement besoin de liquidités pour
aller de l'avant. Et il ne pouvait en être autrement étant donné que
la perte de 2022 s'élevait à environ 498 millions d'euros.
La cession complète de la participation par le Trésor interviendra
au plus tard en 2033 par le biais d'une option d'achat accordée à
Lufthansa et d'une option de vente entre les mains du Ministère de
l’Économie et des Finances (MEF). Entre-temps, le ministère dirigé par Giancarlo Giorgetti conservera
une participation dans ITA, qui "se verra garantir une gouvernance
adaptée à une gestion de la société visant à assurer la réalisation
des objectifs du plan industriel", selon le document. C'est-à-dire
avec "l'implication prééminente de Lufthansa dans la gestion d'ITA
et un pouvoir de contrôle sur la gestion de la part du MEF".
Le sentiment est que les Allemands ne sont pas convaincus du succès
de l'opération Ils craignent que la justice italienne ne
reconnaisse la continuité des affaires entre l'ancienne Alitalia et
ITA. Avec toutes les conséquences de l'affaire pour les plus de 1300
procès encore en cours. "De cette note juridique, il ressort que
Lufthansa achète des options et non des actions d'ITA", explique
Antonio Amoroso, secrétaire national de Cub trasporti. "Ce
qui ressort, c'est la subalternité non seulement d'une entreprise
publique, détenue à 100 % par le Mef, mais même du Mef et du
gouvernement italien. Lufthansa se retirera à tout moment, même si
les travailleurs obtiennent justice", poursuit-il. Le transporteur
allemand peut se retirer si la communauté européenne a des doutes
sur la question de la continuité, et ce sans aucune date. Il est
embarrassant que le Ministère de l’Économie et des Finances puisse élaborer un tel accord dans lequel il
subordonne en quelque sorte l'exercice des droits devant les
tribunaux à la résolution d'un problème qui concerne la communauté.
Il s'agit de la propriété d'une compagnie aérienne qui peut servir à
la mobilité des citoyens et au développement des flux touristiques.
Enfin, il est paradoxal que cette note ait été déposée par ITA au
tribunal précisément pour conditionner les magistrats à rejeter les
demandes d'embauche", conclut-il. Mais ce n'est pas tout.
La question des créneaux horaires reste également en arrière-plan
Si, d'une part, le lien entre l'ancienne compagnie nationale et ITA
risque de grever le budget en termes de coûts salariaux, d'autre
part, ils assurent l'équité dans la rétrocession des créneaux
horaires qui appartenaient à Alitalia. D'où les tensions qui se
dégagent du document. Et l'impression que le jeu, en attendant le
feu vert de Bruxelles, est loin d'être clos. D'autant que le sort
d'ITA et de l'opération Lufthansa est mêlé aux ambitions de la
commissaire à la concurrence, Margrethe Vestager, qui vise les plus
hautes fonctions à la Banque mondiale. Un poste de très haut niveau
pour lequel il faut des parrains solides, comme le président
français Emmanuel Macron, qui voit d'un mauvais œil l'opération
ITA-Lufthansa car il estime qu'elle pourrait nuire à la compagnie
franco-néerlandaise Air France-KLM.
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Royal Air Maroc compte quadrupler sa flotte d'avions, à 200 appareils (comme Air France)
(source AFP) 13 juillet - Royal Air Maroc se met au service du
plan de développement du tourisme du Royaume qui vise à attirer 65
millions de visiteurs à l'horizon 2037, soit environ six fois plus
de visiteurs qu'aujourd'hui. « La RAM va quadrupler sa
flotte aérienne qui passera de 50 appareils actuellement à 200
appareils au cours des 15 prochaines années », selon un communiqué
des services du chef du gouvernement Aziz Akhannouch. Soit
peu ou prou l'équivalent de la flotte de la compagnie Air France
aujourd'hui qui compte plus de 200 avions. (...) La
RAM compte acquérir de nouveaux avions dès 2024 dans le cadre de
l'implémentation de sa stratégie de développement, a fait savoir son
PDG lors d'une conférence de presse à Casablanca, cité par l'agence
de presse MAP. Renfloué par l'État au lendemain de la pandémie - en
2020, la RAM avait essuyé des pertes de 1,6 milliard de dollars - le
transporteur national prévoit par ailleurs l'ouverture de nouvelles
destinations internationales et la mise en place de 46 autres
dessertes domestiques afin de promouvoir le tourisme intérieur.
Au
niveau international, la RAM vise plus particulièrement le marché
africain mais aussi américain et asiatique. Enfin, le hub aérien de
Casablanca, mégapole et capitale économique du royaume, doit
renforcer son rôle de plateforme de correspondance internationale.
Ce plan de développement est d'autant plus
crucial que le tourisme est l'un des piliers de l'économie
marocaine, fournisseur de dizaines de milliers d'emplois directs et
indirects. Durement touché pendant la pandémie - le Maroc a été l'un
des derniers pays à s'ouvrir sans contraintes au monde - Il s'est
redressé en 2022, avec environ 11 millions de touristes, soit un
taux de récupération de 84% des arrivées de 2019, selon des
statistiques officielles. (...) Le royaume chérifien entend accueillir 17,5 millions de
touristes à l'horizon 2026 pour des recettes escomptées de 120
milliards de dirhams (environ 11 milliards d'euros), indique le
ministère du Tourisme.
Article Bonus
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Chaque heure, les gouvernements européens perdent 4 millions d'euros en taxes sur l'aviation
(source Transport & Environment, traduit avec Deepl) 12 juillet -
Les gouvernements européens ont perdu 34,2 milliards d'euros de
recettes l'année dernière en raison des très faibles niveaux de
taxation dans le secteur de l'aviation, selon une nouvelle étude du
groupe écologiste Transport & Environment. Ces 34,2 milliards
d'euros permettraient de financer 1.400 km d'infrastructures
ferroviaires à grande vitesse, soit l'équivalent de la distance
entre Hambourg et Rome[1]. L'analyse porte sur les recettes
qui auraient dû être tirées de la tarification du transport aérien
si le secteur ne bénéficiait pas d'exemptions. Elle compare ces
recettes à celles qui ont été effectivement perçues au cours d'une
année. C'est ce que l'on appelle le "déficit fiscal".
Le secteur ne
paie pas de taxe sur le kérosène, peu ou pas de taxes sur les
billets ou de TVA, et un prix du carbone sur les vols
intra-européens uniquement. Les gouvernements britannique et
français auraient encaissé respectivement 5,5 et 4,7 milliards
d'euros supplémentaires si l'aviation était taxée de manière
adéquate. Les quatre pays européens où les écarts de taxation sont
les plus importants sont le Royaume-Uni, la France, l'Espagne et
l'Allemagne, ce qui s'explique principalement par la taille de leur
secteur de l'aviation. Bien que la France, l'Allemagne et le
Royaume-Uni prélèvent une taxe sur les billets, leur faible niveau
de taxation ne permet pas de combler l'écart. Air France et
Lufthansa sont les deux plus grands contributeurs à l'écart fiscal
en Europe, en raison de l'importance de leur activité. L'Europe a
perdu 2,4 et 2,3 milliards d'euros de recettes grâce aux activités
de ces compagnies aériennes. L'étude établit une distinction entre
les taxes imposées aux passagers et celles imposées aux compagnies
aériennes. Les taxes sur les billets et la TVA sont imposées aux
passagers, tandis que les taxes sur le carburant et la tarification
du carbone sont directement imputables aux compagnies aériennes. Sur
les 34,2 milliards d'euros d'écart, 20,5 milliards auraient dû être
payés par les transporteurs au titre des taxes sur le carburant et
de la tarification du carbone. Jo Dardenne, directrice de
l'aviation chez T&E, explique : "L'Europe perd de l'argent en ne
taxant pas le secteur de l'aviation. Les compagnies aériennes se
rapprochent de bénéfices records cette année, alors qu'elles
crachent des carburants polluants dans nos cieux. Mais les
gouvernements ne veulent pas toucher à leurs précieuses compagnies
nationales. Comment peuvent-ils justifier aux yeux des citoyens que
les conducteurs paient plus de taxes qu'Air France et Lufthansa pour
leur carburant ? Si aucune mesure n'est prise, l'écart
fiscal augmentera de 38 % d'ici à 2025, car le secteur est appelé à
se développer dans les années à venir. Eurocontrol estime que le
trafic atteindra 92 % des niveaux antérieurs à la directive COVID en
2023 et qu'il se rétablira complètement en 2025. D'ici là, l'écart
fiscal pourrait atteindre 47,1 milliards d'euros, selon T&E.
Combler cet écart et remédier à la sous-fiscalité de l'aviation
devraient être une priorité absolue pour les gouvernements. L'étude
recommande d'appliquer une taxe sur le kérosène, un taux de TVA de
20 % sur les billets et d'étendre le marché du carbone pour
l'aviation à tous les vols en partance. Ces changements
permettraient de combler le déficit budgétaire des gouvernements. En
l'absence de ces mesures, T&E recommande d'appliquer une taxe sur
les billets équivalente à l'écart constaté dans chaque pays.
L'étude montre que des taxes plus élevées auront un impact sur le
prix des billets des passagers. Cela pourrait entraîner une baisse
de la demande et une réduction des émissions de CO2. L'étude
constate que la fin des exemptions en 2022 aurait permis
d'économiser 35 Mt de CO2, avec un impact climatique total encore
plus élevé si l'on tient compte des effets de l'aviation sur les
émissions autres que le CO2. Alors que le secteur cherche à se
décarboner, les revenus générés par la taxation devraient être en
partie réinvestis dans les technologies vertes, y compris le e-kérosène. Jo Dardenne conclut : "La taxation ne
doit pas être perçue comme une punition, mais comme un moyen de
faire payer équitablement ceux qui bénéficient le plus de la
sous-réglementation de l'aviation. Les personnes les plus aisées de
la société ont payé beaucoup trop peu pour leurs habitudes de vol.
En outre, la taxation ne limitera pas la capacité d'investissement
de l'aviation. Au contraire, la taxation de l'aviation profitera aux
citoyens et au secteur à long terme, car les gouvernements
interviendront pour financer la transition vers des énergies
propres, y compris pour l'aviation. Il est temps de mettre fin à
l'ère des vols bon marché et à l'augmentation des émissions".
[1] Selon le rapport de la Cour des comptes européenne, la
construction d'une ligne TGV dans l'UE coûte en moyenne 25 millions
d'euros par kilomètre. Nous avons calculé que 1368 km de voies
pourraient être construits pour un montant total de 34,2 milliards
d'euros. Cela couvrirait la distance entre Hambourg et Rome (1309
km).
Fin de la revue de presse
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Évolution du cours de l'action Air France-KLM depuis un
an
Deux évènements ont impacté le cours de l'action depuis
un an :
. en juin 2022 l'augmentation de capital à hauteur de 2,256
milliards d’euros . en février 2023 l'annonce des bons
résultats 2022.
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Évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 1,592 euro en clôture lundi
17 juillet. Elle est en baisse cette semaine de
-7,55%.
Elle était à 1,253 euro
le 2 janvier 2023.
La moyenne (le consensus) des analystes
à 12 mois pour l'action AF-KLM
est à 1,94 euro (elle était à 1,50 euro début janvier). L'objectif de cours le plus élevé est
à 2,45 euros, le plus bas à 1,10 euro. Je ne
prends en compte que les opinions d'analystes postérieures à
l'augmentation de capital de mai 2022.
Vous pouvez retrouver sur
mon blog le détail du consensus des analystes.
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Évolution du prix du carburant en 2022
Depuis le début de la guerre en Ukraine, il n'y a plus de
corrélation entre le prix du baril de pétrole Brent et celui du baril de
Jet Fuel. En 2022, l'écart entre les deux
produits a oscillé entre 30 et 50$, alors qu'il ne dépassait pas 10$ les
années précédentes.
Depuis le début de l'année, l'écart entre les deux
produits (le Jet Fuel et le pétrole brut) se resserre et se
rapproche de l'écart existant avant la guerre en Ukraine
>
Évolution du prix du carburant cette semaine
Le baril de Jet Fuel en Europe est en hausse cette semaine
de 1$ à 103$. Il était à 79$
avant le déclenchement de la guerre en Ukraine.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est en hausse cette semaine de
1$ à 79$.
De la mi-février
2022
à fin juillet 2023, il faisait le yoyo entre 100 et 120$. Depuis, il oscille
entre 75$ et 99$.
Alors que le pétrole est revenu depuis plusieurs semaines à un niveau habituel,
le Jet Fuel est désormais très proche de son niveau habituel. L'écart
entre le Jet Fuel en Europe et le baril de pétrole Brent est désormais
de 24$. En 2022, au début du conflit ukrainien, cet écart
avoisinait 50$.
Bon à savoir
>
Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Vous trouverez sur mon site
navigaction les modalités d'accès aux sites des gérants.
Pour éviter
d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants,
Natixis, Société Générale, votre établissement financier personnel si
vous avez acheté vos actions par celui-ci.
>
Gestion des FCPE
Lorsque vous placez de l'argent dans un des fonds FCPE d'Air
France, vous obtenez des parts dans ces fonds. Vous ne détenez pas
directement d'actions.
Ce sont les conseils de surveillance,
que vous avez élus en juillet 2021 pour cinq ans, qui gèrent les fonds
et qui prennent les décisions.
Les fonds Aeroactions,
Majoractions et Concorde ne détiennent que des actions Air France.
Les fonds Horizon Épargne Actions (HEA), Horizon Épargne Mixte
(HEM), Horizon Épargne Taux (HET) gèrent des portefeuilles d'actions
diverses.
Précisions
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
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François Robardet
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reçu le soutien de la CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
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