N°925, 14 août 2023
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La Revue de Presse du lundi
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Air France suspend la desserte de Bamako et Freetown, KLM de Bahreïn et Koweït
(source Voyages d'Affaires) 14 août - La situation au
Niger avec la restriction des vols force Air France à suspendre
certaines lignes aériennes vers l’Afrique. Air France a ainsi reconduit ce
lundi la suspension des vols vers le Mali et le Burkina Faso après
la fermeture de l’espace aérien du Niger voisin.
La mesure
était temporaire à l’origine. Mais elle a été prolongée jusqu’au 18
août. Les incertitudes liées à l’interdiction de survol ou de vols
dans l’espace aérien nigérien restent trop importantes. Sauf
que cette prolongation de suspension a provoqué la colère des
autorités maliennes. Ces dernières ont ainsi déclaré que la décision
d’Air France ne respectait pas les termes de son autorisation
d’exploiter la ligne. Dans une lettre adressée à Air France
et vérifiée vendredi par l’AFP, l’Agence nationale de l’aviation
civile estime que la compagnie n’a pas respecté son préavis et a
causé « des désagréments aux passagers ». L’agence a ainsi
révoqué le droit de desserte d’Air France pour toute la saison été,
jusqu’à la fin octobre. Air France devra, si elle souhaite retourner
au Mali, refaire une demande. À priori, Air France doit en revanche
reprendre le 18 août sa ligne vers Ouagadougou au Burkina Faso.
Par ailleurs, la compagnie a annoncé qu’à compter du 31 octobre
2023, elle suspend la liaison entre Paris-CDG et Freetown (FNA) en
Sierra Leone. KLM aussi réduit son réseau. Alors qu’Air
France se lancera le 29 octobre sur Paris CDG-Abu Dhabi, KLM
suspendra ses vols au départ d’Amsterdam vers le Koweït (KWI) et
Bahreïn (BAH). La compagnie terminera officiellement cette desserte
le 28 octobre prochain. Le transporteur a ainsi déjà fermé les deux
destinations à la vente. Les clients concernés sont dirigés vers
d’autres itinéraires, ou remboursés intégralement.
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Comment la crise au Niger vire au casse-tête pour Air France
(source France Info) 8 août - L’annonce de la fermeture
de l'espace aérien donne aux compagnies aériennes de véritables
sueurs froides, au point que beaucoup ont dû réagir en
urgence en annulant ou en détournant certains de leurs vols.
Première concernée, Air France, qui reste le principal opérateur
entre l’Europe et l’Afrique avec 33 destinations et plus de
trois millions de passagers par an, hors Afrique du Nord. Air France
qui suspend non seulement ses vols vers Niamey au Niger jusqu’à
nouvel ordre, mais aussi vers Bamako au Mali et Ouagadougou au
Burkina Faso, et ce jusqu’au 11 août prochain. Le Mali et le Burkina
Faso, deux pays là aussi en délicatesse avec la France et qui
soutiennent les putschistes nigériens. La plupart de
celles qui assurent des liaisons entre l’Europe et l’Afrique sont
touchées comme British Airways ou Virgin Atlantic. Le
spectre est très large puisqu’il concerne aussi l’Afrique du Sud et
même l’Océan Indien avec des destinations comme Île Maurice.
Conséquence de la fermeture de l’espace aérien du Niger certains
vols desservant Nairobi ou Johannesburg ont dû faire escale, et même
rebrousser chemin, faute de kérosène. Mais cette interdiction du
ciel nigérien n’est qu’un obstacle de plus au trafic aérien en
Afrique, puisqu’elle s’ajoute à celle déjà ancienne de la Libye et
du Soudan, des pays trop instables pour être survolés. Sans
compter les mises en garde américaines sur le Mali où sont
stationnées des batteries de missiles antiaériens russes à longue
portée, capables d’atteindre des avions jusqu’à 15.000 mètres
d’altitude, dans un rayon de 36 km. Au total, c’est
plus de la moitié de l’espace aérien du Sahel qui se retrouve
interdit aux vols commerciaux, obligeant les compagnies à
passer soit par la route de la mer Rouge plus à l’est, soit par
celle de l’Afrique de l’Ouest et du Maroc. La
première des conséquences ce sont des temps de vol plus longs pour
de nombreuses destinations. Air France évoque quinze
minutes de plus pour les escales les moins touchées, mais jusqu’à
deux heures supplémentaires pour les plus lointaines. Entre l’Europe
et l’Afrique du Sud par exemple le détour pourrait dépasser les
1.000 km et même nécessiter une escale pour certains types d’avions.
Et qui dit plus de temps de vol, dit plus de kérosène
consommé, et des coûts à la hausse que les compagnies ne pourront
peut-être pas intégralement répercuter aux passagers. En
attendant Air France se veut rassurante, les trois destinations
suspendues – Niamey, Bamako et Ouagadougou – ne représentent qu'une
quinzaine de vols par semaine, et l’essentiel de son programme de
vols vers l’Afrique subsaharienne est maintenu.
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La quasi-totalité des Embraer e195-e2 de KLM Cityhopper reprennent les airs
(source Luchtvaartnieuws, traduit avec Deepl) 8 août - En raison
de problèmes de moteur, plusieurs des nouveaux Embraer E195-E2 de
KLM Cityhopper ont été cloués au sol pendant de longues périodes ces
derniers mois, mais la quasi-totalité d'entre eux volent à nouveau.
Le dernier appareil encore cloué au sol sera également remis en
service "dès que possible", a indiqué un porte-parole de la
compagnie. "KLM Cityhopper a immobilisé un certain nombre
d'E2 au cours de la période récente en raison de problèmes initiaux
liés aux nouveaux moteurs. En collaboration avec Pratt & Whitney et
Embraer, nous avons travaillé dur pour trouver des solutions au
cours des derniers mois. Par conséquent, nous pouvons à nouveau
déployer les E2", a déclaré le porte-parole. "Les problèmes n'ont eu
aucun effet sur la sécurité des vols. Cityhopper a commandé
25 Embraer E195-E2, dont 16 ont été livrés. Au plus bas, près de la
moitié de la flotte était clouée au sol. Aujourd'hui, tous les
appareils sauf un, le PH-NXM, volent à nouveau. Selon le
porte-parole, outre les problèmes initiaux, des "problèmes de chaîne
d'approvisionnement mondiale" ont également joué un rôle dans
l'immobilisation des appareils. Le E195-E2 est l'avion le
plus récent et le plus grand de la flotte Cityhopper, avec une
capacité de 132 passagers. Ses nouveaux moteurs, plus efficaces, le
rendent plus silencieux et plus économe en carburant que les anciens
Embraer.
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Inflation : accord salarial conclu entre Lufthansa et ses pilotes
(source AFP) 10 août - Les pilotes de Lufthansa ont obtenu des
hausses de rémunération de plus de 17% au total mettant fin à un
conflit tarifaire de plusieurs mois avec la direction du groupe
aérien et à la menace de grèves, ont indiqué jeudi syndicats et
direction. «Nous sommes parvenus à un résultat de compromis après un
an et demi de négociations», a annoncé le syndicat Vereinigung
Cockpit (VC) saluant un accord valable jusqu'à fin 2026. «L'accord
tarifaire crée une stabilité opérationnelle, une fiabilité pour les
clients et une sécurité de planification supplémentaire pour
Lufthansa Airline dans les années à venir», a salué le groupe dans
un communiqué distinct. « D'un point de vue économique,
cette issue n'est pas facile pour nous», souligne toutefois
Lufthansa qui a accepté d'augmenter le salaire de quelque 5.200
pilotes de 17% au total sur trois ans. S'y ajoutent un versement
unique de 3,75% du salaire fixe annuel, plafonné à 3000 euros, et
une amélioration de la rémunération variable basée sur les
performances de l'entreprise. (...) Après deux années de crise liée
à l'impact de la pandémie de Covid-19, Lufthansa est revenu dans le
vert et s'attend à réaliser cette année l'un des meilleurs résultats
de son histoire. Durant la crise sanitaire, le transporteur n'avait
dû son salut qu'à des aides publiques aujourd'hui remboursées.
L'inflation en Allemagne a légèrement reculé en juillet, à 6,2% sur
un an, mais reste particulièrement élevée par rapport à la moyenne
européenne et à l'objectif de 2% de la Banque centrale européenne.
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Corse : la low-cost Volotea menace le duopole d'Air Corsica et Air France
(source Les Échos) 9 août - Il y a de l'orage dans l'air en
Corse. Pour la première fois, Air Corsica et Air France sont
confrontés à un concurrent sérieux pour l'attribution des
subventions aux principales lignes entre l'île et le continent.
La compagnie low-cost espagnole Volotea a en effet candidaté, le 13
juillet dernier, à l'appel d'offres lancé tous les quatre ans par
l'Office des transports de la Corse (OTC). Il s'agit d'obtenir la
prochaine délégation de service public aérien 2024-2027, sur les
liaisons entre Paris-Orly et Marseille d'un côté et Ajaccio et
Bastia de l'autre. Des lignes qui constituent aujourd'hui le plus
gros de l'activité du tandem Air Corsica et Air France, partenaires
de longue date sur la desserte de la Corse. C'est la
première fois qu'une compagnie à bas coûts européenne postule pour
une délégation de service public (DSP) en Corse. EasyJet, qui
dessert la Corse au départ de Roissy-CDG, n'a même pas essayé. Mais
Volotea est déjà très présente sur l'île de Beauté, où elle
représenterait déjà, selon ses dires, « 80 % de l'offre globale,
avec 29 destinations desservies », sans un sou d'argent public. Si
son offre l'emporte, Volotea promet de porter son offre en Corse de
900.000 sièges à 1,5 million d'ici à trois ans, avec l'ouverture de
dix nouvelles routes et la création d'une base d'exploitation sur l'île,
avec des avions et des emplois locaux à la clef et surtout, des
billets bon marché. De quoi
séduire. Pourtant, si la candidature de Volotea à l'appel d'offres
de l'OTC, est théoriquement une bonne nouvelle pour la concurrence
et le consommateur, elle semble plutôt plonger dans l'embarras les
autorités insulaires. L'attribution des délégations de service
public sur les quatre lignes constitue en effet un enjeu majeur pour
l'avenir d'Air Corsica, dont 65 % du capital est détenu par la
Collectivité de Corse et 14 % par Air France. Les syndicats
d'Air Corsica et certains élus locaux ne s'y sont d'ailleurs pas
trompés et sont montés au créneau pour dénoncer la candidature de
Volotea. (...) La décision officielle de l'assemblée de Corse
n'interviendra probablement pas avant fin novembre. Mais si la
pression locale est forte en faveur d'une reconduction de la DSP à
Air Corsica et Air France, les autorités insulaires ne peuvent pas
pour autant écarter d'un revers de manche la candidature de Volotea.
Le processus de sélection du meilleur candidat est
en effet étroitement encadré par des réglementations
françaises et européennes, le mieux disant étant censé l'emporter.
Toute
entorse à cette règle est susceptible d'engendrer un recours devant
les institutions françaises et européennes, avec de lourdes amendes
et l'annulation des attributions en cas d'irrégularité. La
Collectivité de Corse en a d'ailleurs déjà fait l'expérience avec
les liaisons maritimes. En septembre 2021, le, Conseil d'État
l'avait condamnée à verser 86,3 millions d'euros à Corsica Ferries,
en dédommagement d'un « subventionnement illégal » de la SNCM entre
2013 et 2017, après que la Commission européenne avait également
condamné la SNCM à rembourser 220 millions d'euros d'aides indues
entre 2007 et 2012. Ces condamnations avaient accéléré le dépôt de
bilan de la SNCM. Par ailleurs, le prix des billets d'avion pour la Corse reste un
sujet sensible, notamment pour les résidents. Malgré les
subventions, le tarif résident pour un aller-retour sur Paris est
déjà de 199,85 euros (dont 69,85 euros de taxes) et de 100, 91 euros
pour Marseille. Mais il devrait encore augmenter de 10 euros en
2024, malgré une rallonge de 33 millions d'euros accordée à l'OTC
pour faire face à l'inflation. Or, l'un des principaux arguments de
Volotea est sa capacité à pratiquer des tarifs plus doux, grâce à
des coûts plus faibles, mais aussi grâce à l'effet de taille déjà
acquis sur le marché corse. Difficile de rester totalement
insensible aux sirènes du « low-cost » en période d'inflation et de
baisse de la fréquentation touristique.
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Turkish Airlines reporte la méga commande de 600 avions alors que les problèmes de moteur pèsent
(source Air Journal) 13 août - Alors qu’on en attendait l’annonce
cet été, Turkish Airlines a reporté sa décision sur sa méga commande
prévue de 600 nouveaux avions, un couac du aux problèmes de
production de moteurs de qualité sur certains des derniers modèles
d’Airbus et de Boeing. L’accord, dont le président turc
Ahmet Bolat a déjà discuté, comprendra environ 400 avions à fuselage
étroit Airbus A320neo et Boeing 737 MAX, et environ 200 gros
porteurs Airbus A350 et Boeing 787 et 777-9. Avec 600 avions, il
pourrait s’agir de la plus grosse commande d’avions de l’histoire,
éclipsant les récentes méga-transactions d’Air India et d’IndiGo.
« Alors que nous essayons de décider quel type d’avion choisir,
nous
en sommes également à enquêter sur les types de moteurs à obtenir
ainsi que sur le type de contrat de maintenance », a déclaré le
directeur financier turc Murat Seker lors d’une conférence de presse
jeudi. « C’est la raison pour laquelle nous n’avons pas encore
annoncé de décision. » Fin juillet, RTX, la société mère de
Pratt & Whitney, a rappelé quelque 1.200 réacteurs turbofan sur les
avions de la famille A320neo. Le problème est une « condition rare
dans le métal en poudre » qui pourrait entraîner l’usure de
certaines pièces plus rapidement que prévu. Parmi les moteurs
rappelés, 200 doivent être inspectés d’ici septembre et le reste
d’ici un an. La famille d’avions A320neo est équipée de
turbosoufflantes P&W ou de moteurs CFM International LEAP-1A. Le CFM
LEAP-1B est le seul moteur proposé pour le 737 MAX. Fin juin, nous
rappelions dans nos colonnes les problèmes moteur rencontrés par des
compagnies aériennes telles que Turkish Airlines, Go First en Inde
(A320neo), Wizz Air, Air Astana, ou encore KLM Cityhopper à
Amsterdam, les A220 d’Iraqi Airways, d’airBaltic, d’Air
Tanzania et d’Air Sénégal ou EgyptAir entre autres. Il était alors
estimé que 121 Airbus de la famille A320neo étaient affectés, soit
9,8% des monocouloirs équipés de moteurs P&W. Un nombre qui ne tient
pas compte des A220 ou des Embraer… Malgré le report de sa
commande prévue, Turkish Airlines a poursuivi son expansion avec une
rapidité époustouflante au deuxième trimestre. La capacité, mesurée
en ASK, a augmenté de 14 % d’une année sur l’autre. (...) Si bien que
Turkish Airlines s’estime
faire partie « des rares transporteurs mondiaux à s’adapter
avec succès à la ‘nouvelle normalité’ et à dépasser le niveau de
capacité de 2019 de près de 25 % au premier semestre ». En fait,
elle a même relevé ses prévisions de bénéfices, s’attendant à ce que
la forte demande fasse plus que compenser l’inflation des coûts.
La compagnie de Star Alliance opère à la fois des monocouloirs
Airbus dont des neo (40 A321neo restant à lui être livrés) et des
monocouloirs Boeing (dont des 737 MAX 8 et 737 MAX 9, sans commande
en cours). Sur le long-courrier, elle dispose de 49 Airbus A330-200
et -300 et de 14 A350-900 (12 autres attendus), ainsi que de 33
Boeing 777-300ER et de 18 des 25 787-9 Dreamliner commandés.
Fin de la revue de presse
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Évolution du cours de l'action Air France-KLM depuis un
an
Deux évènements ont impacté le cours de l'action depuis
un an :
. en juin 2022 l'augmentation de capital à hauteur de 2,256
milliards d’euros . en février 2023 l'annonce des bons
résultats 2022.
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Évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 1,452 euro en clôture lundi
14 août. Elle est en baisse cette semaine de -2,39%.
Les annonces de bons résultats trimestriels par Air France-KLM puis
Lufthansa ont été contrebalancées par une augmentation des coûts
unitaires supérieure aux prévisions. Les actions des deux groupes de
transport aérien ont accusé une baisse similaire.
Elle était à 1,253 euro
le 2 janvier 2023.
La moyenne (le consensus) des analystes
à 12 mois pour l'action AF-KLM
est à 1,97 euro (elle était à 1,50 euro début janvier). L'objectif de cours le plus élevé est
à 2,45 euros, le plus bas à 1,10 euro. Je ne
prends en compte que les opinions d'analystes postérieures à
l'augmentation de capital de mai 2022.
Vous pouvez retrouver sur
mon blog le détail du consensus des analystes.
>
Évolution du prix du carburant cette semaine
Le baril de Jet Fuel en Europe est en forte hausse pour
la quatrième semaine consécutive +5$ à 127$. Il était à 94$
fin juin, à 79$
avant le déclenchement de la guerre en Ukraine.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est
stable cette semaine à 86$.
De la mi-février
2022
à fin juillet 2022, il faisait le yoyo entre 100 et 120$. Depuis, il oscille
entre 75$ et 99$.
L'écart
entre le Jet Fuel en Europe et le baril de pétrole Brent s'accroit.
Il est désormais
de 41$. En 2022, au début du conflit ukrainien, cet écart
avoisinait 50$.
Bon à savoir
>
Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Vous trouverez sur mon site
navigaction les modalités d'accès aux sites des gérants.
Pour éviter
d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants,
Natixis Interépargne, Société Générale, votre établissement financier personnel si
vous avez acheté vos actions par celui-ci.
>
Gestion des FCPE / Regroupement des actions Air France-KLM
Lorsque vous placez de l'argent dans un des fonds FCPE d'Air
France, vous obtenez des parts dans ces fonds. Vous ne détenez pas
directement d'actions.
Ce sont les conseils de surveillance,
que vous avez élus en juillet 2021 pour cinq ans, qui gèrent les fonds
et qui prennent les décisions.
Les fonds Aeroactions,
Majoractions et Concorde ne détiennent que des actions Air France.
Les fonds Horizon Épargne Actions (HEA), Horizon Épargne Mixte
(HEM), Horizon Épargne Taux (HET) gèrent des portefeuilles d'actions
diverses.
Précisions
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
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François Robardet
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