N°947, 15 janvier 2024
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La Revue de Presse du lundi
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Selon Airbus, le nombre d'avions devrait doubler en 20 ans
(source AFP) 14 juin 2023 - La croissance du trafic aérien
mondial et le remplacement par les compagnies aériennes de leurs
avions par des appareils émettant moins de CO2 devraient conduire au
doublement de la flotte mondiale dans les 20 prochaines années,
selon Airbus. Dans ses prévisions annuelles, publiées mercredi à
quelques jours de l'ouverture du Salon international de
l'aéronautique et de l'espace du Bourget, l'avionneur européen table
sur un besoin de 40.850 avions passagers et cargo neufs d'ici à
2042, portant la flotte mondiale à 46.560 appareils, contre 22.880
début 2020. Cette estimation est en légère hausse (3,4%) par rapport
à la précédente publiée avant le salon de Farnborough, en juillet
2022. Si Airbus table sur davantage d'avions neufs, il
anticipe que les appareils destinés à répondre à la croissance du
trafic aérien seront un peu moins nombreux (23.680 contre 24.050
lors des précédentes prévisions), mais que le besoin en avions
destinés à remplacer des appareils de génération précédente sera
plus important (17.170 avions, contre 15.440 auparavant). Le nombre
d'avions déjà en service et qui le seront toujours en 2042 est donc
revu à la baisse, de 7.440 à 5.710 appareils. "Nous constatons une
augmentation des livraisons, mais il s'agit davantage de livraisons
de remplacement, pour le renouvellement de la flotte et pour des
avions plus économes en carburant", a résumé Bob Lange, responsable
de l'analyse commerciale et des prévisions de marché chez Airbus.
Le secteur aérien mondial s'est engagé à la neutralité carbone
en 2050, ce qui passe notamment par des avions plus économes en
carburant, donc émettant moins de CO2. Actuellement, seul un quart
de la flotte en service concerne des avions de dernière génération,
qui consomment jusqu'à 25% de carburant de moins que la précédente.
Pour ses prévisions, établies à partir de plus de 6.000 différents
scénarios incluant notamment les prix de l'énergie, Airbus table sur
une croissance annuelle moyenne du PIB mondial de 2,5% et du trafic
aérien de 3,6%. Entre 2023 et 2042, le trafic domestique
chinois devrait être multiplié par 3,3 et les vols intérieurs
indiens par 5. Dans les marchés dits "matures", la progression sera
moindre: le trafic intérieur américain devrait être multiplié par
1,4, les vols intra-européens par 1,3. "Sans surprise, les marchés
où la société réclame davantage de retenue dans l'usage de l'avion
sont généralement les marchés les plus matures", a noté Bob Lange.
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Air France-KLM a confirmé sa méga-commande d'Airbus A350
(source Journal de l’Aviation) 12 janvier 2024 - Le groupe
Air
France-KLM a confirmé sa méga-commande d'Airbus A350 au mois de
décembre. Les compagnies Air France et KLM se partageront finalement
33 A350-900 et 11 A350-1000 pour le renouvellement de leurs flottes
d'avions long-courriers. Le groupe franco-néerlandais avait
déjà contractualisé 6 A350-900 en juillet dernier. Ces livraisons
sont programmées entre 2026 et 2030. Air France-KLM dispose
par ailleurs de droits d'achat pour une quarantaine d'Airbus A350
supplémentaires. Cette commande est évolutive et permettra au groupe
de disposer d'une certaine flexibilité pour attribuer les appareils
à ses différentes compagnies. Air France deviendra ainsi
l'un des principaux exploitants de la nouvelle famille d'avions
long-courriers d'Airbus dans les prochaines années. La compagnie
aérienne française aligne aujourd'hui 27 A350-900 et attend encore
14 appareils du même type issus de ses premières commandes, ainsi
que 4 A350F. Air France-KLM avait tranché pour la famille
A350 en septembre dernier afin de poursuivre le renouvellement et la
rationalisation de sa flotte long-courrier. Ces nouveaux appareils
viendront d'abord remplacer les 26 Airbus A330 volants actuellement
sous les couleurs d'Air France (15 A330-200) et de KLM (6 A330-200
et 5 A330-300), mais aussi les 15 Boeing 777-200ER de la compagnie
aérienne néerlandaise. Une très grande partie des 777-300ER
du groupe seront également remplacés par des A350 dans un second
temps.
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Transavia France entame sa mue pour passer des Boeing 737 aux Airbus A320
(source Les Échos) 10 janvier 2024 - Le hasard fait parfois bien
les choses. Alors que les déboires du Boeing 737 Max s'étalent dans
les médias, Transavia France célébrait, ce mercredi, la livraison de
son premier Airbus A320, destiné à remplacer progressivement ses
Boeing 737-800. De quoi conforter le choix d'Air France-KLM, qui
avait préféré, il y a deux ans, le monocouloir d'Airbus à celui de
Boeing pour renouveler la flotte de sa filiale à bas coûts.
Ce premier A320 aux couleurs de Transavia est en fait le deuxième
d'une commande de 100 appareils, assortie de 60 options, à répartir
entre Transavia France, Transavia Holland et KLM. Le 1er exemplaire
a été livré à Transavia Holland en décembre et a déjà pris du
service. Le 1er A320 de Transavia France, qui sera basé à Orly,
entrera en service lundi prochain, sur Orly/Porto, qui fut la
première desserte de la compagnie à son démarrage, en 2007.
Il est relativement rare qu'une
compagnie décide de changer intégralement d'avionneur. Avant
Transavia, seule EasyJet avait réussi une pareille mutation. Avec,
dans les deux cas, la difficulté de devoir gérer le changement de
flotte parallèlement à une croissance accélérée. Depuis 2019, la
flotte de Transavia France est en effet passée de 38 à 71 appareils,
malgré le Covid et de 7 millions à 13 millions de passagers en 2023.
Troquer des Boeing pour des Airbus va obliger Transavia France et
Transavia Holland à reformer tous ses équipages, tout en gérant une
croissance annuelle de 6 % et l'intégration de 10 à 15 nouveaux
appareils chaque année. Mais le jeu en vaut la chandelle.
Passer d'une flotte entièrement composée de Boeing 737 d'ancienne
génération, antérieurs au 737 Max, à des Airbus A320neo de dernière
génération devrait permettre de réduire les coûts de 10 %. Un
chiffre qui recouvre une moindre consommation de carburant, une
baisse des coûts de maintenance et une plus grande robustesse
opérationnelle, précise le directeur général de Transavia France,
Olivier Mazzucchelli. Les deux filiales Transavia comptent sur ces réductions de coûts
pour devenir enfin rentables et remplir l'objectif assigné par
Benjamin Smith, le patron d'Air France-KLM, de contribuer à
l'amélioration du résultat d'exploitation du groupe à hauteur de 400
millions d'euros d'ici à 2028. Le changement d'appareil se traduira
aussi par une réduction de 15 % des émissions de CO2 et de 50 % des
nuisances sonores à Orly. Le remplacement intégral des
Boeing de Transavia par des Airbus prendra toutefois du temps. Selon
Olivier Mazzucchelli, le dernier Boeing 737 de Transavia ne quittera
la flotte « qu'aux alentours de 2030 ». À l'été prochain, Transavia
France n'aura encore que six A320 à et 13 en fin d'année, contre 70
Boeing 737-800 (le modèle antérieur au Max). Les Airbus ne
deviendront majoritaires chez Transavia France que fin 2027, date à
laquelle Transavia France prévoit d'exploiter 90 appareils au total.
(...) Jusqu'à
présent, la reprise d'anciennes lignes domestiques d'Air France par
Transavia France n'a, semble-t-il, pas été un grand succès. La
compagnie a même déjà dû renoncer à certaines, comme Orly-Brest. Car
si Transavia se veut « low-cost » et bon marché, ses coûts restent
majorés par l'utilisation de pilotes d'Air France et une base
principale à Orly. Elle ne joue donc pas dans la même cour que
Ryanair ou Volotea. Et la perspective de reprendre des
liaisons à Orly sur lesquelles Air France reconnaît perdre plusieurs
dizaines de millions d'euros chaque année n'a rien d'évident pour
une compagnie dont les pertes en France et aux Pays-Bas s'élevaient
encore à 179,9 millions d'euros en 2022, pour un chiffre d'affaires
de 2,2 milliards. L'objectif pour 2023 était d'atteindre
l'équilibre. Mais les 8 % de marges visées par le groupe Air
France-KLM semblent encore bien lointaines et Transavia France aura
fort à faire pour s'imposer à Orly face à EasyJet, Vueling et les
compagnies du Maghreb.
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TAP a transporté près de 16 millions de passagers en 2023
(source AFP) 12 janvier 2024 - La compagnie aérienne portugaise
TAP, qui devrait être privatisée dans les prochains mois, a
transporté 15,9 millions de passagers en 2023, un nombre en hausse
de 15,2% sur un an mais encore inférieur à celui de 2019, avant la
crise sanitaire, a-t-elle annoncé vendredi. (...) En 2019, TAP avait transporté plus
de 17 millions de passagers. (...) TAP, qui
avait été renationalisé dans l'urgence en 2020 à la suite de la
crise du Covid-19, avait bénéficié d'une injection de 3,2 milliards
d'euros de fonds publics assortie d'un plan de restructuration
négocié avec la Commission européenne, en vigueur jusqu'en 2025.
Dans le cadre de ce plan de sauvetage, TAP avait dû réduire sa
flotte et le nombre de créneaux à l'aéroport de Lisbonne, par
rapport à 2019, rappelle la compagnie, qui a renoué avec les
bénéfices en 2022. (...)
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Bourse, aéronautique, Airbus, Boeing : bleu ciel
(source Les Échos) 14 janvier 2024 - Les malheurs des uns font le
bonheur des autres. Ce ne sont pourtant pas
les seules affres de Boeing et de Pratt & Whitney qui ont porté,
vendredi, les titres d'Airbus et de Safran à de nouveaux sommets
boursiers. Les chiffres
commerciaux de l'avionneur européen crédibilisent avant tout aux
yeux des investisseurs leur scénario privilégié de 2024, celui de la
remontée de sa rentabilité grâce à l'accélération des cadences de
production. Le dépassement de 2 % de son objectif de
livraisons annuelles, jugé très ambitieux par les analystes au début
de l'automne, les a satisfaits bien plus que la cerise sur le
cockpit d'un record de commandes, du triple du nombre d'appareils
sortis des chaînes. Battre le précédent pic de ventes, qui remontait à une décennie,
rassurera certes les portefeuilles qui s'inquiètent de la santé
financière des clients à la sortie du rebond post-Covid. L'abandon
par Delta Air Lines de son objectif de résultat 2024 leur a rappelé
la difficulté des compagnies aériennes à endiguer la dérive de leurs
coûts. La résorption des tensions dans la filière demeurera
néanmoins le principal point d'attention. Les courtiers verraient
bien Airbus dépasser le record de livraisons de 2018. C'est sans
doute la clé pour que sa capitalisation, jamais aussi proche de
celle de Boeing en quatorze mois, à 2,4 milliards d'euros près,
s'accorde à sa part du marché aéronautique, dépassant 60 %.
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La FAA resserre son étau sur Boeing
(source Journal de l’Aviation) 12 janvier 2024 - L'incident grave
survenu sur le Boeing 737-9 d'Alaska Airlines le 5 janvier était
vraiment de trop. La FAA (Federal Aviation Administration
américaine) a annoncé l'ouverture d'une enquête visant à déterminer
si Boeing a omis de vérifier que ses appareils étaient conformes à
la conception approuvée et en état de fonctionner en toute sécurité.
Elle va également augmenter sa surveillance de la production de
l'avionneur et s'interroge sur le maintien de la délégation
d'autorité. « Il est temps de réexaminer la délégation
d'autorité et d'évaluer les risques de sécurité associés », a
déclaré Mike Whitaker, administrateur de la FAA. Un audit va
ainsi être lancé pour examiner la chaîne de production du 737-9 et
ses fournisseurs et vérifier si Boeing se conforme bien aux
procédures de qualité approuvées. En fonction des résultats,
d'autres audits pourraient être organisés. Une attention
accrue va également être apportée aux événements liés à la mise en
service du 737-9. Enfin, la FAA va analyser les risques liés au
système actuel de délégation de pouvoirs et de surveillance de la
qualité, dont les fragilités ont déjà été mises en exergue après les
accidents de 2018 et 2019. « L'immobilisation du 737-9 et
les multiples problèmes liés à la production identifiés ces
dernières années nous obligent à envisager toutes les options
possibles pour réduire les risques. La FAA étudie la possibilité de
faire appel à une tierce partie indépendante pour superviser les
inspections de Boeing et son système de qualité », assène Mike Whitaker.
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Comment le C919 chinois veut profiter des malheurs de Boeing
(source La Quotidienne) 12 janvier 2024 - Le South China Morning
Post, l’un des journaux les plus influents d’Extrême-Orient, publié
à Hong Kong, rapporte que la Chine, et notamment l’avionneur Comac,
ont pris la décision de promouvoir les ventes de son avion C919 en
Europe, avant tout autre continent, à l’exception de la Chine
elle-même. Les autorités chinoises considèrent que peu de
moments de l’histoire auraient pu être mieux favorables à la vente
de cet avion, le premier comparable aux avions européens ou
américains, compte tenu de la situation d’Airbus et de Boeing,
absolument incapables aujourd’hui de répondre à la demande.
Selon eux, aujourd’hui, acheter un avion chez l’un ou l’autre des
deux constructeurs traditionnels peut signifier attendre jusqu’à
sept ans, compte tenu de la saturation de leurs usines, malgré les
efforts des deux sociétés pour accélérer les livraisons.
Mais malheureusement Comac a lui aussi un sérieux problème : jusqu’à
présent, le constructeur chinois n’a livré que quatre avions, alors
que le premier est entre les mains du client depuis un peu plus d’un
an. Dans ses prévisions les plus optimistes, il
ne
fabriquerait pas plus de cinquante avions par an en 2030, alors que
c’est le nombre minimum d’A320 que le consortium européen peut
fabriquer en un mois. Selon des données spécialisées, ce
rythme de fabrication chinoise ne pourrait même pas répondre à la
demande intérieure chinoise, même s’il existe également de nombreux
doutes quant à savoir si cette demande est réelle ou induite par
l’État, ce qui permettrait à tout acheteur occidental de contourner
ces commandes.
Revue de presse boursière
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JPMorgan abaisse son objectif de cours sur Air France-KLM à 9,20 euros
(source Agefi-Dow Jones) 10 janvier 2024 - JPMorgan a abaissé
mercredi son objectif de cours sur le titre Air France-KLM de 9,50
euros à 9,20 euros et confirmé sa recommandation "sous-pondérer",
dans la perspective de la publication des résultats annuels du
groupe de transport aérien le 29 février.
L'intermédiaire
financier a réduit ses prévisions de résultat opérationnel (Ebit) de
1% pour 2023 et de 3% pour les deux exercices suivants,
principalement en raison de coûts unitaires, hors carburant, plus
élevés.
Selon JPMorgan, la hausse de ces coûts en 2023
devrait s'établir dans le haut de sa fourchette de prévision de 0% à
5%.
JPMorgan continue de penser que la hausse des coûts
unitaires et la pression sur les prix des billets liée à
l'augmentation des capacités du groupe devraient peser sur l'Ebit en
2024. Le titre Air France-KLM perd 4,8%, à 12,71 euros.
>
Delta Airlines a fait plonger l'aérien
((source Zonebourse) 12 janvier 2024 - (…) L'action de la
compagnie aérienne Delta Airlines a chuté de 8,97% à New York après
une réduction de ses prévisions de bénéfices pour 2024, malgré des
résultats trimestriels plus forts que prévu au quatrième trimestre.
Dans son sillage, American Airlines a plongé de 9,46% et United
Airlines de 10,63%. (…)
Fin de la revue de presse
>
Évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 12,028 euros en clôture
lundi 15 janvier. Elle est en très forte baisse cette semaine de -10,41%.
Depuis début novembre, le cours de l'action Air France-KLM a monté de plus
de 20%.
Il était à 12,53 euros
le 2 janvier 2023, à 17,77 euros le 19 juin 2023.
La moyenne (le consensus) des analystes
à 12 mois pour l'action AF-KLM
est à 17,24 euros (elle était à 15,0 euros début janvier
2023). L'objectif de cours le plus élevé est
à 23,00 euros, le plus bas à 9,50 euros. Je ne
prends en compte que les opinions d'analystes postérieures à
l'augmentation de capital de mai 2022.
Vous pouvez retrouver sur
mon blog le détail du consensus des analystes.
>
Évolution du prix du carburant cette semaine
Le baril de Jet Fuel en Europe est en hausse de +2$ à 110$. Il était à 94$
fin juin, à 79$
avant le déclenchement de la guerre en Ukraine.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est
en baisse de -2$ à 77$.
De la mi-février
2022
à fin juillet 2022, il faisait le yoyo entre 100 et 120$. Depuis, il oscille
entre 75$ et 99$.
Bon à savoir
>
Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Vous trouverez sur mon site
navigaction les modalités d'accès aux sites des gérants.
Pour éviter
d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants,
Natixis Interépargne, Société Générale, votre établissement financier personnel si
vous avez acheté vos actions par celui-ci.
>
Gestion des FCPE
Lorsque vous placez de l'argent dans un des fonds FCPE d'Air
France, vous obtenez des parts dans ces fonds. Vous ne détenez pas
directement d'actions.
Ce sont les conseils de surveillance,
que vous avez élus en juillet 2021 pour cinq ans, qui gèrent les fonds
et qui prennent les décisions.
Les fonds Aeroactions,
Majoractions et Concorde ne détiennent que des actions Air France.
Les fonds Horizon Épargne Actions (HEA), Horizon Épargne Mixte
(HEM), Horizon Épargne Taux (HET) gèrent des portefeuilles d'actions
diverses.
Précisions
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux conduire ma fonction d'administrateur
du groupe Air France-KLM.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
À bientôt.
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François Robardet
ex Administrateur Air France-KLM. Vous pouvez me retrouver sur mon
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liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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