N°956, 18 mars 2024
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La Revue de Presse du lundi
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Air France va doubler les contributions volontaires SAF pour les Jeux Olympiques et Paralympiques 2024
(source Air & Cosmos) 13 mars 2024 - La souscription
volontaire à l'option "Environnement-carburants d'aviations
durables" permet l'achat de carburants d'aviation durables (ou SAF)
par la compagnie française. Pour toute réservation pour un
voyage prévu entre le 18 juillet et le 9 septembre 2024 à
destination de la France hexagonale ou de la Polynésie Française,
pour la période des Jeux Olympiques et des Jeux Paralympiques,
Air France a annoncé qu'elle allait doubler
exceptionnellement le montant de chaque souscription des
ses clients à l'option "Environnement-carburants d'aviation
durables". (…) Depuis 2022, l'option
"Environnement-carburants d'aviation durable" est disponible lors de
l'achat d'un billet d'avion Air France sur le site airfrance.fr, ou via l'application
Air France. Tous les fonds récoltés sont intégralement investis dans
l'achat de carburants d'aviation durable, également appelés SAF ("Sustainable
Aviation Fuel"). (…) En 2023, et pour la
deuxième année consécutive, le groupe Air France-KLM était
le premier utilisateur mondial de carburants d'aviation durables.
Pour réduire au plus vite son empreinte environnementale, Air France
a développé une trajectoire de décarbonation ambitieuse, visant une
réduction de 30% des émissions de CO2 par passager/kilomètre d'ici
2030, par rapport à 2019. Baptisé "Air France ACT",
ce programme repose sur plusieurs leviers comme le
renouvellement de la flotte, l'incorporation accrue de carburants
d'aviations durables, des mesures opérationnelles comme
l'éco-pilotage, le développement de l'intermodalité.
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Air France-KLM fait appel de la décision de l'UE contre l'aide française liée au coronavirus
(source ANP, traduit avec Deepl) 13 mars 2024 - Air
France-KLM fait appel d'une décision du deuxième plus haut tribunal
de l'Union européenne contre les aides d'État françaises pendant la
crise du coronavirus.
Selon le Tribunal de l'Union européenne, la Commission européenne
n'avait pas fait correctement son travail en approuvant une aide
financière à Air France en 2020 et 2021. Le groupe aéronautique
conteste désormais cette situation. (…) Les conséquences concrètes
de cette décision pour la compagnie aérienne sont toujours restées
floues. Air France-KLM a remboursé toutes les aides corona.
La compagnie aérienne à bas prix Ryanair
a déposé une plainte contre l'aide d'État. La compagnie irlandaise
estime que les prêts et garanties de crédit accordés par les
gouvernements pendant la pandémie ont donné un avantage injuste aux
compagnies aériennes nationales. Le mois dernier, le
Tribunal de l'UE a de nouveau donné raison à Ryanair. La Commission
européenne a également commis une erreur en approuvant une aide
d'État néerlandaise de 3,4 milliards d'euros à KLM, a statué le
juge.
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737 MAX : Boeing menacé par une enquête pénale potentiellement dévastatrice
(source Les Échos) 11 mars 2024 - Une enquête de plus contre
Boeing, mais qui pourrait être la plus lourde de conséquences. Après
l'enquête technique du NTSB sur la perte en vol d'un panneau de
porte d'un 737 Max d'Alaska Airlines, celle de la FAA sur le même
sujet et le rapport d'experts commandité par les parlementaires de
Washington, le ministère américain de la Justice (DoJ) a confirmé
l'ouverture d'une enquête pénale visant l'avionneur. Cette
investigation porte elle aussi sur l'évènement survenu à bord du 737
Max d'Alaska Airlines, le 5 janvier dernier . Toutefois,
contrairement à celles du NTSB et de la FAA, elle ne vise pas à
clarifier les causes de l'arrachage du panneau de porte, mais à
vérifier que cet accident ne remet pas en cause l'accord intervenu
en 2021 entre Boeing et le « DoJ » pour solder les comptes des deux
crashs de 2018 et 2019. À l'époque, Boeing avait accepté de verser pour
2,5 milliards de dollars d'amendes et d'indemnisations, dans le
cadre de la procédure américaine du « plaider-coupable », afin de
mettre fin aux poursuites judiciaires. Le groupe avait ainsi
pu éviter un procès concernant les malversations commises lors du
processus de certification du 737 Max, qui aurait duré des années.
(...) À l'époque, le groupe, aux prises avec la
crise sanitaire, était au plus mal . Ce qui explique peut-être la
mansuétude d'alors. Cependant, cet accord de 2021, qui avait
scandalisé des familles de victimes, était conditionné au respect
par Boeing d'une parfaite transparence vis-à-vis de la FAA dans ses
procédures de contrôle de la sécurité. Pourtant, cet engagement n'a
pas permis à l'avionneur d'éviter la répétition de problèmes de
malfaçons depuis 2021 et l'évènement spectaculaire survenu à bord du
Boeing d'Alaska Airlines. D'où
cette enquête du ministère de la Justice, afin de vérifier que
l'avionneur a bien respecté ses engagements en matière de suivi de
la sécurité. Ce qui n'a rien d'évident, sachant que l'enquête
technique a déjà mis en lumière une grave négligence - l'absence de
boulons de fixation après le remontage du panneau de porte à l'usine
Boeing de Renton - et que l'avionneur a lui-même reconnu ne pas être
en mesure de fournir les documents relatifs à cette intervention.
Si l'enquête répondait par la négative, Boeing risquerait gros.
La justice américaine pourrait en effet annuler l'accord de 2021,
qui avait permis au groupe d'échapper à des poursuites pénales pour
les crashs de 2018 et 2019. Avec des conséquences difficiles à
imaginer pour l'avionneur et ses dirigeants.
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La filière aéronautique face au défi de la montée en compétence des nouvelles recrues
(source La Tribune) 12 mars 2024 - Ils et elles étaient
coiffeuses, bouchers ou travaillaient à la chaîne pour le secteur
agroalimentaire et ont été propulsés en quelques mois dans
l'industrie aéronautique pour participer à l'importante remontée des
cadences insufflée par Airbus. Après un record absolu de
commandes d'avions en 2023 et un carnet global de 8.000 appareils,
soit onze années de production, l'avionneur européen doit
considérablement augmenter ses cadences. Le groupe vise des niveaux
de production jamais connus dans l'industrie aéronautique avec sur
le programme A320, avec une cible de 75 avions par mois en 2026.
Pour y parvenir, la filière aéronautique, qui a déjà réalisé un
objectif dantesque de 25.000 recrutements en 2023, prévoit à nouveau
entre 20.000 et 25.000 embauches en France en 2024 d'après le Gifas.
Pour sa part, Airbus avait annoncé début 2023 un plan de 13.000
recrutements à travers le monde, dont 7.000 créations nettes
d'emplois. Mais au final, le groupe a embauché au-delà de ses
prévisions pour atteindre 13.000 créations nettes l'an passé.
« Pour 2024, nous devrions recruter la moitié de ce que nous avons
fait l'année dernière d'après des estimations prudentes », a précisé
Guillaume Faury, le patron du groupe, mi-février lors de la
présentation des résultats annuels. (...)
Pour étoffer ses effectifs, le groupe doit élargir son vivier
traditionnel de candidats et n'hésite plus à faire à appel à des
profils n'ayant jamais travaillé dans l'industrie aéronautique. À
condition bien sûr de passer avec succès les tests d'habileté
présentés par le groupe. Après une formation de six mois environ
(dont quatre mois de théorie et deux mois en entreprise) via
l'obtention d'un certificat de qualification paritaire de la
métallurgie (CQPM), les nouvelles recrues sont prêtes à rejoindre
les rangs de l'industriel. 900 personnes ont ainsi été formées
l'année dernière au sein d'Airbus Opérations à Toulouse.
« La montée en compétence est un vrai challenge, ajoute Jean-Luc Rouy. À l'issue de leur formation, ces nouvelles recrues vont
continuer leur apprentissage en étant accompagnées sur les postes de
travail avec le soutien de leur tuteur. Une personne très éloignée
de nos métiers mettra forcément un peu plus de temps pour obtenir
toutes les qualifications délivrées par nos services qualité.
L'enjeu est de nous assurer à la fois de l'acquisition des
compétences techniques comme de la culture aéronautique. »
Cette montée en compétence préoccupe aussi de près l'imposante
chaîne de fournisseurs de l'avionneur. (...) Pour
atteindre ces niveaux d'excellence escomptés par l'aéronautique,
Mecachrome, fabricant de pièces aéronautiques pour Airbus et Safran,
n'hésite pas à prodiguer des piqûres de rappel en cas de lacunes des
nouvelles recrues à l'issue de l'obtention de leur certificat.
(...)
Mecachrome n'est pas inquiet outre mesure sur le
maintien de cette qualité de production. (...) Au-delà des compétences
techniques, ces nouvelles recrues doivent acquérir les standards de
sécurité du secteur. (...)
Alors que le principal rival d'Airbus accumule les déconvenues
depuis quelques mois, (le rapport d'enquête préliminaire de l'Agence
de sécurité des transports (NTSB) a notamment révélé qu'il manquait
les boulons censés bloquer la porte du 737 MAX qui s'est détachée en
plein vol en janvier dernier), Guillaume Faury a martelé lors des
résultats du groupe que « la quantité d'avions à livrer ne peut pas
être réalisée au détriment de la qualité, car le rôle d'Airbus est
de délivrer un mode de transport sûr ». Le patron de l'avionneur
européen a ajouté qu' «il ne suffit pas d'apprendre le job, il faut
aussi enseigner la manière dont nous faisons du business au sein
d'Airbus, mais aussi notre culture d'entreprise. » (...)
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Aéronautique : la Chine, nouvel eldorado de la formation des pilotes
(source Le Monde) 12 mars 2024 - L’Association du transport
aérien international a évalué les besoins des compagnies aériennes
du monde entier à 600.000 pilotes d’ici à 2042. Un chiffre corroboré
par les dernières prévisions d’Airbus, publiées à l’été 2023 :
la
flotte mondiale va doubler en l’espace de deux décennies, pour
atteindre 46.560 appareils. Cela représente une aubaine
pour le français Simaero. Le spécialiste de la formation des
navigants, (...) devait inaugurer,
mardi 12 mars, son premier centre à proximité de l’aéroport
international de Changsha-Huanghua, dans le Hunan, une province du
sud de la Chine. Montant de l’investissement : plus de 70 millions
d’euros. « Jusqu’ici le marché numéro un, c’était les
États-Unis, mais la Chine va passer devant au cours des vingt
prochaines années », prédit Nicolas Mouté, le PDG de l’entreprise,
qui réalise environ 30 millions d’euros de chiffre d’affaires. Le
trafic aérien « va tripler [dans le pays] », estime-t-il. Pour
accompagner au mieux cette croissance, l’industrie aura besoin de
140.000 pilotes de ligne supplémentaires. Au niveau mondial, le marché de la formation des pilotes est
estimé à plus de 5 milliards d’euros. Il faut dire que cela coûte
cher. Selon Air France, la formation dite « ab initio » d’un cadet
revient à près de 100.000 euros à la compagnie. Outre l’obtention du
brevet, les navigants doivent également apprendre à piloter chaque
appareil. Une qualification qui revient
« en moyenne à 20.000 euros », explique M. Mouté, et qui « doit être renouvelée à chaque
fois que l’on change de type d’appareil ». (...). Les pilotes sont aussi tenus,
d’un point de vue réglementaire, d’effectuer « seize heures de
simulateur tous les ans », souligne le patron de Simaero. Ce qui
coûte 10.000 euros par équipage. (...). Seules 90
compagnies aériennes sur près de 1.600 dans le monde possèdent leur
centre de formation avec simulateur. Dans le Hunan, Simaero
installe des machines pour A320, le moyen-courrier le plus vendu,
avec 70 % de part de marché. (...) « Le gros défi de la Chine
sera de vendre le C919 à l’étranger », prévient-il, avant
d’expliquer être déjà en discussion « pour avoir, à terme, des
simulateurs pour C919 hors de Chine ».
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Le nouvel exploitant de l'aéroport de Beauvais bientôt connu, « c'est le pire qui arrive ! »
(source Actu) 14 mars 2024 - « Il faut arrêter cette folie »,
« une zone aéromortuaire ». Des riverains ont une nouvelle fois
clamé leur colère contre le projet d’extension de l’aéroport de
Beauvais (Oise). Ce mercredi 13 mars 2024, environ 150 personnes se
sont rassemblées devant la Préfecture pour, de nouveau, réclamer un
plafonnement des vols. Un timing qui n’a pas été choisi au
hasard par les associations organisatrices (ADERA, Sauvez le
Beauvaisis, ACNAT). D’ici quelques semaines, le nouvel exploitant de
l’aéroport de Beauvais devrait officiellement être dévoilé, pour
développer l’activité du site de Tillé lors des 30 prochaines
années. À ce jour, il ne resterait que deux candidats dans
la course au 10e aéroport de France : un consortium autour de
Bouygues et un autre autour de la chambre de commerce et d’industrie
de l’Oise et de Transdev. Vinci Airports et le groupe italien Save
auraient jeté l’éponge. Ce sera au SMABT (Syndicat mixte de
l’aéroport de Beauvais-Tillé), le propriétaire, de trancher.
(...) Ce qui fait
surtout grincer des dents les réfractaires à cette extension, c’est
le projet de doublement du trafic aérien, et la possible arrivée à 8
millions de passagers par an à Beauvais (contre environ 4 millions
actuellement). Mais aussi la création d’un taxiway. « Nous voulons
leur dire stop, l’aéroport est déjà assez grand pour notre
territoire », poursuit-elle. Dans le même temps, des associations se battent
aussi pour un plafonnement à l’aéroport de Roissy. « S’ils
l’obtiennent, le seul aéroport non plafonné de Paris sera
Beauvais », crie Dominique Lazarski, présidente de
l'ADERA. « C’est le pire qui arrive
aujourd’hui ! Nous ne pourrons pas supporter une telle pollution
sonore et de l’air ». Plusieurs élus ont appuyé la manifestation organisée ce
mercredi. Dont Gilles Mettai, conseiller régional (Les Ecologistes).
« La réalité, c’est qu’il n’y a jamais un touriste à Beauvais. Avec
un doublement du trafic, on aura le double de nuisances mais pas
plus de touristes », clame-t-il. « L’aéroport de Beauvais devient un
aéroport de délestage du Grand Paris ». (...) Un plan de gêne sonore et une étude d’impact
seront menés cette année. « On veut que des vraies solutions et que
le plafonnement de l’aéroport soient étudiés », clame la présidente
de l’ADERA. « On s’adresse aux élus, à la Préfète de l’Oise et aux
ministres, ce sont eux qui sont chargés de protéger la population ».
Revue de presse boursière
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Air France-KLM: objectif de cours abaissé chez Oddo BHF
(source Cercle Finance) 11 mars 2024 - Oddo BHF réitère son
opinion 'sous-performance' sur Air France-KLM avec un objectif de
cours abaissé de 11,5 à 10,5 euros, considérant que si la demande
demeure solide, les coûts unitaires seront encore sous pressions en
2024. Selon l'analyste, 'les progrès sont tangibles, mais le
bénéfice des initiatives sera concentré sur la fin de période et la
pression sur le cash à court terme est significative (FCF ajusté de
-1,3 milliard d'euros en 2024, -0,8 milliard en 2025 et -0,3
milliard en 2026)'. (...)
Fin de la revue de presse
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Évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 9,63 euros en clôture
vendredi 15 mars. Elle est en légère baisse cette semaine de
-0,89%.
Depuis
le début de l'année, suite à l'annonce de résultats mitigés pour
le quatrième trimestre 2023, le cours de l'action Air France-KLM a perdu
30%.
Il était à 12,53 euros
le 2 janvier 2023, à 17,77 euros le 19 juin 2023.
La moyenne (le consensus) des analystes
à 12 mois pour l'action AF-KLM
est à 16,15 euros (elle était à 15,0 euros début janvier
2023). L'objectif de cours le plus élevé est
à 23,00 euros, le plus bas à 9,50 euros. Je ne
prends en compte que les opinions d'analystes postérieures à
l'augmentation de capital de mai 2022.
Vous pouvez retrouver sur
mon blog le détail du consensus des analystes.
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Évolution du prix du carburant cette semaine
Le baril de Jet Fuel en Europe est en hausse de +5$ à 110$. Il était à 94$
fin juin, à 79$
avant le déclenchement de la guerre en Ukraine.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est
en hausse de +3$ à 85$.
De la mi-février
2022
à fin juillet 2022, il faisait le yoyo entre 100 et 120$. Depuis, il oscille
entre 75$ et 99$.
Bon à savoir
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Conseils pour les salariés et anciens salariés actionnaires
Vous trouverez sur mon site
navigaction les modalités d'accès aux sites des gérants.
Pour éviter
d'oublier de changer vos coordonnées à chaque changement d'adresse
postale,
je vous conseille de renseigner une adresse mail personnelle. Elle
servira pour toute correspondance avec les organismes de gestion.
Gardez en un même endroit tous les documents afférant à vos actions
Air France-KLM : tous vos courriers reçus des différents gérants,
Natixis Interépargne, Société Générale, votre établissement financier personnel si
vous avez acheté vos actions par celui-ci.
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Gestion des FCPE
Lorsque vous placez de l'argent dans un des fonds FCPE d'Air
France, vous obtenez des parts dans ces fonds. Vous ne détenez pas
directement d'actions.
Ce sont les conseils de surveillance,
que vous avez élus en juillet 2021 pour cinq ans, qui gèrent les fonds
et qui prennent les décisions.
Les fonds Aeroactions,
Majoractions et Concorde ne détiennent que des actions Air France.
Les fonds Horizon Épargne Actions (HEA), Horizon Épargne Mixte
(HEM), Horizon Épargne Taux (HET) gèrent des portefeuilles d'actions
diverses.
Précisions
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux vous informer.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
À bientôt.
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François Robardet
Représentant des salariés et anciens salariés
PS et PNC actionnaires d'Air France-KLM. Vous pouvez me retrouver sur mon
compte twitter @FrRobardet
Lors de mon élection, j'ai reçu le soutien de la
CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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