N°965, 20 mai 2024
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Éditorial
La Revue de Presse du lundi
>
Air France-KLM place 650 Millions d'euros d'obligations
(source Boursier com) 14 mai 2024 - Air France-KLM a placé avec
succès, ce 14 mai, 650 millions d'euros d'obligations ayant une
maturité de 5 ans et un coupon de 4,625% (Obligations Nouvelles)
dans le cadre du programme Euro Medium Term Note de la Société. Ces
obligations devraient être notées 'BBB-' par Fitch et 'BB+' par S&P.
La demande des investisseurs a été forte, avec un livre
d'ordres de plus de 2,8 milliards d'euros couvrant près de 4,3x le
montant des obligations émises. Elle témoigne de la confiance des
investisseurs envers Air France-KLM. (...) Le produit des
obligations nouvelles sera utilisé pour refinancer une partie de la
dette existante de la société par le rachat, en tout ou partie, des
obligations existantes et pour les besoins généraux de la société.
(...)
>
Transavia France compte recruter 600 personnes en 2024
(source Journal de l'Aviation) 16 mai 2024 - Alors qu'elle
travaille à faire croître sa flotte de dix appareils cette année,
Transavia France va avoir besoin de davantage de personnel pour
fonctionner. La filiale low-cost d'Air France annonce ainsi qu'elle
compte recruter près de 600 collaborateurs cette année. Dans
le détail, plus de cent postes sont ouverts au sol, dans plusieurs
services, notamment la maintenance, le revenue management ou
l'informatique. Une centaine de postes sont proposés en CDI,
auxquels s'ajoutent une trentaine d'offres en alternance et une
autre trentaine en stage. Transavia recherche également 150
pilotes, qu'elle recrutera à travers la filière de recrutement d'Air
France. Enfin, depuis le début de l'année, plus de 300
stewards et hôtesses de l'air ont déjà été intégrés, dont 180 en
alternance.
>
Turkish Airlines NDC : surcharge GDS dès le 1er octobre 2024, lancement de sa plateforme NDC TKCONNECT
(source TourMag) 17 mai 2024 - Turkish Airlines lancera le 1er
octobre 2024 une nouvelle plateforme de distribution NDC (New
Distribution Capability) baptisée TKCONNECT. Comme
l'explique un communiqué de presse, elle permettra "aux agents de
voyage de bénéficier d'un contenu et de services exclusifs",
notamment "une tarification différenciée des billets, des tarifs
promotionnels réservés via la NDC, un contenu riche accompagné de
visuels et de descriptions, des services annexes améliorés et
spécifiques tels que les excédents bagages, la sélection de sièges
et des équipements spéciaux". TKCONNECT sera proposé en 3
versions. D'une part, les partenaires pourront se connecter à
TKCONNECT Direct, une API NDC "certifiée par IATA". D'autre
part, les distributeurs pourront accéder à l'offre TKCONNECT via
Aggregator. Enfin, ils pourront se connecter sur le web au portail
TKCONNECT user interface. (...) Les agences qui ne sont pas encore
partenaires de TKCONNECT peuvent conserver leur configuration
actuelle pour accéder à l'ancien contenu de Turkish Airlines par le
biais des systèmes de distribution mondiaux (GDS).
Cependant, à partir du 1er octobre 2024, "les réservations
effectuées via le GDS seront soumises à des frais de distribution et
les produits différenciés à contenu riche ne seront disponibles que
pour les utilisateurs de TKCONNECT."
>
Lufthansa propose un compromis sur les vols court-courriers pour l'accord avec ITA, selon des sources
(source Reuters) 16 mai 2024 - Lufthansa a proposé de conserver
certaines liaisons court-courrier concurrentes d'ITA afin d'obtenir
l'approbation antitrust de l'UE pour son offre de prise de
participation dans la compagnie aérienne italienne, ont déclaré
jeudi des personnes ayant une connaissance directe de l'affaire.
Cette offre fait partie d'un ensemble de mesures correctives
soumises la semaine dernière aux autorités européennes chargées de
l'application des règles de concurrence afin de dissiper les
craintes que l'opération ne réduise la concurrence sur les liaisons
court et long-courriers reliant l'Italie à d'autres pays et la
position dominante d'ITA à l'aéroport de Milan Linate. (...) Un porte-parole
de Lufthansa s'est refusé à tout commentaire. La compagnie
aérienne allemande est également prête à accepter des accords
d'interligne avec ses rivales, selon les sources. Ces accords
permettent aux compagnies aériennes de prendre en charge les
passagers voyageant sur des itinéraires nécessitant plusieurs vols
sur plusieurs transporteurs. Pour répondre aux
préoccupations de l'UE concernant les liaisons long-courriers,
le
transporteur allemand a déclaré qu'il n'intégrerait pas ITA dans son
entreprise commune avec United Airlines et Air Canada, ont indiqué
les sources, ajoutant qu'ITA fonctionnerait de manière indépendante
pendant deux ans. Lufthansa a également proposé de céder 40
créneaux horaires de l'aéroport de Milan Linate à easyJet et
Volotea.
La Commission européenne, qui devrait se prononcer sur
l'accord d'ici le 4 juillet, demande aux rivaux, aux organisations
de consommateurs et de voyageurs ainsi qu'aux groupes de pilotes de
lui faire part de leurs réactions. Ils ont jusqu'au 19 mai pour
répondre.
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Ryanair ferme sa base de Bordeaux
(source Les Échos) 14 mai 2024 - Le bras de fer entre Ryanair et
l'aéroport de Bordeaux durait depuis des semaines. Il s'est soldé
mardi après midi par la publication d'un communiqué au ton très sec
de la compagnie irlandaise annonçant la fermeture de sa base et le
départ de ses trois avions à partir du mois de novembre 2024.
« Nous sommes déçus que l'aéroport de Bordeaux n'ait pas accepté
l'extension de notre base low-cost à partir de novembre 2024 »,
explique la compagnie qui invoque « une augmentation des coûts » et
n'avoir « pas d'autre alternative financière » que de fermer la base
bordelaise et de relocaliser les trois avions et les emplois « dans
des bases moins coûteuses », ailleurs en Europe.
L'aéroport
ne dément pas une hausse des coûts, mais invoque d'abord un
différend commercial. « Nous ne souhaitions pas ce départ, mais
avons mis des limites aux exigences, notamment sur le plan
commercial, à la compagnie qui n'a pas apprécié », se borne-t-on à
déclarer en interne avant d'ajouter : « Nous restons tout de même
l'un des aéroports français les plus compétitifs. » Autres
bases attrayantes Si l'aéroport reste droit dans ses bottes,
c'est un coup dur pour la ville puisque la compagnie à bas coût
annonce également « la perte de 40 lignes Ryanair au départ et à
destination de Bordeaux », ainsi que la perte de 90 emplois de
personnel navigant et d'ingénieurs. Ryanair annonçant déjà que des
discussions sont menées avec le personnel afin de leur trouver des
« postes similaires dans d'autres bases attrayantes de Ryanair à
travers l'Europe à partir de novembre 2024. » Présente
depuis quatorze ans, la compagnie irlandaise a transporté l'an
dernier 1,7 million de passagers soit le quart du trafic derrière
easyJet et Air France mais devant Volotea. L'aéroport qui a vécu une
croissance très importante de son trafic à bas coût qui représente
désormais 70 % des passagers est désormais déterminé à rétablir un
certain équilibre en ramenant celui-ci à 60 % en « encourageant
l'essor des compagnies premium », notamment Air France, Lufthansa,
Turkish Airlines ou KLM. Pour autant la messe est-elle
dite ? Si la décision de Ryanair de fermer sa base permanente semble
irrévocable, les collectivités et la CCI actionnaires de l'aéroport
semblent s'activer en coulisse afin peut-être de l'inciter à
préserver les lignes. « Ryanair ne part pas de Bordeaux », assure un
bon connaisseur du dossier qui parie sur « un épilogue allant dans
le bon sens ».
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Ces commentaires et ce départ inattendu qui font chuter EasyJet en Bourse
(source Les Échos) 16 mai 2024 - Qu’EasyJet ait publié une perte
avant impôts de 350 millions de livres (408 millions d'euros) au
premier semestre n’est pas une surprise, le transporteur avait guidé
les anticipations du marché à la mi-avril en indiquant qu’il
accuserait un déficit de 340 à 360 millions. Qu’EasyJet livre des
prévisions pour l’été – qui correspond au quatrième trimestre de son
exercice fiscal - plus frileuses l’est davantage.
En sanctionnant le
titre de la compagnie aérienne à bas coûts d’une chute de 7,8% ce
jeudi, la plus importante en sept mois, le marché a clairement
exprimé son mécontentement.
« Les commentaires sur les revenus
unitaires du quatrième trimestre pourraient décevoir », relève
Gerald Khoo, analyste chez Liberum. Alors qu’il tablait sur des
revenus « bien en avance », la direction d’EasyJet, par la voix de
son directeur général Johan Lundgren, s’attend désormais à ce qu’ils
soient « légèrement en hausse ». Un degré de certitude en
moins qui coûte cher en Bourse. D’autant plus cher que, à ce jour,
seul 39% du programme d’été a été écoulé. « Il y a encore trop de
capacité sur le marché », a déclaré le dirigeant lors d’une
interview accordée à Bloomberg TV. Ces commentaires interviennent
après que le PDG du rival Ryanair, Michael O'Leary, a indiqué
s’attendre à des prix plus bas qu’il ne l’avait espéré cet été.
Si
EasyJet a réussi à concurrencer les compagnies nationales comme
British Airways, certains observateurs s’interrogent sur son
potentiel de croissance dans un marché mature où de plus en plus
d’aéroports limitent le nombre de spots disponibles. « À la grande
frustration de certains investisseurs, Johan Lundgren a refusé
d'abandonner sa stratégie pendant la pandémie et de s'attaquer à
Ryanair et Wizz Air pour conquérir des parts de marché dans de
nouveaux pays pendant les perturbations qui ont touché l'ensemble du
secteur », relève un article du FT. Il a préféré se concentrer sur
son offre de forfaits de voyages, EasyJet Holidays, qui a connu, il
faut bien l’admettre, une croissance fulgurante et a généré un quart
des bénéfices avant impôts au cours de son dernier exercice
financier. Continuité Est-ce cette tactique qui coûte
aujourd’hui sa place à Johan Lundgren ? Après sept ans à la tête
d’EasyJet, le dirigeant de 57 ans, qui a piloté la compagnie pendant
les turbulences de la Covid-19, quittera le groupe au 1er janvier
2025. Le changement s’inscrivant dans la continuité, c’est en
interne que son successeur a été trouvé, en la personne de l’actuel
directeur financier Kenton Jarvis. Ce dernier a rejoint EasyJet en
2021, après avoir dirigé les activités aériennes de la société de
voyage TUI.
« Bien que cela soit courant aux États-Unis, les
directeurs financiers qui accèdent au poste de PDG sont moins
fréquents dans les compagnies aériennes européennes, notent les
analystes de Bernstein. À notre avis, Kenton Jarvis devrait être
considéré comme représentant la continuité de la stratégie
existante. » (...)
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"Ressaisissez-vous": les patrons d'Emirates et de Lufthansa se plaignent des retards de Boeing
(source BFMTV) 13 mai 2024 - La production de l'avionneur
américain s'effondre à cause des multiples enquêtes du régulateur à
la suite des différents incidents qui ont touché ses appareils.
Les grands clients de Boeing perdent patience. Et font état de leur
frustration face aux nombreux retards de livraison d'appareils neufs
alors que le trafic ne cesse de progresser. Des retards
"extrêmement ennuyeux" juge le directeur général de Lufthansa,
Carsten Spohr, interrogé par le journal suisse Neue Zuercher
Zeitung. "Tout le monde a intérêt à ce que Boeing soit
bientôt en mesure de construire à nouveau de grands avions de
manière plus fiable", a-t-il expliqué. "Pas satisfaits"
Cheikh Ahmed ben Saeed Al Maktoum, président et PDG d’Emirates,
le
plus gros client de Boeing, est moins diplomate. "La
direction a promis de changer les choses et de faire en sorte que
les choses aillent plus vite, je l’espère", explique-t-il.
(...) Des conséquences sur les plans de vols
estivaux Alors que la demande en voyages aériens devrait être
très forte pour les vacances, et que le nombre de voyageurs dans le
monde devrait atteindre des niveaux historiques, avec 4,7 milliards
de personnes attendues en 2024, contre 4,5 milliards en 2019,
le
secteur est actuellement confronté à un manque d'avions neufs.
(...) De quoi forcer certaines compagnies,
notamment les plus dépendantes à Boeing, à revoir leurs plans de
vols voire à réduire les capacités proposées même si elles ont des
leviers pour compenser ces livraisons manquantes (en louant des
appareils notamment). Chez Ryanair par exemple, 17 appareils
Boeing manquent à l'appel cet été (40 au lieu de 57), des
"ajustements" devront donc être opérés en juillet et en août sur une
dizaine de lignes, prévient la compagnie low-cost. Ce qui veut dire
moins de fréquence sur certaines destinations.
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Kérosène vert : comment Bruxelles espère alléger la facture des compagnies aériennes européennes
(source Les Échos) 16 mai 2024 - Après le bâton, la carotte ?
Huit mois après le vote du règlement Refuel EU, qui va obliger les
compagnies aériennes européennes à acheter une part croissante de
carburants d'origine non-fossile sous peine d'amendes, l'heure est
désormais aux mesures d'accompagnement, afin d'atténuer l'impact de
cette réglementation unique au monde sur la compétitivité du
secteur. Des mesures de soutien réclamées avec insistance
par toutes les compagnies européennes. Ces dernières
ont non
seulement du mal à se procurer les quantités de CAD (carburant
d'aviation durables) nécessaires pour satisfaire à leurs obligations
légales, mais elles doivent aussi le payer beaucoup plus cher que
leurs concurrentes américaines, qui bénéficient d'incitations
fiscales pour l'achat de carburants « verts ». Pour l'heure, aucune
des mesures envisagées ne semble toutefois en mesure de rétablir
l'équilibre concurrentiel. Des ETS gratuits L'initiative
la plus aboutie, pour l'heure, est le lancement, en début d'année
d'un dispositif européen permettant aux compagnies de compenser tout
ou partie de l'écart de prix entre le kérosène et les carburants
« verts ». Il permettrait aux compagnies qui en feront la demande
d'obtenir des quotas d'émissions de CO2 (les ETS européens) gratuits
pour leurs vols intra-européens, représentant 70 % à 100 % de
l'écart de prix entre le kérosène fossile et les carburants
« verts », aujourd'hui trois à cinq fois plus chers. Depuis 2013,
les compagnies aériennes sont soumises à des quotas CO2 de plus en
plus chers. Entré en vigueur le 1er janvier dernier, ce
dispositif est doté d'une enveloppe de 20 millions d'ETS, d'une
valeur totale d'environ 1,6 milliard d'euros au cours actuel de la
tonne de CO2. Toute compagnie opérant des vols intra-européens
soumis au système des quotas d'émissions peut en bénéficier, sur la
base du « premier arrivé, premier servi ». Mais son efficacité reste
encore à démontrer. Car jusqu'à présent, aucune compagnie n'a
formulé de demande, reconnaît-on de source bruxelloise. (...) Du côté
des compagnies aériennes, tout en saluant cette première initiative
européenne, on souligne toutefois les limites et la complexité du
dispositif. Premier reproche : il ne peut bénéficier qu'aux
compagnies opérant des vols intra-européens. Ce qui, dans le cas de
la France, exclut du dispositif les principaux concurrents français
d'Air France opérant sur long-courrier. Il est aussi limité dans le
temps, jusqu'en 2030 dans le meilleur des cas, si l'enveloppe de 20
millions d'ETS n'est pas consommée avant. Un réexamen est prévu en
2028. (...) Mais quel que soit le succès de ce système,
l'enveloppe prévue
sera très loin de couvrir la totalité des surcoûts liés aux CAD.
Rien que pour Air France, l'incorporation de 1 % de CAD en 2023
représentait déjà une dépense supplémentaire de 100 millions
d'euros, et le surcoût devrait atteindre le milliard d'euros en
2030, pour 10 % de CAD. Les CAD plus chers en France Par
ailleurs, l'Union européenne ne fera que redistribuer une partie de
la hausse des recettes d'ETS, dont le coût devrait doubler d'ici à
2030 avec la suppression progressive des quotas gratuits attribués
jusqu'alors. Pour Air France, la facture des ETS passera ainsi de
100 millions d'euros en 2023 à 500 millions en 2030. Pour
les compagnies françaises, le surcoût est plus important
qu'ailleurs, du fait de l'application aux CAD de la taxe censée
inciter à l'utilisation d'énergies renouvelables (la TIRUERT), qui
fixe une pénalité (...) si l'objectif
d'incorporation fixé par la loi n'est pas atteint. Résultat, faute
de production suffisante en France, cette taxe est venue grossir
d'environ 30 % le coût des CAD dans l'Hexagone.
Fin de la revue de presse
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Évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à 10,560 euros en clôture
vendredi 17 mai. Elle est en hausse cette semaine de
+0,38%.
Comme d'autres entreprises du secteur de l'aérien,
Air France KLM a dû faire face à des perturbations de vols en raison
des attaques de l'Iran contre Israël.
Il était à 12,53 euros
le 2 janvier 2023, à 17,77 euros le 19 juin 2023.
La moyenne (le consensus) des analystes
à 12 mois pour l'action AF-KLM
est à 15,09 euros (elle était à 15,0 euros début janvier
2023). L'objectif de cours le plus élevé est à 23,00 euros, le plus
bas à 9 euros. Je ne
prends en compte que les opinions d'analystes postérieures à
l'augmentation de capital de mai 2022.
Vous pouvez retrouver sur
mon blog le
détail du consensus des analystes.
>
Évolution du prix du carburant cette semaine
Le baril de Jet Fuel en Europe est stable à 104$. Il était à 94$
fin juin, à 79$
avant le déclenchement de la guerre en Ukraine.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est
en hausse de +1$ à 84$.
De la mi-février
2022
à fin juillet 2022, il faisait le yoyo entre 100 et 120$. Depuis, il oscille
entre 75$ et 99$.
>
Gestion des FCPE
Lorsque vous placez de l'argent dans un des fonds FCPE d'Air
France, vous obtenez des parts dans ces fonds. Vous ne détenez pas
directement d'actions.
Ce sont les conseils de surveillance,
que vous avez élus en juillet 2021 pour cinq ans, qui gèrent les fonds
et qui prennent les décisions.
Les fonds Aeroactions,
Majoractions et Concorde ne détiennent que des actions Air France.
Les fonds Horizon Épargne Actions (HEA), Horizon Épargne Mixte
(HEM), Horizon Épargne Taux (HET) gèrent des portefeuilles d'actions
diverses.
Précisions
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux vous informer.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
À bientôt.
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François Robardet
Représentait les salariés et anciens salariés
PS et PNC actionnaires d'Air France-KLM. Vous pouvez me retrouver sur mon
compte twitter @FrRobardet
Lors de mon élection, j'ai reçu le soutien de la
CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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