N°983, 23 septembre 2024
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Éditorial
La Revue de Presse du lundi
>
Fini les repas gratuits ? Air France lance un test de restauration payante en 2025
(source Le Figaro) 19 septembre 2024 - Air France amorce un
tournant décisif dans ses services à bord. À partir de janvier 2025,
la compagnie nationale lancera un test de restauration payante, ou «Buy
on Board» (BoB), sur deux de ses lignes court et moyen-courriers :
Paris-Charles de Gaulle vers Helsinki et Lisbonne. Exit les
sandwichs et pâtisseries offerts avec un café ou une boisson
gazeuse ? La compagnie prévoit de tester début 2025, sur ces vols en
classe Economy, une évolution de son offre de restauration composée
d'une offre gratuite et de produits complémentaires payants. Les
passagers auront toujours droit avec leur boisson à une petite
douceur salée ou sucrée (type biscuit). Le reste du menu sera à la
carte… et payant. Cette initiative confirmée au Figaro par
la compagnie, qui fait grincer quelques dents parmi les habitués,
n'est pourtant pas nouvelle dans le ciel européen. C'est Ryanair
qui, dans les années 1990, a ouvert la voie avec ce modèle,
permettant à ses passagers de n'acheter que ce qu'ils consomment,
tout en abaissant le prix de base des billets. Aujourd'hui, Air
France suit cette tendance, confrontée à une concurrence accrue,
notamment des compagnies low-cost. Une offre sur mesure,
dictée par le marché La restauration payante à bord, déjà
répandue chez d'autres compagnies classiques (en Europe, Lufthansa
et British Airways sont déjà sur ce modèle depuis longtemps, NDLR),
n'est qu'une pièce supplémentaire dans le puzzle complexe des offres
tarifaires actuelles. «Air France étudie en permanence les
opportunités de faire évoluer son offre, afin de répondre au mieux
aux attentes de ses clients, en adéquation avec l'évolution du
marché, a précisé la compagnie au Figaro. En clair, il s'agit de
proposer une expérience de vol plus personnalisée, tout en
conservant une offre gratuite minimale. Rassurez-vous, pour
les passagers de la classe Business, rien ne change. «Les clients
continueront de recevoir une prestation complète composée d'un
plateau froid signé par un Chef, accompagné de boissons chaudes,
froides et d'une sélection de vins et champagne.» Air France tient à
souligner sa volonté de maintenir un service de haute qualité pour
cette clientèle premium. Ce test, limité dans un premier
temps à deux routes, pourrait s'étendre si les résultats sont jugés
positifs. La démarche d'Air France n'est pas isolée : sa sœur
néerlandaise, KLM, adoptera intégralement le modèle «Buy on Board»
dès 2025. Les défenseurs de cette approche mettent en avant les
économies générées pour la compagnie, qui pourraient se traduire par
des billets à prix plus compétitifs. D'autres craignent au contraire
une baisse de la qualité du service à bord, et redoutent que cette
formule n'entraîne notamment des temps d'attente plus longs pour les
passagers souhaitant se restaurer. En s'alignant sur cette
tendance, Air France tente de s'adapter aux nouvelles règles du
marché aérien, où la flexibilité et l'optimisation des coûts
deviennent des facteurs décisifs. La compagnie cherche ainsi à
trouver le juste équilibre entre compétitivité et qualité de
service. Reste à savoir comment ses passagers réagiront à cette
évolution.
>
SAS construit un hub mondial à Copenhague
(source Air Journal) 18 septembre 2024 - SAS Scandinavian annonce
une vaste expansion au départ de Copenhague à partir du programme de
trafic d’été pour 2025, positionnant le hub principal comme une
porte d’entrée internationale clé vers et depuis la Scandinavie et
l’Europe du Nord. SAS présente aujourd’hui 15 nouvelles
lignes au départ de Copenhague, dont une nouvelle ligne
long-courrier vers Seattle. L’ajout de plusieurs nouveaux vols
directs au départ de Copenhague vers des destinations européennes et
intercontinentales populaires favorisera la croissance de SAS et de
toute la Scandinavie en tant que plaque tournante mondiale. Les
nouvelles lignes introduites dans le programme d’été sont Cracovie,
Madrid, Budapest, Lyon, Valence, Malte, Bucarest, Milan Linate,
Séville, Turku, Billund, Kristiansand, Harstad/Narvik et Bodø. Elle
a enfin annoncé une nouvelle ligne depuis Copenhague vers Seattle à
partir de mai prochain. De plus, la fréquence de 15 des
lignes existantes sera augmentée. (...) Avec son entrée
récente dans SkyTeam, SAS se concentre sur sa portée mondiale et
continuera à développer Copenhague comme sa principale plaque
tournante pour les voyages internationaux. (...) « Suite à la nouvelle propriété et à la réussite de
notre restructuration, SAS émerge comme une compagnie aérienne
compétitive et financièrement solide. En renforçant Copenhague comme
notre plaque tournante principale et en élargissant notre réseau,
nous stimulons la connectivité et stimulons la croissance économique
non seulement au Danemark mais dans toute la Scandinavie (...), déclare Anko van der Werff,
PDG de SAS. (...)
SAS continue d’offrir des services performants au départ d’Oslo et
de Stockholm. Oslo Gardemoen assurera jusqu’à 125 départs quotidiens
vers plus de 60 destinations, en mettant l’accent sur les voyages
régionaux et européens. De plus, à partir de l’été 2025, SAS
introduira une nouvelle ligne saisonnière entre Oslo et New York
(JFK), améliorant ainsi la connectivité transatlantique.
Stockholm Arlanda, avec plus de 70 lignes directes et 120 départs
quotidiens, restera une passerelle importante pour les voyages
européens et intercontinentaux, soutenue par le partenariat
récemment annoncé par SAS avec Braathens Regional Airways AB (BRA)
qui optimisera les services aériens régionaux.
>
Boeing confirme le recours au chômage partiel non rémunéré pour la durée de la grève
(source Les Échos) 17 septembre 2024 - Au sixième jour de la
grève chez Boeing, la seule certitude est que l'issue du conflit
n'est pas pour demain. Les discussions avec les sections W24 et 751
du syndicat IAM des ouvriers de l'industrie aérospatiale américaine
ont repris mardi, à Seattle, sous l'égide d'un médiateur fédéral.
Mais les dernières heures ont plutôt été marquées par une
dramatisation des enjeux et la marge de manœuvre de Boeing paraît
très étroite, compte tenu de sa situation financière. Dans
un message envoyé à tous les employés du groupe, le directeur
financier de Boeing, Brian West, avait déjà fait monter la tension
d'un cran lundi, en annonçant des mesures d'économies immédiates.
(...) Un chômage partiel non indemnisé Cependant, le plus
inquiétant pour les salariés de Boeing est l'annonce, confirmé ce
mercredi par Kelly Ortberg, le nouveau grand patron de Boeing, d'une
mise en chômage technique d'un « nombre important » d'employés, de
managers et de dirigeants. Les employés désignés devront supporter
une semaine de chômage technique non rémunéré toutes les quatre
semaines, tant que la grève durera, a annoncé le directeur général
de Boeing, dans un message aux salariés. Contrairement aux
règles françaises, le chômage partiel aux États-Unis n'est pas
indemnisé et se traduit donc par une perte complète de salaire. La
seule différence avec un licenciement est que les salariés concernés
sont censés retrouver leurs emplois à l'issue de cette période de
mise à pied, qui peut durer jusqu'à un an. À condition que
l'entreprise n'enchaîne pas avec un plan de licenciements, comme
elle l'avait fait en 2008, lors de la précédente grève, qui avait
duré 57 jours. Certaines des mesures d'économies engagées ont déjà eu des
conséquences pour l'emploi. Boeing annonce la suspension des
contrats de prestataires « non-essentiels ». Ce qui, selon le
« Seattle Times », se serait déjà traduit par le départ, dès lundi,
de « douzaines d'ingénieurs consultants », recrutés par Boeing en
CDD pour aider à la résolution de ses problèmes industriels.
Et les salariés de Boeing ne sont pas les seuls à devoir
s'inquiéter. Les sous-traitants sont, eux aussi, menacés d'une
réduction des commandes. « Nous prévoyons de réduire
considérablement les dépenses des fournisseurs et cesserons
d'émettre la majorité des bons de commande des fournisseurs sur les
programmes 737, 767 et 777 », indique Brian West. Seul le programme
787, épargné jusqu'à présent par la grève dans son usine de
Charleston, ne serait pas concerné par ces restrictions.
L'annonce manque de précisions. Mais
au vu des modèles concernés, tous assemblés autour de Seattle où se
situe l'épicentre du conflit, un gel des commandes de pièces
détachées pourrait avoir des conséquences négatives jusqu'en France,
notamment pour Safran . (...) Ces annonces
sont certes destinées à faire pression sur les grévistes. Mais elles
traduisent aussi l'inquiétude de Boeing
pour sa trésorerie en cas de grève longue. Selon les analystes financiers, l'arrêt des livraisons
de 737, 777 et 767 représenteraient pour Boeing un manque à gagner
de l'ordre de 100 millions de dollars par jour. Or l'avionneur a
déjà beaucoup tiré sur sa trésorerie depuis le début de l'année, en brûlant plus de 8,2 milliards de dollars de cash au premier
semestre, pour faire face à ses problèmes de qualités et aux
conséquences de l'accident d'Alaska Airlines. Si le robinet des liquidités générées
par les livraisons d'avion s'arrête, Boeing risque donc d'être
obligé d'emprunter encore de l'argent pour couvrir ses dépenses. Or
l'avionneur traîne déjà comme un boulet, une dette de 47,5 milliards
de dollars, qu'il a commencé à réduire, mais qui lui coûte environ 2
milliards de dollars par an. Un nouvel alourdissement de
cette dette, ajouté à une forte augmentation des coûts de
l'avionneur pour satisfaire les revendications salariales - les 25 %
de hausse générale rejetées par les salariés coûteraient déjà 900
millions de dollars de plus par an - entraînerait nécessairement une
dégradation de la note financière de Boeing et de renchérir sa
dette. À moins que Boeing décide de se placer sous la protection de
la loi des faillites, ce qui serait un autre cataclysme, boursier
cette fois.
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CDB Aviation commande également 50 Boeing 737 MAX
(source Journal de l'Aviation) 19 septembre 2024 - Après Airbus,
Boeing. CDB Aviation a annoncé le 18 septembre qu'elle avait conclu
un accord avec Boeing portant sur l'acquisition de cinquante 737-8.
La division de leasing d'avions de la banque de développement de
Chine précise que les livraisons devraient intervenir entre 2028 et
2031. CDB Aviation a annoncé la signature d'un accord
similaire avec Airbus pour 80 appareils de la famille A320neo, la
semaine dernière. Dans les deux cas, les objectifs sont les
mêmes. La société de leasing souhaite optimiser sa flotte et y
augmenter la proportion d'appareils de nouvelle génération, pour
lesquels la demande des compagnies aériennes ne faiblira pas dans
les prochaines années. Elles recherchent en effet activement des
capacités supplémentaires, sur un marché contraint par les
difficultés de la chaîne d'approvisionnement et les problèmes de
qualité, et une plus grande efficacité énergétique. La
demande est d'autant plus importante en Chine que la croissance du
trafic aérien est rapide, plus rapide que la moyenne mondiale, et ce
pour les années à venir. La commande intervient alors que
les livraisons de 737 MAX de Boeing vers la Chine augmentent
progressivement, au fur et à mesure que les appareils produits mais
non livrés ces dernières années sortent de stockage.
Dossier rapport Draghi sur l'avenir de la compétitivité européenne
>
L'avenir du transport aérien européen
(source Damien Gaudin, LinkedIn) 22 septembre 2024 - Mario Draghi, ancien
Président de la Banque Centrale Européenne, a remis le 9 septembre
son rapport à Ursula Von Der Leyen, Présidente de la Commission
Européenne sur la compétitivité de l’Europe.
Ce rapport
pointe l’impérieuse nécessité d’investir des centaines de milliards
d’euros par an pour ne pas se laisser distancer par les Etats-Unis
et la Chine.
Dans ce document de 328 pages, l’ensemble des
secteurs sont abordés.
Les transports sont un secteur
prioritaire pour la transition de l’UE vers une économie à zéro
émission nette.
Si l’on s’intéresse à présent au transport
aérien, les points positifs remontés sont les suivants :
- Les plans ambitieux de l’UE pour décarboner le secteur
des transports offrent à l’UE des opportunités uniques d’être à
l’avant-garde des solutions de décarbonation.
- Les aéroports de l’UE abritent des démonstrateurs
d’hydrogène vert et développent des preuves de concept pour des
installations modulaires de mélange de carburants d’aviation
durables (SAF).
- L’Europe
détient plus de la moitié des parts de marchés dans la
construction d’avions civils.
Mais le rapport pointe les problématiques suivantes :
- La
construction des infrastructures (comprenant les aéroports) présente
pour les investisseurs des risques élevés et un retour sur
investissement trop long : cela décourage les investissements privés.
- Dans les aéroports
de l’UE, la demande en constante augmentation, la congestion et
l’utilisation inefficace de la capacité aéroportuaire existante ont entraîné d’importants goulets d’étranglement.
- Les solutions informatiques sont insuffisantes : l’interopérabilité
et le déploiement harmonisé de solutions numériques innovantes sont
limités. Pour le contrôle aérien, les systèmes manquent de
synchronisation. Enfin il n’existe pas vraiment de solutions pour le
transport intermodal.
- Les objectifs de décarbonation de l’UE exercent une pression sur les
secteurs des transports, en particulier ceux qui sont difficiles à
réduire, dont le transport aérien.
- Il existe un risque de voir des activités se décaler ou être plus
bénéficiaires dans les pays voisins de l’Europe, sauf si des
conditions de concurrence équitables peuvent être trouvées par
l’intermédiaire de l’Organisation de l’Aviation Civile
Internationale.
- Même si la plupart des brevets technologiques sont européens, la
capacité de production des Carburants d’Aviation Durable reste
largement insuffisante.
- L’Union Européenne doit commencer à construire une chaîne
d’approvisionnement pour les carburants alternatifs, sinon les coûts
pour atteindre ses objectifs seront trop importants.
Le
rapport pointe donc plusieurs points remontés par les compagnies
aériennes, la Fédération Nationale de l’Aviation Marchande, IATA,
A4E (Airlines For Europe) et bien d’autres parties prenantes : cette
prise de conscience est essentielle pour développer une politique de
développement européenne sur des bases solides.
Un point est
toutefois à relever. Le projet TEN-T (Trans-European Transport
Network) se propose de « planifier et développer une infrastructure
de transport cohérente, efficace, multimodale et de qualité dans
toute l’UE ». En clair, favoriser le transport des personnes et des
marchandises de manière plus efficace et écologique.
A moyen
terme, il est envisagé de joindre les grandes villes et les grands
aéroports par voie ferroviaire, le plus souvent à grande vitesse.
Après la disparition de certaines lignes domestiques, on peut
s’interroger sur le long terme si l’approvisionnement des hubs en
avion pourra se maintenir, et ce que deviendra le modèle des vols
moyens courriers à l’intérieur de l’Union Européenne. D’ici là, les
solutions numériques et l’expérience acquise permettra un transport
intermodal beaucoup plus efficace et développé qu’aujourd’hui.
Face à ces constats, le rapport propose aussi un panel
d’objectifs et de propositions pouvant intéresser le secteur du
transport aérien :
- L’UE devrait adopter un cadre propice au partage des risques entre
le secteur public et le secteur privé, notamment par le biais de
partenariats public-privé soutenus par de solides garanties.
- La Banque Européenne d’Investissement devrait étendre son soutien
aux projets de transport alignés sur les priorités stratégiques de
l’Union Européenne.
- Améliorer la collaboration transfrontalière en matière de contrôle
aérien.
- Lancer
des projets d'innovation européens dédiés tirant parti des
partenariats public-privé et de la coopération transfrontalière en
vue de produire des avions à faible consommation de carburant et à
zéro émission.
- Réduire les risques liés aux investissements dans les carburants
renouvelables durables et à faible teneur en carbone, via des
dispositifs basés sur des contrats de différence et des enchères en
tant que service similaires à ceux conçus pour la Banque de
l’hydrogène.
- Lancer des appels sectoriels dédiés dans le cadre du Fonds
d’innovation pour le premier déploiement de solutions de
décarbonation par exemple pour les eSAF (electro Sustainable
Aviation Fuel).
- Pour garantir la production de carburants durables, l’Union
Européenne doit garantir les matières premières nécessaires,
coordonner l’agrégation de la demande et les achats conjoints.
- Adapter les profils d’emploi à la transition écologique et numérique.
Revue de presse boursière
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Air France KLM : reprend de la hauteur
(source Boursier) 19 septembre 2024 - Dans le sillage du marché,
Air France KLM gagne 2,8% à 8,8 euros. L'actualité autour de la
compagnie aérienne est marquée par une note de BNP Paribas Exane
qui
a relevé à 'neutre' sa recommandation sur le dossier en visant 9
euros.
Le courtier note que les facteurs qui ont pesé sur le
titre cette année, notamment les pénuries de personnel et les
touristes évitant Paris pendant les Jeux olympiques d'été, ne se
répéteront pas en 2025.
L'analyste affirme ainsi que les
perspectives du groupe aérien sont "bien plus brillantes en 2025".
Il augmente ses estimations d'Ebit pour l'exercice 2024 de 24% et de
9% pour l'exercice 2025.
Fin de la revue de presse
>
Évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à
8,828 euros en clôture
vendredi 20 septembre. Elle est en forte hausse cette semaine
(+8,24%).
Elle était à 12,53 euros
le 2 janvier 2023, à 17,77 euros le 19 juin 2023.
La moyenne (le consensus) des analystes
à 12 mois pour l'action AF-KLM
est à 10,44 euros (elle était à 15,0 euros début janvier
2023). L'objectif de cours le plus élevé est à 17,50 euros, le plus
bas à 8 euros.
Je ne
prends en compte que les opinions d'analystes postérieures au 1er
juillet 2023.
Vous pouvez retrouver sur
mon blog le
détail du consensus des analystes.
>
Évolution du prix du carburant cette semaine
Le baril de Jet Fuel en Europe est en hausse (+1$) à 89$. Il était à 94$
fin juin 2023, à 79$
avant le déclenchement de la guerre en Ukraine.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est
en hausse (+3$) à 75$.
De la mi-février
2022
à fin juillet 2022, il faisait le yoyo entre 100 et 120$. Depuis, il oscille
entre 75$ et 99$.
>
Gestion des FCPE
Lorsque vous placez de l'argent dans un des fonds FCPE d'Air
France, vous obtenez des parts dans ces fonds. Vous ne détenez pas
directement d'actions.
Ce sont les conseils de surveillance,
que vous avez élus en juillet 2021 pour cinq ans, qui gèrent les fonds
et qui prennent les décisions.
Les fonds Partners for the
Future, Aeroactions,
Majoractions et Concorde ne détiennent que des actions Air France.
Les fonds Horizon Épargne Actions (HEA), Horizon Épargne Mixte
(HEM), Horizon Épargne Taux (HET) gèrent des portefeuilles d'actions
diverses.
Précisions
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux vous informer.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
À bientôt.
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François Robardet
Représentait les salariés et anciens salariés
PS et PNC actionnaires d'Air France-KLM. Vous pouvez me retrouver sur mon
compte twitter @FrRobardet ainsi que sur LinkedIn.
Lors de mon élection, j'ai reçu le soutien de la
CFDT et de l'UNPNC Cette revue de presse traite de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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