N°987, 21 octobre 2024
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Je fais mienne la raison d'être du groupe Air France-KLM
: À la pointe d'une aviation européenne plus responsable, nous rapprochons les peuples pour construire le monde de demain.
La lettre du lundi
Sommaire :
Taxe sur l'aérien : le gouvernement fait quelques retouches mais
vise toujours un milliard d'euros Le PDG de Transavia Pays-Bas
exprime ses inquiétudes quant à l'avenir La Réunion : un nouveau
pilote pour la compagnie Air Austral Un 4e hangar pour Tarmac
Aerosave à Teruel Boeing proche d'un accord pour mettre fin à la
grève de ses salariés à Seattle> Air France KLM : reprise d'altitude
avant les comptes
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Taxe sur l'aérien : le gouvernement fait quelques retouches mais vise toujours un milliard d'euros
(source Les Échos) 21 octobre 2024 - Malgré les protestations des
organisations professionnelles du transport aérien, le gouvernement
persiste et signe. Il a dévoilé samedi un amendement au projet de
loi de finances 2025, visant à tripler le produit de la taxe dite de
« solidarité » (TSBA) sur les billets d'avion. Le montant de la
« douloureuse » n'a pas changé : l'objectif est toujours de prélever
un milliard d'euros de plus dès l'an prochain, qui s'ajoutera aux
460 millions déjà récoltés chaque année au titre de la TSBA, sur
tous les vols au départ de France. Sur ce milliard,
850
millions proviendront des compagnies aériennes régulières, avec un
effort accru demandé aux passagers en partance pour des destinations
lointaines (au moins 5.500 km) et 150 millions de l'aviation
d'affaires, pour laquelle un tarif spécial est créé, pouvant aller
jusqu'à 3.000 euros par passager. Cependant, si l'objectif n'a pas
changé, la grille tarifaire a sensiblement évolué à la baisse pour
les vols long-courriers, comparée aux avant-projets. Pour les passagers des classes
« avec services additionnels », du type première et affaires, le
montant maximal de la taxe est finalement fixé à 120 euros sur les
vols d'au moins 5.500 km au lieu des 200 à 300 euros envisagés
initialement, et à 80 euros au lieu de 100 pour les trajets de 1.000
à 5.500 km. Pour les passagers de classe éco de vols long-courriers,
la taxe est portée à 40 euros pour les vols de 5.500 km et plus, au
lieu des 60 euros prévus précédemment, et à 15 euros au lieu de 42
euros, pour les distances intermédiaires, de 1.000 km à moins de
5.500 km. La hausse n'en reste pas moins massive, comparé
aux tarifs actuels de 67,03 euros pour tous les vols long-courriers
en classe affaires et de 7,51 euros en classe éco. Néanmoins,
le
gouvernement semble avoir un peu entendu les craintes d'Air France
et de tous les autres acteurs du transport aérien hexagonal, quant
au risque de voir une partie de la clientèle long-courrier se
détourner des aéroports, au profit des aéroports étrangers
frontaliers ou d'autres grands « hubs » internationaux.
(...)
Mais si le gouvernement a la main moins lourde que prévu sur le
long-courrier, il se rattrapera en relevant substantiellement les
prélèvements sur tous les vols courts et moyen-courriers,
domestiques et intra-européens, qui constituent la majorité du
trafic des aéroports français. Pour tous ces vols, sur lesquels le
montant total des taxes et redevances représente déjà 40 % du prix
du billet, la TSBA passera de 20,27 à 30 euros en classe
« affaires » et de 2,63 à 9 euros en classe éco. Une hausse qui ne
passera probablement pas inaperçue auprès des clients des compagnies
low-cost, dont le prix moyen du billet avoisine les 50 euros.
Ces modifications de dernière minute sont toutefois loin de calmer
les craintes pour la compétitivité du transport aérien en France.
Dans une lettre ouverte au gouvernement, toutes les organisations
syndicales, y compris le syndicat de pilotes SNPL, ont mis en garde
le gouvernement contre « un risque mortel pour l'emploi en France ».
« Sans étude d'impact, sans concertation et sans limitation dans le
temps, cette taxation, dont la vocation est purement budgétaire, est
un véritable suicide pour la filière », affirment-elles, en laissant
vaguement planer la menace d'une grève. L'association des aéroports,
l'UAF, évoque pour sa part une « destruction massive de liaisons
aériennes notamment sur les aéroports régionaux ». Le poids de ces surtaxes
restera en effet massif. Pour le seul groupe Air France, qui est
déjà le plus gros contributeur à la TSBA pour plus de 140 millions
d'euros par an, la hausse se traduirait par un surcoût de plus de
270 millions d'euros, dont 150 ne pourront probablement pas être
repassés aux passagers.
Cette hausse fera aussi de la France, le
pays d'Europe où l'aérien est le plus taxé. Avec ce que cela
implique de perte d'attractivité, sachant que 20 des Vingt-Sept de
l'Union européenne n'appliquent aucune taxe spécifique sur les
billets d'avion et qu'elle est déjà le seul où les taxes
représentent une part majoritaire des coûts d'atterrissage et
décollage des compagnies. De quoi avoir envie d'aller voir ailleurs.
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Le PDG de Transavia Pays-Bas exprime ses inquiétudes quant à l'avenir
(source Luchtvaartnieuws, traduit avec Deepl) 21 octobre 2024 -
Transavia [Pays-Bas] a célébré lundi son 59e anniversaire. La compagnie
aérienne approche avec ambition la soixantaine, mais le PDG Marcel
de Nooijer a des inquiétudes quant à l'avenir. « Notre succès est
étroitement lié à une politique gouvernementale cohérente et
transparente. » Depuis 1965, Transavia [Pays-Bas] opère des vols
charters et réguliers, avec Schiphol comme base d'attache. En outre,
la compagnie aérienne est un utilisateur majeur de l’aéroport de
Rotterdam-La Haye et de l’aéroport d’Eindhoven. Les vols ont
également commencé il y a deux ans à l'aéroport de Bruxelles, même
si les horaires y seront allégés l'été prochain. (...) « Bien que le paquet de mesures révisé
du gouvernement constitue un pas en avant, la différenciation
tarifaire extrême nous inquiète, tout comme l'éventuelle restriction
des vols de nuit à Schiphol. Ces mesures peuvent avoir un impact
majeur sur nos opérations. La capacité de déplacer ces vols tôt le
matin ou tard le soir est très limitée. Les alternatives, comme
l’achat d’avions supplémentaires ou l’annulation de vols, ne sont
pas des options réalistes sans conséquences importantes », déclare
De Nooijer. « Les concurrents étrangers qui arrivent à
Schiphol tôt le matin bénéficient alors d'un avantage concurrentiel.
Pour Transavia [Pays-Bas], dont les Pays-Bas sont le port d'attache, ces
mesures entraîneraient une hausse du prix des billets et une
réduction des marges de renouvellement de la flotte. Il est
important que nous maintenions notre position en tant que société
néerlandaise, où nous pouvons continuer à fonctionner à moindre coût
et de manière plus durable. » (...) Avec une éventuelle fermeture
nocturne, les Pays-Bas seraient le seul pays de l'UE à ne pas être
accessible 24 heures sur 24. Cela aura des conséquences néfastes sur
l’accessibilité. De Nooijer continue de plaider en faveur
d’une accélération de la durabilité dans le secteur de l’aviation.
« C’est pourquoi nous préconisons que les revenus de l’EU ETS et des
taxes aériennes soient utilisés pour soutenir la durabilité des
compagnies aériennes. Cela permet non seulement de maintenir les
prix des billets à un niveau abordable, mais garantit également que
nous pouvons poursuivre notre croissance durable à partir de
Schiphol, Rotterdam et Eindhoven. Ainsi, chacun peut continuer à
profiter de ses vacances annuelles en avion, des visites familiales
à l'étranger et de la découverte de nouvelles destinations.
Selon De Nooijer, l’avenir de Transavia repose sur l’innovation,
« mais cela n’est possible qu’avec des conditions préalables et des
choix politiques appropriés. Nous restons engagés en faveur d’un
secteur aérien sain et plus durable dans lequel le transport aérien
reste accessible à tous.
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La Réunion : un nouveau pilote pour la compagnie Air Austral
(source Les Échos) 21 octobre 2024 - Après avoir misé sur un
vétéran de l'entreprise, Joseph Bréma, pour en redresser les
finances en 2022, les actionnaires d'Air Austral sont allés lui
chercher un successeur au sein de la concurrence. Hugues Marchessaux,
directeur général d’Air Caraïbes Atlantique il y a quelques mois
encore, a pris en octobre son poste de président du directoire de la
compagnie réunionnaise. Dès son arrivée, il a tenu à souligner ses
états de service au sein de compagnies en période de crise : chez
Corsair en 2010 au moment d'un plan de restructuration, et l'an
passé chez Air Caraïbes Atlantique (groupe Dubreuil, qui possède
aussi French Bee, en forte croissance sur l'axe Paris-La Réunion).
Hugues Marchessaux arrive en effet sous le tropique du
Capricorne dans un climat tendu. Après avoir accepté un accord de
performance collective il y a quelques mois, le Comité économique et
social d'Air Austral a décidé d'exercer le mois dernier son droit
d'alerte économique pour en savoir plus sur l'état de l'entreprise.
Air Austral traverse une des phases les plus délicates de son
histoire, commencée en 1990. Si la compagnie a terminé l'exercice
2023-2024 avec un chiffre d'affaires en forte hausse, à 440 millions
d'euros, ses dirigeants n'ont pas communiqué sur son déficit
d'exploitation, seulement qualifié d'« important ». Lors de
l'exercice précédent, il était proche de 59 millions d'euros.
Après avoir bénéficié de plus de 100 millions d'euros d'effacement
de dettes publiques l'an passé, la compagnie a obtenu du tribunal de
commerce, il y a quelques semaines, un protocole de conciliation lui
laissant plusieurs mois pour négocier un étalement du remboursement
de la centaine de millions qu'elle doit encore. Les actionnaires
d'Air Austral, un consortium privé emmené par le groupe réunionnais
Deleflie, majoritaire, et le conseil régional ont récemment donné
leur accord pour apporter ensemble 15 millions d'euros
supplémentaires d'argent frais. « Cela nous permettra de passer le
point bas de trésorerie du début d'année 2025 », commente Hugues
Marchessaux. Le nouveau président du directoire veut
maintenant s'attacher à faire baisser « des coûts de production trop
élevés » et à « travailler sur les recettes », notamment celles de
l'activité moyen-courrier, encore déficitaire malgré quelques
fermetures de lignes secondaires. Hugues Marchessaux se montre optimiste en évoquant un retour à
l'équilibre en 2025 avant de renouer avec la rentabilité en 2026.
Deuxième transporteur sur la ligne Paris-La Réunion derrière
Air France, Air Austral a été pénalisé ces dernières années par des
coûts élevés de restitutions d'avions et, comme de nombreuses autres
compagnies, par les défaillances de ses Airbus A220 - l'un d'eux est
toujours à l'arrêt, en attente de nouveaux moteurs.
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Un 4e hangar pour Tarmac Aerosave à Teruel
(source Air & Cosmos) 14 octobre 2024 - Tarmac Aerosave a
inauguré le 8 octobre 2024 son 7e hangar de maintenance, le 4e de
son site de Teruel, en Espagne. Construit dans le temps
record de 9 mois, ses dimensions en font le plus grand
hangar métallo-textile du monde. Avec plus de 8.000 mètres
carrés, il peut accueillir un avion gros porteur (A380) ou quatre
monocouloirs simultanément. Tarmac Aerosave a investi 15 millions
d’euros dans cette nouvelle infrastructure. Un an après inauguré son troisième hangar, ce 4e hangar
constitue le 7e de Tarmac Aerosave et a été inauguré le 8 octobre
2024. Ainsi, quatre hangars à Teruel, deux à Tarbes et un à Toulouse
constituent désormais l’offre de maintenance de Tarmac Aerosave.
Avec 95 mètres de long, 85 mètres de large et 34 mètres de haut,
cette structure métallo-textile est la plus grande de ce type au
monde. Conçue pour accueillir l'Airbus A380 et jusqu'à quatre A320,
elle couvre 8.000 mètres carrés, dont 7 700 mètres carrés sont
exclusivement consacrés à la maintenance des avions. (...)
Ce hangar se distingue par sa nature temporaire mais très
efficace. Cette flexibilité permet de répondre à la demande accrue
de maintenance des avions, due à l'augmentation du trafic
aérien. La structure est entièrement recyclable à la fin de sa vie.
Avec une accumulation des commandes et des contrats de maintenance
de long terme, le 1er hangar de Teruel, capable d'accueillir deux
A380, est entièrement réservé pour les deux prochaines années. Cette
nouvelle installation va soulager la pression et permettre de
maintenir une bonne qualité de service, tout en créant de nombreux
emplois. 50 postes seront ouverts à Teruel. Actuellement, Tarmac
Aerosave emploie plus de 230 personnes à Teruel, pour un effectif
global de 530, ce qui en fait le premier employeur de l'aéroport de
Teruel. Avec ce nouveau hangar, non seulement Tarmac Aerosave
augmente sa capacité, mais consolide sa position d'acteur de
référence de la maintenance, du stockage et du recyclage d'aéronefs.
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Boeing proche d'un accord pour mettre fin à la grève de ses salariés à Seattle
(source Journal de l'Aviation) 21 octobre 2024 - Les opérations
industrielles de l'avionneur américain vont peut-être retrouver une
certaine normalité dans la région de Seattle. Boeing et le syndicat
des machinistes (IAM) sont parvenus à trouver un accord de principe
pour mettre fin à la grève de près de 33 000 employés qui paralyse
la production des programmes 737 MAX, 767 et 777 depuis 5 semaines.
Le syndicat a indiqué samedi que cette proposition méritait
d'être prise en considération par ses membres, avec un vote de
ratification prévu ce mercredi 23 octobre, le même jour que la
présentation des résultats trimestriels du groupe aéronautique
américain. L'accord préliminaire comprend notamment une
augmentation salariale de 35% au cours des quatre prochaines années,
des primes annuelles rehaussées et une plus importante contribution
au régime des retraites par capitalisation des salariés.
Avant le déclenchement du conflit social, Boeing avait proposé une
augmentation salariale de 25%, puis de 30% pour sortir de la crise,
des offres majoritairement rejetées, car jugées très en deçà des
trajectoires prévues dans des accords antérieurs. La secrétaire
d'État américaine au Travail par intérim Julie Su a joué un rôle
déterminant dans les négociations entre la direction de Boeing et le
puissant syndicat, l'administration Biden se montrant plutôt
inquiète sur le sort du géant industriel de Seattle, à deux semaines
des élections présidentielles américaines. Selon la Bank of
America, la grève coûterait près de 50 millions de dollars par jour
à l'avionneur américain. Kelly Ortberg, le PDG de Boeing, a
récemment annoncé une série de mesure visant à freiner l'hémorragie
financière que connaît actuellement le groupe, avec notamment une
réduction de 10% de ses effectifs au niveau mondial suite aux
retards de certains de ses programmes. Boeing vient par
ailleurs de décrocher une nouvelle ligne de crédit de 10 milliards
de dollars et souhaite aussi lever 25 milliards de dollars
supplémentaires, par le biais d'émissions d'actions et de titres de
créance, pour soulager sa trésorerie.
Revue de presse boursière
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Air France KLM : reprise d'altitude avant les comptes
(source Boursier) 18 octobre 2024 - Alors que le compartiment
pétrolier a corrigé le tir cette semaine avec le net repli des cours
de l'or noir, le secteur du transport a, à l'inverse, logiquement
repris un peu de hauteur à l'image d'Air France KLM qui revient ce
vendredi matin sur les 9 euros, ce qui donne un rebond hebdomadaire
de près de 7%.
Parmi les derniers avis de brokers,
HSBC conserve le dossier avec un objectif ajusté à 8,50 euros,
tandis qu'AlphaValue 'accumule' la valeur avec un cours cible de
9,58 euros. Les analystes continuent en parallèle de
refaire leurs comptes sur le dossier dans la foulée de l'annonce par
le gouvernement de la nouvelle taxe touchant l'aérien en France.
Morgan Stanley maintient pour sa part sa recommandation à
'pondération de marché' avec un objectif ajusté à 9,40 euros.
Le ministère des Finances veut ainsi prélever 1 milliard
d'euros supplémentaire sur le secteur en augmentant lourdement la
taxe dite de solidarité sur les billets d'avion, dans son projet de
loi de finances 2025. La charge financière liée à une telle
augmentation de la taxe "ne pourra pas être supportée par les seules
compagnies aériennes, et conduira nécessairement à une augmentation
du prix des billets d'avion", a déclaré un porte-parole de la
compagnie Air France. Selon Antoine Fraysse-Soulier,
responsable de l'analyse de marchés chez eToro, "un des secteurs les
plus impactés par les annonces fiscales du gouvernement va bien être
le transport aérien... En effet, pour renflouer les caisses de
l'État, Bercy souhaite doubler la taxe de solidarité sur les billets
d'avion (TSBA). Nommée "taxe Chirac" qui l'a créée en 2006, elle a
rapporté 460 millions à l'État l'an dernier. C'est l'une des dix
taxes et redevances pesant que le transport aérien en France, et
dont le montant total représente jusqu'à 40% du prix d'un billet" a
commenté l'analyste. De son côté, ING Bank maintient sa
recommandation à 'conserver', mais avec une cible qui est repassée à
9,50 euros.
Le groupe publiera ses comptes du 3ème trimestre
le 7 novembre prochain.
Fin de la revue de presse
>
Évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à
9,096 euros en clôture
vendredi 18 octobre. Sur la semaine, elle est en forte hausse (+7,34%), après une
hausse de +3,04% la semaine précédente.
Elle était à 12,53 euros
le 2 janvier 2023, à 17,77 euros le 19 juin 2023.
La moyenne (le consensus) des analystes
à 12 mois pour l'action AF-KLM
est à 10,77 euros (elle était à 15,0 euros début janvier
2023). L'objectif de cours le plus élevé est à 17,50 euros, le plus
bas à 8 euros.
Je ne
prends en compte que les opinions d'analystes postérieures au 1er
juillet 2023.
Vous pouvez retrouver sur
mon blog le
détail du consensus des analystes.
>
Évolution du prix du carburant cette semaine
Le baril de Jet Fuel en Europe est en baisse (-7$) à 87$. Il était à 94$
fin juin 2023, à 79$
avant le déclenchement de la guerre en Ukraine.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est
en baisse (-6$) à 73$.
De la mi-février
2022
à fin juillet 2022, il faisait le yoyo entre 100 et 120$. Depuis, il oscille
entre 75$ et 99$.
>
Gestion des FCPE
Lorsque vous placez de l'argent dans un des fonds FCPE d'Air
France, vous obtenez des parts dans ces fonds. Vous ne détenez pas
directement d'actions.
Ce sont les conseils de surveillance,
que vous avez élus en juillet 2021 pour cinq ans, qui gèrent les fonds
et qui prennent les décisions.
LLes fonds Partners for the
Future, Aeroactions,
Majoractions et Concorde ne détiennent que des actions Air France.
Les fonds Horizon Épargne Actions (HEA), Horizon Épargne Mixte
(HEM), Horizon Épargne Taux (HET) gèrent des portefeuilles d'actions
diverses.
Précisions
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux vous informer.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
À bientôt.
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François Robardet
Je représentais les salariés et anciens salariés
d'Air France-KLM. Vous pouvez me retrouver sur mon
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Cette lettre traite de l'aérien dans le monde et de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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