N°996, 23 décembre 2024
Si vous ne voyez pas correctement cette page, ou
si vous souhaitez lire les versions anglaises ou néerlandaises If you
do not see this page correctly, or if you want to read the English or
Dutch versions, Als u deze pagina niet goed ziet, of als
u de Engelse of Nederlandse versie wilt lezen,
suivez
ce lien
,
it is here,
vindt u deze hier
Éditorial
La lettre du lundi
Sommaire :
L'heure du bilan Le palmarès des compagnies aériennes les
plus en retard en 2024 British Airways modifie ses horaires
en raison de problèmes de moteur Ryanair aurait renoncé à
desservir Orly Qatar Airways pourrait renoncer à sa commande
de Boeing 737 MAX 10 EcoPulse ouvre la voie à une aviation
plus durable
>
L'heure du bilan
(source Journal de l'Aviation) 17 décembre 2024
Lire l'article :
La mi-décembre est passée, l'approche de la trêve des confiseurs
commence à faire son effet et le temps va ralentir durant les
quelques jours qui nous séparent de la fin de cette année - sauf
peut-être dans les usines d'Airbus, à pleine vapeur pour atteindre
leurs objectifs annuels de livraisons. Le moins que l'on puisse
dire, c'est que 2024 n'aura encore pas été un long fleuve
tranquille, même si la comparaison avec les années qui lui ont
précédé est plutôt à son avantage. Souvenons-nous,
elle a
démarré sur les chapeaux de roues avec la toute première perte de
coque d'un Airbus A350 de Japan Airlines le 2 janvier. Un accident
impressionnant mais rapidement délogé des unes des journaux par le
détachement en plein vol d'un bouchon de porte sur un 737-9 d'Alaska
Airlines. Tout ce qui restait de la superbe de Boeing, déjà bien
écornée par les précédents problèmes de qualité, a été aspiré avec
ce bouchon. L'avionneur commençait à peine à se remettre des crises
du 737 MAX et de la Covid, qu'il a été plaqué au sol. L'accident lui
a coûté sa direction, une surveillance accrue de la FAA et un
plafonnement de la production. Celle-ci est au plus bas, la grève de
ses machinistes en septembre-octobre ayant achevé de la paralyser.
Les déboires de l'avionneur américain ont presque fait passer
au second plan les difficultés rencontrées par les motoristes avec
leurs moteurs les plus récents, pas encore tout à fait matures et
dont les fréquences trop élevées de dépose continuent de jouer des
tours à toute l'industrie - que ce soit au niveau des opérations ou
de la maintenance. Plus généralement, les difficultés de la chaîne
d'approvisionnement en général - et sa nécessaire réorganisation au
vu de la complexification du contexte géopolitique mondial - n'ont
cessé de revenir dans les discussions et, si la situation se
redresse tout doucement, le sujet promet de rester en tête des
préoccupations l'année prochaine, comme l'a bruyamment rappelé
Willie Walsh, le directeur général de l'IATA - à égalité avec les
grandes difficultés de recrutement de personnel qualifié.
Malgré cela, le surcroît d'efforts que tous les acteurs ont effectué
pour assainir leurs opérations et optimiser leur productivité après
la crise sanitaire porte ses fruits. Les marges des industriels sont
au plus haut et même le transport aérien en profite.
L'IATA
a publié ses prévisions pour 2024 et 2025 la semaine dernière et
s'attend à ce que les compagnies aériennes enregistrent des niveaux
record de chiffre d'affaires et de passagers. Depuis 2022, les
bénéfices opérationnel et net, ainsi que les marges opérationnelle
et nette, sont revenus au niveau des années 2015-2020. Mais après
deux années de rattrapage, le profil des recettes est en train de
changer : après deux années au top, les yields recommencent à
s'éroder à long terme, les coûts continuent d'augmenter et le
trafic, ayant retrouvé son niveau pré-Covid, retrouve une
trajectoire de croissance plus classique, freinée par le maintien
d'une pénurie de capacités liée aux retards de livraisons et au
manque de pièces de rechange, mais aidée par un prix modéré du
carburant. Comme un air de retour à une forme de normalité.
>
Le palmarès des compagnies aériennes les plus en retard en 2024
(source BFM Business) 20 décembre 2024
Lire l'article :
2024 n'a pas été de tout repos pour les compagnies aériennes.
Alors que le trafic a encore progressé, le secteur a été confronté à
plusieurs perturbations : grèves des contrôleurs aériens, effet Jeux
olympiques, mais aussi panne informatique mondiale ou problèmes
météo. D'où de nombreux retards, voire des annulations de
vols dans les aéroports. Comme chaque année, Flightright a dressé le
palmarès des opérateurs européens "les moins fiables". "Qu’ils
soient en minutes ou en heures, les retards sont de plus en plus
récurrents dans les aéroports. Et selon les données compilées et
analysées par Flightright, ils ne touchent pas que les compagnies
low-cost", commente le site spécialisé dans les droits des
passagers. En 2024 (l'étude couvre
la période 1er janvier-13 décembre et retient des retards de 15
minutes ou plus à destination), la palme peu convoitée de la
compagnie la moins ponctuelle revient à TAP Air Portugal, qui
affiche un taux de retard de 32,1% sur 109.507 liaisons effectuées,
soit près d’un vol sur trois. On trouve ensuite Jet 2 et
easyJet, avec respectivement 29,54% et 28,93% de retards
enregistrés. Cela représente pour easyJet pas moins de 157.000 vols
retardés sur 542.000. Son concurrent Ryanair fait pire en valeur
absolue mais il opère bien plus de vols: 186.000 vols retardés sur
980.000, soit un taux de retard de 18,9% (ce qui la classe 14e).
Derrière ce trio de tête, se classent Swiss (27,8%), British
Airways (27,6%) et ITA (27,3%). Une seule compagnie française est
dans le Top 20: Air France se classe 8e avec un taux de retard de
23,4% pour 258.000 vols. "Malgré son statut de
transporteur officiel des JO de Paris, Air France a su néanmoins
minimiser les perturbations et pointe seulement à la 8e place des
compagnies les plus en retard cette année", commente Imane El Bouanani, porte-parole France de Flightright. Bonne tenue
des low-cost Côté annulations de vols, c'est le géant allemand
Lufthansa qui remporte la palme avec un taux de 2,8% soit presque
13.000 vols annulés sur 458.000. La deuxième place est occupée par
British Airways (2,1% soit 6.200 annulations)
devant KLM avec 1,6%
soit 3.800 vols annulés sur 229.000. Les filiales de
Lufthansa sont également mal classées : Swiss et Eurowings sont 4e et
5e, affichant des taux d’annulation respectifs de 1,45% et 1,39%.
Air France "fait (presque) figure de bon élève" à le 8e place, avec
1,16% de vols annulés en 2024, soit 3.000 annulations sur 258.000
vols. "Sur l’ensemble de l’année, c’est toutefois Wizz Air
Malta qui s’avère être l’un des acteurs aériens les plus fiables en
matière de maintien de vols programmés. Un opérateur low-cost, ce
qui ne manquera pas de surprendre ! Sur les 128.432 vols réalisés,
seuls 372 n’ont pas quitté la piste. Ryanair de son côté fait
également preuve de bon élève et se place à la 21ème place avec
seulement 0,17% de vols annulés", souligne Imane El Bouanani.
(...)
>
British Airways modifie ses horaires en raison de problèmes de moteur
(source Reuters, traduit avec Deepl) 19 décembre 2024
Lire l'article :
British Airways, propriété d'IAG, a dû apporter des modifications
supplémentaires à ses horaires en raison de problèmes de moteur,
a-t-elle déclaré jeudi à Reuters, après que plusieurs médias eurent
rapporté qu'elle avait annulé des vols d'été entre Heathrow
(Londres) et Abou Dhabi. La compagnie aérienne avait déjà
réduit ses vols long-courriers cette année en raison de retards dans
la livraison de moteurs et de pièces détachées de Rolls-Royce.
Des changements supplémentaires ont été apportés aux horaires en
raison d'un problème concernant 1.000 moteurs pour ses avions Boeing
787, a déclaré British Airways jeudi, sans confirmer la réduction
signalée de la liaison Abu Dhabi-Heathrow. (...)
>
Ryanair aurait renoncé à desservir Orly
(source Les Échos) 17 décembre 2024
Lire l'article :
Ryanair fait machine arrière. Après avoir annoncé début décembre
qu'elle desservirait l'aéroport d'Orly, la compagnie aérienne
irlandaise, à la surprise générale, aurait rétropédalé. Son PDG, le
réputé très économe Michael O'Leary, aurait finalement posé son veto
ce mardi, selon des informations du Monde. Contactée, Ryanair n'a
pas donné suite à nos sollicitations. La compagnie low-cost
avait pourtant obtenu deux créneaux d'atterrissage et de décollage
pour desservir Bratislava (Slovaquie) et Bergame (Italie) depuis
l'aéroport parisien méridional, où Transavia règne en maître.
Ces
« slots », attribués par l'Association pour la coordination des
créneaux horaires (Cohor), auraient été des exceptions dans la
stratégie de Ryanair, qui préfère habituellement les aéroports
secondaires et les importantes subventions qu'ils lui versent pour
l'inciter à les emprunter. Ces deux lignes quotidiennes au départ
d'Orly devaient être fonctionnelles à partir du 1er avril 2025. (...) L'arrivée de Ryanair à Orly
aurait marqué un tournant important dans la stratégie en France de
la première compagnie low-cost européenne. Même si elle avait déjà
fait au moins une tentative pour obtenir des créneaux à Orly,
Ryanair avait toujours jugé les deux grands aéroports parisiens trop
chers et trop compliqués, leur préférant celui de Beauvais. Un
virage sur l'aile d'autant plus remarquable qu'il serait intervenu
après que Ryanair a menacé de fermer la moitié de ses destinations
en France, si la taxe sur le transport aérien prévue dans le projet
de budget était appliquée.
>
Qatar Airways pourrait renoncer à sa commande de Boeing 737 MAX 10
(source Journal de l'Aviation) 19 décembre 2024
Lire l'article :
Le Boeing 737 MAX 10 pourrait ne jamais rejoindre la flotte de
Qatar Airways. Selon les informations de l'agence Bloomberg, la
compagnie qatarie envisagerait de convertir les 25 appareils de sa
commande en 737 MAX 8, pour les affecter ensuite aux flottes de ses
compagnies partenaires. Selon l'agence, les appareils ne
seraient plus adaptés à ses besoins. La commande avait en effet
été
signée en 2022, alors qu'une dispute commerciale et juridique au
sujet des A350 opposait Qatar Airways et Airbus, provoquant une
radiation de toutes les commandes de la compagnie du carnet de
l'avionneur européen, dont 50 A321neo. Elles ont été rétablies
depuis la résolution du litige et, si les créneaux de livraison ont
glissé, les A321neo restaient le premier choix de la compagnie pour
mettre en œuvre ses projets. Le Boeing 737-10 est par
ailleurs plongé dans l'incertitude. En retard de plusieurs années,
il n'a toujours pas été certifié en raison notamment d'un problème
sur le système antigivrage du moteur, et la date de sa certification
reste incertaine. (...)
>
EcoPulse ouvre la voie à une aviation plus durable
(source Communiqué de presse Safran, Daher) 10 décembre 2024
Lire l'article :
EcoPulse, le démonstrateur d’avion à propulsion
hybride-électrique distribuée développé conjointement par Daher,
Safran et Airbus, a conclu sa campagne d’essais en vol, livrant des
enseignements cruciaux pour atteindre les objectifs de décarbonation
du transport aérien à l’horizon 2050. Ce projet collaboratif,
emblématique de la filière aéronautique française, a permis
d’acquérir une expérience unique dans la conception, la
certification, la production et l’exploitation des avions
hybrides-électriques. Des essais en vol pionniers
EcoPulse a réalisé son premier vol d’essai hybride-électrique le 29
novembre 2023 depuis l’aéroport de Tarbes. Il a accumulé 100 heures
de vol depuis son premier vol et effectué une cinquantaine de vols
d’essai avec la propulsion distribuée hybride, dont le dernier a été
réalisé en juillet 2024. Cette campagne d’essais a permis de tester
un niveau de puissance électrique embarqué inédit pour la propulsion
électrique distribuée, avec une tension réseau de l’ordre de 800
Volts DC et une puissance de 350 kilowatts. Les essais en
vol ont conduit à plusieurs enseignements. Ils ont notamment permis
d’évaluer de manière objective la maturité des technologies
d’hybridation, de mesurer leur véritable niveau de performance
intégré à l’avion et d’identifier leurs limites opérationnelles.
À titre d’exemple, les tests ont ainsi montré que le synchro
phasage des ePropellers (moteurs électriques) peut permettre une
réduction du bruit intérieur. Ce synchro phasage est un bénéfice
additionnel de l’ordinateur de contrôle de vol innovant, dont
l’objectif principal de manœuvrer l’appareil – comme substitut aux
gouvernes - en jouant sur la répartition de puissance électrique
entre les ePropellers. Des défis technologiques à relever
pour l’avenir De manière plus globale, EcoPulse a permis de
relever les défis clés de la décarbonation de l’aviation :
- Architectures électriques et hybrides-électriques.
- Développement
des équipements clés : batteries (performance et domaine
opérationnel) et organes de gestion de la haute tension (>400V).
- Assistance au pilotage avec des interfaces spécifiques
- Logique de
démonstration de la navigabilité
- Optimisation des masses et du
bruit
- Compétences associées à la gestion de la complexité
La
campagne d’essais en vol a permis de préparer les dossiers de
conformité pour répondre aux exigences réglementaires de mise en vol
de la propulsion hybride-électrique et de poser ainsi les bases
d’une méthode de certification de la sécurité des avions de
configurations innovantes.
Une collaboration exemplaire au
cœur de l’innovation aéronautique Le projet EcoPulse
illustre la force d’une coopération de haut niveau entre Daher,
Safran et Airbus. En mettant en commun leurs expertises et moyens
d’essais, les partenaires ont démontré la complémentarité et les
synergies importantes entre aviation générale et commerciale.
« Nous sommes particulièrement satisfaits de la réussite du
programme EcoPulse et de ses résultats. C’est la première fois que
nous testions en vol une chaîne de propulsion hybride-électrique
complète et ces essais ont représenté un jalon important pour notre
feuille de route technologique, a déclaré Eric Dalbiès, Directeur de
la stratégie, R&T et innovation de Safran. Les enseignements tirés
nous permettent de continuer à valider les technologies de la
décarbonation. » « EcoPulse a permis à Daher de franchir une
étape cruciale dans le développement d’un avion bas carbone. Ce
projet nous a non seulement aidés à concevoir un système de
fonctionnement opérationnel pour la réalisation d’un prototype de
démonstration, mais aussi à appréhender des verrous technologiques
critiques. Grâce à cette collaboration riche et inédite, nous avons
considérablement avancé sur la voie de l’hybridation », a souligné
Pascal Laguerre, Chief Technology Officer de Daher « Cette
campagne EcoPulse nous permet de faire progresser certaines
technologies hybrides-électriques, comme la batterie haute tension,
et leur intégration dans les futurs avions, hélicoptères et
solutions de mobilité aérienne », a déclaré Jean-Baptiste Manchette,
Head of Propulsion of Tomorrow chez Airbus Commercial. « Avec la
propulsion électrique distribuée, nous avons atteint notre objectif
en matière de modélisation de la physique du vol et de gestion de
l'énergie au niveau de l'avion, des éléments clés pour façonner la
prochaine génération d'avions », a-t-il ajouté. Ecopulse est
un projet collaboratif soutenu par le CORAC (Conseil pour la
Recherche Aéronautique Civile) et cofinancé par la DGAC (Direction
Générale de l'Aviation Civile française) à travers France Relance et
NextGeneration EU. Dévoilé au Bourget 2019, basé sur une
plateforme d'avion Daher TBM, EcoPulse est équipé de six ePropellers
(fournis par Safran), répartis le long des ailes. Son système de
propulsion intègre deux sources d'énergie : un turbogénérateur,
c'est-à-dire une génératrice électrique entraînée par une turbine à
gaz (fourni par Safran), et un pack batterie à haute tension (fourni
par Airbus). Au cœur de cette architecture se trouvent une unité de
distribution et de redressement d'énergie (PDRU), chargée de
protéger le réseau haute tension et de distribuer l'énergie
électrique disponible, ainsi que des harnais d'alimentation haute
tension (tous deux fournis par Safran). La batterie conçue par
Airbus est dimensionnée pour 800 Volts DC et peut fournir jusqu'à
350 kilowatts de puissance. Le démonstrateur bénéficie
également de l’expertise en intégration aérodynamique et acoustique
d’Airbus qui a par ailleurs développé le calculateur de commandes de
vol permettant les manœuvres de l'avion à l'aide des ePropellers, et
le synchro phasage pour soutenir les futures recommandations
acoustiques de l'avion. EcoPulse, un jalon vers l’aviation
bas-carbone de demain Avec la conclusion du programme
EcoPulse, Daher, Safran et Airbus renforcent leur engagement en
faveur d’une aviation durable. Ce projet pionnier jette les bases
des avancées technologiques et réglementaires nécessaires pour
relever les défis environnementaux du transport aérien de demain.
Fin de la revue de presse
>
Évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à
8,000 euros en clôture vendredi 20 décembre. Sur la semaine, elle est
stable (-0,17%).
Elle était à 12,53 euros
le 2 janvier 2023, à 17,77 euros le 19 juin 2023.
La moyenne (le consensus) des analystes
à 12 mois pour l'action AF-KLM
est à 10,66 euros (elle était à 15,0 euros début janvier
2023). L'objectif de cours le plus élevé est à 17,50 euros, le plus
bas à 7,10 euros.
Je ne
prends en compte que les opinions d'analystes postérieures au 1er
juillet 2023.
Vous pouvez retrouver sur
mon blog le
détail du consensus des analystes.
>
Évolution du prix du carburant cette semaine
Le baril de Jet Fuel en Europe est en baisse (-3$) à 88$. Il était à 94$
fin juin 2023, à 79$
avant le déclenchement de la guerre en Ukraine.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est
en baisse (-1$) à 73$.
De la mi-février
2022
à fin juillet 2022, il faisait le yoyo entre 100 et 120$. Depuis, il oscille
entre 71$ et 99$.
>
Gestion des FCPE
Lorsque vous placez de l'argent dans un des fonds FCPE d'Air
France, vous obtenez des parts dans ces fonds. Vous ne détenez pas
directement d'actions.
Ce sont les conseils de surveillance,
que vous avez élus en juillet 2021 pour cinq ans, qui gèrent les fonds
et qui prennent les décisions.
Les fonds Partners for the
Future, Aeroactions,
Majoractions et Concorde ne détiennent que des actions Air France.
Les fonds Horizon Épargne Actions (HEA), Horizon Épargne Mixte
(HEM), Horizon Épargne Taux (HET) gèrent des portefeuilles d'actions
diverses.
Précisions
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux vous informer.
Vous pouvez me poser, par retour, toute question
relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...
À bientôt.
Pour retrouver mes dernières lettres, c'est
ici
Si vous appréciez cette lettre, faites-la
circuler.
Les nouveaux lecteurs pourront la recevoir en
me communiquant l'adresse
email de leur choix.
|
François Robardet
Raison d'être du groupe Air France-KLM
: À la pointe d'une aviation européenne plus responsable, nous rapprochons les peuples pour construire le monde de demain.
Je représentais les salariés et anciens salariés
d'Air France-KLM. Vous pouvez me retrouver sur mon
compte twitter @FrRobardet ainsi que sur LinkedIn.
Cette lettre traite de l'aérien dans le monde et de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
recevoir cette lettre,
[désabonnez-vous]
Si vous souhaitez modifier l'adresse de réception de cette
lettre,
merci de me communiquer votre nouvelle adresse
email. Pour me joindre :
Message pour François Robardet.
11.656 personnes reçoivent cette revue de presse en direct
|