N°997, 30 décembre 2024
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Éditorial

Chères lectrices, chers lecteurs,

À quelques heures du réveillon de fin d'année, j'ai fait le choix d'occulter les accidents survenus ces derniers jours.

Il sera toujours temps de les évoquer l'année prochaine.

Je vous souhaite un bon réveillon.

François

La lettre du lundi

Sommaire :

Ces jeunes qui se sentent coupables de prendre l’avion
Pays-Bas : le brouillard entraîne l’annulation de vols à Schiphol, Rotterdam et Eindhoven
China Eastern inaugurera le C919 sur la ligne Shanghai-Hong Kong en janvier.
Les actionnaires d’ITA approuvent une augmentation de capital avant l’investissement de Lufthansa
Kelly Ortberg, la dernière chance de Boeing

> Ces jeunes qui se sentent coupables de prendre l’avion

(source Libération) 27 décembre 2024

Mon commentaire : Je ne relèverai pas les inexactitudes sur les comparaisons d'émissions de CO2 entre le train et l'avion figurant dans cet article.

Mon propos n'est pas non plus de pointer ce qui peut apparaitre comme des incohérences dans les choix des jeunes.

Je préfère insister sur la lutte contre le dérèglement climatique qui passera par des choix forts, onéreux, susceptibles de remettre en cause les modes de vie dans les pays les plus développés.

En serons-nous capables ? Si l'on en croit les jeunes cités dans l'article, cela parait très difficile.

Pourtant, je pense que cela n'est pas impossible. Il existe des technologies permettant de produire de l'électricité sans augmenter les volumes de gaz à effet de serre.

Mais la question fondamentale est ailleurs ; serons-nous en mesure d'aider les pays qui ne disposent pas aujourd'hui de ces technologies ?

Je reprends ici une partie de mon commentaire figurant dans ma lettre n°986.

Doit-on considérer, sur le long terme, que tous les habitants de la planète pourront disposer des mêmes droits et de niveau de vie semblables d'un pays à l'autre ? 

À l'inverse est-il admissible que pour assurer la transition énergétique, les pays développés bénéficient de matières premières extraites au prix de gigantesques pollutions et de produits fabriqués dans des conditions de santé déplorables et au mépris des règles élémentaires du droit du travail ?

Lire l'article :

Ils auraient voulu éviter l’avion par souci écologique. Pour les fêtes de fin d’année, ces étudiants ou jeunes actifs le prendront finalement pour économiser des sous, surtout. « C’est la seule option qui était vraiment envisageable financièrement », confie Joris, 23 ans, étudiant à Strasbourg. Lui qui est habitué à réutiliser les pelures d’agrumes pour faire des infusions s’y était pourtant pris à l’avance. Dès le mois d’octobre, ses yeux scrutaient les prix des trains. Mais « ça coûtait facilement le double », regrette-t-il, « surtout avec le marché de Noël, ici, qui booste tout ». Samedi 21 décembre, non sans culpabilité, il s’envolera depuis Mulhouse – où les vols sont moins chers – pour rejoindre sa famille en Ariège, via l’aéroport de Toulouse.
 
Joséphine, elle, doit traverser la Manche pour le réveillon. Salariée dans un cabinet d’avocat à Lewes, près de Brighton en Angleterre, elle a prévu de retrouver les siens à Bordeaux, sa ville d’origine. Engagée pour la cause environnementale, la vingtenaire n’a cependant pas pu se permettre un Eurostar. « Même en m’y prenant en septembre, c’était déjà trop cher, avoue-t-elle, un peu gênée. À l’inverse, c’était assez facile de trouver un vol entre Londres et Bordeaux pour 50 euros. » L’écologie est pourtant l’une de ses préoccupations. Cette ancienne membre d’Extinction Rebellion, appelé XR dans le milieu militant, n’achète par exemple plus de vêtements neufs, en opposition à la fast-fashion, cette mode rapide, jetable et fondée sur l’hyperconsommation. Comme beaucoup de ses amis, elle mange très peu de viande. Alors prendre l’avion, à cause de contraintes financières, l’irrite.
 
« Honte de prendre l’avion »
Des témoignages comme ceux de Joris et Joséphine sont nombreux. Ces jeunes adultes, inquiets pour leur futur, confient tous vouloir limiter leurs déplacements en avion pour les courtes et moyennes distances. Soucieux de l’environnement, ils sont également nombreux à s’intéresser au mouvement flygskam («la honte de prendre l’avion », en suédois) qui vise à boycotter le transport aérien pour réduire les émissions de CO2.
 
« Le prix me force à faire des choix avec lesquels je ne me sens pas à l’aise », déplore Grace, une Ecossaise qui étudie à Paris. Alors qu’elle se spécialise dans les politiques environnementales pour son master, elle s’offusque de l’augmentation systématique des tarifs à la période de Noël. «Ça me met en colère et je me sens coupable. Mais comment faire autrement quand on n’a pas le budget ? interroge celle qui devra parcourir plus de 1 000 km pour voir sa famille. Je me sens hypocrite et en dissonance avec mes convictions.»
 
Joris, l’étudiant de Strasbourg, partage cette amertume et ne comprend pas ce qui justifie une telle différence de prix. « J’ai tendance à trouver ça scandaleux. On sait que le train est le moyen le plus écologique pour faire des moyennes distances et ne pas taxer le kérosène est un non-sens total », s’offusque-t-il. Aujourd’hui, ce mélange d’hydrocarbure est l’un des seuls carburant à ne pas être surtaxé.
 
Très suivie par les jeunes sur les réseaux sociaux, l’activiste écologiste Camille Etienne écrivait le 14 octobre sur Instagram : « Le secteur aérien bénéficie de nombreuses niches fiscales de ce type. […] Ce sont près de 10 milliards d’euros de cadeaux fiscaux qui sont donnés chaque année en France à ce secteur particulièrement polluant et injuste.» Si l’avion n’est responsable « que » d’environ 2,4 % des émissions annuelles de CO2, il occupe néanmoins la tête du classement des modes de transport les plus polluants. Un seul trajet serait, par exemple, 1.500 fois plus émetteur que le train, notait Aurélien Bigo, chercheur spécialisé dans la transition énergétique des transports. Le train, lui, émet environ 80 fois moins d’émissions de gaz à effet de serre par rapport à l’avion, dans le cas d’un Paris-Marseille par exemple.
 
« C’est vraiment mal desservi »
Des zigzags dans toute la France et d’innombrables changements de trains dissuadent aussi ces jeunes, pressés de retrouver leur famille, de choisir l’option du rail : le facteur temps fait souvent pencher la balance. « J’en aurais eu pour au moins neuf heures de train », calcule Joris. Pour retourner chez lui, l’étudiant aurait dû « enchaîner un Strasbourg-Paris, un Paris-Toulouse et un Toulouse-Ariège ». « Il n’y a pas de direct et c’est vraiment mal desservi », se désole-t-il, comparant avec le réseau ferroviaire belge qu’il était habitué à utiliser, l’an dernier, lors de son service civique à Bruxelles. Adepte du covoiturage, il avoue cette fois ne pas avoir considéré cette option « trop coûteuse en essence et en péage ». Son vol aller ne lui coûtera « que 80 euros », pour 1h30 de vol tout pile.
 
S’ils avaient eu un peu plus d’argent sur leur compte bancaire, Joris, Joséphine et Grace auraient été prêts à prendre le train, pourvu que « le réseau ferroviaire soit un peu mieux entretenu et connecté », précise néanmoins l’étudiant à Strasbourg. L’Ecossaise acquiesce. Elle vient d’une campagne isolée où il faut faire plusieurs kilomètres en voiture avant de trouver une gare. Pour l’heure, sans oublier ses convictions écologiques, elle se réjouit de pouvoir retrouver au plus vite, dans quelques jours, ses frères et sœurs, qu’elle n’a plus vus depuis des mois.

> Pays-Bas : le brouillard entraîne l’annulation de vols à Schiphol, Rotterdam et Eindhoven

(source Belga) 27 décembre 2024

Mon commentaire : En hiver, les mauvaises conditions météo dégradent la performance de KLM et de ses filiales

Parfois cela peut aller jusqu'à la fermeture temporaire de l'aéroport de Schiphol.

Lire l'article :

Plusieurs vols ont été annulés dans les aéroports néerlandais vendredi en raison d’une mauvaise visibilité due au brouillard. Près de 60 vols ont été annulés à Schiphol (Amsterdam), a indiqué une porte-parole de l’aéroport, tandis que sept vols au départ et autant à l’arrivée ont été supprimés à l’aéroport de Rotterdam-La Haye.
 
Aussi en Belgique et au Royaume-Uni
Des avions en provenance d’Ibiza, de Lisbonne ou de Marrakech, qui devaient atterrir à l’aéroport d’Eindhoven, ont par ailleurs dû être redirigés vers Schiphol. Les vols au départ d’Alicante, de Prague et de Malaga, encore prévus dans la soirée, ont pour leur part été annulés.

L’institut météorologique néerlandais KNMI a émis une alerte jaune pour la quasi-totalité du pays en raison du brouillard.

Brussels Airport a également enregistré des retards en raison des conditions météorologiques. Le trafic aérien était perturbé aussi vendredi dans plusieurs grands aéroports britanniques, entraînant des annulations et des retards de plusieurs heures, à cause du brouillard, a indiqué le service de contrôle aérien britannique (NATS). Les aéroports de Gatwick (Londres) et Manchester, les deuxième et troisième aéroports les plus fréquentés du pays, font partie des plus touchés par ces perturbations.

> China Eastern inaugurera le C919 sur la ligne Shanghai-Hong Kong en janvier.

(source Reuters) 26 décembre 2024

Mon commentaire : La Chine œuvre pour obtenir la certification de son avion court-courrier Comac C919 dans le but de concurrencer la famille A320 d'Airbus et la famille B737 MAX de Boeing.

Ce devrait être chose faite en 2025 ou 2026. 

Cet avion, conçu il y a plus de dix ans, est équipé de moteurs (des LEAP-1C produits et commercialisés par CFM International) semblables à ceux des A320 (des LEAP-1A) et des B737 MAX (des LEAP-1B).

Il pourrait permettre à la Chine de conquérir des parts de marchés dans les pays émergents proches géographiquement.

Mais sur ces marchés émergents, l’équation économique n’est pas certaine. 

Pour certains analystes, « une compagnie, avant d’acheter, veut savoir le prix auquel elle pourra espérer revendre – ça reste une inconnue sur le C919 – et s’assurer que toute la chaîne de soutien et de maintenance est accessible à proximité. Ce sera un gros défi pour l’offre chinoise ».

Lire l'article :

China Eastern Airlines lancera le premier service commercial transfrontalier exploité par C919 entre Shanghai et Hong Kong le 1er janvier, a déclaré jeudi la télévision publique China Central Television (CCTV).

Actuellement, les trois grandes compagnies aériennes publiques chinoises exploitent toutes le C919, un avion à fuselage étroit développé par la Commercial Aircraft Corporation of China (COMAC), mais elles ne volent qu'à l'intérieur de la Chine continentale.
 
Le nouveau service, un vol aller-retour quotidien, intervient alors que la Chine cherche à décrocher le premier client international pour le C919, un jet qui a le potentiel de rivaliser avec le Boeing 737 MAX et l'Airbus A320neo.
 
China Eastern, qui a été la première à lancer le C919, possède une flotte de neuf C919 qui desservent diverses liaisons intérieures.
 
L'ajout de Hong Kong - une région administrative spéciale de la Chine dotée de son propre système de réglementation de l'aviation - comme destination élargira le réseau de China Eastern à neuf villes.
 
La COMAC s'est concentrée sur son expansion internationale et a ouvert un bureau à Hong Kong en octobre, après l'établissement de son bureau Asie-Pacifique à Singapour. La COMAC a déclaré que le bureau de Hong Kong était un élément crucial de sa stratégie mondiale.
 
Le constructeur aéronautique cherche à obtenir les certifications de l'Union européenne pour le C919 et a exprimé l'espoir d'y parvenir d'ici 2025.

> Les actionnaires d’ITA approuvent une augmentation de capital avant l’investissement de Lufthansa

(source Air Journal) 26 décembre 2024

Mon commentaire : Le rachat d'ITA Airways est bouclé.

L'ambition de Lufthansa (de reprendre des parts de marché en Italie) est ambitieuse.

La concurrence des compagnies aériennes à bas coûts y est forte ; Ryanair, première compagnie aérienne en Italie, détient 42,5% de part du marché intérieur, devant ITA Airways (26,2%) et easyJet (9%).

Lire l'article :

Lufthansa va acquérir une participation de 41% dans ITA Airways pour 325 millions d’euros, financée par une augmentation de capital désormais finalisée de la compagnie aérienne italienne.
 
Lors d’une assemblée extraordinaire le 20 décembre, les actionnaires d’ITA ont approuvé une augmentation de capital de 325 millions d’euros qui sera proposée à Lufthansa avant l’acquisition par cette dernière d’une participation de 41 % dans la compagnie aérienne italienne.
 (...)
En juillet 2024, il avait été suggéré que l’acquisition de la participation minoritaire par Lufthansa serait finalisée d’ici la fin de cette année.
 
Les actionnaires d’ITA ont également approuvé de nouveaux statuts de la société, attribués aux deux actionnaires (Lufthansa et le ministère italien de l’Économie et des Finances), qui entreront en vigueur dès la souscription de Lufthansa à l’augmentation de capital. Les deux actionnaires devraient également nommer un nouveau conseil d’administration.
 
La Commission européenne avait officiellement donné son feu vert au projet d’acquisition en juillet 2024, une décision saluée par le groupe Lufthansa, le ministère italien de l’Économie et des Finances et ITA Airways. ITA deviendra le cinquième transporteur en réseau du système multimarque et multi-hub du groupe Lufthansa.
 
Le PDG de Deutsche Lufthansa, Carsten Spohr, avait précédemment décrit le projet d’acquisition comme une « situation gagnant-gagnant pour l’Italie, ITA Airways et le groupe Lufthansa », avec « une ITA plus forte [pour] dynamiser la concurrence sur le marché italien ».
 
Les options pour l’acquisition des actions restantes d’ITA Airways ont été convenues entre les deux actionnaires et peuvent être exercées à partir de 2025 au plus tôt.

> Kelly Ortberg, la dernière chance de Boeing

(source Les Échos) 24 décembre 2024

Mon commentaire : Qui veut prendre la place de Kelly Ortberg ?

Personne ...

Mais personne (du côté des compagnies aériennes) ne souhaite la chute de Boeing.

Les besoins en avions neufs sont importants, aucun constructeur ne pourrait assumer une défaillance de Boeing.

L'expression "trop gros pour faire faillite" ("too big to fail") qui concernait initialement les institutions financières, s'appliquera bien au constructeur étasunien. 

Lire l'article :

Au moment d'aborder le cas Kelly Ortberg, une question vient d'emblée à l'esprit : existe-t-il dans le monde un patron confronté à une situation pire que la sienne ? Nommé en août 2024, le nouveau directeur général de Boeing hérite d'un groupe en piqué, littéralement au bord de la ruine après l'invraisemblable série d'accidents de son avion vedette, le 737 Max, dont deux modèles se sont écrasés en 2018 et 2019, faisant au total 346 morts. En janvier dernier, les images d'une porte arrachée en plein vol sur un 737 Max - toujours lui - d'Alaska Airlines ont achevé de détruire l'image et les comptes du géant aéronautique.
 
En octobre, le groupe annonçait une perte de 6,2 milliards de dollars pour son troisième trimestre, portant le déficit des neuf premiers mois à 39 milliards de dollars, soit le tiers de son chiffre d'affaires de la période. « Clairement, nous sommes à la croisée des chemins », commentait Kelly Ortberg dont on ne soupçonnait pas un tel goût pour l'euphémisme.
 
Arrêt de programme (modèle 767), retards de livraison (777X), multiples déboires de la division Défense et Espace, dont la très médiatisée défaillance de sa capsule Starliner contraignant les deux astronautes Butch Wilmore et Suni Williams à passer huit mois dans la Station spatiale internationale au lieu des huit jours prévus, une grève massive débouchant sur 35 % de hausse générale de salaire alors qu'il n'a plus le sou : parler de Boeing aujourd'hui, c'est décortiquer les ressorts d'un désastre, dont on se demande comment cet ingénieur de 64 ans va bien pouvoir sortir.
 
À destination de ses cadres, en novembre, le nouveau boss, venu de Rockwell Collins, un spécialiste de l'avionique, a délivré ce message puissant : « Ne restez pas plantés devant la fontaine à eau pour ragoter. » En même temps qu'il envoyait leurs premières lettres de licenciement aux salariés qui feront partie des 17.000 départs annoncés, soit 10 % de l'effectif. L'année 2025 sera cruciale pour Boeing, qui lance une augmentation de capital géante d'au moins 21 milliards de dollars.
 
Ce n'est pas qu'un détail. Kelly Ortberg a été l'un des premiers à passer un coup de fil au président élu Donald Trump début novembre. Son message : « Ne tapez pas trop sur la Chine, l'un de mes débouchés majeurs. »

Fin de la revue de presse

> Évolution du cours de l'action Air France-KLM

L'action Air France-KLM est à 8,094 euros en clôture vendredi 20 décembre. Sur la semaine, elle est en hausse (+1,17%).

Elle était à 12,53 euros le 2 janvier 2023, à 17,77 euros le 19 juin 2023.

La moyenne (le consensus) des analystes à 12 mois pour l'action AF-KLM est à 10,66 euros (elle était à 15,0 euros début janvier 2023). L'objectif de cours le plus élevé est à 17,50 euros, le plus bas à 7,10 euros.

Je ne prends en compte que les opinions d'analystes postérieures au 1er juillet 2023.

Vous pouvez retrouver sur mon blog le détail du consensus des analystes.

Mon commentaire : Ces dernières semaines, le cours de l'action s'est stabilisé à un niveau toujours inférieur au consensus des analyste.

> Évolution du prix du carburant cette semaine

Le baril de Jet Fuel en Europe est en hausse (+1$) à 89$. Il était à 94$ fin juin 2023, à 79$ avant le déclenchement de la guerre en Ukraine.

Le baril de pétrole Brent (mer du nord) est en hausse (+1$) à 74$.

De la mi-février 2022 à fin juillet 2022, il faisait le yoyo entre 100 et 120$. Depuis, il oscille entre 75$ et 99$.

Mon commentaire : Depuis un mois, le cours du pétrole varie peu. Il est au plus bas sur deux ans.

> Gestion des FCPE

Lorsque vous placez de l'argent dans un des fonds FCPE d'Air France, vous obtenez des parts dans ces fonds. Vous ne détenez pas directement d'actions.

Ce sont les conseils de surveillance, que vous avez élus en juillet 2021 pour cinq ans, qui gèrent les fonds et qui prennent les décisions.

Les fonds Partners for the Future, Aeroactions, Majoractions et Concorde ne détiennent que des actions Air France.

Les fonds Horizon Épargne Actions (HEA), Horizon Épargne Mixte (HEM), Horizon Épargne Taux (HET) gèrent des portefeuilles d'actions diverses.

Mon commentaire : Si vous souhaitez obtenir des précisions sur la gestion des différents FCPE Air France, je vous invite à consulter mmon site navigaction, rubrique L'actionnariat salarié Air France-KLM.

Précisions

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute information ou réflexion me permettant de mieux vous informer.

Vous pouvez me poser, par retour, toute question relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié...

À bientôt.

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| François Robardet

À la pointe d'une aviation européenne plus responsable, nous rapprochons les peuples pour construire le monde de demain.

Je représentais les salariés et anciens salariés d'Air France-KLM.
Vous pouvez me retrouver sur mon compte twitter @FrRobardet ainsi que sur LinkedIn.

Cette lettre traite de l'aérien dans le monde et de sujets liés à l'actionnariat d'Air France-KLM.
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